* Décidément ! * maugréa-t-il pour lui-même. Oui, décidément, le Darth d’Arkania manquait singulièrement de pratique sur ce coup-là. Ses talents au sabre s’étaient quelque peu émoussés, preuve en est le manque d’efficacité patent avec lequel il faisait face à cette poignée de prédateurs enragés, qu’il aurait pu littéralement découper en morceaux, il y a quelques années de ça ! Du moins, c’est ce qu’il se plaisait à croire, constatant, consterné, que l’un d’eux avait réussi à lui entailler la joue, non pas d’un coup de griffes, mais en faisant claquer l’extrémité de sa queue dont il s’était servi comme d’un fouet, giflant la joue d’Araya, piqué au vif. Impétueux, il répondit à la provocation sur un coup de sang, et se lança à l’assaut du fautif en exécutant grossièrement une passe d’arme complexe dont les variations d’angles d’attaque devaient couvrir la plus vaste surface possible, ne laissant aucune chance de retraite ou d’esquive au Maalraas. Et comme on l’apprend aux initiés lorsqu’il débute leurs entrainements au sabre laser, une attaque portée trop impulsivement, si elle s’avère puissante, manquera toujours de précision… La règle se confirma, la lame n’effleurant même pas la créature à l’agilité féline. Affligeant de stupidité, le bretteur reprit très vite son sang-froid en voyant se ruer vers lui deux autres énergumènes ! A croire que chasser la faune locale représentait un véritable challenge pour ces prédateurs qui n’hésitaient pas un seul instant à s’en prendre aux explorateurs imprudents s’aventurant en pleine jungle. Déjà, les duellistes à ses côtés tenaient la dragée haute à leurs adversaires, ce qui motiva d’autant plus Araya à se montrer à la hauteur en tenant sa position, vaille que vaille !

Si ses compétences de sabreur avaient perdu de leur superbe au fil du temps, ses aptitudes à user de la Force seraient sûrement plus affutées, du moins c’est ce qu’il pensa, s’empressant de les jauger en rengainant l’un de ses sabres. Fixant du coin de l’œil, en aveugle, le prédateur qu’il venait de manquer, il passa à l’offensive en se concentrant sur l’emplacement de sa cible, levant un poing qu’il referma lentement dans sa direction. Si Araya parvenait à ses fins, le Maalraas se retrouverait soulevé dans les airs, incapable de réagir à cet ennemi invisible agissant de l’intérieur, contorsionné de spasmes et de douleurs, agonisant, avant de retomber sur le sol en une masse de muscles inerte, sans vie.

[ Jet de sagesse pour Etouffement sur le Maalrras n°2 ]

Le combat était loin d’être fini pour autant. L’attention du Sith se reporta sur les autres créatures filant droit sur lui, lancées à toute allure. Alors que l’une d’elle manqua de chuter en voulant bondir sur son gibier, l’autre y parvint sans difficulté, tandis qu’une lame de lumière rougeoyante tenta de s’interposer fatalement entre le fauve et son porteur.

[ Jet d’Agilité pour défense contre le Maalrras n°8 ]

Ce qui devait arriva. La Maalraa visé par la poigne constrictrice qu’Araya venait de brandir, un instant auparavant, s’effondra de tout son poids et disparu sous les hautes herbes, sans donner suite. Sauf que le Sith n’eut pas le loisir de s’en satisfaire : la piètre défense qu’il opposa contre le nouvel assaillant qui se jeta sur lui fut trop maladroite pour pouvoir parer son attaque. Serrant les dents face à la douleur endurée lorsque les crocs de la créature s’enfoncèrent dans son avant-bras, il s’apprêta à lui rendre la monnaie de sa pièce en saisissant le sabre qu’il avait rengainé. C’est là que la bête lâcha prise d’elle-même en s’éloignant d’un bond, consciente qu’elle avait suffisamment affaiblie sa proie pour cette fois, histoire de repasser à l’attaque dans la foulée, déterminée à harceler sa victime à petits feux, sans jamais céder à la précipitation. Déjà que ces fauves représentaient une sérieuse menace en soi, Araya se rendit compte que leur stratégie était bien rodée : la première salve était là pour tester la résistance des intrus et les affaiblir un tant soit peu, la seconde pour leur porter le coup de grâce… La nature fait si bien les choses !

