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# Null Zale et ses premiers pas dans l'obscurité. - Dim 9 Aoû 2009 - 22:59
CHAPITRE 0 : Korriban
Voila plusieurs heure que Null marchais dans les montagnes de Korriban. Celui qui voulait être son maître n’avait fait qu’un petit tracer pour rejoindre l’académie. Le vent chaud faisait régulièrement chauffer la machinerie de l’armure temps et si bien que le liquide de refroidissement partait à vitesse grand V. Certain passage était trop étroit pour que Null passe. Il était alors obliger de faire de long détour tout en évitant l’escalade pour pouvoir continuer sa route. L’académie, qui au départ était à l’est de Null, se trouvait désormais au nord ouest de sa position actuelle. Il marchait sans faire de pose, l’un des avantage de son nouveau corps, mais la soiffe et la faim commençait à se faire sentir. Le pire est qu’il n’avait aucune idée sur comment subsister à ces besoins. Une voix résonna soudain dans sa tête.
Inconnu : Mon apprenti, tu as finalement fait le premier pas vers ton apprentissage. En me tuant, tu m’a permis d’avoir en quelque sorte, la vie éternelle. Mon esprit est relié à l’armure. Je vais te guider. J’ai besoin de toi pour subsister et tu as besoin de moi pour survivre. Continuons notre route, nous serons arrivés à destination d’ici quelques heures.
Null s’était arrêté. Une voix résonnait belle et bien dans sa tête. Etait-il fou ? C’est ce qu’il pensa en premier lieu, mais ce n’était pas le cas. Trop préoccupé par ça survie, il ne se posera des questions sur la présence de cette voix qu’une fois sur de survivre à son voyage. La nuit tomba. La voix ordonna à Null de s’arrêter.
Le maître : Tu m’appelleras Tor. Je suis ton maître, avec moi, tu deviendras plus puissant et plus fort qu’avant. Bien plus que ce que tu es actuellement. Tu pourras enfin prouver que ta race est supérieure. Maintenant écoute moi. Sur ton masque, au dessus de l’œil droit se trouve un bouton, appuie dessus.
Null s’exécuta. Au point où il en était, il n’était plus à ça près. La vision que lui procurai ses yeux devint verte. Un vert qui traversait l’obscurité de la nuit. La vision nocturne allait lui être fort utile pour son périple. Tor reprit la parole pour continuer les principes de base de l’armure.
Tor : Au niveau du coup de l’armure, se trouve une fente. C’est à travers cette fente que tu introduiras la nourriture. Ton impression de faim n’est pas naturelle. C’est une réaction chimique avec les produits dégagés par ce qui est désormais ton estomac. Cette impression de faim se produira toute les quatre heures. Ta soiffe viens du même procédé, et pour étancher ta soiffe, tu procèderas de la même manière que pour la nourriture. Maintenant écoute le plus attentivement possible. Mon esprit est lié à l’armure, je peux la contrôler. La chaire qui est dans tes deux bras m’empêche de les contrôler, pour le moment en tout cas. Tu vas maintenant dormir. Je vais prendre le contrôle de l’armure et aller jusqu’à l’académie pendant la nuit. A ton réveil, tu te trouveras devant l’Académie, je te laisserai ensuite te débrouiller. Je t’aiderai en cas de besoin. J’ai besoin de toi pour que l’armure reste active.
Null ne dit rien, pensant qu’il était fou, mis l’armure se mit à bouger d’elle-même. Elle avançait, péniblement, mais elle avançait. Null, ne fournissant plus d’effort cérébral pour faire marcher l’armure finit par tomber de fatigue. Tor le mena jusqu’à l’académie et s’arrêta devant la prote, comme il l’avait dit. Le Yevetha se réveilla aux premières lueurs de l’aube devant la porte. Tor attendit quelques minutes que son apprenti soit bien près à l’écouter pour lui parler.
Tor : Nous sommes arrivés à destination au milieu de la nuit. Tu vas entrer dans cette académie et essayer d’y trouver un maître. Méfie-toi, les sith sont très vicieux. Je serai ton second maître et te formerai en parallèle pour que tu développe tes talents plus rapidement. Maintenant, entrons et reste silencieux.
Null Zale : Tor, ce que vous voulez m’apprendre, c’est la force que vous maîtrisez ? La force psychique ?
