Invité
Anonymous
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]


Le parc du temple jedi était un endroit merveilleux. Pas seulement par se qu’il s’y trouvait un très grand nombre de fleure, ou par se que plusieurs jardinier s’en occupait presque tout le temps. Non, la beauté du parc résidait dans son harmonie. Il arrive des fois quand on se passionne pour le jardinage, de ressentir l’harmonie des plantes. De savoir ou les planté, ou elles vivront bien, ou elles seront en harmonie avec leur entourage, se qui fera qu’elles ne seront que plus belle. Cette harmonie que connaisse bien des jardiniers, on pourrait appeler cela une des formes de la force. C’est en se passionnant pour une chose en y mettant tout sont amour qu’on a le plus de chance de ressentir la force. Comme deux amoureux qui savent a quoi pense l’autre, ou un maître sachant se que sont animal domestique a besoin, ou un jardinier sachant comment s’occuper de ces plantes. C’était harmonie rend les choses magnifique, même les plus infimes. Le parc me faisait ressentir cette harmonie et je le trouvais plus relaxant que toute salle de méditation qui se trouvait dans le temple. De plus j’avais toujours milieux réussie a me concentré ave le doux chant de la nature a mes oreilles plutôt que le silence. A chacun sa manière de médité comme les maîtres le disaient. Certain préférant le silence et l’immobilité alors que d’autre prêteront les son ou l’activité manuel. L’arkanienne qui dormait dans le lit à côté du mien dans nos dortoirs était aussi très doué en mécanique, et elle disait souvent pouvoir mieux se concentré quand ces main était occupé. Moi hélas, je ne savais pas trop quoi faire de mes mains. Je n’avais aucun véritable domaine de prédilection. J’aimais a apprendre à manipuler la force, mais je n’étais pas plus doué que les autres. Mais se que j’aimais c’était l’eau, et j’avais toujours eu plus de facilité a me concentré sous l’eau, cela était mon élément. Mais il n’existait aucune salle de méditation immergé, alors je préférais me rendre au parc, ou il se trouvait quelque lac.

Etant, l’une des rares représentantes d’une race amphibie dans le temple, j’avais peut de chance de rencontré quelqu’un au fond d’un lac et je préférais cela. Ce n’était pas que je n’aimais pas la compagnie, au contraire, mais j’avais toujours eu du mal à me faire comprendre et à communiquer avec les autres. Mes maîtres m’avaient déjà fait des remarques sur ma peur de faire face à l’autre, et tout le monde savait que la peur est un élément dangereux pour un jedi. La peur peut brûler et quand elle brulure elle prend la forme de haine et cette haine alimente le côté obscure. Je n’étais encore jamais véritablement sortie du temple. Elevé comme presque tout les autre loin de toute corruption au cœur du temple, je ne connaissais pas encore la nature exacte de se côté obscure. Je me demandais parfois comment pouvions nous prendre garde sans avoir peur d’une chose qu’on ne comprend même pas. Mais cela devait être une des nombreuses choses que je devais sans doute apprendre quand je serais la Padawan d’un maître… si je l’étais un jour.

Je profitais donc, de cette belle après midi ensoleillé pour aller me promené dans le parc. Je ne savais pas encore trop se que j’étais venu y faire. Je n’avais pas envie de médité et j’étais encore un peu frustré de m’être brulé le bras avec mon propre sabre laser, toute seul en entrainement en solo. Je trouvais cela plutôt honteux de me blesser comme cela. Mon sabre était encore un sabre d’entrainement, se qui ne causait pas encore de brulure trop grave, mais que ferais je quand j’aurais mon propre sabre. Je n’avais encore jamais entendu parler d’un jedi c’était tuer avec son propre sabre par accident. Je préférais entrer dans les archive jedi d’une autre façon que par une mort stupide. Pourtant je passais beaucoup de temps a m’entraîné au sabre, même si je n’aimais pas cela. Mon sabre d’entrainement, je l’avais choisit et non construit. Cela pouvait être un des facteurs faisant que je l’utilisais mal. Je trouvais le manche un peu trop petit et pour tout dire je le trouvais même trop léger. Je n’avais vraiment pas l’impression d’utilisé un sabre mais seulement un jouet en plastique. Le maître d’arme m’encourageais essayant de me faire comprendre que mon sabre n’était pas encore adapté a moi et moi a lui, que je n’avais pas encore trouver de style, il était plutôt gentil, mais je savais qu’il faisait cela surtout pour m’encourager et que si il ne me faisait que rarement des remarque négative, c’est par se qu’il voyait que je prenais beaucoup de temps pour tenter de combler mes lacunes. Mais je ne voyais pas beaucoup de différence. Alors que les autre pouvais déjà s’affronté en duel, et que certain étaient vraiment très doué. Moi je devais encore faire attention a pas me blesser toute seule. C’était un peu décourageant, mais je gardais espoir, j’espérais toujours qu’un maître me prenne sous son aile.