Alors que la paire de Maalraas restante s’apprêtaient à remettre ça, un détail attira l’attention de l’Arkanien, qui lui mit la puce à l’oreille. L’un deux venait de se figer avant de détourner la gueule en arrière, fixant visiblement un point précis : là où d’épaisses fougères, bouchant la vue, tanguaient légèrement, constata Araya, intrigué, en jetant un coup d’œil dans cette direction. Quelque chose se tapissait dans l’ombre de la végétation dense et opaque, mais impossible de savoir s’il s’agissait d’une nouvelle menace, ou d’un autre gibier fuyant juste la zone de l’affrontement. Le grognement insistant de son congénère, resté concentré sur la cible à deux pattes partiellement blessée, détourna la vigilance de l’autre qui se remit dans le sens de la marche. Le duo s’écarta légèrement l’un de l’autre et s’élança, attaquant avec la même rage forcenée. Pour faire d’une pierre deux coups, Araya leva son bras en avant, bien décidé à user une seconde fois de son pouvoir pour tenter de repousser les velléités belliqueuses des Maalraas, en les envoyer promener vers l’endroit suspect…

[ Jet de sagesse pour Télékinésie sur les Maalraas n° 7 et 8 ==> Raté ! ]
[ Jet d'agilité pour défense contre le Maalraa n° 7]

A croire que la malchance frappe toujours deux fois à la même porte... Sur le moment, la douleur lancinante de son bras s'amplifia et déconcentra le seigneur Sith, qui ne put se focaliser suffisamment pour arriver à ployer la Force à son bon vouloir. La conséquence de cet échec ne se fit pas attendre : l'un des bestiaux lui entailla salement la jambe, tandis que l'autre lui balança un coup de griffe au niveau du bras indemne, avec le même résultat. Parti comme il l'était, Araya se voyait mal arrivé au bout de cette aventure en un seul morceau... C'est alors qu'une surprise de taille émergea des fourrées : un genre de lézard à la corpulence impressionnante surgit sans crier gare et chopa au collet l’un des prédateurs blessés qui restait en retrait, avant de le broyer entre ses mâchoires d’un coup sec. Relâchant sa pitance, il poussa un grondement puissant et si tonitruant qu’il fit s’arrêter net les Maalraas dans leurs élans, déguerpissant pour la plupart en quatrième vitesse dans la pénombre de la jungle environnante. Araya se retourna de trois quart vers Darth Ynnitach et Zora, surveillant le mastodonte comme l’eau sur le feu. Aux prises avec trois Maalrras pugnaces qui n’avaient pas l’air de vouloir céder la partie si facilement, il ne pouvait venir en aide à l'apprentie de la Dame Noire, trop occupé à tenir en joue du bout de son sabre les prédateurs qui venaient de faire volte-face, pris de cours face au colosse rampant, qui semblait s'amuser de la situation...

« Je sais pas vous, mais j’ai pas envie de m’éterniser ! » lança Araya à la volée, jetant des coups d’œil tout autour de lui, comme si la nature entière était sur le point de se dresser contre eux.

Spoiler:

De nouveaux assaillants avaient été mis hors combat mais cela ne suffisait toujours pas à entamer leurs ardeurs. Dès que l'un des Maalras était achevé par l'un des Sith, un autre s'empressait aussitôt de prendre sa place. Les attaques se succédaient sous formes de coups de griffes à un rythme effréné et Zora commençait sérieusement à se demander si leurs adversaires se lasseraient avant qu'ils ne soient tous décimés...

