Invité
Anonymous
Fiche de présentation



Idao Chani [Maitre Jedi] [Terminée en attente de validation] 2047-210



Nom : Chani

Prénom :
Idao

Âge : 41 ans

Année de naissance : 3521 BY

Race : N’humain, c’est comme un humain, mais avec la haine devant, comme ça y’en a plus après.

Côté de la Force : Lumineux

Rang désiré :  Maître Jedi

Sabre laser : Sabre laser assez fin et long, incurvé, preuve d’un maniement souple et certainement lié au Makashi. La fin de la poignée est recouverte d’un matériau souple pour confort et légèrement adhésif pour que ça ne glisse pas. Petit détail, la cellule d’énergie est visible, car couverte de deux fenêtres en duracier, produisant un doux éclat bleuté chaque fois que le sabre est allumé.

Caractéristiques : (Template de maître)

Force 5
Dextérité 4
Agilité 4
Constitution 5
Intelligence 3
Sagesse 4
Charisme 4

Pouvoirs : (Template de Maître)


Absorption / Dissipation de l’énergie (niveau 2)
Amélioration des Capacités (niveau 3)
Détection (niveau 3)
Télékinésie (niveau 3)
Voile de Force (niveau 2)
Protection de Force (niveau 2)
Absorption de Force (niveau 2)
Guérison (niveau 2)
Persuasion
+ Apaisement de l’Obscur
+ Lancer de sabre
+ Amélioration d’une arme (niveau 2)





Points Forts :
Idao est un excellent bretteur et sa capacité à utiliser la Force est intimement lié à l’art du sabre. Il se distingue à la base par une maitrise sobre et jugée « parfaite » du Soresu, mais avec le retour des Sith… Son développement du Makashi, qu’il estimait plus artistique qu’utile, lui a permis de briller de temps à autres au combat, particulièrement contre des escrimeurs utilisateurs de la Force.
Sa plus grande qualité à part cela semble être son intuition. « Cesse de penser. Ressens. Agis ». Il se fie à la Force, et la Force semble le guider. Il fait montre alors d’une acuité hors du commun, d’une audace rocambolesque... Et d’une chance insolente.

Points Faibles : 
Idao n’a pas de soucis avec la Force, mais il a une mauvaise tendance manuelle : il sépare les choses. Lorsqu’un don est instinctif ou intégré à sa mobilité, ça passe... Mais « Lorsque j’utilise la Force, j’utilise la Force ». C’est-à-dire qu’il s’arrête et ne fait rien d’autre.
De plus, lorsque la Force vous souffle des choses et vous assure de vous en tirer même après les pires stupidités, il faut verifier de deux choses. Primo, ne jamais oublier que chaque chose est en équilibre, et ce que la Force donne, elle le reprend ailleurs. Ensuite, si elle est assez gentille pour avoir le nez dans vos affaires, ça n’est pas vrai pour vos camarades. Après avoir été « Le survivant » plusieurs fois, y compris en conséquence parfois de ses propres choix... Idao a la méchante habitude de surprotéger les gens, voir de les éloigner, et toujours pousser l’audace, seul, jusqu’à des seuils imprudents.

Caractère : L’entraiment d’Idao a été rythmé par une exigence très particulière de son maître. Sa première directive fut « Apprend, comprend, forme ton esprit à l’analyse ! ». Alors Idao devin un homme lettré, éduqué, et surtout, critique. Mais la seconde grande leçon de son maître étant « Ne pense pas, ressent, focalise-toi sur l’instant », Idao fut un rien perdu. Jusqu’à ce que lumière se fasse dans ses idées. Une partie de chaque réflexion est faite par son esprit mais la synthèse de l’ensemble relève de l’intuition, laquelle est redoutable chez un Jedi.
Le bilan, c’est que chez Idao, l’insouciance naturelle est une forme de sérieux. C’est un Jedi qui fait plus jeune que son âge pour une raison très simple : rares sont les rides à avoir su creuser son front tant il a rarement de soucis. Il ne considère aucune situation comme insoluble. Il est donc d’un optimisme permanent, et parfois agaçant. Vu qu’il réfléchit peu, ou en donne assez peu l’air, on le prend parfois pour quelqu’un d’un rien léger. Mais à tort. Un esprit d’analyse brillant reste à l’affut derrière cette bonne humeur. Il est assez rare qu’on lui demande de planifier des choses, ou qu’il ait envie, lui-même, de le faire. Mais oublier qu’il en est parfaitement capable serait le sous-estimer.
 
On parle donc d’un Jedi qui a décidé que chaque problème se caractérisait par une solution, et que cette solution était toujours à porté de la main qui voulait s’en saisir. S’il n’ignore par que c’est parfois très compliqué… Il découle de ce mode de pensé un homme enjoué, ouvert et affable. Avec l’âge, c’est un maître qui a été reconnu pour sa patience et sa capacité à tout écouter avant de trancher. A quelque exception près, il ne refuse ou n’accepte jamais par principe et marque un point d’honneur à toujours pouvoir être convaincu. Il apprécie même la controverse, lorsqu’elle se fait selon les règles de bonnes conduites et que ça ne tourne pas en rond.
L’une des choses qui l’a profondément changé après ça... C’est Adia Lya Vessera. Sa Padawan.
 