Je finis par profité d’un rocher qui se trouvait la au borde d’un petit lac, pour m’asseoir. Du bout des pieds, que j’avais plus ou moins toujours nue, je touchais la surface de l’eau créant des rond dans l’eau qui grandissait avant de doucement se dissipé dans la grandeur du lac. Voila quelque fois se que j’avais l’impression d’être. Un petit rond dans l’eau qui n’a pas assez de force pour s’étendre, et qui se dissipais rapidement dans la masse des autres bons et moyens élèves. Si maître Jorul, notre maître de philosophie savait que je pensais cela, il s’offusquerait. Ce n’était pas l’esprit de l’ordre de penser a soit. Il fallait pensez a nous tous, l’ordre jedi était un tout et non plusieurs entité. Mais je n’avais pas le cœur a me posé des questions philosophiques pour le moment. J’avais envie de calme et de relaxation et la en pleine nature les pieds dans l’eau et seule, je me sentais bien. Je ferma mes yeux et laissa mes tentacules crâniennes absorbé les odeurs qui m’entourait. Mon nez n’était pas le que pour faire jolie, mais sentir les choses grâce a mes appendices rendait plus vivante les odeurs, et c’était une chose que j’aimais. Je pouvais sentir les plantes autour de moi, mais aussi les phéromones que dégageais les animaux autour de moi. Je ne pouvais les vor, mais je pouvais les sentir. L’odeur d’une plante attira mon intention, et je me concentra dessus. L’odeur avait quelque chose de familier, mais aucune image ne me revenait en mémoire. Sans doute une odeur venue de mon ancienne vie, sur ma planète natale. J’avais été trop jeune pour que des souvenir reste, seul de rare image faisait parfois des apparitions. Mais je tentais de ne pas m’accrocher à cela. Je faisais partie de l’ordre jedi aujourd’hui et c’était ma famille. Mon passé était derrière moi et je ne devais pas m’y accrocher.
Lyrae O'Sil
Lyrae O'Sil
Messages : 560
Eclats Kyber : 0
Quelques semaines auparavant seulement, en plein milieu de l'après-midi, Lyrae se serait certainement trouvé avec les autres padawans en cours commun. Beaucoup n'étaient pas obligatoires, mais ils avaient servi, pendant des années, à tromper l'ennui que le jeune homme éprouvait au sein du Temple lorsqu'il n'était plus occupé. Ni la méditation, ni le sommeil, ni les heures passées à lire des ouvrages empruntés à la bibliothèque ne parvenaient en fait calmer l'étrange anxiété qui le tenaillait chaque jour. Lyrae remettait ça sur le compte de l'ennui, mais la vérité était plus subtile et il allait mettre encore beaucoup de temps, probablement, à comprendre la cause de ce malaise.

Mais, depuis quelques semaines, tout avait radicalement changé : un soir, Maître Don l'avait convoqué au Conseil et lui avait donné pour Maître le Chevalier Misha, une jeune trianii vive et lunatique. C'était la dernière personne qu'il se serait attendu à avoir comme Maître, et pourtant... La réalité était bien là. Ils ne se connaissaient qu'à peine encore, mais l'évènement avait bouleversé la vie du jeune homme. Il ne se sentait plus obligé d'assister aux cours communs, mais il savait pertinemment qu'il aurait de moins en moins droit à l'erreur : se tromper dans un cours n'avait pas les mêmes conséquences que se tromper dans une mission. Il sentait une sorte de risque pointer son nez ; il quittait le cocon protecteur du Temple... Et il devrait désormais savoir se défendre.
La pratique du sabre laser prenait tout d'un coup tout son sens : il n'avait jamais été particulièrement bon dans ce domaine mais c'était surtout par manque de motivation. Désormais, il ne s'entraînait plus avec les autres padawans du cours commun aux enchaînements classiques mais commençait à travailler seul et durant de longues heures, autant pour développer son endurance que pour tenter d'élaborer de nouvelles techniques.
Mais il ne privilégiait pas le centre d'entraînement. Les néons l'horripilaient de plus en plus, et il préférait la fraîcheur et la luminosité naturelle du parc du Temple. On s'y sentait plus proche de la nature, et donc, selon le cœur de Lyrae, de la Force.

