Accueil
FAQ
Rechercher
S'enregistrer
Membres
Groupes
ConnexionInvité
# visite de courtoisie - Jeu 2 Aoû 2007 - 0:05
Le Sith venait de recevoir un message de la part du Seigneur Noir en personne. Ce dernier s’était très certainmenet rendu compte que Darth Bellicus avait disposé de son ancien Maitre et avait usurpé sa place. Stalo ne regrettait rien et savait que le Seigneur Noir n’allait pas le réprimander – du moins pas pour l’avoir tué. Il avait simplement réquisitionné sa présence. Bellicus n’avait jamais répondu au Seigneur Noir, le chef suprême des Sith. Il ne l’avait jamais vu, en avait seulement entendu parler. A ce qui paraissait, il était un homme extrêmement calculateur, sans pitié, mais intelligent et sage.
Il valait mieux ne pas le faire attendre, peu importe ce qu’il voulait. Stalo avait beau se sentir puissant et en contrôle de la force, il n’en restait pas moins qu’il était fou de défier le Seigneur Noir et ne pas obéir à ses ordres. D’ailleurs, Darth Bellicus ne perçut aucun danger dans cette rencontre, la force lui indiquait d’aller voir son supérieur. Il avait tout juste finit d’assembler son nouveau sabre-laser et était encore sur Korriban. Sa nouvelle arme fonctionnait à merveille. Ce sabre le représentait mieux que celui qu’il avait transporté pendant toute ces années et que Darth Crucius lui avait donné. Il garda cependant son vieux sabre – il en ferait don à son apprenti, quand il en aurait trouvé un digne de suivre son enseignement.
Dans un bruissement de cape, il partit vers l’académie. Il traversa les vallées inaperçu des animaux qui habitaient la planète, entra dans l’académie et d’un pas décidé, se dirigea vers la salle sacrée du Seigneur Noir. Inutile de frapper avant d’entrer, le Sith avait dû sentir sa présence, tout comme Bellicus sentait la présence du Seigneur de Korriban. Il savait que ces ondulations sombres dans la force provenaient de son aura malicieuse. Bellicus appella cette force pour ouvrir la porte – par télékinésie. La porte massive s’ouvrit avec un grincement et, comme prévu, le Seigneur Sith était debout et faisait face à la porte, ainsi qu’à Darth Bellicus, par le fait même. Ce dernier s’avança de quelques pas, s’agenouilla et baissa la tête.
« Vous avez réquisitionner ma présence, Mon Seigneur ? Puis-je vous offrir mes humbles services ? »
La modestie était toujours appréciée entre ces murs. Quelle soit fausse ou non. Le Seigneur Bellicus avait près de vingt ans d’expertise sur comment se comporter face à un supérieur. Il ne fallait pas oublier cette étiquette, même après être devenu Maitre. Une fois qu’il serait Seigneur Noir, il pourrait être arrogant avec n’importe qui, car il saura qu’il n’aurait aucun égal ! Mais, bien que ses capacités étaient incroyables, Stalo Madel était encore loin de pouvoir défier le grand Seigneur Noir – ou du moins, il le pensait. Il valait donc mieux être son pion pour l’instant.
Il valait mieux ne pas le faire attendre, peu importe ce qu’il voulait. Stalo avait beau se sentir puissant et en contrôle de la force, il n’en restait pas moins qu’il était fou de défier le Seigneur Noir et ne pas obéir à ses ordres. D’ailleurs, Darth Bellicus ne perçut aucun danger dans cette rencontre, la force lui indiquait d’aller voir son supérieur. Il avait tout juste finit d’assembler son nouveau sabre-laser et était encore sur Korriban. Sa nouvelle arme fonctionnait à merveille. Ce sabre le représentait mieux que celui qu’il avait transporté pendant toute ces années et que Darth Crucius lui avait donné. Il garda cependant son vieux sabre – il en ferait don à son apprenti, quand il en aurait trouvé un digne de suivre son enseignement.