Une jeune fille qu’il a récupéré vers ses 10 ans. Et qui lui a copieusement cassé les glawis pendant sa crise d’adolescence. On partait d’une jeune fille réservée, timide, calme, à une jeune femme très extravertie, pétillante et mutine. Mais entre les deux, une prodigieuse poussée d’hormone et une forte envie de contester l’austère autorité du dogme Jedi. Les compris à faire pour préserver un lien privilégié avec son élève changèrent le maître à jamais. Afin de la canaliser... Il apprit... A devenir farceur. Avoir un peu plus d’humour, plus souple sur le Code. Un état d’esprit qui le poussait à savoir non pas ce que le Code interdisait, mais quelles limites il posait. La nuance réside nuance entre « Ce n’est pas trop grave si » et « Si jamais tu en arrives à faire ça, c’est que tu as trop de mauvaises habitudes et qu’il y a toute une façon d’être à revoir ». C’est un dogme qu’il a ensuite appliqué toute sa vie : « N’est pas Sith celui qui tue. Chacun peut faire une erreur. Est Sith celui qui a le réflexe de tuer ». Pardonner, mais surtout... Savoir qui et comment pardonner pour s’assurer que de la faute, un progrès soit fait.
Il a donc gardé, rescapée de l’adolescence de sa padawan, une tendresse naturelle pour ce qui l’entoure, et une capacité à voir au-delà du mal pour chercher le cœur si souvent prompt aussi bien à l’erreur qu’a la rédemption des gens. Et parfois... Pour Adia Lya particulièrement, mais pour d’autre aléatoirement... Il se fend d’une affection qui confine à la sénilité. Personne ne sait exactement ce qui peut le pousser à s’attacher à quelqu’un et il ne manque jamais de sermonner ses protégés, ce qui fait qu’on ne le lui a jamais vraiment reproché. Juste parfois, quand il arbore ce sourire niais et heureux à la simple approche de quelqu’un qu’il aime bien, on lui tapote l’épaule en lui disant « Isao, tu es vraiment dérangé... »
 
Le dernier point à aborder est bien sur sa passion dévorante pour les sabres et plus généralement, pour la mécanique et l’artisanat en général. Il considère un objet façonné par la main d’une personne (ce qui exclut les productions en série) comme étant une partie de son aura. Dans la Force, ils sont liés, et ont une identité propre, le pinacle de cette notion étant le sabre laser. Pour le reste, usine ou pas, il a un très grand respect pour la technique, le savoir-faire, et le produit technique lui-même.
 


Description Physique :
 On parle d’un maître plutôt bien bâtit, 1m90, un bel animal ! Cependant, il ne faut pas s’attendre à la carrure du wookie. Au contraire, Idao a la musculature et la silhouette fine, sèche et marquée. Un peu à la façon d’un coureur. Cela s’explique aisément par une pratique intensive d’exercices qui demandent de la souplesse, de l’agilité, mais pas de force. Il développe assez peu sa masse musculaire, mais veille à pouvoir imprimer une tension maximale dans chacune des fibres de son corps. On le verra souvent avoir une démarche aérienne, curieuse, surtout avec sa bure : on dirait presque qu’il flotte, ou qu’il glisse. Les mains croisées dans son dos, la tête ailleurs, toute sa posture légère rappelle pourtant deux principes simples à tout ceux qui savent voir : discipline et méthode. C’est comme si tout le temps, à chaque instant, il était disposé à dégainer et basculer son équilibre.
C’est là qu’il vous regarde et qu’il vous dit avec un air tranquille « Tout ce qui ne me tue pas ferait bien de se mettre à courir. ». Et quelque part, en voyant cet homme disposé, ramassé comme un serpent paré à se détendre, bondir, apprêté. On peut se dire que c’est vrai.
 
Pour soutenir cela, deux yeux bleus, un océan dans chacun, paisibles ou tempétueux mais souvent rieurs. Ils définissent les aléas d’une vie, et l’usure d’un vécu qui commence à peine à devenir autant une force qu’un poids. Ou qu’ils soient, qui les cherche les trouve, s’y abreuvant de force, d’assurance, de douceur... Ou d’une implacable fermeté lorsqu’on veut les faire vaciller.  Fort de sa hauteur et de cet œil, la présence du maître implique un « Je tiendrai » qui définit parfaitement bien le gardien qu’il est.
 
