Len s’avère être un bon pilote de manière général, disposant d’une aisance naturel pour la conduite de pas mal de type de véhicule tant que les contrôles sont suffisants pour une personne. Il comprend aisément la mécanique des véhicules et leurs fonctionnements.

Len est un bon soldat, un bon soldat sans réel expérience ayant une fâcheuse tendance oublier certaines règles et ne pas être à l’aise en présence de civils, de manière général Len n’est pas très social et préfère la compagnie des véhicules que des personnes autour de lui. Cela le rend donc potentiellement timide. L’exception étant auprès de d’autres militaire et de personne inspirant le respect et le commandement.

En présence de supérieurs hiérarchiques, je parle de manière précise et calme, comme un bon soldat. A tel point que c'est devenu une seconde nature, bien que par moment je glisse un commentaire sarcastique mais je ne manque jamais de respect à un supérieur, sauf dans le cas où il fait une erreur évidente, mais ce ne sera jamais de manière insultante. Sauf si la personne est bornée et refuse de voir l'évidence.

Face à mes collègues de grade identique, ou inférieur, je suis tranquille et essaye en permanence de détendre l'atmosphère, sauf en cas de situation dangereuse où j'essaye de faire garder un certain sang-froid.

Face aux civils en tant que militaire, je garde un ton autoritaire quand il s'agit de les diriger vers un endroit quand la situation est dangereuse, en revanche quand il s'agit de simple discussion ou renseignement, je parle de manière calme et potentiellement galant. Quand aux Jedis? Et bien je n'ai jamais rencontré de Jedi, donc je ne sais pas encore. Ils sont un cas... Particulier.

Et face aux civils en dehors du cadre militaire... Je deviens beaucoup plus timide, hésitant à prendre la parole de peur de dire une bêtise. Étrange non ?

De manière générale, je suis le genre de gars relax qui aime son travail, prêt à défendre les autres et répondant aux ordres, le bon petit soldat. Par contre je sais que quand il s'agit de prendre un commandement je peux céder plus facilement à la pression et manquer de sang-froid en apparence. Ou du moins être plus « violent » en termes de réaction que je ne le souhaiterais. Mais il faut comprendre que je n'ai pas encore eu de véritables expériences au combat.

Je possède des cheveux noirs coupé court à la militaire –logique étant donné mon travail-, je n’ai pas de signe particulier mis à part mes yeux marrons foncé presque noir.
Je fais 1.70, une taille relativement petite mais qui est une bonne chose pour piloter un marcheur. Je dispose d’un corps plutôt bien musclé, comme à peu près tous les soldats.
On me dit souvent que je marche de manière droit, chaque mouvement étant d’une précision militaire –ce qui me fait plutôt rire-, hum… Ah oui, on peut aussi noter la présence d’un tatouage avec les chiffres 148 avec une tête de dragon krayt sur mon biceps gauche. Une petite tradition du régiment. Ainsi que sur mon bras un tatouage de marcheur, là encore la même tradition. Pas de cicatrice a signalé !

Natif de Coruscant, mes parents sont nés sur Panatha. Une planète Jungle dans lequel je n'ai jamais mis les pieds et ne compte pas les mettre de sitôt. Ma mère se nommait Phala et mon père Juliu, ils ont quitté Panatha pour rejoindre la République et disons que nous autres Epicanthix sommes visuellement très proche des humains, même si nous n'en somme techniquement pas, et Panatha est une planète méconnue proche des régions inconnus. Ce n'est pas quelque chose dont mes parents discutaient souvent quand je leurs posait la question tout petit, et ensuite. Et bien j'ai fini par ne plus y penser et ne plus leur poser la question. Sans doute voulaient-ils m'offrir une vie différente que celle qu'ils avaient vécue sur Panatha ?

Sur Coruscant, nous n'étions pas très riche, nous vivions dans un étage assez proche de la surface, étage 3524, c'était loin d'être le pire endroit où vivre comparé aux étages plus bas. A ce niveau, les forces de sécurité pouvaient régulièrement venir et les incidents étaient plutôt rares.

Ma mère travaillait en tant que serveur dans un bar et mon père quant à lui avait pu être engagé en tant qu'assistant dans une armurerie, il s'était d'ailleurs découvert un don pour les armes et ce fut lui qui m'apprit à entretenir des armes, grâce à lui donc que j'ai rapidement assimilées les éléments essentiels de toutes armes et par la suite véhicule.

Ma scolarité était un peu difficile, j'avais du mal à me faire des amis et j'étais souvent dans quelques mauvais coups, mais jamais rien de bien sérieux. Une boule puante, ou bien encore appuyé sur l'alarme incendie -une seule fois et encore je n'avais pas appuyé dessus volontairement- mais bien souvent des bagarres avec d'autres élèves. Il faut dire que j'avais un caractère de merde, le moindre reproche et la moindre critique était gratifiée d'un coup-bas suivis d'un coup de poing. J'étais un sacré nerveux.

Je n'avais également pas beaucoup de centre d'intérêt, mise à part les chasseurs et l'armée. Je voulais devenir Pilote de chasseur stellaire, imaginez donc ! Autant dire que lorsque les militaires sont venues faire un cours de prévention sur la sécurité global et le fonctionnement des armées -un cours assez basique qui expliquait ce que faisait les soldats et où nous pouvions en trouver un s'il y avait un problème, nous n'avions que dans les 8 à 10 ans-, j'étais aux anges ! S'en était suivis une petite vidéo sur l'armée et les possibilités qu'elle offrait, cela avait d'ailleurs un peu énervé le professeur qui avait l'impression d'assister à un recrutement. Nous ? On prenait simplement cela comme un petit bonus après la prévention -qui était plutôt longue et chiante, il fallait le dire- comme de belles images et un petit « on est là pour vous protéger citoyen ! » similaire à certaines holovids que l'on regardait.