Dans un bruissement de cape, il partit vers l’académie. Il traversa les vallées inaperçu des animaux qui habitaient la planète, entra dans l’académie et d’un pas décidé, se dirigea vers la salle sacrée du Seigneur Noir. Inutile de frapper avant d’entrer, le Sith avait dû sentir sa présence, tout comme Bellicus sentait la présence du Seigneur de Korriban. Il savait que ces ondulations sombres dans la force provenaient de son aura malicieuse. Bellicus appella cette force pour ouvrir la porte – par télékinésie. La porte massive s’ouvrit avec un grincement et, comme prévu, le Seigneur Sith était debout et faisait face à la porte, ainsi qu’à Darth Bellicus, par le fait même. Ce dernier s’avança de quelques pas, s’agenouilla et baissa la tête.
« Vous avez réquisitionner ma présence, Mon Seigneur ? Puis-je vous offrir mes humbles services ? »
La modestie était toujours appréciée entre ces murs. Quelle soit fausse ou non. Le Seigneur Bellicus avait près de vingt ans d’expertise sur comment se comporter face à un supérieur. Il ne fallait pas oublier cette étiquette, même après être devenu Maitre. Une fois qu’il serait Seigneur Noir, il pourrait être arrogant avec n’importe qui, car il saura qu’il n’aurait aucun égal ! Mais, bien que ses capacités étaient incroyables, Stalo Madel était encore loin de pouvoir défier le grand Seigneur Noir – ou du moins, il le pensait. Il valait donc mieux être son pion pour l’instant.
Le Masque de la Force
# Re: visite de courtoisie - Ven 3 Aoû 2007 - 1:12
Alors que Darth Bellicus s'était agenouillé devant, lui, on pu discerner un léger plissement de sa capuche appaître. Sa tête s'était inclinée afin de suivre le mouvement du Sith.
En effet, le Grand Seigneur Noir des Sith se dissumulait entièrement sous sa bure, noire. Bien que sa capuche s'arrêtait au niveau de ce qui devait être son front, son visage était indiscernable. C'était comme observer le néant, c'était impossible. Même déstabilisant. Les personnes qui tentèrent d'observer avec attention ce vide, racontèrent qu'un sorte de vertige s'empara alors deux. Seuls quelques rares privilégiés avaient vraiment pu observer le Seigneur Noir sans sa bure. Il vit dans l'ombre, tout comme certaines parties de lui-même. Si son physique a été vu par certains, son nom, en revanche, n'a jamais été entendu, ne se faisant appeller que par son titre.
Pour une personne non habitué au Côté Obscur de la Force, l'aura du Seigneur Noir aurait paru comme chaude, étouffante et envahissante. Et froide, inquiétante et maligne. De nombreuses rumeurs se colportait à son égard donc, sur sa race par exemple. On racontait même qu'il n'avait jamais utilisé son sabre laser pour vaincre un adversaire. Qu'il les avait toujours terrassé grâce à son incroyable affinitée avec la Force.
La seule chose que l'on savait de lui était donc sa forte stature, ainsi que sa voix, traînante, rauque et dénuée d'humanitée. Ces deux seuls traits pouvaient laisser penser qu'un être masculin se cachait sous ces habits.
On pu voir qu'il venait de relever la tête. Ses bras étaient dans son dos, et alors qu'il se retournait, et se mit à faire quelques pas, offrant son dos au Maître Sith, il dit de sa voix, dépourvue d'émotion et lente :
- Bellicusss. Tu as récemment obtenu le titre de Maître.
C'était plus une affirmation qu'une question. Il venait de s'arrêter, puis lentement, il se retourna de nouveau vers le Sith.
- Vois-tu, j'aimerais que tu me montres si tu possèdes autre chose que ce titre... Je voudrais que tu prennes contact avec les Verpines. Leurs connaissance en matière de technologie nous donnerait un avantage certain. Mais tu n'es pas sans savoir que c'est un peuple dont les êtres sont reliés en permanence entre eux. Cela ne sera pas chose aisée.
