Invité
Anonymous

Nom : Tiss
Prénom : Nimbilay ou Nim'
Âge : 27 ans, née en 21 544
Race : Nautolan
Côté de la force : Obscur
Rang désiré : Guerrier sith

Caractéristiques :
Force : 5
Agilité : 5 (+1) = 6
Dextérité : 4
Sagesse : 4
Intelligence : 2
Constitution : 4 (+1) = 5
Charisme : 2

Sabre laser : Nimbilay possède deux sabres lasers. Le principal est un simple cylindre de métal noir et mat de vingt centimètres : quelques bandelettes de tissu carmin assurent une meilleure prise et deux pointes en phriik d'une quinzaine de centimètres le prolonge, flanquant la lame lorsque celle-ci est activée. Sa lame mesure près d'un mètre et demi. Le second sabre est en métal gris, possède un manche légèrement courbé dont l'extérieur est recouvert d'une couche de cuir noir. Une garde recourbée permet d'assurer une meilleure prise en main et de facilement inverser la prise sur l'arme. Sa lame mesure environ quatre-vingt centimètre.
Les deux sabres possèdent des lames rouges écarlate qui semblent irradier une puissance à peine contenue, parcourues de tremblements et de petits éclairs, loin des rayon lumineux parfaitement stable des jedis. Les deux sabres sont également capable de fonctionner en milieu sous-marin.
Nimbilay a concentré son apprentissage du sabre laser sur la forme du Juyo en premier lieu, avant d'y ajouter de nombreux éléments venant de l'Ataru puis, encore par la suite, du Jar'Kai lorsqu'elle commença à utiliser deux sabres conjointement. Elle adopte donc un style très vif et instinctif, basé sur l'attaque et sur une grande mobilité, capable de déchaîner une rafale de coup sur son adversaire pour le submerger.

Pouvoirs :
Télékinésie (niveau 2)
Détection (niveau 2)
Persuasion
Amélioration des Capacités (niveau 1)
Voile de Force (niveau 1)
Absorption de Vie (niveau 1)
Éclairs de Force (niveau 1)
Étouffement (niveau 1)
Ambidextrie (niveau 1)
Cri de Force


Points forts : Avant tout, sa condition physique. Nimbilay est une athlète entraînée qui passe un certain temps à se parfaire.Vive, puissante et précise, elle s'enorgueillit de cette force qui est souvent son premier moyen d'expression. Mais un corps vigoureux n'est rien sans un esprit solide et elle n'est pas en reste à ce niveau là. Elle possède une force de volonté notable et un instinct aiguisé, faisant souvent confiance à ses sensations et ses émotions. De plus, elle est pratiquement ambidextre bien que sa main droite reste sa main de préférence.
Au cours des dernières années, elle a appris à piloter de petits vaisseaux -navette, chasseur...- et se débrouille correctement derrière le manche.

Points faibles : Elle est finalement assez naïve, à sa manière, ne prenant souvent pas conscience des vrais enjeux des choses et préférant l'action directe et brutale aux chemins plus subtils, pensant que tout peut se régler par un coup de sabre laser. Et lorsqu'il s'agit de s'exprimer elle devient vite un peu ridicule, son apparence marquante laissant place à un inconfort palpable à l'oral, se retrouvant souvent à hésiter, à mal exprimer ses idées et à tomber dans des silences gênés.
De plus, si elle est en bonne condition physique, Taris a laissé sa marque en plus d'avoir décoloré sa peau. On aurait pu penser que vivre son enfance dans un milieu aussi pollué aurait forger son corps pour résister. Mais, comme si l'univers et la Force avait décidé que RIEN de bon ne sortirait de cette période de sa vie, elle est en fait plus sensible aux différents contaminants, polluants, poisons et autres toxines. Un trait qui n'est pas arrangé par le fait que son orgueil répugne à s’équiper de protections respiratoires ou oculaires la plupart du temps, qui lui épargneraient pourtant bien des problèmes.


