Fúm Ellar
Fúm Ellar
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21 577, 1er semestre • En vol au-dessus du désert, en périphérie d’Anchorhead.


Fúm Ellar aka Pink Poppy – #E9CBE8
William Cavendish – #CC3333
Trifolium Ellar, grande sœur de Fúm – #CEFEED


« Et du coup, tu fais ça souvent ? Kart-jacker les gens, pépouze, à la cool, plutôt que de faire les trois cents mètres qui nous séparent du bureau et de prendre un speeder de la société ? Nan, j’dis ça parce que… J’crois qu’c’est une violence pas nécessaire qui affecte le capitale confiance de la marque. Regarde, c’est noté là ce que c’est le capital confiance. Je lui tends pour lui montrer mon datapad devant la truffe. Pas bien grave s’il est en train de conduire, osef, le ciel est vide de qui que ce soit alors bon… Par contre, bordel, partir en milieu de journée, comme ça, quelle connerie ! à la fois, c’est peut-être pour ça que les méchants ont attaqué pile main’nant, prce que bon… Faut être vraiment con pour prendre la route alors que les deux soleils font tout ce qu’ils peuvent pour faire cuir ce qui vit ici comme du bacon sur une pierrade… Et y a même pas la clim’ dans l’épave que mon Butchou-Chéri a « empruntée ». T’as vu ? Faut pas faire ça. Sinon, après, j’suis sûre que M’sieur Thornton, il va gronder. En vrai, j’suis même sûre qu’il l’a déjà fait, sinon, il me demanderait pas de te surveiller. Parce que tu peux croire et dire ce que tu veux, mais j’suis sûre que c’est pour ça que je suis là, faire attention à ce que tu fasses pas n’imp’. Alors, au fond, j’m’en fous, je crois, hein, mais ça me ferait chier qu’on perde des sous parce que tu fais n’importe quoi avec les voisins, et que du coup, mon contrat il saute, alors même que je viens de le signer. Alors la prochaine fois, on les fait les trois cents mètres, et même les trois cent vingt-cinq, on n’est pas à ça près. ‘Fin bref. On est bientôt arrivé, là ? J’ai l’impression qu’on vole depuis des heures. » Je regarde derrière nous, la vie est encore bien, bien visible. Faut dire avec ce genre de tour chelou qui dépasse des dunes, elle est pas dur à rater. C’est à ça que ça sert, peut-être, en fait ? Voir au-dessus des dunes ? Ce serait pas con, ceci dit, parce que tu coup, tu grimpes sur n’importe quelle dune, et j’imagine que la nuit, tu vois la ville. Un genre de phare, perdu, au milieu des vagues de dunes qui n’ont que les dunes pour arrêter les vagues, et quelques rochers parfois. Je lâche un soupire à fendre l’âme et je me laisse mourir sur la portière, regardant en contrebas de notre engin si on voit des trucs. Et devinez quoi ? Bah… on voit des dunes. Bon, j’exagère, tous les mille mètres, y a p’t’être un machin vert tout rabougri qui fait genre que la planète entière est pas totalement crevée. Et des cailloux aussi. Mais j’imagine que ça compte pas. – Hey, imagine, en fait, au début, c’était rien qu’un grand océan, avec des continents et tout, et des p’tites îles, et genre, y a des extraterrestres ils sont venus, ils se sont dit « c’est cool mais il fait un peu froid, v’nez les gars on met un deuxième soleil et on transforme tout ça en balnéo. Et là, les gars, ils se plantent juste un peu dans leur calcul, et PAF ! Toute l’eau elle s’évapore… Ce serait super drôle. Très con comme explication, mais super drôle. Enfin… On arrive bientôt ? Je me retourne. On voit encore la ville. Un peu moins. Un tout petit peu moins. Bordel… Mais comment des trucs aussi petits et aussi puants ont pu aller si loin si vite ? De vrai ! On a pris combien de temps à négocier avec Monsieur Ouin-Ouin et à tabasser les autres alcoolos ? Moins d’une heure… J’suis sûre moins d’une heure. Alors bon, j’sais pas c’qu’ils prennent les lutins, mais bordel, ça doit être de la bonne qui motive. – J’m’ennuie, Butchou, tu m’racontes une histoire ? – Je connais pas d’histoire. – Même pas une ? Allez... Celle de... Ta première aventure amoureuse d'adolescent ! Allleeezzzzz ! – humpf...je n'ai rien vécu de tel ! Moment de blanc gênant de ouf, normal, puis il gueule. – Les aventures amoureuses ça sert à rien en dehors des emmerdes ! – C'est toujours comme ça au début du film. Le grand trop plein de ténèbres il ose pas, et puis après, c'est moi la princesse qui vient enchanter sa vie et lui faire découvrir les choses fun de l'amour. T'inquiètes mon Butchou, dans six mois, t'auras plein de trucs à raconter à tes petits copains alcoolo ! Mon com’link sonne, j’vois que c’est l’identifiant de Trifolium, alors j’décroche, elle doit se demander comment ça s’est passé. – Toi, tu passes trop de temps devant les holo-films... » Et comme j’suis une grande fille, j’réponds d’une grimace style ‘niah, niah, niah’ à la remarque de Sasouké.