En effet, le Grand Seigneur Noir des Sith se dissumulait entièrement sous sa bure, noire. Bien que sa capuche s'arrêtait au niveau de ce qui devait être son front, son visage était indiscernable. C'était comme observer le néant, c'était impossible. Même déstabilisant. Les personnes qui tentèrent d'observer avec attention ce vide, racontèrent qu'un sorte de vertige s'empara alors deux. Seuls quelques rares privilégiés avaient vraiment pu observer le Seigneur Noir sans sa bure. Il vit dans l'ombre, tout comme certaines parties de lui-même. Si son physique a été vu par certains, son nom, en revanche, n'a jamais été entendu, ne se faisant appeller que par son titre.
Pour une personne non habitué au Côté Obscur de la Force, l'aura du Seigneur Noir aurait paru comme chaude, étouffante et envahissante. Et froide, inquiétante et maligne. De nombreuses rumeurs se colportait à son égard donc, sur sa race par exemple. On racontait même qu'il n'avait jamais utilisé son sabre laser pour vaincre un adversaire. Qu'il les avait toujours terrassé grâce à son incroyable affinitée avec la Force.
La seule chose que l'on savait de lui était donc sa forte stature, ainsi que sa voix, traînante, rauque et dénuée d'humanitée. Ces deux seuls traits pouvaient laisser penser qu'un être masculin se cachait sous ces habits.
On pu voir qu'il venait de relever la tête. Ses bras étaient dans son dos, et alors qu'il se retournait, et se mit à faire quelques pas, offrant son dos au Maître Sith, il dit de sa voix, dépourvue d'émotion et lente :
- Bellicusss. Tu as récemment obtenu le titre de Maître.
C'était plus une affirmation qu'une question. Il venait de s'arrêter, puis lentement, il se retourna de nouveau vers le Sith.
- Vois-tu, j'aimerais que tu me montres si tu possèdes autre chose que ce titre... Je voudrais que tu prennes contact avec les Verpines. Leurs connaissance en matière de technologie nous donnerait un avantage certain. Mais tu n'es pas sans savoir que c'est un peuple dont les êtres sont reliés en permanence entre eux. Cela ne sera pas chose aisée.
Invité
# Re: visite de courtoisie - Ven 3 Aoû 2007 - 4:55
Darth Bellicus garda la tête baissée et resta agenouillé. Il ne bougeait pas un muscle. Même sa respiration semblait s’être arrêtée. D’ailleurs, il n’avait pas besoin de relever la tête pour voir. Premièrement, il se rappellait totalemnet l’allure de la pièce. C’était un entrainement basique chez les Jedi que de travailler leur mémoire viseulle. Dès son plus jeune âge, Kanto lui avait montré comment se rappeller de chaque détail. Stalo avait pris le réflexe depuis. Ensuite, le Seigneur Noir dégageait une aura si pestilencielle, c’était comme un trou dans la force. Les ondes qu’il dégageait étaient si malicieuses qu’elles en étaient presque toxique. Il n’avait aucun mal à sentir le moindre mouvement de ce poison vivant. Il écouta attentivement ce que son supérieur avait à lui dire.
Lorsqu’il reconnut que Bellicus avait obtenu le titre de maitre, ce dernier leva la tête pour essayer de fixer le Seigneur Noir. Il ne put voir que son dos. Le Sith n’attendait aucune réponse, rien ne lui échappait. Il était inutile de lui dire comment il avait disposé de Crucius, ni pourquoi, il devait tout savoir déjà. Si ça se trouvait, il voulait se débarasser de Crucius et l’avait informé de la mutinerie imminente de son apprenti. Ou peut-être le Seigneur Bellicus se faisait simplement des idées, qu’il imaginait en le Seigneur Noir une sagesse et une puissance qui n’étaient pas là, ou qui n’étaient pas aussi forte. S’il avait bien quelqu’un qu’il surestimait, c’était le Seigneur Noir. Ce dernier se retourna et on ne put voir aucune expression sur son visage. D’ailleurs, on ne put voir aucun visage – seulement du noir, comme un vide qui aspirait toute lumière.