Tor : Oui, mais l’heure de la première leçon n’est pas encore arrivé. Tu seras beaucoup plus réceptif quant un maître t’auras convaincu de servir la cause sith.
Null avança lentement jusqu'à la lourde porte noire, puis la poussa. Un courant d’air frais sortit de l’édifice. L’air glaça le peut d’os qu’il restait à Null. Il fit un premier pas hésitant, puis entra définitivement dans l’édifice. Il y avait peut de lumière. Il activa sa vision nocturne. Suivant les conseils de son maître, il s’avança jusqu'à la salle principale et s’arrêta au milieu. Il attendit ensuite que quelqu’un vienne à lui. « Ce n’est pas toi qui trouve le maître, c’est le maitre qui vient à toi » lui murmura Tor, ce à quoi Null répondu : « Mais, c’est moi qui vous ai trouvé » et Tor renchérie en disant que c’est parce qu’il l’avait voulu. Le Yevetha était sur que son maître aurai tiré une tête de déterrer en lui répondant.
Le Masque de la Force
# Re: Null Zale et ses premiers pas dans l'obscurité. - Ven 28 Aoû 2009 - 19:57
Tout se sait toujours dans cette académie. Une silhouette effilée, tout en longueur, souple et agile se dirigea vers le nouveau. Il n'y avait aucun bruit qui puisse le trahir, pas même un remous dans la Force. Intervenant auprès de lui, le vieux maître Sith hocha la tête brièvement après avoir observé le nouveau et son corps de métal. Il ne se demanda même pas comment cela était possible, son grand âge lui avait sûrement fait voir des choses encore plus insolites qu'un homme machine. Inclinant doucement la tête et dévoilant un crâne rasé en retirant sa capuche l'homme ridé mais au regard de glace; il s'adressa au nouveau en ces termes; quelques propos acerbes et dédaigneux glissant entre ses lèvres tel un serpent calme, trop calme peut-être.
-Je te salue Etranger. Je sais pourquoi tu es venu, vous venez tous pour la même chose.
Il leva la main à l'horizontale pour empêcher l'inconnu de parler si tel fut son désir; en fait Maître Zoth avait horreur d'être interrompu. Le vieil humain laissa planer un long silence avant de reprendre, inclinant la tête tout en parlant. Il n'était pas bien grand mais sa carrure était impressionnante, sans parler de son aura. Ainsi, sa voix chevrotante et un peu faible n'était qu'un détail à ne surtout pas prendre pour argent comptant.
-Crois-tu parvenir à tes fins en restant sur le seuil? Attendant que quelqu'un vienne te chercher? Personne ne s'intéresse à toi misérable vermisseau inconnu. Ici, seuls les plus forts des Siths, les plus célèbres peuvent espérer que l'on vienne les chercher. Si tu veux survivre, si tu veux continuer... Débrouille-toi. Montre-toi sous ton meilleur jour. Celui qui ferait de toi quelqu'un d'indispensable! C'est au nouveau, à l'étranger de trouver ce qu'il veut. Personne ne requiert sa présence ou son avis...
Le Sith était venu, non pas pour pitié, mais parce que houspiller un peu les nouveaux le défoulait; sans compter que l'imbécile posté près de la porte l'énervait à rester sur le pas de la porte avec ses airs de grand seigneur... Comme si quelqu'un allait venir le chercher! Comme si l'on pouvait être intéressé par sa personne. De tous, c'était lui le plus intéressé, à lui donc de se démener pour trouver ce qu'il voulait. La politesse, la douceur c'était pour les Jedi... Pas pour eux!
-Je te salue Etranger. Je sais pourquoi tu es venu, vous venez tous pour la même chose.
Il leva la main à l'horizontale pour empêcher l'inconnu de parler si tel fut son désir; en fait Maître Zoth avait horreur d'être interrompu. Le vieil humain laissa planer un long silence avant de reprendre, inclinant la tête tout en parlant. Il n'était pas bien grand mais sa carrure était impressionnante, sans parler de son aura. Ainsi, sa voix chevrotante et un peu faible n'était qu'un détail à ne surtout pas prendre pour argent comptant.