Pire encore, les créatures semblaient ne pas avoir goûté l'intervention de l'apprentie pour venir en aide à sa maîtresse. Le Maalras qui avait vu son attaque parée par l'apprentie s'était présent tourner vers elle, faisant passer le nombre d'opposant de la jeune humaine à trois. Si contre deux de ces créatures les choses étaient déja délicates, avec un adversaire de plus elles deviendraient rapidement intenables. Il n'y avait plus qu'a espérer l'aide de Darth Ynnitach, à présent libre de ses mouvements, pour tenter de renverser la situation.

Deux pattes griffus lacérèrent la peau de Zora avant qu'elle ne puisse faire quoi que ce soit, déversant à nouveau son lot de sang. L'apprentie grimaça de douleur tout en tentant coûte que coûte de maintenir sa garde pour repousser les assauts suivants. Ses forces la quittaient peu à peu et s'il paraissait à présent certain que les deux Seigneurs Sith parviendraient à s'en tirer, elle espérait simplement que ce serait également son cas. Il était tout simplement hors de question de mourir sur cette saloperie de planète. Elle n'était qu'un début de son apprentissage, qu'au début de sa vie...

- "Vous voulez me bouffer, saletés? Allez, essayez pour voir!" murmura-t-elle sans vraiment s'en rendre compte à l'attention du trio de créature.

Comme si les Maalras n'attendaient que ça pour se lancer à l'assaut, ils se lancèrent dans une attaque groupée contre la jeune humaine. Cette dernière ne chercha pas à éviter les deux premiers et se concentra sur le dernier qui s'était fendu du coup de patte le plus hésitant, gêné par son voisin. Elle opposa sa lame pour obliger son adversaire à reculer s'il ne voulait pas voir son membre tranché et serra les dents en avance, prête à encaisser l'attaque des deux autres. Mais encore une fois cette souffrance était sensée lui donner une possibilité de riposte avec sa seconde arme.

Zora ne put réfréner un autre cri de douleur quand les deux Maalras labourèrent sa chaire d'ordinaire si douce et mit ses dernières forces dans la bataille pour continuer à faire face et ne pas tomber à genoux, offrant ainsi sa nuque à des créatures qui n'attendaient que ça. Titubant un instant, l'apprentie vit sa maîtresse se ruer à l'assaut de l'un de ses assaillants et un pauvre sourire éclaira le visage fatigué de la jeune humaine. Bien décidée à profiter de l'effet de surprise créé par l'anzati, Zora se rua à l'assaut dans son sillage...

[Jet de défense contre l'attaque du Maalras 12 (le résultat de 1 au jet d'attaque) + Jet d'attaque sur le Maalras 12 aussi]

Si la furie sanguinaire des derniers Maalraa s’évapora en un battement de cils dans les méandres de la jungle, le géant reptilien, quant à lui, continuait de ramper à sa guise, pas après pas, stoïque, marquant des temps d’arrêt pour scruter et renifler les dépouilles fraiches des créatures rencontrées sur son chemin, s’approchant de l’endroit où les Sith se serraient encore les coudes. Ce n’était sûrement pas tous les jours que ce monstre pouvait se rassasier de proies déjà occises, jonchées à même le sol, sans avoir le moindre effort à fournir. Une sacrée aubaine pour eux… De son côté, Araya imita le mammifère en sens inverse, reculant sans faire de gestes brusques pour ne pas attirer son attention outre mesure. Il n’aurait su dire pourquoi, mais ce prédateur-là lui flanquait une drôle d’impression, comme si derrière ses allures pataudes et nonchalantes, l’influence du côté obscur coulait dans ses veines, sans trop savoir comment ni pourquoi. Pour le moment, il était sûrement trop occupé à se demander ce qu’il allait faire face à un tel festin servi sur un plateau. Encore heureux d’ailleurs, car si elle venait à charger de plein fouet, Araya n’était même pas sûr de pouvoir esquiver un pareil colosse autrement qu’en plongeant à terre, histoire de tenter une riposte sur son flanc dans la foulée. Une surprise n’arrivant jamais seul, ce fut bien la première fois que la voix de la Dame Noire lui procura un sentiment de réconfort, lorsqu’elle s’adressa à Zora et à lui :