« Mon Seigneur ? »
Le plus sombre des Sith se « confia » alors à lui. Il voulait que les Verpines se joignent à eux. Les Verpines étaient une race insectoides – de véritables génies en ingénierie. Le Seigneur Bellicus, étant pratiquement un encyclopédie à lui seul, savait déjà où se rendre pour toruver le plus de Verpines possible – Roche Asteroides. Ils vivaient dans des stations spatiales dans cette région. Comme l’avait si bien dit le Seigneur Noir, les Verpines étaient très proches les uns des autres. Comme chacun des membres de la communauté était intelligent, chaque Verpine était consulté avant qu’une décision affectant leur troupeau ne soit prise. Bellicus n’aurait plus qu’à leur prouver que joindre les sith était plus avantageux pour eux que de leur tourner le dos. Il sourit à cette pensée.
« Les Verpines profitent de leurs accords commerciaux avec la république. Quels moyens aurais-je pour leur faire comprendre que notre offre est plus avantageuse. »
Cette question pouvait sembler stupide, mais les deux hommes savaient le sens caché derrière cette demande. S’il la tâche semblait impossible, pour rester dans le secret, Bellicus devrait utiliser la force, soit pour les détruire ou les intimider. Cette question voulait plutôt dire « combien d’hommes j’ai à ma disposition pour les forcer à nous rejoindre. »
Lorsqu’il reconnut que Bellicus avait obtenu le titre de maitre, ce dernier leva la tête pour essayer de fixer le Seigneur Noir. Il ne put voir que son dos. Le Sith n’attendait aucune réponse, rien ne lui échappait. Il était inutile de lui dire comment il avait disposé de Crucius, ni pourquoi, il devait tout savoir déjà. Si ça se trouvait, il voulait se débarasser de Crucius et l’avait informé de la mutinerie imminente de son apprenti. Ou peut-être le Seigneur Bellicus se faisait simplement des idées, qu’il imaginait en le Seigneur Noir une sagesse et une puissance qui n’étaient pas là, ou qui n’étaient pas aussi forte. S’il avait bien quelqu’un qu’il surestimait, c’était le Seigneur Noir. Ce dernier se retourna et on ne put voir aucune expression sur son visage. D’ailleurs, on ne put voir aucun visage – seulement du noir, comme un vide qui aspirait toute lumière.
« Mon Seigneur ? »
Le plus sombre des Sith se « confia » alors à lui. Il voulait que les Verpines se joignent à eux. Les Verpines étaient une race insectoides – de véritables génies en ingénierie. Le Seigneur Bellicus, étant pratiquement un encyclopédie à lui seul, savait déjà où se rendre pour toruver le plus de Verpines possible – Roche Asteroides. Ils vivaient dans des stations spatiales dans cette région. Comme l’avait si bien dit le Seigneur Noir, les Verpines étaient très proches les uns des autres. Comme chacun des membres de la communauté était intelligent, chaque Verpine était consulté avant qu’une décision affectant leur troupeau ne soit prise. Bellicus n’aurait plus qu’à leur prouver que joindre les sith était plus avantageux pour eux que de leur tourner le dos. Il sourit à cette pensée.
« Les Verpines profitent de leurs accords commerciaux avec la république. Quels moyens aurais-je pour leur faire comprendre que notre offre est plus avantageuse. »
Cette question pouvait sembler stupide, mais les deux hommes savaient le sens caché derrière cette demande. S’il la tâche semblait impossible, pour rester dans le secret, Bellicus devrait utiliser la force, soit pour les détruire ou les intimider. Cette question voulait plutôt dire « combien d’hommes j’ai à ma disposition pour les forcer à nous rejoindre. »
Le Masque de la Force
# Re: visite de courtoisie - Sam 11 Aoû 2007 - 0:37
Le seigneur noir restait face au jeune maître qui se tenait agenouillé devant lui. Les ténèbres dissimulant son visage observait d'une atmosphère pesante et angoissante ce Dark Bellicus qui tenta alors de réfléchir, de savoir comment il pourrait réaliser cette tâche et, surtout, de quel appui il disposerait. Cette pensée aurait peut-être pu amuser le seigneur noir dans un temps passé, assez lointain d'ailleurs. Mais, en ce moment même, il n'eut que pour simple réaction de se retourner à nouveau et de prendre la direction du grand siège noirâtre et métallique qui séjournait au fond de cette salle obscur. Il y allait d'un pas lent et régulier, comme une vieille veillé funèbre qui avait été répété maintes et maintes fois pour offrir ce spectacle morne et dénué de toute vie.