-Crois-tu parvenir à tes fins en restant sur le seuil? Attendant que quelqu'un vienne te chercher? Personne ne s'intéresse à toi misérable vermisseau inconnu. Ici, seuls les plus forts des Siths, les plus célèbres peuvent espérer que l'on vienne les chercher. Si tu veux survivre, si tu veux continuer... Débrouille-toi. Montre-toi sous ton meilleur jour. Celui qui ferait de toi quelqu'un d'indispensable! C'est au nouveau, à l'étranger de trouver ce qu'il veut. Personne ne requiert sa présence ou son avis...
Le Sith était venu, non pas pour pitié, mais parce que houspiller un peu les nouveaux le défoulait; sans compter que l'imbécile posté près de la porte l'énervait à rester sur le pas de la porte avec ses airs de grand seigneur... Comme si quelqu'un allait venir le chercher! Comme si l'on pouvait être intéressé par sa personne. De tous, c'était lui le plus intéressé, à lui donc de se démener pour trouver ce qu'il voulait. La politesse, la douceur c'était pour les Jedi... Pas pour eux!
Invité
# Re: Null Zale et ses premiers pas dans l'obscurité. - Sam 5 Sep 2009 - 17:21
Null regarda attentivement le sith. Son masque resta impassible, il était en fait en grande discussion intérieur avec son maître. Tor lui expliquait comment agir, comment faire tomber le masque d’arrogance du sith qui se tenait devant le Yevetha. Null écoutait, attentivement. Il ne fit même pas attention au geste du sith qui se tenait devant lui et qui lui intimait le silence. Le Yevetha posa sa main sur la garde de son épée. Il regardait maintenant le sith comme ci ce dernier n’était qu’un insecte. Null était-il véritablement lui-même ou Tor avait-il prit le contrôle ?
Tor s’adressa à Null via la pensée :
« Regarde moi ça. Il ne sait même pas créer la plus petite des illusions, qu’il se prend déjà pour un Dieu. Montre lui l’étendu de ta répartie, fait tomber son masque, dépouille le de toute fierté, prouve lui qu’il n’est rien face à toi. Tu ES le maître, surtout dans cette situation. Laisse tes instinct Yevetha prendre le dessus, écrase le par la parole, écrase le par la force de to aura, Démontre lui ta perfection et renvoie le dans l’oubli avant même qu’il n’est pris confiance en lui. »
Null avança de quelques pas jusqu’à dominer complètement le sith de part sa taille et son allonge. Bien que ces yeux soient artificiels, ils semblaient retranscrire une folie soudaine s’étant emparé de l’être qu’était le Yevetha. Un large sourire, très inquiétant si l’on prenait en compte le reste du visage artificiel, naquit. Les pas du Yevetha avaient résonnés pendant de longues secondes. Il surpassait le sith de plus de trente centimètres et d’au moins deux cent kilos, mais ce dernier ne bougea pas, comme sur de sa force. Null avait toujours sa main sur la garde de son épée. Une voix rauque sortie de sa bouche, comme venant des tréfonds de son âme.
« Misérable petit parasite… hotte toi de mon chemin. Ce n’est pas un insecte comme toi que je cherche, et encore moins un insecte arrogant. Retourne sur ta couchette à te lamenter sur la place de misérable que t’offre l’ordre sith et laisse passer le seul et unique seigneur de guerre présent entre ces murs. Écrase-toi et tu sentiras la semelle de ma botte sur ton visage. Maintenant disparaît vieil homme, tu ne sais en aucun cas qui je suis et pourquoi je suis là, et ne t’avises pas de toucher cet être que tu as en face de toi, sans quoi, tu mourras… »
La voix mourut. Les lèvres du masque n’avaient pas bougés, le sourire resté afficher sur le visage, sans même faiblir. La voix, bien que maintenant éteinte continuait de résonner dans le couloir, tout comme les bruits de pas avant. Le regard restait celui d’un fou, avide d’écraser un insecte. Le sourire traduisait désormais l’envie, réfréné, de croquer le sith qui était en face du Yevetha.
L’air de visage changea soudain, devenant suspicieux. Le regard devint plus terne, la main empoigna l’épée qui était toujours rattachée à la ceinture de l’armure. Le sourire devint une horrible moue qui descendit jusqu’au menton. Les yeux changèrent de nouveau pour maintenant devenir vitreux. Aucun doute, le vieux maître de Null était en pleine action et quelque chose semblait le déranger.