Ce fut à cette occasion que je vis en image un Walker, ce n'était pas un grand walker, un vieux armé d'un simple double canon et avec le cockpit exposé, mais le mouvement des jambes et la grâce de l'engin m'avais aussitôt conquis, ce fut à ce moment que je m'étais aussitôt exclamé « Moi, je serais pilote de marcheur ! », tout haut et tout fort dans la classe. Le militaire, un caporal m'avait demandé avec un petit rire que si je voulais vraiment faire cela, il fallait que j'attende d'avoir l'âge légal pour m'enrôler, mais que si je le faisais, que je lui passe un coup d'holovid avant. Il me donna alors son numéro personnel.

Quand je racontai la journée à mes parents, ils ont pris cela au départ pour un effet d'envie, de mode, que cela passera. Et cela n'est jamais passé, je m'étais acheté une petite figurine de marcheur dans ma chambre, je regardais en permanence les défilés qui passaient sur l'Holonet et je gardai dans un endroit sûr (sous mon lit dans une boite) le numéro du Caporal, le Caporal Phalsa Maro, un humain originaire de Corellia comme je l'apprendrais plus tard.

Après cette journée, j'eu beaucoup moins de mal à me concentrer en classe, je remontai ma moyenne jusqu'à finir dans le top 5 et ce chaque année de suite jusqu'à mes 18 ans, sauf que durant ce temps, mon envie de m'enrôler ne baissa pas et je rencontrai la résistance de mes parents. Et j'étais trop respectueux envers eux pour oser aller contre leurs avis.

Je rejoignis donc mon Père dans l'armurerie -dont il était devenu le propriétaire au passage, nous permettant de vivre un peu plus confortablement- et je passais mes journées à calibrer les différentes armes, les entretenir et vanter leurs capacités aux intéresser. Nous avions régulièrement des membres de l'armée venant prendre quelques réserves personnelles. Un détonateur thermique, ou bien un Blaster Zabrak. Et à chaque fois je discutais longuement avec eux. Et un jour, je revis le Caporal, Phalsa Maro. Désormais passé Capitaine et après m'être fait reconnaître, nous purent échanger longuement. Ce dernier se souvenant bien de moi et étant curieux de savoir pourquoi je n'avais pas rejoint l'armée. - J'avais à ce moment 22 ans-, lui expliquant donc que mes parents étaient contre et ce fut à ce mon Père rejoignit la conversation.
Sur le coup je craignais que cela tourne mal... Mais les deux Hommes s'entendaient à merveille ! A tel point que le Capitaine fut invité à boire le soir chez nous et je fus le centre de la discussion. Et peu à peu je sentais que mes parents changer d'avis et après 3 heures de discussions, mes parents acceptèrent que je rejoigne l'armée. Et ils s'excusèrent même de m'avoir bloqué pendant plusieurs années ! Je ne leur en voulais absolument pas car je connaissais leurs craintes, d'autant plus que la Guerre éclata entre-temps avec les Siths -ce qui me donnait une raison supplémentaire de vouloir rejoindre l'armée. Si la République était attaqué, il fallait la défendre !-.

4 mois plus tard, j'étais accepté dans l'armée après avoir passé de nombreux tests d'aptitude physique et mental. J'avais 22 ans à ce moment.

La première année fut consacré à l'étude de l'armée, avec de nombreux entraînement comme un fantassin, j'avais donc mon fusil blaster, mon armure de combat et les marches à pieds à effectuer -sans compter les parcours d'obstacle- à cette occasion je me découvris un talent pour le tir, je ne ratais pratiquement jamais ma cible, à tel point qu'un membre d'une section de tireur d'élite tenta pendant un mois complet de me convaincre de rester dans l'infanterie et de rejoindre les Forces Spéciales. Ce n'était pas ce que je voulais, et je lui fis comprendre que je souhaitais rejoindre la Cavalerie Blindée, mais que si un jour j'effectuais un changement de carrière, je garderais son idée en tête. Un Soldat marqué pour être potentiellement un F.S. le restait durant toute sa carrière.
A 23 ans, je passais enfin dans un régiment d'entraînement de Cavalerie Blindée, le 148ème régiment de Dragon, diriger par personne d'autre que le désormais Colonnel Phalsa Maro qui m'accueillit les bras ouverts. De là, je fis mon entraînement standard comme chaque soldat et je complétai avec brio les tests. Je maîtrisais sans réel difficulté les Marcheurs, disposait d'un taux de précision avec de 70% en tir en mouvement -chose difficile à réaliser- et en prime je pouvais faire office de mécanicien de secours tant mes connaissances sur le véhicule était approfondies, à tel point que l'on me surnommait « Docteur Chultze ». Je passai alors Soldat Première Classe, et le Colonel ne cacha pas qu'il me sentait être bientôt prêt à devenir Caporal pour potentiellement passer des marcheurs plus lourd comme le Manka, ou -un véhicule qui commençait à m'intriguer- le MTTT, Marcheur Tactique Tout Terrain. Mais mon véhicule restait le MAP-TT, (abréger en MAP), Marcheur Anti-Personnel Tout Terrain.

Aujourd'hui était mon dernier jour au Régiment d'entraînement. Et j'allais savoir où je serais posté.