C'est ainsi que, au bout de quelques instants, le seigneur noir prit place dans ledit fauteuil dans lequel il s'enfonca confortablement, ses bras se posant alors sur les accoudoirs respectifs. Même les mains du seigneur noir étaient camoufflées par sa longue bure qui, malgré cet instant d'opportunité et de découverte pour tenter de percer le secret du seigneur Sith, ne laissait même pas entrevoir la race à laquelle il appartenait.
"Je suis au courant de cela et c'est pour cela qu'un maître animé d'une haine aussi puissante que la vôtre est tout indiqué pour réussir dans ces négociations..."
Reprit-il à nouveau de sa voix sobre et laconique. Aucun mouvement du seigneur ne se fit percevoir, même pas le léger souffle d'une respiration venant caresser un quelconque morceau de tissu garnissant son col. Absolument rien, si ce n'est toutes les fluctuations de la Force que la maîtrise de cette dernière par le seigneur noir pouvait provoquer.
"Vous vous rendrez sur Roche Astéroïdes mon ami et, à vous seul, convaincrez les verpines de se joindre à notre cause. Vous n'aurez aucun soutien pour cela. Seul cette mission déterminera si votre lien de la Force fait de vous l'un des nôtres ou un simple usurpateur."
Termina-t-il avec des paroles plutôt sèches et, néanmoins, toujours déclaré sur un calme constant et imperturbable. Le seigneur noir ne changerait pas d'avis. Bellicus irait seul et il avait les capacités nécessaires pour réussir dans sa quête de pouvoir. Bien évidemment, il y avait toujours un facteur risque mais, si cela devait échouer, il préférait que Bellicus subissent les tourments de la Mort que de reconnaître son erreur de jugement envers ce jeune maître noir...
C'est ainsi que, au bout de quelques instants, le seigneur noir prit place dans ledit fauteuil dans lequel il s'enfonca confortablement, ses bras se posant alors sur les accoudoirs respectifs. Même les mains du seigneur noir étaient camoufflées par sa longue bure qui, malgré cet instant d'opportunité et de découverte pour tenter de percer le secret du seigneur Sith, ne laissait même pas entrevoir la race à laquelle il appartenait.
"Je suis au courant de cela et c'est pour cela qu'un maître animé d'une haine aussi puissante que la vôtre est tout indiqué pour réussir dans ces négociations..."
Reprit-il à nouveau de sa voix sobre et laconique. Aucun mouvement du seigneur ne se fit percevoir, même pas le léger souffle d'une respiration venant caresser un quelconque morceau de tissu garnissant son col. Absolument rien, si ce n'est toutes les fluctuations de la Force que la maîtrise de cette dernière par le seigneur noir pouvait provoquer.
"Vous vous rendrez sur Roche Astéroïdes mon ami et, à vous seul, convaincrez les verpines de se joindre à notre cause. Vous n'aurez aucun soutien pour cela. Seul cette mission déterminera si votre lien de la Force fait de vous l'un des nôtres ou un simple usurpateur."
Termina-t-il avec des paroles plutôt sèches et, néanmoins, toujours déclaré sur un calme constant et imperturbable. Le seigneur noir ne changerait pas d'avis. Bellicus irait seul et il avait les capacités nécessaires pour réussir dans sa quête de pouvoir. Bien évidemment, il y avait toujours un facteur risque mais, si cela devait échouer, il préférait que Bellicus subissent les tourments de la Mort que de reconnaître son erreur de jugement envers ce jeune maître noir...
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