« Je te reconnais… Nous avons intégré l’académie en même temps. Te souviens-tu de Tor surnommé à juste titre « Tor le fou » ? »
La voix était toujours aussi distante et la moue avait demeuré immobile. L’être semi-artificiel restait sur ses gardes. Null avait laissé les pleins pouvoirs à Tor qui, de toute façon, aurait fini par les avoirs, même contre l’avis du Yevetha. Le vieux fou ne disposait plus de ses pouvoirs d’antan, mais une confrontation ne semblait pas sur le point de s’engager. Le vieil homme était toujours là, se tenant droit devant le jeune Null.
Tor s’adressa à Null via la pensée :
« Regarde moi ça. Il ne sait même pas créer la plus petite des illusions, qu’il se prend déjà pour un Dieu. Montre lui l’étendu de ta répartie, fait tomber son masque, dépouille le de toute fierté, prouve lui qu’il n’est rien face à toi. Tu ES le maître, surtout dans cette situation. Laisse tes instinct Yevetha prendre le dessus, écrase le par la parole, écrase le par la force de to aura, Démontre lui ta perfection et renvoie le dans l’oubli avant même qu’il n’est pris confiance en lui. »
Null avança de quelques pas jusqu’à dominer complètement le sith de part sa taille et son allonge. Bien que ces yeux soient artificiels, ils semblaient retranscrire une folie soudaine s’étant emparé de l’être qu’était le Yevetha. Un large sourire, très inquiétant si l’on prenait en compte le reste du visage artificiel, naquit. Les pas du Yevetha avaient résonnés pendant de longues secondes. Il surpassait le sith de plus de trente centimètres et d’au moins deux cent kilos, mais ce dernier ne bougea pas, comme sur de sa force. Null avait toujours sa main sur la garde de son épée. Une voix rauque sortie de sa bouche, comme venant des tréfonds de son âme.
« Misérable petit parasite… hotte toi de mon chemin. Ce n’est pas un insecte comme toi que je cherche, et encore moins un insecte arrogant. Retourne sur ta couchette à te lamenter sur la place de misérable que t’offre l’ordre sith et laisse passer le seul et unique seigneur de guerre présent entre ces murs. Écrase-toi et tu sentiras la semelle de ma botte sur ton visage. Maintenant disparaît vieil homme, tu ne sais en aucun cas qui je suis et pourquoi je suis là, et ne t’avises pas de toucher cet être que tu as en face de toi, sans quoi, tu mourras… »
La voix mourut. Les lèvres du masque n’avaient pas bougés, le sourire resté afficher sur le visage, sans même faiblir. La voix, bien que maintenant éteinte continuait de résonner dans le couloir, tout comme les bruits de pas avant. Le regard restait celui d’un fou, avide d’écraser un insecte. Le sourire traduisait désormais l’envie, réfréné, de croquer le sith qui était en face du Yevetha.
L’air de visage changea soudain, devenant suspicieux. Le regard devint plus terne, la main empoigna l’épée qui était toujours rattachée à la ceinture de l’armure. Le sourire devint une horrible moue qui descendit jusqu’au menton. Les yeux changèrent de nouveau pour maintenant devenir vitreux. Aucun doute, le vieux maître de Null était en pleine action et quelque chose semblait le déranger.
« Je te reconnais… Nous avons intégré l’académie en même temps. Te souviens-tu de Tor surnommé à juste titre « Tor le fou » ? »
La voix était toujours aussi distante et la moue avait demeuré immobile. L’être semi-artificiel restait sur ses gardes. Null avait laissé les pleins pouvoirs à Tor qui, de toute façon, aurait fini par les avoirs, même contre l’avis du Yevetha. Le vieux fou ne disposait plus de ses pouvoirs d’antan, mais une confrontation ne semblait pas sur le point de s’engager. Le vieil homme était toujours là, se tenant droit devant le jeune Null.