De ce moment, un Zhumain, s’il veut être absolument sûr de tout comprendre c’qu’on dit, il a intérêt à se repasser le moment au ralenti. Genre, x 0,65, au moins. « Alors ? – Alors ta sœur n’est plus une mercenaire sans accroche, c’est bon ! J’ai eu le job. J’suis déjà en train de tàfer, là, pendant que mon nouveau collègue adoré conduit. – Tu lui dis bonjour de ma part ? – Oui, je lui dirai, mais toi, tu dis rien aux parents, hein ! C’est moi qui leur annonce. – Parce que tu me penses vraiment capable de te voler ce plaisir ? – Non, non… Mais je sais comment ils sont quand ils posent des questions… Pire que l’inquisition Sith ! – Tu sais que s’ils sont aussi fort pour te faire dire la vérité c’est avant tout parce que tu es la pire menteuse que j’ai jamais vu et que, comme tu le sais, tu paniques direct ? – Niah, niah, niah… En attendant, j’ai déjà bien assez de qualités, si j’deviens en plus la meilleure menteuse de la famille, j’vais vous laisser quoi, hein ? – Ah, ah… Bon, et du coup, ton travail consiste à rester au téléphone avec moi plutôt que de travailler ? ça donne l’air d’être super compliqué. – Bah nan, hein… J’ai déjà régler un problème de monsieur qui voulait pas rendre l’argent, comme l’oncle Fion, t’sais ? Le vieux voisin tout zarb. ‘Fin bref. Et j’ai allongé un poivrot qu’a tapé mon collègue aussi. Là, on est en route pour aller aider des Jawad. Des petits bonhommes tout moches qui puent la mort de Tatooïne. Même que jamais d’la vie j’veux passer la nuit dans un de leur appart’ tellement qu’ils puent… Enfin bref. Du coup, au moins, tu me passes le temps. J’ai l’impression ça fait mille ans qu’on vole. – Et t’as montre elle donne quelle impression ? – Neuf minutes. Mais j’suis sûre c’est l’horloge qui déconne… – Mmmhh… L’horloge, bien sûr. Bon, j’te laisse, j’étais juste inquiète de savoir. J’suis heureuse pour toi, déchire tout Fúfú, on t’aime. Toute la famille te fait des bisous, ici. – Compte sur moi. Encore merci pour le coup de main. J’vous aime aussi. Bye. »