Assez soigné par ailleurs, on lui trouve une barbe taillée, et des cheveux noir d’encre assez long pour être élégants, mais coupés assez court pour pouvoir être ramenés en arrière et ne pas gêner la ligne de vue. D’agréables fossettes, un joli nez en pif, suffisamment disgracieux pour être attendrissant. L’âge pèse un rien en plusieurs choses, des cheveux poivres et selles, des rides creusent doucement sa mâchoire, et… Idao développe le don si particulier qui consiste à mieux voir de loin que de proche. Admettre qu’il est devenu presbyte ? Ça, jamais ! A l’image de cette exquise mauvaise foi, un sourire doucement mutin ourle ses lèvres, complétant ou presque le tableau d’un Jedi paisible et heureux qui sait quelle force cela implique.
« Presque », car une chose saurait être rajoutée : sa voix. Une voix grave, mais fendue d’un léger tressaillement. Comme s’il avait des cailloux dans la gorge. Un genre d’accent roulant, granuleux. Un timbre de choix pas chanté mais peu s’en faut. Pas hypnotique, mais pas loin. Le genre de voix qu’on aime simplement écouter. Un peu de musique dans ses phrases, une maitrise parfaite de la rythmique rhétorique. De celles qui vous disent « Tout ira bien. Ça ira » tout en faisant en sorte que vous y croyiez.
 
On le croisera souvent habillé de la plus sobre des façons. Ou vêtu de sa bure avec sa tunique de Jedi ou de tenue plus serrée d’escrimeur. Ça n’est pas vraiment un homme de luxe, ni foncièrement de mode. Il prend grand soin de son apparence, mais reste dans les canons de l’Ordre, ce qu’il considère comme un sentier élagué pour lui. Gare à celui qui s’attendrait à le voir grimé, il a toujours été mauvais pour ça. Du coup, il verse dans l’excès inverse : lorsqu’il veut être discret, il fait en sorte que tout le monde le voit ! Ainsi personne ne se doute qu’il cherche à l’être. Et alors là... C’est un véritable hippie haut en couleur. Il faudrait être un sacré devin pour trouver le point commun entre ce bitnick et le Jedi qui se cache : les tenues amples ! Car oui, même lorsqu’il escrime, Idao tient à toujours avoir au moins une chose : des manches larges ! Déjà, parce que c’est classes, mais en plus parce qu’il a pris l’habitude d’y ranger ses mains entre autres choses.
 
Dernier point…. On le croise souvent avec un droïde astromechano jedi. Idao l’a gracieusement baptisé « Roulettes », et ce droïde n’a d’autre fonctions que de pouvoir enregistrer et transmettre tout ce que dit le Maître Jedi. Parce que s’occuper d’une partie des archives, c’est de la logistique, des frais, de la maintenance, tout un tas de paperasseries et de décisions qui font que le maître Jedi se doit d’avoir du répondant. Et ce droïde est le complément parfait pour cela.



Histoire : 
J’ai ouïe dire qu’il existait un concours entre jeunes Jedi ; lequel consistait à dire « Moi je suis arrivé au Temple à tel âge ! » pour justifier d’une ancienneté ou d’une précocité quelconque. Eh ben j’annonce : je vous bats. Moi, j’y suis né ! Il existe dans la Galaxie une véritable et dantesque organisation qui soutient la cause Jedi. Cela va des donateurs aux officiants en passant par tout un tas d’autres choses. La logistique de l’Ordre est colossale, et se compose d’une pléthore de volontaires qui sont triés sur le volet et qui ont l’honneur de pouvoir aider les Jedi sans être spécialement sensibles à la Force. Eh ben mes parents sont de ceux-là. Pour ce que j’en sais, ma famille a toujours été au service des Jedi, que ce soit de l’Ordre ou bien d’un Seigneur Jedi, en leurs temps, et de son trust.
 
Du coup, maman était lingère et papa à la manutention, un technicien. Je vous passe le discours sur les cigognes : ils se sont rencontrés, se sont aimés et paf, un jour, je fus là ! Je n’ai pas beaucoup de souvenirs de ce tronçon de ma vie, je suppose qu’il fut heureux, avec deux parents aimants et un bon cadre de vie, je n’avais aucune raison de me plaindre. J’étais né dans le contexte du Temple, ce qui veut dire que j’étais destiné à suivre un apprentissage quelconque et ma place était presque toute trouvée : je bosserai là-bas toute ma vie.
Mon premier grand souvenir remonte au jour ou je suis devenu un grand criminel. Ce jour-là, je m’étais levé en retard et je devais absolument rejoindre mon tuteur, Bill Cardigan (ne me demandez pas pourquoi je me souviens de ce nom, je n’en sais fichtre rien), et cela avant qu’il ne signale mon absence. Je me passais donc de petit déjeuner. Ça n’a pas grande importance, mais puisque vous me le demanderez, je suis arrivé à l’heure. La matinée passant, mon estomac se mit à râler si bien qu’a midi pile, j’étais déjà devant le mess. Et ce jour-là, je ne pris pas un... Mais DEUX fruits. Eh ? j’avais faim ! (Notez qu’à cette époque, en tant que fils de travailleur et futur apprenti, j’étais gracieusement logé et nourris au Temple. J’avais une carte de rationnement qui m’autorisait 4 points. 2 points pour le plat principal, un pour l’entrée, un pour le dessert. Avec deux fruits, j’étais à 5 points, vous rendez-vous compte de la gravité de la chose ? Maintenant je peux m’enquiller une pleine bassine de fraises, on me demandera presque si je ne veux pas un peu de jus de citron avec.)
 