Le Masque de la Force
# Re: Null Zale et ses premiers pas dans l'obscurité. - Dim 6 Sep 2009 - 14:03
[HJ: différencie la couleur de tes pensées et de tes paroles s'il te plaît. Et mets entre ** si ce sont des pensées. Ce sera plus facile, merci]
« Misérable petit parasite… hotte toi de mon chemin. Ce n’est pas un insecte comme toi que je cherche, et encore moins un insecte arrogant. Retourne sur ta couchette à te lamenter sur la place de misérable que t’offre l’ordre sith et laisse passer le seul et unique seigneur de guerre présent entre ces murs. Écrase-toi et tu sentiras la semelle de ma botte sur ton visage. Maintenant disparaît vieil homme, tu ne sais en aucun cas qui je suis et pourquoi je suis là, et ne t’avises pas de toucher cet être que tu as en face de toi, sans quoi, tu mourras… »
-Moi Parasite? Comme c'est amusant. N'est-ce pas celui qui a besoin du corps d'un autre pour ne pas être poussière que l'on nomme parasite? Je suis l'un des maîtres les plus respectés et craints en ces lieux.
Répliqua la silhouette au petit apprenti si prétentieux. Rarement en fait il avait vu des gens aussi orgueilleux. Le vieil homme eut un sourire presque doux. En fait les insultes de Null, si elles le surprenaient quand même ne lui faisaient aucun mal. Le mal, c'était lui qui le distribuait à tour de bras, et d'éclairs bien sûr. Il n'avait pas menti en disant avoir une place importance dans l'Ordre. En effet, le Sith était le bras droit du Grand Seigneur de l'académie. Lorsque ce dernier avait besoin d'aide, c'était à lui qu'il s'adressait en premier pour lui demander conseil.
« Je te reconnais… Nous avons intégré l’académie en même temps. Te souviens-tu de Tor surnommé à juste titre « Tor le fou » ? »
-Tor le Fou... Ca ne m'étonne pas. Ce surnom n'est pas forcément un compliment.
En effet, il fallait être bien impudent ce "Tor" d'attaquer quelqu'un sur son propre terrain de jeu. S'il claquait des mains le Sith aurait à sa botte une nuée d'Apprentis et même de Seigneurs noirs apparaîtraient pour débarrasser le plancher de cette vermine étrangère, n'ayant pas d'autre choix que d'obéir au second de l'Ordre. Humiliés par le commandement de la silhouette; ils mettraient encore plus de coeur à se venger sur celui qui n'avait aucun pouvoir en ces lieux-même pas celui d'un apprenti qui au moins était intégré à l'académie, accepté ici lui- faute de pouvoir attaquer le vieil humain qu'ils haïssaient tous! Autant que ce dernier détestait la Créature qui leur servait de Grand Maître. Un jour le second le renverserait... Mais pour l'heure, il fallait s'occuper de la petite vermine qui grouillait sur le plancher de l'académie.
-Et même si je me souvenais de toi, sache que ça ne m'intéresse pas. Quelqu'un qui vit accroché tel un parasite à un autre être vivant est un faible. Ici, tu n'es même pas un apprenti, tu n'es rien.
Null ne connaissait rien et si Tor lui connaissait des choses, l'ignorance du premier freinerait considérablement le second; le mettant au même niveau que ceux qui arrivaient à l'académie. Le Sith leva les mains rapidement et jeta une nuée d'éclairs aussi imprévues que violente sur Null qui ne put les éviter.
-J'espère que cela te servira de douleur. Encore un petit coup?
Les doigts prêts à servir contre le novice, l'homme regardait le moustique avec une lueur d'amusement dans ses yeux désormais jaunes et rouges de haine. Finalement, il avait au moins le mérite de l'amuser ce petit vermisseau. Allait-il rester à sa place maintenant?
« Misérable petit parasite… hotte toi de mon chemin. Ce n’est pas un insecte comme toi que je cherche, et encore moins un insecte arrogant. Retourne sur ta couchette à te lamenter sur la place de misérable que t’offre l’ordre sith et laisse passer le seul et unique seigneur de guerre présent entre ces murs. Écrase-toi et tu sentiras la semelle de ma botte sur ton visage. Maintenant disparaît vieil homme, tu ne sais en aucun cas qui je suis et pourquoi je suis là, et ne t’avises pas de toucher cet être que tu as en face de toi, sans quoi, tu mourras… »
-Moi Parasite? Comme c'est amusant. N'est-ce pas celui qui a besoin du corps d'un autre pour ne pas être poussière que l'on nomme parasite? Je suis l'un des maîtres les plus respectés et craints en ces lieux.