Cette nouvelle pratique devint peu à peu une habitude : tous les après-midis, il retrouvait un coin tranquille dans l'immense parc et débutait sa séance par les enchaînements classiques, sabre éteint. Lorsqu'il les trouvait presque irréprochables, il les refaisait tous sabre allumé. Puis il improvisait, s'inventant des ennemis imaginaires pour se motiver.
Il privilégiait un certain calme, de la vivacité et une concentration alerte à ce qui l'entourait plutôt que des coups vraiment dangereux que visaient certains padawans et les acrobaties extrêmes des grands maîtres les plus agiles.

Ce jour-là, son entraînement commença de manière semblable à tous les précédents. Il se plaça non loin de l'eau, dans un endroit où ne se trouvaient ni les cris amusés des plus jeunes et de leurs jeux, ni un maître plongé dans une profonde méditation. Là, il serait tranquille. L'herbe sous ses pieds et les clapotis de l'eau du lac était un apaisement inégalable. Il soupçonna la Force d'être derrière tout ça... Il sourit pour lui-même, se croyant hors de vue de quiconque. Il n'avait pas remarqué qu'une jeune nautolan immobile était assise, les pieds dans l'eau, non loin de là...
Il ferma les yeux et empoigna son sabre laser, sans l'allumer. Lentement, silencieusement, il effectua quelques mouvements de parade, puis d'attaque. L'on aurait dit un étrange danseur. Au bout de quelques minutes, il activa la lame blanche de son sabre laser, et reprit un à un les mêmes mouvements trois ou quatre fois. Puis il les enchaîna successivement, les compliqua, les inversa. Ses muscles étaient parfois un peu douloureux et il grimaça à plusieurs reprises mais s'interdit de ralentir ou déformer ses gestes.

Trois quarts d'heure s'étaient écoulés lorsqu'il décida de faire une pause. Transpirant, il éteignit son sabre et se retourna vers le lac : il n'avait qu'une idée en tête, se rafraîchir !
Mais au moment où il s'agenouilla au bord de l'eau, il se rendit enfin compte qu'il n'était pas seul. Son regard croisa les grands yeux noirs de la nautolan et il fut un instant décontenancé. Il lui sourit maladroitement avant de plonger ses mains dans le lac et de s'éclabousser le visage d'eau fraîche.
Invité
Anonymous
Les yeux dans l’eau et l’esprit au vent, je n’entendis pas arriver le jeune homme. Pourtant il avait du passer droit devant moi, sur l’autre rive, pour atteindre la position ou je l’avais trouvé. J’avais été sans doute trop plongé dans mes pensées pour ressentir sa présence dans la force, j’étais encore qu’une aspirante, je n’avais pas encore de grande facilité à ressentir se qui m’entourait. Se fut seulement quand il s’arrêta, que je détecta son odeur et que je redressa la tête vers lui. Le jeune homme ne m’était pas inconnu, je l’avais déjà croisé dans le temple. Il était un Padawan plus expérimenté que moi, il devait avoir dans les vingt ans. Je l’avais déjà croisé, mais ne lui avait jamais adressé la parole et notre différence d’âge n’avait jamais du nous réunir dans une même classe. J’étais par contre totalement incapable de savoir son nom, et je ne l’avais sans doute jamais sue.

J’hésita une seconde sur l’attitude à prendre. Rapidement ma phobie et ma timidité prirent le dessus. Je me demandais si il fallait que je quitte les lieux sans qu’il me remarque pour pas le dérangé, ou si j’avais le droit de le regardé. Pour la majorité des personnes ce genre de questions fusaient en une seconde dans leur tête avant de trouver une réponse adéquate, moi j’étais bloqué la dessus et sa avait toujours été comme sa. J’avais une sorte de peur de la réaction des personnes qui m’entouraient, plusieurs maîtres c’était penché sur le problème, mais la plus pars me prenaient simplement pour une fillette timide et pourtant j’étais presque sur que c’était plus de la timidité, mais bien de l’agoraphobie. Encore une chose en moi qui n’était pas très « jedi ». On nous enseignait que la peur n’existait pas, seul la force existait et malgré que je me répète cela dans ma tête, c’était belle et bien de la peur qui me faisait tend hésiter sur une question aussi simplette que de regarder ou partir. C’est une peur irrationnelle que je me devais de maîtriser.