… Je me retourne encore. J’vois encore la p’tite pointe de la tour. PUTAIN ! … Je soupire. Pourquoi qu’ils sont si lents les véhicules des pauvres sur Tatooïne, sérieux ! Et là, stupeur et tremblements ! Mon amour gothique réengage la conversation : « Puisque t'es si maligne, vas-y...T'as suffisamment d'imagination pour refaire le fil de ma vie. Je serais bien curieux de voir ce que tu crois savoir sur moi. On verra si tu tapes juste. Qu’est-ce que j’y connais, moi, en Zhumain ? D’mon point d’vue, z’ont tous des vies nulles et ennuyeuses à mourir… – Mmhh... Je suis nulle pour ça. Je connais pas assez les Zhumains... Elles sont chiantes vos vies. Par contre, je suis super forte pour savoir si tu mens. Tu veux on joue au jeu des questions ? Tu dis trois trucs, un vrai et deux mensonges, et moi je dis lequel est vrai. Ceci dit ma sœur te remet le bonjour. Ouais, ça j’suis trop forte. – Humpf… Intense moment de réflexion sous ses sourcils de teigneux puis finalement, avec le même enthousiasme qu’un Gizka mort sur un bas-côté d’une route industrielle. J’ai été infirmier militaire, je n’aime pas la viande et je sors avec Evangélie. Ppfff… Même pas un challenge. – Trop facile, t'as été infirmier. C'était comment d'être infirmier ? J'en ai croisé un déjà... De docteur dans l'armée. Il était pas très rigolo mais gentil. Et intelligent aussi. Et pour Evanjolie, c'est mort, dans trois jours elle est dingue de moi, c'est sûr. Déso pas déso. Merde ! Il grimace, on dirait que son visage est tellement pas habitué à exprimer des trucs qu’on l’entend presque grincer en luttant contre la rouille. – C'était à chier. Les études cool...mais les militaires républicains...tous des balais dans le cul. Dès que tu dévies de leur pseudo-moralité ils lèvent les boucliers. Des enfoirés d'hypocrites...Et pour Evangélie, je serai curieux de voir ça. D’habitude, j’aurais lancé une vieille pique salace sur le fait que s’il était un gentil garçon, il pourrait carrément voir s’il voulait, mais là, j’ai des souvenirs qui m’reviennent et qui m’énervent : – HHAAANNN ! J'suis tellement d'accord... J'ai travaillé avec un, une fois... Putain la leçon de morale et tout, genre le gars il se croyait mieux que moi et tout. 'fin bref... Les militaires, quoi. Tu veux essayer de deviner pour moi ? – Nous voilà d'accord sur un point. Quelle victoire… m’enfin, il compte mal, y a deux points sur lequel on est d’accord, j’sais qu’il me trouve trop belle et trop forte mais qu’il est trop timide pour le dire. Comme dans les films. Je suis pas sûr d'être doué pour ça. – Alors ça me laisse une chance car je suis super mauvaise menteuse... Alors... J'ai été un Chevalier Jedi, j'ai plus de soixante frères et sœurs et j'ai déjà travaillé pour l'Empire. Il réfléchit, déforme encore sa tête pour simuler qu’il est pas un robot sous couverture en attendant de faire la révolution des robots et répond, non sans m’avoir fait attendre deux vies de Lepi : – Tu as dit à Thornton que tu avais refusé de passer les épreuves, donc non tu n'a pas été chevalier Jedi, pour les frères et sœurs...ça fait beaucoup quand même...Je sais pas je connais pas les Lepis...Et bosser pour l'Empire...pour une fille qui a failli être un Jedi je trouve que ça colle pas. Donc je dirai non. Il me fait rire ce con. Il a rien compris au jeu. – Nah mais y a un truc de vrai, là-dedans, promis ! – Sans déconner...les frères et sœurs ? Non ! C'est possible ? Je ris encore, j’adore voir la gueule des Zhumains quand ils se rendent compte du souci Lepi. – Si, si ! Je suis là vingt-neuvième. Et les derniers ont deux ans main'nant, mais Mam's elle s'est faite opérée, cette fois, elle est sûre d'être tranquille. – Ben putain... ça doit faire de sacrées réunions de famille. – T'imagines même pas. Et si toi, t'es genre "j'ai zéro sentiment j'suis trop Dark", les Lepis c'est hystérie collective au moindre pépin. On a même une salle exprès pour passer nos nerfs... Truc de ouf. Les Zhumains nous prennent pour des guedins. Dans ma portée, on était sept ! – Mouais...j'ai jamais été très famille. Sauf avec mon frère. – Nous c’est dans les gênes, c’est dans le cœur. On s’aime tous à la folie. T’as un frère, toi, de vrai ? HAAANN ! Regarde-là ! De la fumée, c’est forcément là ! Accélère ! » ENFIN ! Bordel… Comment qu’ils ont pu aller aussi vite, les salauds !