Et c’est à ce moment là que vous vous demandez « Mais pourquoi il nous emmerde avec ses histoires de fringales ? », j’y arrive ! J’avais caché mon larcin dans ma poche et je sortais de là avec l’impression d’être passé du Côté Obscur. Les gens sages qui volent pour la première fois de leur vie savent de quoi je parle. Sauf que moi, je réalisais que j’avais volé l’Ordre Jedi, et que j’avais des Jedi partout autour de moi. Vous savez, ces types de légende qui peuvent lire dans vos pensées ? Dans mon esprit, je ne devais surtout pas me faire prendre ! Du coup, fatalement, c’est exactement à ce moment-là que…

« Hep ! Toi ! » Et d’un Jedi de faire ce fameux mouvement... Il vous passe devant puis s’arrête net, se dévisse le cou pour vous voir, et finit par revenir à votre niveau en marche arrière... Avec une lenteur étudiée qui lui permet d’agencer ses pensées, et qui vous laisse tout le temps de suer. Il m’a longuement regardé, puis il m’a fait signe de suivre. « Viens avec moi. ».
 
On a traversé une partie du Temple, jusqu’à une chambre sur laquelle était écrit en lettres dorées le nom d’un membre du Conseil Jedi… J’allais comparaitre devant le Conseil Jedi pour une pomme ?! Enfin, nous entrâmes, salutations, tout ça... Et au lieu de me couper les mains pour larcin, on me posa beaucoup de questions. Sur des choses que je savais, des choses que j’avais pu faire… Et des choses que je n’étais pas sensée savoir et auxquelles je répondais au pif.
 
Au bout d’une bonne demi-heure, je finis par craquer et avouer. Je sortis la pomme de ma poche en confessant mon acte, ce qui fit beaucoup rire mes Jedi. Le plus jeune se fendit d’un sourire en avisant son ainée. « Plus remarquable encore que de réussir à lire en nous est le fait de nous avoir empêché de lire en lui. Je pense que le doute n’est plus permis, maître. », « En effet. » de répondre le concerné.
« Tu es sensible à la Force, mon garçon. Prend tes dispositions, je m’occupe de prévenir ta famille. Demain, tu intègres les rangs des novices. » 
 
 
La nouvelle fut assez bonne, même si cela impliquait quelques ajustements. Mes parents gagnèrent en grade et s’occupèrent exclusivement, à présent, des étages des maîtres, afin qu’on se croise le moins possible : je me devais à mon clan de novice, à mon enseignement et non plus à mon sang. Celui qui vous dit « Le jour ou je suis devenu un Jedi est le plus beau jour de ma vie » est très certainement un menteur. Déjà parce qu’on sait tous qu’une Maman a plus de pouvoirs magiques qu’un maître Jedi, ensuite, allez demander à un maître Jedi de vous chanter une berceuse, vous verrez qu’il a encore suffisamment d’émotions en lui pour avoir l’air de pas en revenir. Et quand on n’a pas 10 ans, une berceuse et une Maman, ça fait toute une vie.
Mais j’avais pris ça comme une très grosse colonie de vacances. Le sérieux vint avec la discipline et la pratique. On m’avait toujours éduqué avec l’idée que c’était un privilège d’être un travailleur au Temple, et qu’il fallait se donner à fond pour être à la hauteur de cet honneur. Aussi m’appliquer à devenir un bon Jedi me fut relativement simple ; j’avais le labeur aisé.
Quiconque lira les comptes rendus sur ma personne verra que j’avais une tendance... Bagarreur. Les duels au sabre d’entrainement derrière le terrain de de pratique, c’était notre dada. Combien de voir je me suis fait remonter les bretelles en arrivant à l’infirmerie avec une brûlure trop évidente pour qu’aucun rapport ne soit fait ? N’empêche que c’est en étant une tête brûlée qui se démarque du lot qu’on finit par être remarqué.
 
Ce jour-là, c’était un novice d’un autre clan qui avait dit que « Il faut 5 de ton clan pour faire un du mien ! ». Ni une ni deux, on a réglé ça « Comme des grands ». Salut, mise en garde et tout... Puis la rouste du siècle. Et alors que j’étais par terre à lessiver le jardin avec mes assises, une main ferme me saisit par la tunique pour me remettre debout. Un Jedi, en bure et tout, qui me fit signe du menton de m’y remettre. Je me fis décalquer les gencives 6 ou 7 fois, ce jour-là. Mais je ne restais à terre que le temps de me relever, jusqu’à ce que je n’en sois plus capable.
 