Répliqua la silhouette au petit apprenti si prétentieux. Rarement en fait il avait vu des gens aussi orgueilleux. Le vieil homme eut un sourire presque doux. En fait les insultes de Null, si elles le surprenaient quand même ne lui faisaient aucun mal. Le mal, c'était lui qui le distribuait à tour de bras, et d'éclairs bien sûr. Il n'avait pas menti en disant avoir une place importance dans l'Ordre. En effet, le Sith était le bras droit du Grand Seigneur de l'académie. Lorsque ce dernier avait besoin d'aide, c'était à lui qu'il s'adressait en premier pour lui demander conseil.
« Je te reconnais… Nous avons intégré l’académie en même temps. Te souviens-tu de Tor surnommé à juste titre « Tor le fou » ? »
-Tor le Fou... Ca ne m'étonne pas. Ce surnom n'est pas forcément un compliment.
En effet, il fallait être bien impudent ce "Tor" d'attaquer quelqu'un sur son propre terrain de jeu. S'il claquait des mains le Sith aurait à sa botte une nuée d'Apprentis et même de Seigneurs noirs apparaîtraient pour débarrasser le plancher de cette vermine étrangère, n'ayant pas d'autre choix que d'obéir au second de l'Ordre. Humiliés par le commandement de la silhouette; ils mettraient encore plus de coeur à se venger sur celui qui n'avait aucun pouvoir en ces lieux-même pas celui d'un apprenti qui au moins était intégré à l'académie, accepté ici lui- faute de pouvoir attaquer le vieil humain qu'ils haïssaient tous! Autant que ce dernier détestait la Créature qui leur servait de Grand Maître. Un jour le second le renverserait... Mais pour l'heure, il fallait s'occuper de la petite vermine qui grouillait sur le plancher de l'académie.
-Et même si je me souvenais de toi, sache que ça ne m'intéresse pas. Quelqu'un qui vit accroché tel un parasite à un autre être vivant est un faible. Ici, tu n'es même pas un apprenti, tu n'es rien.
Null ne connaissait rien et si Tor lui connaissait des choses, l'ignorance du premier freinerait considérablement le second; le mettant au même niveau que ceux qui arrivaient à l'académie. Le Sith leva les mains rapidement et jeta une nuée d'éclairs aussi imprévues que violente sur Null qui ne put les éviter.
-J'espère que cela te servira de douleur. Encore un petit coup?
Les doigts prêts à servir contre le novice, l'homme regardait le moustique avec une lueur d'amusement dans ses yeux désormais jaunes et rouges de haine. Finalement, il avait au moins le mérite de l'amuser ce petit vermisseau. Allait-il rester à sa place maintenant?
Invité
# Re: Null Zale et ses premiers pas dans l'obscurité. - Mar 27 Oct 2009 - 10:23
Null était allongé sur le sol et ne bougeait plus. Il semblait mort, son cerveau avait peut être grillé en même temps que le reste. Une fine fumée sortait des trous d’évacuation de la chaleur. Soudain, plusieurs grandes volutes de fumée sortirent de ces mêmes trous. La chaleur ambiante augmenta de quelques degrés avant de retomber, la froideur de la mort reprenant le dessus. Deux voix bien distinctes commencèrent à s’élever. Les deux voix se chamaillaient.
Null Zale : Sénile vieux fou, tu as faillit me faire tuer…
Tor : Moi ? Un vieux fou ? Suis-je celui qui a défié un maître sith en combat singulier ?
Null Zale : Ancien maître sith comme l’a dit ton compatriote…
Null Zale : Sénile vieux fou, tu as faillit me faire tuer…
Tor : Moi ? Un vieux fou ? Suis-je celui qui a défié un maître sith en combat singulier ?
Null Zale : Ancien maître sith comme l’a dit ton compatriote…
[...]
Un bras se leva et vint taper sur le masque du cyborg. L’autre membre saisit le premier pour l’empêcher de continuer. Null avait l’avantage de toujours contrôler le bras doté d’une main. Plusieurs coup du blaster partirent et une illusion, très éphémère, de l’ancienne apparence de Tor apparue dans la salle. Un sourire carnassier occupait son visage. Deux être dans un même corps, cela peut causer quelques soucis.
Le lourd cyborg se releva, lentement. Les voix s’étaient éteintes. Null s’approcha de quelques pas du maître sith, puis posa, dans un geste très lent, un genou au sol. Les implants oculaires du Yevetha fixaient les yeux de vieux maître. Null prit la parole, les fausses lèvres bougeaient, signe que Tor était repartit dans son armure. La voix était moins grave, un peu plus mélodieuse.