Caractère : Nimbilay est quelqu'un de très solitaire. Ce n'est pas tant qu'elle n'aime pas les gens, mais elle déteste compter sur eux. Quant à s'y ouvrir d'une quelconque manière c'est encore plus improbable. La perte de ses parents à un jeune âge et le fait d'avoir toujours vécu dans des environnements impitoyables ne l'ont pas aidé et elle refuse de s'attacher aux gens pour ne pas souffrir lorsqu'elle les perdra. Cette solitude exacerbée se traduit par une absence d'empathie extrêmement marqué : elle n'est jamais gêné de blesser qui que ce soit. Pour autant, elle n'est pas non plus enthousiaste à l'idée, elle se contente de tuer des gens avec la même absence d'intérêt pour la chose qu'un prédateur ne dévore sa proie. Si cela en fait une tueuse éprouvant singulièrement peu de remords -même selon les critères très bas des siths-, elle n'est pas tirée en avant par un quelconque besoin de tuer ses cibles.
Ce qui motive Nimbilay, c'est d'avoir enfin une place à elle, une importance, des gens qui la respectent ou au moins la considèrent. Elle qui n'était rien pendant l'essentiel de sa vie a pu, par sa force et sa volonté, devenir quelqu'un. De fait, elle est du genre tenace et ne recule devant aucune adversité. Même si elle a appris à modérer cet entêtement pour ne pas foncer tête baissée dans un mur, elle reste obstinée et très indépendante d'esprit.

Physique : Nimbilay est petite pour une nautolan, mesurant un peu moins d'un mètre soixante-dix, et musclée. Elle a la peau blanche, bien que certaines tâches tirent très légèrement vers le verdâtre. Deux doigts de sa main droite, l'index et le majeur, on été remplacés par des prothèses cybernétiques depuis longtemps. Des traces de blessures recouvrent une grande partie de son corps, les récentes effaçant les plus anciennes. Ses tentacules sont rayés de tatouages noirs, et d'autres tatouages recouvrent son visage, en particulier autour de ses yeux d'un rouge profond sous l'influence du côté obscur, enfoncés dans ses orbites et soulignés par une couche de maquillage noir d'encre. De vieilles cicatrices poursuivent les commissures de ses lèvres, lui dessinant un sourire malsain qu'elle rehausse le plus souvent avec un peu de maquillage. Si elle possède des courbes résolument féminine, elle ne les mets guère en valeur, préférant des tenues pratiques et protectrices. Elle n'est pas gracieuse, avec une démarche étrange et un peu irrégulière. Au combat en revanche, c'est une tornade meurtrière.


Histoire : Nimbilay est née sur Taris. Ses parents habitaient dans la basse ville, travailleurs pauvres nautolans obligés d'accepter le moindre petit boulot pour survivre. Des conditions très dures qui coûtèrent la vie à sa mère, qu'elle n'a jamais connu, puis quelques années plus tard à son père, après une longue agonie du à la pollution élevée. Dépourvue de toute famille et âgée de moins d'une dizaine d'années, Nimbilay fut obligée de travailler extrêmement jeune pour espérer survivre. Et dans une cité comme Taris, reposant en grande partie en terrain marécageux et disposant d'un énorme réseau d’égouts et de drain des eaux stagnantes, la place d'une nautolan pauvre était toute trouvée.
Elle passa les années suivantes à récurer les tuyaux d'évacuations et nettoyer les filtres, nageant dans un bouillon de produits chimiques qui firent décolorer sa peau, auparavant d'un vert émeraude hérité de sa mère -lui avait-on dit-, tout en gagnant à peine de quoi se nourrir, certainement pas de quoi dormir à l'abri. Les nuits étaient les pires moments, lorsqu'il fallait se trouver un endroit sûr où dormir, loin des gangs et encore plus loin des... choses qui sortaient parfois des sous-sols.