Après trois jours de soin, Tobias Siruh, un Silruan, revint me voir pour me proposer d’être son padawan. J’avais beau avoir pris une peignée à cause de lui… Il m’avait transmis une force curieuse à son contact. Il le savait. Il voyait là un signe de la Force, celui qu’on se devait d’attendre pour choisir un padawan. Il m’avait à l’œil depuis une bonne semaine, et cet événement fut la confirmation décisive.
 
 
J’aime beaucoup Maître Siruh, sincèrement. Mais je crois que si je devais lui trouver un défaut, c’est bien celui de toujours devoir « se libérer ». Avec le temps, j’ai appris que les Silruans étaient une espèce dominée par les Hutt, et que mon maître avait certainement dû se soustraire à un statu d’esclave. Lui avait dû gagner et comprendre sa liberté. Pour moi qui étais né avec, je vous avoue que ça m’a pas mal tapé sur le système de devoir toujours « Faire abstraction de » « me soustraire à » « Ne pas être dominé par ». Surtout que c’était un être terriblement exigeant.
Je lui dois ma rigueur et ma discipline, et pour rien au monde je ne l’échangerais pour un autre. Comme souvent, c’est trop tard qu’on apprend les bienfaits de nos pédagogues, lorsqu’il n’est plus temps de les remercier.
 
C’est lui qui m’a mené sur la voie du sabre, et qui m’a inculqué la philosophie Jedi, celle qu’il faut avoir en tête chaque fois qu’on tire l’arme. Après les bases, mon gout est rapidement allé vers le Soresu, prenant au pied de la lettre l’idée de « Protecteur ». Par ailleurs, il faut imaginer en ce temps là une Galaxie affranchie des Sith. Le plus problématique existant était le fanboy des mandalorien, artiste martial plein de gadgets qui brûlent. Autant dire que l’art défensif était le plus approprié à une doctrine visant à contenir le mal et ne se heurter qu’à de petits délinquants qui vous tirent dessus au blaster.
Vint avec ça l’acquisition d’un cristal de sabre et la fabrication d’un sabre. Un cristal bleu, de gardien, sans grande surprise. Mais pour faire mon sabre… Eh beh je mis presque 2 ans.
 
J’adorais l’escrime, et l’idée de porter un sabre m’enthousiasmait. Mais Maître Siruh m’avait toujours parlé d’un sabre à ma main, un complément de mon être, l’échos de mon aura « C’est ton sabre qui te permet d’exprimer au mieux ta force » disait-il, en plus d’insister sur la symbolique de ce dernier. Dans ces conditions, vous imaginez que concevoir ce sabre était un acte foncièrement important. Et je n’ai jamais trouvé le moyen de le faire aussi parfait que je le souhaitais. Il manquait toujours quelque chose. Et mes recherches auprès du Maître Forgeron m’apprirent un fait simple : ça n’était pas à mon sabre qu’il manquait une pièce, c’était une facette de moi que j’avais encore à exprimer.
Alors je ne fis que ça. Pratiquer, pratiquer, pratiquer, tout et rien, rien et tout, dans l’ordre et le désordre, jusqu’à tomber sur des katas parfaitement désuets : le Makashi, la forme 2. Je me mis à l’exercice, et trouvais dans cet art quelque chose de neuf et de très important : un style. La Forme 2 est une forme très exigeante en termes de placement, d’exposition, de gestuelle et une garde posée pour devancer le désarmement. En cela, elle s’approche un peu du Soresu qui exige un mouvement exposant le moins de cibles possibles et une acuité pour toujours placer son sabre là ou la menace arrive. Dans les deux cas, une alchimie doit se faire entre soi et le rythme de l’adversaire. Mais le Makashi reste également une forme de prédilection pour un amoureux des chorégraphies au sabre. Surtout à cette époque, on ne le pratiquait que pour son élégance : une certaine forme de vanité, j’en conviens.
 
Mais si j’en parle c’est que la forme d’un sabre de Makashi est unique : courbée ! J’avais l’information qui me manquait pour terminer mon sabre, celui d’un artiste martial. Le sabre d’un adepte du Sorekashi ! En gros, un sabre plus long que les courbés qu’on croise habituellement afin de pouvoir être agréable si tenu à une main mais pouvant être saisi des deux.
 
 
 
Malgré cela, il me fallut plusieurs mois pour avoir la mesure exacte, la matière la plus confortable, l’angle de courbure parfait... Depuis ces composants jusqu’à la cellule d’énergie, le manche et la lame : toute la rigueur de mon apprentissage dépensée là, dans la conception de ce qui devait être l’œuvre de ma vie, celle qui m’accompagnerait dans mes vieux jours et qui serait le témoignage après coup de mon existence. Et vous savez ce qu’il y a de mieux qu’étudier ? Réaliser que tout ce qu’on étudie fait sens, que ça n’est pas du détail agaçant et péremptoire. Le padawan que j’étais avait suffisamment pratiqué le sabre et avec tant de types de manches que je savais dire exactement quelle nuance apportait quoi. Autant d’heures passées à enquiquiner le Maître Forgeron dans son atelier, à partager une passion commune.