« Inutile d’insister, nous ne sommes pas de taille, on ferait mieux de continuer… » dit-elle d’une traite. L’Arkanien opina du chef en signe d’acquiescement, rengainant lentement ses sabres bien qu’il fut incapable de lâcher des yeux le lézard dont le cuir, d’apparence robuste, laissait entrevoir des plaques articulées et constituées d’une épaisse couche de corne. Jusqu’à ce qu’il le perde de vue en dépassant de hauts fourrés, Araya ne cessa pas de jeter des coups d’œil derrière lui pour s‘assurer que la troupe en ordre de marche n’était pas à nouveau prise en chasse. La configuration du terrain changea du tout au tout sans qu’il s’en rendre compte, le sol devenant de moins en moins meuble et boueux, mais plus pentu. Sortis de ces zones marécageuses humides et fétides, l’air devint plus frais, une bénédiction pour le seigneur Sith qui commençait à se lasser de la moiteur de cette atmosphère viciée et quasi irrespirable.

« Nous ne sommes plus très loin… A peine une heure de marche je dirai, vers cette crête… Autant faire une halte, on ne sait pas ce que la suite nous réserve… » songea Darth Ynnitach à voix haute en consultant son bloc de données. Et Araya partagea d’emblée le même avis : si la horde de fauves déchainés n’était qu’un simple comité de bienvenue, alors la suite de leur périple allait s’annoncer des plus croustillantes ! Après avoir soigné superficiellement ses blessures à l’aide d’un medpac, s’injectant au passage une dose d’antibiotiques, juste au cas où, il sortit les autres de son sac pour les poser bien en évidence, geste qu’il fallait interpréter comme un « servez-vous ». Après quoi, il resta un moment le dos appuyé contre un tronc d’arbre, les bras croisés, tâchant de fermer les yeux un moment pour se concentrer sur les effluves de Force qui courraient le long de ses membres, regagnant peu à peu leur vigueur initiale. Il ne tarderait pas à recouvrer ses forces, tandis qu’il repensait aux erreurs commises face aux Maalraas. Il ne fallait pas s’étonner du fait que sa pratique des arts occultes avait décliné au fil du temps, à force de ne pas les solliciter davantage et de manière régulière. S’il continuait sur cette pente, nul doute qu’il s’exposerait à bien des désagréments et à maints dangers auxquels il ne pourrait plus faire face efficacement, sans une remise à plat de ses facultés et de ses compétences martiales. L’idée d’aménager un repaire connu de lui seul où il pourrait s’isoler de tout et de tous, se recentrer sur lui-même, émergea dans son esprit, tandis qu’il réfléchissait aux moyens adéquats dont il aurait besoin pour parvenir à ses fins. D’un point de vue pratique, sa planète natale semblait la plus appropriée pour accueillir une structure secrète, son sous-sol étant truffé de galeries et de cavernes naturelles abandonnées depuis des siècles…

L’arkanien fit la moue en palpant son avant-bras droit : si les plaies ne saignaient plus, les stigmates des crocs incrustés dans sa chair livide continuaient de lancer douloureusement ses muscles, même si la sensation n’avait rien d’insurmontable, plus une gêne qu’un réel handicap. Il suffisait de ne pas y prêter attention, en se réfugiant dans le souvenir amer des créatures à l’origine de ces blessures. Contrairement à ces dernières, un orgueil blessé sait parfaitement se faire prescrire à l’envie des piqures de rappel quand l’envie lui prend, administrant à petites doses son venin sournois afin de tourmenter un esprit déjà affligé par ses approximations et ses échecs cuisants. Ce n’est pas que le Proche-Humain se complaisait à ressasser puérilement ses erreurs de jugement, plutôt qu’il ne parvenait pas à tolérer ses propres imperfections, lui qui ne cesse de viser l’excellence en toute chose, sauf en de rares occasions. Rien de tel que ce genre de meurtrissures bénignes affectant le corps pour se rappeler cette vérité, inadmissible et fondamentale, que l’existence est une lutte perpétuelle face à sa propre finitude. La mort est comme un linceul omniprésent, la plus fidèle et la plus capricieuse des ombres qui ne demande qu’à vous recouvrir d’une nuit sans lendemain, invisible compagne se gaussant des ambitions et des projets de ceux qui cherchent à s’en libérer, alors qu’elle-même ne souhaite qu’une seule chose : tendre sa main délicate pour une ultime étreinte…