🥕

Je suis obligée de me péter la nuque pour réussir à apercevoir le sommet du bordel, main’nant qu’on est au pied. « Et ils sont en train de nous dire qu’avec un putain de building roulant, de genre douze milliards de tonnes, ils sont pas foutus de résister à l’attaque de quelques crevards en pyjama du désert ? Sérieux ? Et putain, qu’est-ce qu’ils puent, merde… Jamais tu me fais mettre les pieds là-dedans de la vie, Butchou, j’te le dis, je préfère crever au soleil que de monter là-dedans. » J’ai le nez qui n’arrête pas de gigoter comme pour esquiver les effluves méphitiques qui s’échappent des lutins qui nous tournicotent tout autour en piaillant comme des gens de… de quoi d’ailleurs ? C’est tellement chelou leurs pouic pouic qui leur sert de langage que j’arrive pas à faire de comparaison, merde. Et cette odeur de brûlé qui vient s’ajouter au reste… Bon, j’avoue, j’suis un peu triste pour eux. C’est vrai qu’ils ont deux, trois copains qu’ont sévèrement douillé, y en a même un qu’est en deux morceaux je crois. M’enfin, tant que Sasoulé m’a pas mise au parfum de ce que ça charabiate, j’peux pas faire grand-chose sinon essayer d’admirer l’engin qui me toise et, surtout, essayer de ne pas gerber sur un des lutins.
William Cavendish
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Il était quelque peu perplexe. Outre le fait que cette fille était un vrai moulin à paroles, elle n’avait pas hésité à lui dire ce qu’elle pensait de ses méthodes. Elle n’avait absolument pas peur de lui. Certes il ne cherchait pas à faire en sorte qu’elle le craigne, mais il n’était pas habitué à un tel comportement à son égard. Et la conversation lui sembla des plus étrange. Elle parvenait à lui arracher des propos…à le faire parler. Ce n’était pas une chose courante. Il était plutôt du genre à grogner ou demeurer de marbre face à ses interlocuteurs. Mais cette Lepie…Elle déblatérait tant d’informations à la seconde qu’il se sentait obligé, à un moment donné, de répondre.

Le voici donc dans une situation qu’il n’aurait pas soupçonné…Être si bavard à jeun ne lui ressemblait pas. Surtout pour une conversation aussi futile. Il devait bien reconnaitre que cela lui permettait d’en apprendre un peu plus sur elle, notamment avec ce « jeu ». Elle avait eu une mauvaise expérience avec au moins un militaire de la République. Rien de surprenant là-dedans. Sa surprise avait été sincère quant au nombre de frères et sœurs que pouvait avoir Fúm. Il avait déjà du mal avec un seul frère…mais alors là.

Car oui il avait un frère. La seule famille qui lui restait et pour qui il rait jusqu’en enfer s’il le lui demandait. Le seul dans cette galaxie qui n’avait rien à craindre de William. Son frère qui l’avait sorti d’un pénitencier militaire républicain en mettant en avant l’irresponsabilité de William face à ses crimes. Son frère qui veillait sur lui depuis ce moment, tout en exploitant le trouble du jeune homme pour parvenir à ses fins. Malgré cela l’attachement des deux frères était réel, même si Emmett Cavendish avait changé de nom il y a bien longtemps pour prendre celui de Cole Thornton, cachant ainsi son lien avec William.