A présent, j’étais fins prêts à partir en mission, en plus d’avoir exposé mon plus gros défaut à mon maître qui se fit un malin plaisir de le corriger. On en arrive à ce fameux duo « Examine, analyse, critique » face à « Ressent, synthétise, agis ». Je parle avec fierté de la conception de mon sabre. Mais deux ans pour le concevoir, ce n’est pas vraiment une réussite. Ça prouve que la rigueur inculquée par mon maître était mal utilisée. Plutôt que d’en faire une arme, je m’embourbais dans tout ce que je savais pour créer des doutes et des hésitations. C’est pour ça qu’il fit ce second chapitre sur l’intuition, a priori en contradiction avec l’analyse.
 
Le jour ou j’ai assimilé la leçon, c’était un matin sur une planète agricole. Après un arbitrage raté, mon maître et moi devions défendre une communauté de paysans face à quelques pirates venus leur échanger une partie des récoltes contre leur vie. Mon maître, adossé à une maison, se curait un ongle en me demandant avec négligence « Combien sont-ils ? »
Deux qui arrivent par la droite, 4 par les toits, 5 sur la grande avenue, 2 de dos 3 autres par la droite, plus 5 qui tiennent des posi.. Trop.
Ce calcule complexe mettait ma survie en danger car ils arrivaient, aussi mon esprit, qui tenait très fort à ma vie, me fit tirer la sonnette d’alarme. Ils étaient trop, et c’était suffisant. Alors immédiatement, il se mit à dire « Par là » pour créer un mouvement qui allait laisser nos adversaires en course, et donc nous permettre de les affronter par petit groupes en pleine poursuite. Et c’est presque naturellement, après une demi-heure de combat que je signalais « Il en reste 7, maître ». Savoir analyser, comprendre, agir : j’avais toujours séparé tout ça comme dans un process bien huilé. Là, je découvris que l’analyse était devenue naturelle, automatique, et que les informations allaient directement en moi, sans que j’eusse besoin de les énoncer. Et c’est en me laissant guider que mon esprit synthétisait tout cela en une intuition qui me révélait la meilleure chose à faire dans telle ou telle situation. Une rapidité d’action nouvelle et indispensable, pour moi.
 
Inutile de revenir sur le reste, mon maître venait de combler mes plus grosses lacunes. Le temps passant, je me perfectionnais. J’ajouterais cependant une discipline personnelle consistant à étudier les armes pour savoir à qui j’avais affaire. Et c’était un jeu particulièrement intéressant : deviner quel genre de Jedi pouvait être le détenteur de tel ou tel sabre des Archives pour vérifier ensuite dans sa biographie si j’avais raison. Avec le temps, je fus souvent très juste, et très ami avec l’actuel maitre Forgeron avec lequel nous échangions nos points de vues.
 
Je passais mes épreuves et fut adoubé. « Comment ça, tu n’en dis pas plus ? » bah, être adoubé c’est comme devenir adulte. Lorsqu’on ne l’est pas, on idéalise ce moment. Lorsqu’on le vit, on se rend compte qu’on t’a demandé de faire de ton mieux, qu’on va te demander e continuer, et qu’en fait, ça fait déjà bien longtemps qu’on t’a poussé à te démerder seul. En fait, l’adoubement est un genre de formalité : quand vous êtes adoubé, c’est que vous avez déjà tout fait pour ! Après, je dis ça comme un blasé, j’ai quand même conservé ma tresse et je garde un très grand souvenir du jour ou un sabre laser est passé à 2cm de ma gorge juste pour me couper les cheveux.
 
 
Ainsi commença ma carrière de Jedi autonome, sur laquelle je n’ai que très peu de choses à dire sinon que « Lisez mes comptes rendus de mission ». Non, vraiment. Encore fois, il faut se rappeler qu’à l’époque, nos tâches de gardiens de la paix étaient routinières, en l’absence de grosses menaces internes. Tout au plus des cartels et encore : sinistre vérité, l’économie parallèle est une atteinte au porte-monnaie de la République, pas à la Paix. Disons donc pour résumer que j’étais un Jedi exact, efficace et impétueux
Sautons directement au jour ou je vis au Temple une jeune femme pleine d’écorchures essayer encore et encore de grimper un mur d’escalade. Ce qui m’avait saisi, c’est qu’il était tard, bien après les derniers cours d’aptitude physique. La novice essayait et essayait encore, fonçant sur ce mur comme si elle avait plus envie de le défoncer que le dépasser. Je la regardais échouer, encore et encore, faisant acte d’une détermination solide, mais d’un manque de méthode crasse. Adia Lya, qu’elle s’appelait, et je restais à l’observer, attendant ce « declic » dont mon propre maître m’avait parler. Au lieu d’une validation par la Force, au bout d’une semaine, ce fut la petite qui vint me voir.
« Dites, vus comptez me prendre comme padawan, un jur ou l’autre, ou vus attendez que l’vent turne ? » … Vous ne vouliez quand même pas que je dise non ? (Elle a un accent que je trouve juste adorable. Aujourd’hui encore, lorsqu’elle s’énerve en me « vuvuyant », j’ai du mal à rester sérieux)
 