Cette existence misérable aurait pu durer encore longtemps si elle n'avait pas été prise dans une émeute qui fut réprimé par les mercenaires embauchés par les autorités de Taris. Elle fut assommée par les rafales de tir paralysants et finis en prison, dans un un camp qui tenait plus de l'enclos à prisonnier que du réel pénitencier. Comme elle faisait partie des laissés pour compte, de ceux pour qui personne ne viendrait payer une caution et dont la disparition passerait inaperçue, elle finit vendue avec les autres dans son cas à un trafiquant d'esclaves qui avait fait de Taris et de son administration corrompue un de ses ports d'attaches.
A partir de là, elle fut emmenée avec les autres en pleine bordure extérieure, loin de la République, au plus profond de l'Hydienne. Une gamine bouffée par la pollution n'avait pas de grande valeur, et elle fut trimballée un moment sur les routes commerciales des esclavagistes. Le monde lui apparaissait comme une succession de marchés et de cales de vaisseau. Elle tenta de s'échapper une fois, en profitant d'un moment d'inattention de ses geôliers, mais fut rapidement reprise et passée à tabac. Finalement, elle fut vendue dans un lot de travailleurs. Ils changèrent de vaisseau, échangeant un cargo miteux contre un transporteur destiné au bétail dans une autre vie. Ils furent rejoints d'autres groupes d'esclaves, les rebuts essentiellement, ceux qui ne se vendaient pour rien d'autre que des travaux laborieux. Puis ils décollèrent.

Le voyage fut long, bien plus que la plupart de ceux qu'elle avait déjà fait. Des droïdes gardiens les surveillaient jour et nuit, utilisant leur fouet électriques avec toute l'absence de pitié des machines. Quand ils atterrirent, nombre des esclaves furent malade, parfois jusqu'à vomir abondamment. Cela n'avait rien à voir avec les secousses de l'appareil -bien qu'elles n'aidaient pas. Il y avait quelque chose dans l'atmosphère, quelque chose qui prenait Nimbilay aux tripes. Elle réprima un haut-le-cœur et suivit le flot d'esclaves tandis que les droïdes-gardiens forçaient ceux qui ne voulait pas ou avait du mal à obéir à le faire.
La planète sur laquelle ils débarquèrent était froide et sèche. Au-delà des limites de l'astroport, assez modeste, le désert, entrecoupé de falaises abruptes et de ravins profonds. On les fit avancer sur une route qui s'éloignait de la ville où ils avaient atterrit. Le terrain était en pente douce. En observant un peu plus son environnement, Nimlibay remarqua les aménagements troglodytes, nombreux dans les falaises proches. Puis ils arrivèrent en vue de l'Académie Sith, nom qu'elle n'apprendrait que par la suite. Les façades taillées à même la roche et les anciennes statues étaient imposantes mais, alors qu'on les conduisait sur des chemins annexes pour atteindre les chantiers, c'était les quelques habitants qu'ils aperçurent qui étaient les plus effrayants. Il se dégageait d'eux, de tout cet endroit, un sentiment de malaise palpable. Finalement on amena les esclaves dans des grottes naturelle, un peu à l'écart du reste des bâtiments et grossièrement aménagées pour les accueillir. Ils furent répartis en équipe et immédiatement envoyés au travail.