Sonnant comme une distraction dissipant ses pensées brumeuses, Araya écouta les mots échangés par Darth Ynnitach et Zora, son élève. A première vue, la relation de complicité et de dévouement qui semblait se nouer entre l’apprentie à son maitre faisait d’elles des partenaires ayant appris à se connaitre, assez bien pour se permettre d’être franche l’une envers l’autre. Parler de confiance aurait évidemment été prématuré, entre Sith, il ne faut jamais jurer de rien, la chose est convenue. D’un certain côté, Araya enviait le Dame Noire d’avoir à ses côtés une apprentie appliquée et fidèle à sa cause, un luxe qui n’est pas donné à tous les seigneurs Sith, pensa-t-il, alors que le nom d’Ulrich Andersen lui revenait en mémoire. Ô pour sûr, ces deux-là devaient sûrement préserver une certaine méfiance, si ce n’est une appréhension instinctive, celle de baisser sa garde, de se livrer trop avant pour le mentor, et pour son élu, de vouloir bien faire en toute chose par excès de zèle, au risque de s’attirer des ennuis. C’est bien ce qui avait failli se passer d’ailleurs, en dépit du fait que l’humaine n’avait pas à rougir de quoi que ce soit. Elle était en vie, sur ses deux jambes, et avait prouvé de réels talents au combat rapproché, que demander de plus ?! D’autres auraient été pris de panique et la poudre d’escampette par-dessus le marché, sans même se rendre compte qu’ils courraient ainsi à une mort certaine…

Croquant timidement dans une ration énergétique d’aliments déshydratés, l’arkanien regarda la Dame Noire s’activer en empoignant son bloc de donnée qui venait d’émettre. Elle resta un moment à scruter l’écran de l’appareil portatif, avant d’approcher de lui, l’air préoccupé. Et elle avait une excellente raison de l’être. Déjà, une bonne nouvelle, ils n’auraient plus à crapahuter dans la forêt pour franchir la crête s’élevant droit devant eux. Le droïde-sonde déployé par le Dame Noire venait de s’avérer diablement utile en repérant une cavité courant d’un bout à l’autre de l’escarpement rocheux dont l’ascension n’aurait fait que prolonger leur séjour en les ralentissant. Et comme une bonne nouvelle ne vient jamais seule… La transmission se brouilla pendant quelques secondes, avant d’émettre à nouveau : les images montraient l’entrée du tombeau ainsi que trois silhouettes humanoïdes en train de faire le guet, surveillant les parages en déambulant de long en large. Sacré coup du sort, n’empêche, que de tomber sur ces types en faction alors qu’il n’y a sûrement pas âme qui vive à des kilomètres à la ronde ! Même si cela ne laissait rien présager de bon, au moins, c’était la preuve que ce tombeau n’avait pas encore livré tous ses secrets.

« C’est curieux, mais leurs habits me font penser à ceux d’acolytes Sith… Et ça là, on dirait bien des vibroépées, enfin il me semble… Bon, j’ai l’impression qu’on n’a pas trop le choix, soit on les affronte sans se poser de question, et on essaye ensuite de savoir ce qu’ils font ici en leur tirant les vers du nez, soit on tente la manière douce en leur demandant gentiment… Qu’est-ce que vous en dites ? »