On ne cesse jamais d’apprendre, mais je pense que la formation de ma padawan mit fin à ma propre formation effective. Adia Lya était studieuse, mais très introvertie, timide. Un caractère fort qui s’exprimait lorsqu’elle était dépassée ou à bout, comme le jour où elle m’avait dit de la prendre comme élève. En dehors de ça, il fallait toujours la pousser, la motiver, lui montrer ses capacités... Jusqu’au jour ou elle devint une jeune femme, et là, ce fut le drame.
Une emmerdeuse arrogante et pénible, toute faite de contestations. Ça fait un choc d‘être Dieu le Père un matin, et le suivant, de voir votre padawan vous remettre en question et vous engueuler jute parce que vous avez baillé en lui disant bonjour. Ce fut une période très difficile pour moi, car naïvement, j’étai parti pour reproduire cet enseignement qui m’avait si bien façonné, la rigueur presque militaire de Maître Siruh. Sauf qu’avec Adia Lya, j’allais devoir la briser avant, et ça n’était pas mon objectif. La relation entre un maître et un padawan est forte, et cela implique qu’elle ne peut que très bien se passer, ou très mal. Et on prenait le chemin du très mal, convertissant toute notre alchimie en conflit.

J’ai donc demandé conseils. A mes paires, mes maîtres, je suis resté pensif à la regarder, à m’inquiéter... Jusqu’à prendre une décision dont le sens m’échappait, alors même que tout me la soufflait. Plutôt que d’essayer de l’empêcher de faire de grosses bêtises (et elle réussirait tôt ou tard à en faire), j’allais en faire des petites avec elle. C’est une période assez faste de ma vie, car j’ai cherché mes propres limites en plus de poser celles de mon élève. C’était ma grande question. Que puis-je faire tout en restant un bon Jedi, et qu’est-ce qui peut me disqualifier ? J’ai testé beaucoup e choses, on m’a souvent rabroué, mais ça n’a pas tant duré que ça. Au final, elle et moi avons trouvés notre voie. Elle était composée d’imperfections mais surtout de sincérité. Et il était beaucoup plus aisé à présent de se rattacher au Code avec l’habitude de s’en éloigner parfois que d’y retourner lorsqu’on ignore même la nature du mot « transgression ». Ne pas paniquer, et tout arranger. Faire ce qu’il faut pour tout réparer. Pardonner. Tolérer. Être patient.
Je crois que c’est elle qui m’a appris ce qu’il faut savoir sur « L’amour des Jedi ». Cette émotion qu’on nous demande si souvent de ne pas ressentir mais qu’on juge pourtant indispensable. Je le voyais incompréhensible, plein de phrases toutes faites du genre « C’est un sentiment paisible et universel ». Bof, hein ? Moi j’ai découvert que cet amour était individuel. Mais qu’il devait s’appliquer à tous les individus, dans l’expression même de la raison. Comprendre l’autre jusqu’à pouvoir avoir pour lui une certaine forme d’affection. Mais ne jamais laisser cette affection autoriser le vice. S’en servir pour croire, pour pardonner, pour soutenir et galvaniser. Et s’il le faut, pour châtier.
Et c’est dans ce calme que se trouve le bonheur d’aimer, la tristesse de perdre, l’envie de continuer. Tempérance. 
Je ne savais pas tout. Mais j’étais complet grâce à elle. Le temps passant, elle devint une Jedi d’une tendresse bien supérieure à la mienne, prenant la voie des guérisseurs sur la fin de son parcours, pour finir adoubée Chevalier, et moi Maître.
 
Ce fut l’opportunité pour moi de me faire attribuer une tâche plus que bienvenue. Le Maître Forgeron avait fait valoir son envie de prendre une retraite méditative, de consacrer ses vieux jours à la Force. Il semblerait que mes nombreux rapports faisant acte d’expertises de sabres, mes heures passées à l’atelier ainsi que mon attachement de bretteur à notre noble sabre me mit tête de liste des candidats à son remplacement. Mon statu de maître me rendait enfin apte et sa charge me fut transmise avec sa toute bénédiction.
 
Triste. Très, très triste charge.
Vous pensiez que rien ne pouvait me rendre plus heureux ? C’est vrai. Imaginez une annexe blindée et des interfaces qui vous produisent in situ tout les sables liés à telle époque, tel type de Jedi ou tel évènement. La mémoire de notre ordre, tous témoignant de qui étaient nos aïeux. Et chaque cristal chantant. Oui, chantant. Ce fut d’ailleurs très pénible d’être envahis de toutes ces voix, ces réminiscences, tant ces objets étaient des ancres dans la Force. C’était un coup à prendre. Ça et les 24h passées dans l’Enclave Noire, une chambre forte ou l’on avait scellé tous les sabres hérités de guerres révolues contre les Siths ou les Jedi Noirs. Imaginez ces mêmes voix qui vous agressent, s’instillent en vous comme un air vicié, et vrillent vos convictions. Une étape indispensable pour devenir gardien de ces sabres comme des autres : comprendre le Côté Obscur d’une certaine façon, arcane proposée à ceux qui sont assez sages pour la comprendre et qui ont à charge une raison d’y être confronté.
 