Ma timidité prenant le dessus, je désira me lever pour quitter mon cailloux, mais au même moment, le jeune homme débuta des mouvements de sabre laser. Ma curiosité pris rapidement le dessus sur toutes peurs et je resta là à l’observer. Même s’il était au même rang que moi, il avait bien plus d’expérience que moi et ces mouvement était plus fluide et harmonieux que le meilleur de ma classe arrivait à faire. Il semblait d’abord répéter ces mouvements sa lame éteinte, répétant sans arrêt certain mouvements sans doute pour qu’ils deviennent parfait. Je ne voyais pas trop de différence, mais mon niveau au sabre était trop bas pour voir certain subtilité. Je l’observais s’entraîner avec un certain désir de pouvoir, moi aussi, un jour faire pareille. Quand on se trouve en complète harmonie avec sa lame et que celle-ci devient une partie intégrante de notre corps et de notre esprit. C’était loin d’être encore mon niveau et je ne doutais pas que ce n’était pas non plus celui du jeune homme. J’avais souvenir un jour d’avoir vue notre maître d’arme en plein concentration. C’était un spectacle magnifique à voir, mais hélas il ne le montrait pas, il faisait cela seul. Je l’avais surpris par pur hasard et je l’avais observé. Ces mouvements semblaient si lents et si gracieux, et pourtant sa lame filait si vite dans l’air qu’il créait des murs de lumière. Sa avait été un véritable plaisir de le voir. Je me demandais se que pouvais donner un combat réel.

Pour dire vrai, je n’avais jamais apprécié me battre avec mon sabre-laser. Les duels que j’avais fait avec mes camarades étaient plus des contraintes qu’autre chose, tandis que certain semblaient danser avec leur arme tellement il se sentait bien en pleine action. Je me demandais encore une fois si la vie de Padawan était vraiment pour moi, ou s’il ne fallait pas mieux que je me tourne vers le corps agricole de l’ordre jedi. J’avais toujours eu une assez bonne approche avec les animaux et j’avais toujours eu l’amour des choses venant de la terre. Peut être au bout du compte, la vie d’aventure a travers la galaxie n’était pas pour moi et que seul mes rêves et une certain curiosité me poussaient à continuer d’espérer qu’un maître me prenne sous son ail.

Un soudain silence coupa court au fil de mes pensées. Il me fallut une seconde pour comprendre que le jeune homme venait d’éteindre sa lame et qu’il s’approchait de moi… ou plutôt de l’eau ou il voulait sans doute se rafraichir après son long entraînement. Ces yeux se posèrent sur moi qu’une fois qu’il fut accroupi près de l’eau et il sembla surpris de me voir là et m’adressa un sourire maladroit. Ne sachant trop quoi faire d’autre, je lui répondis avec un autre sourire et je me sentie tout de suite devenir plus foncé, se qui équivaux a un rougissement chez les humain. Puis prenant mon courage à deux mains, je dissipa ma peur d’aller vers l’autre.

- Désolé, mais je t’ai regardé t’entraîner. Je ne voulais pas te déranger.

C’était un début de discussion comme un autre. Je n’avais bien entendu rien pue faire d’autre que de m’excuser, alors que dans ma tête j’étais certaine de rien avoir à me faire pardonner, mais c’était sortie tout seul et sa me semblait un commencement plutôt poli. Je sentie mes tentacules faire la moue sur mes épaules, mais je doutais que le jeune homme sache que sa montrait la gêne que j’avais. Les humains n’avaient que des poiles qui ne servaient pas a grand-chose sur la tête, et rare étaient ceux qui était capable de déchiffré le langage de nos tentacules crâniennes.
Lyrae O'Sil
Lyrae O'Sil
Messages : 560
Eclats Kyber : 0
L'eau claire fit du bien à Lyrae. Elle effaça pendant un instant les effets lancinants de la fatigue et calma son esprit échauffé par ses erreurs. Il progressait si lentement à son goût ! Mais il n'avait d'autres choix que de continuer à s'entraîner. Rien ne pouvait accélérer cette progression. Du moins, rien qui en vaille la peine, lui semblait-il.
Lorsque la jeune nautolan lui parla, il se rendit compte, à sa voix claire autant qu'à son corps fin bien que musclé, qu'elle devait être bien jeune. Il lui sembla que ses tentacules bleus clairs frémissaient mais il était incapable de dire si ce n'était que le fruit de son imagination ou non. De toutes manières, même vérifiée, l'information ne lui aurait servi à rien. Il était tout-à-fait incapable de comprendre quoique ce soit de ce type de communication. Il supposa que la jeune fille s'en doutait.