Null Zale : Veuillez m’excuser, je ne voulais pas vous provoquer, mais, come vous avez pu le remarquer, le vieux sith me pose quelques ennui… Je suis actuellement à la recherche d’un foyer. Ma petite discussion avec Tor m’a fait comprendre une chose : Jamais plus je ne serai considéré comme étant un Yevetha de la part de mon peuple et notre rencontre m’en a fait comprendre une autre : C’est ici que je continuerai à vivre. Je suis un combattant, vous, les sith êtes des combattants, des combattants bien meilleurs que moi. Tor m’a affirmé que je pouvais utiliser le même pouvoir que vous, est-ce vrai ? Puis-je devenir encore plus puissant ?
Null porta sa main au masque qui recouvrait son visage. Il ne savait pas s’il pouvait enlever le masque, mais il tenta tout de même. Etrangement, le masque ne résista pas, comme s’il n’attendait que ça. C’est le visage meurtrit d’un ancien Yevetha, ressemblant beaucoup plus à un humain torturé durant des semaines qui apparu. De larges cicatrices couraient sur sa peau, plusieurs appareilles trônaient sur sa mâchoire. Seul Tor en connaissait l’utilité. Le Yevetha reprit la parole et utilisa une voix beaucoup plus cérémoniale.
Null Zale : Moi, Null Zale, ancien garde royal du Vice Roi Yevetha, jure désormais fidélité aux Sith et au maître sith ici présent.
En même temps qu’il parlait, Null avait baissé la tête, regardant fixement le sol. Il attendait le verdict du maître sith. C’était de cette manière que l’on jurait allégeance au vice roi chez les Yevetha. Null n’aillant que très peut fréquenter le monde extérieur, il ne pouvait connaître les coutumes des Sith. Le surplus de chaleur sortit de l’armure. La main du Yevetha tenait toujours le masque, comme un trophée…
Le lourd cyborg se releva, lentement. Les voix s’étaient éteintes. Null s’approcha de quelques pas du maître sith, puis posa, dans un geste très lent, un genou au sol. Les implants oculaires du Yevetha fixaient les yeux de vieux maître. Null prit la parole, les fausses lèvres bougeaient, signe que Tor était repartit dans son armure. La voix était moins grave, un peu plus mélodieuse.
Null Zale : Veuillez m’excuser, je ne voulais pas vous provoquer, mais, come vous avez pu le remarquer, le vieux sith me pose quelques ennui… Je suis actuellement à la recherche d’un foyer. Ma petite discussion avec Tor m’a fait comprendre une chose : Jamais plus je ne serai considéré comme étant un Yevetha de la part de mon peuple et notre rencontre m’en a fait comprendre une autre : C’est ici que je continuerai à vivre. Je suis un combattant, vous, les sith êtes des combattants, des combattants bien meilleurs que moi. Tor m’a affirmé que je pouvais utiliser le même pouvoir que vous, est-ce vrai ? Puis-je devenir encore plus puissant ?
Null porta sa main au masque qui recouvrait son visage. Il ne savait pas s’il pouvait enlever le masque, mais il tenta tout de même. Etrangement, le masque ne résista pas, comme s’il n’attendait que ça. C’est le visage meurtrit d’un ancien Yevetha, ressemblant beaucoup plus à un humain torturé durant des semaines qui apparu. De larges cicatrices couraient sur sa peau, plusieurs appareilles trônaient sur sa mâchoire. Seul Tor en connaissait l’utilité. Le Yevetha reprit la parole et utilisa une voix beaucoup plus cérémoniale.
Null Zale : Moi, Null Zale, ancien garde royal du Vice Roi Yevetha, jure désormais fidélité aux Sith et au maître sith ici présent.
En même temps qu’il parlait, Null avait baissé la tête, regardant fixement le sol. Il attendait le verdict du maître sith. C’était de cette manière que l’on jurait allégeance au vice roi chez les Yevetha. Null n’aillant que très peut fréquenter le monde extérieur, il ne pouvait connaître les coutumes des Sith. Le surplus de chaleur sortit de l’armure. La main du Yevetha tenait toujours le masque, comme un trophée…
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