Nimbilay se retrouva à travailler dans les excavations les plus profondes. Un endroit où sa petite taille et son aisance dans l'obscurité étaient des plus utiles. Ce n'était pas pour lui déplaire, puisque l'humidité et la température y étaient un peu plus élevé qu'à la surface. En revanche, ils ne travaillaient qu’en équipes restreintes et sous la supervision d'un sith. Elle apprit rapidement à les craindre bien plus que les fouets des droïdes. Et la sensation étrange qui durait depuis son arrivée sur la planète était plus forte au plus près des ruines. D'abord gênante, elle commença à s'y habituer au fil des semaines, y trouvant presque un certain réconfort. Contrairement à d'autres elle ne cherchait aucun soutien chez les autres esclaves : elle ne partageait pas l'eau et la nourriture qu'on lui donnait, n'hésitant pas à se battre pour la garder -sans grand succès-, n'aidait pas les faibles à se relever, ne soulageait pas leur travail... Elle se retrouva bientôt isolée même parmi les démunis. Mais elle s'en fichait.
Jusqu'au jour où elle attira l'attention du sith qui les surveillaient. Trois esclaves essayaient de lui mettre sur le dos la faute de l'un des leurs et elle s'emporta soudainement, se ruant sur le plus proche comme une furie. Elle fut rapidement stoppée et mise à l'écart dans l'une des cellules individuelles. Là elle reçut la visite du sith, accompagnée d'un autre un peu comme lui mais qui semblait plus élevé dans la hiérarchie. Ils l'examinèrent pendant un moment, discutèrent à vois basse, jusqu'à arriver à une conclusion. Le vieil homme s'éloigna tandis que le sith la fit sortir de sa cage et l'ordonna de le suivre jusqu'au bâtiment de l'Académie à proprement parler. Ce jour là elle devint une apprentie sith.

Mais, outre la difficulté des enseignements, elle fit face à l'hostilité de certains des autres apprentis qui l'avaient déjà aperçu à travailler comme esclave et n'acceptaient pas l'idée qu'elle puisse devenir un jour leur égal. Isolée, elle devint rapidement la souffre-douleur d'un groupe d'apprentis un peu plus âgés et favorisés par leur ascendance. Plutôt que de chercher à leur échapper, ou une protection auprès d'autres apprentis, elle essaya de leur faire face. Un jour ils lui brisèrent l'index et le majeur de sa main directrice quelques semaines avant un examen de combat au sabre. Elle s'entraîna en secret aussi dur qu'elle le put à manier les vibrolames d'entraînement avec la main gauche. Lors de l'examen, elle affronta celui qui lui avait brisé les phalanges. Le regard de surprise qu'il eut  lorsqu'elle lui démolit la hanche, avec autant de rage qu'elle pouvait y mettre, reste l'un de ses meilleurs souvenirs. Bien sûr dans les jours qui suivirent la riposte ne se fit pas attendre et elle crut même y passer. Pourtant elle continuait de se relever et de viser chaque victoire qu'elle pouvait obtenir.

Tout cela finit par payer lorsqu'elle fut prise comme apprentie par un jeune guerrier sith, un humain qui ne valorisait rien tant que la brutalité et la violence. Elle le suivra dans tous ses combats alors que l'Empire Sith se révélait à la galaxie, combattant d'abord sur Artorias, puis dans bien d'autres endroits. Combat après combat, elle gagna en renommée et en expérience, jusqu'à ce qu'elle passe les épreuves pour être reconnue non plus comme une apprentie mais comme une guerrière. Dubrillion sera le théâtre de ses premières batailles, victoires et défaites, en tant que sith de plein droit. Elle continua ensuite de se battre partout où l'armée impériale était impliquée de Makem-Te à Llord. Son ancien maître récemment mort dans les escarmouches, elle n'avait plus d'allégeances particulières et se retrouvait étrangement libre.


Question HRP : Je ne sais plus depuis le temps. Je dirais Tour de Jeu.
Saï Don
Saï Don
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Ok, bon pour moi ! La seule remarque que j'ai à faire, qui n'empêche pas la validation, concerne l'intelligence assez faible : n'oublie pas en cours de route qu'elle n'était pas super maline... Razz (même si cela n'empêchera pas qu'elle évolue peut-être un peu dans sa tête avec le temps !)

Félicitations à toi. Tu connais la maison, je ne te donne pas un plan, pense juste à mettre un lien vers cette biographie dans ta signature !

Bon jeu !


PS : fais gaffe t'as le menton un peu dégoulinant quand même. :bave:
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