Heureusement, ce secret familial allait pouvoir demeurer, Fúm ne s’était pas attardé sur la question et avait repéré leur objectif. La colonne de fumée n’engageait rien de bon. William poussait le landspeeder à sa puissance maximum, filant au travers des dunes de sables, en direction de l’énorme char des Jawas qui venait de paraître devant eux. La chaleur était des plus harassante, mais ils avaient une mission.

« Les chars des sables sont des forteresses ambulantes oui. Mais ce clan de Jawas n’est pas parmi les plus grands combattants de cette planète. Bien au contraire… »

Sitôt le landspeeder stoppé, une foule de petits lutins aux yeux jaunes scintillants s’étaient rués vers eux armés de blasters et autres pétoires pas forcement conventionnelles. Ils s’exclamaient dans leur langue et gesticulaient dans tous les sens.

« Sabioto !! Nyeta !!! Hunya Ashuna !! Ny shootogawa! »*

William montra ses mains pour signaler aux petites créatures qu’il ne voulait rien leur faire :

« Hé on se calme ! On n’est pas des ennemis. Qui parle basic ici ? Ou Bocce ? » Il désigna Fúm et lui-même : « Nous eyeta**. Comprenez ? Eyeta** ! Amis ! Eyeta** Bizz »

Il ne parlait pas Jawaese, il ne connaissait que quelques mots appris sur le tas au contact des petites créatures. A la mention de Bizz les Jawas stoppèrent leurs vociférations menaçantes. L’un d’entre eux désigna William :

« Czerka ! Eyeta** Czerka ! Chapeau Noir ! »

« C’est ça ! On est de la Czerka, Bizz nous a contacté ». A nouveau les petits chapardeurs repartirent dans leur discussion. William soupira : « ben on n’est pas arrivé si on pige quedal à leur récit…Où est Bizz ?! »

Les petites silhouettes s’animèrent et fit signe à leurs visiteurs de les suivre. Ils les guidèrent en direction du char, où les Jawas survivant avaient rassemblés leurs congénères blessés. William vit alors, allongé parmi d’autres celui que les autres lui désignèrent comme :

« Bizz ! »

Il s’approcha et se pencha sur le petit corps. Les siens avaient pris soin de lui mais le petit être était incapable de les aider. Impassible devant la condition de celui qui se rapprochait le plus d’un ami pour lui, William soupira.

« Il ne nous aidera pas à comprendre ce qu’il s’est passé. » Le jeune homme se redressa et observa le char… « Il y a des impacts récents… » Il passa sa main sur la tôle noircie à certains endroits. « Ils ont dérouillés » fit-il en se tournant pour observer tout autour d’eux les petits cadavres qui jonchaient le sable. Il retira son chapeau noir et s’en servi comme d’un éventail alors qu’il cherchait comment les assaillants avaient pu s’y prendre pour causer tant de dégâts. Il se tourna vers un Jawa : « vous avez un droïde de protocole ? droïde ! » La petite créature le regardait avec des grands yeux, sans comprendre. « Merde comment on dit droïde dans leur langue à la con… » Dans un élan de désespoir, le Brentaalien mima des gestes saccadés comme ceux que pourraient avoir un protocolaire. Si les petits êtres le regardèrent de prime abord comme s’il avait perdu la raison, la lumière se fit dans leurs esprits. Et ils firent signe à Fum et Will de les suivre…à l’intérieur du Char des Sable.

« Ouai…ouai on arrive. Ils doivent avoir un droïde là-dedans. Et de toute manière les soleils sont à leur paroxysme, on n’a pas le choix. On ne pourra rien faire de bon avec cette chaleur. Il faut qu’on sache qui a fait cela. J’espère juste que les Tuskens ne sont pas mêlés à cela… »

Et sans hésitation, il entra dans le char. Il ne comprenait pas ce que Fum avait contre les Jawas et leur odeur. Certes ils dégageaient un effluve peu agréable mais de là à dire qu’ils puent…Il ne songea pas un instant que la Lepie, de par son ascendance, avait un odorat plus développé que le sien.



* Stop! Ennemis! Allez-vous en! Ne tirez pas sur nous!
** Ami





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