Sauf qu’il existe une statistique qui résume mon travail de gardien de cette annexe des Archives. Il est demandé à chaque Jedi de me remettre le sabre de leurs camarades tombés par l’âge ou par les armes.
En 21.559, le Temple est attaqué. Les Siths. Je m’en souviens, j’ai passé presque 24h enfermé dans ma chambre forte avec 16 novices et mon ancienne padawan venue me rejoindre. Nous n’avons croisé que deux assaillants. L’attente la plus longue de ma vie, je pense ; la sirène d’alarme, les communications brouillées de confrère ayant besoin d’aide. L’inaction, imposée par ces novices à protéger. Autant dire que lorsque les 2 Siths sont arrivés, ils n’étaient pas les deux plus impatients d’un découdre. Hélas, un rapide regard à leur sabre sans accrocs m’apprit qu’ils n’étaient que deux sans grades dont les armes étaient aussi neuves que leurs aptitudes. Dommage.
Pires, pourtant, furent les jours à suivre. Une centaine de sabres ramenée en moins d’une semaine. Et je ne vous parle que de l’attaque du Temple. J’avais évoqué une statistique ? J’ai archivé pas loin de 50 fois plus de sabres en 10 ans de mandat que mes prédécesseurs en un siècle. Chaque sabre me parle, me rappelle le nom, la fonction, l’être de son porteur. Je ne peux être sourd à cela, c’est ma maitrise, et mon devoir. Se souvenir d’eux. De chaque bataille ou la lumière faiblissait.

Ces époques sont tristes, sombre, troublées, et chaque fois que j’accroche un sabre dans les coulisses de mes archives, j’espère que ce sera le dernier. Je ne cesse jamais d’espérer.
Par chance, j’ai aussi des dizaines de novices et de padawan qui passent observer ces sabres, et qui hantent mon atelier pour me demander de l’aide pour concevoir leur sabre. Plonger dans ces jeunes vies pour leurs conseiller quoi prendre. Prendre le temps pour chacune de ces petites flammes, les étudier, comprendre et leur trouver exactement ce qui leur faut. Au final, je m’investis de façon égale dans la vie des plus jeunes que dans la mort de leurs ainées. C’est un équilibre.
Il y a une chose une je n’arriverai cependant jamais à digérer, et je tiens à garder cette sensibilité, je me dis qu’elle me garde vivant : accrocher le sabre jeune d’un padawan qu’on a privé de son avenir.
 
 
Avec le temps, j’ai fait corps avec chaque drame comme si j’y étais allé, récupérant les armes qui me récitaient la mort de mes frères. Erudit, j’ai su pour chaque complot, chaque remous de la politique. Je côtoyais et les âges et le neuf et l’histoire de notre propre ordre. J’ai peu à peu perdu quelque chose. J’avais le sentiment de plus faire partit des meubles du Temple que de l’Ordre Jedi. C’est Adia Lya qui m’a sorti de là.
De la pire des façons. Vous vous souvenez de ce côté farceur qu’elle m’a fait avoir ? Elle m’a fait une sale blague. Elle a donné son sabre à son padawan... Qui me l’a apporté pour archivage. Vous imaginez ? Réaliser la mort de son padawan sans même l’avoir ressentie, tant de temps après, presque de façon anecdotique. Je me suis senti mal. Si mal…
« Ne refais plus jamais ça, Adya Lia ! » « Arrêter de faire quoi ? De faire comme vus, maitre ? ». L’estocade. La leçon venait de rentrer d’une grande latte dans l’esprit.
 
Peut-être serait-il temps que je sois un peu moins Archiviste et un peu plus Jedi. Participer, faire comme d’autre : m’illustrer non par orgueil, mais parce que ça prouve qu’un homme peut changer les choses. Je peux changer les choses.
Debout mon vieux. Au travail.
 

Question HRP : Comment avez-vous connu le forum ? : J’en fus.
PS : je maîtrise mal l'outil forum, manque de pratique, mon texte semble beaucoup moins aéré et indigeste que sur word. Faut vraiment que je reprenne l'habitude du balisage, entre autre pour raccourcir les marges. Les textes sont plus longs, mais les lignes plus courtes et plus simples à lire. Mes confuses.
Luke Kayan
Luke Kayan
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Je trouve cette fiche vraiment bien écrite et très originales y compris la naissance d'Idao. Du coup n'ayant rien à redire, je valide la fiche de l'amoureux des sabres :)


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