- Il n'y a pas de problème, ne t'inquiètes pas. Tu ne m'as pas dérangé... En fait, je ne t'avais même pas remarquée, admit-il en haussant les épaules avec nonchalance.

Il croisa son regard en se demandant s'ils s'étaient déjà rencontrés. Les Nautolans n'étaient pas légions au Temple et il était à peu près sûr de l'avoir déjà vu : dans les couloirs, au réfectoire... Mais il ne connaissait rien d'elle. Pas même son nom. La seule chose qu'il pouvait deviner était qu'elle avait dû être bien discrète. C'était autre chose que cette petite fille en chaise roulante qui causait tant d'histoires... Comment s'appelait-elle déjà ? Shaken ? La pauvre handicapée s'était fait une terrible réputation... Pour une fois, il trouvait qu'il avait eu raison de se faire discret, lui aussi, jusqu'ici.

- Je crois que nous ne nous connaissons pas,
fit-il pour briser le silence qui commençait à le gêner un peu. Mon nom est Lyrae O'Sil, et je suis le padawan du Chevalier Misha.

Peut-être la connaissait-elle ? Son Maître se faisait plutôt remarquer dans le Temple, contrairement à lui. Mais elle était amusante, après tout, il ne lui en voulait pas le moins du monde.

- Et toi, tu es... ?

Il lui sourit. Lui qui avait été si timide pendant tant de temps commençait peu à peu à s'ouvrir aux autres...

Son regard se tourna vers le fond du lac. Quelques poissons ondulaient leur corps dans le bassin mais les rayons du soleil projetaient des éclats à la surface qui empêchait quiconque de les suivre longtemps du regard.
Sans y penser, Lyrae faisait tournoyer l'extrémité d'un petit bout de bois dans l'eau, observant pensivement les remous que son geste produisait. Cela lui rappelait étrangement son entraînement ; le mouvement du bâton provoquait des phénomènes dans l'eau de la même manière que ses membres devaient en provoquer dans la Force. Le tout était d'en prendre conscience et surtout de comprendre comment tout cela fonctionnait pour pouvoir le maîtriser... Même s'il lui faudrait des dizaines d'années pour cela.
La vie de Jedi était bien loin d'être la plus facile... Mais il avait cessé de se demander s'il était à la hauteur. Il n'en avait plus le temps. Lorsqu'il n'était pas en mission, il s'entraînait ou étudiait et lorsqu'il ne faisait rien de tout ça, il était si épuisé et avait tant soif de repos qu'aucune pensée de ce type, pourtant si nombreuse avant, ne venait s'introduire dans son esprit.
Mais chassez-le et le naturel revient au galop... Lyrae faisait juste semblant de ne pas savoir que les armées de doutes reviendraient, tôt ou tard. En attendant, il faisait bonne figure.

Se rendant compte qu'il n'était pas poli de disparaître ainsi dans ses pensées alors qu'une conversation était engagée, il posa à nouveau son regard sur la petite créature qu'il trouvait si étrange. Il cessa de faire tournoyer son bâton dans l'eau.

- Tu n'assistes pas aux cours communs, aujourd'hui ?
Invité
Anonymous
Bien malgré moi, vue que je n’avais rien à me reprocher, je fus soulagé de savoir que je ne l’avais pas dérangé pendant son entrainement. S’il avait voulu être totalement au calme, il aurait pue se servir d’une des salles d’entraînement au lieu du parc, mais c’était plus fort que moi de m’inquiéter toujours sur se que les autres pensaient de moi. Je ne voulais pas déranger, être gênante ou ennuyeuse, et si je m’écoutais, il y avait bien des fois ou j’aurais eu envie de devenir invisible. Mais cela était une faiblesse que je devais maîtrisé et surmonté. Se n’était plus de la gentillesse a se niveau mais un grand manque de confiance en soit et ne pas avoir confiance en soit, c’est se fermé a nos qualité. Mais se n’était pas vraiment le moment de réfléchir à cela.

Le jeune homme m’observa un moment avant de se présenté. Comme je m’en étais douté, je n’avais pas souvenir de son nom. Son maître par contre je savais qui elle était. En temps qu’Aspirante, je me devais de savoir qui était maître jedi, non seulement pour lui donner son titre quand je leurs parlais, et aussi pour savoir qui pouvait potentiellement me prendre comme Padawan. C’était un genre de jeu que s’adonnait tout aspirant en fin de parcours. Observer les maître, les classer en ordre des plus fort au plus faible, des plus gentil au plus méchant et naturellement des plus beau au moins beau. Nous étions tout de même des gosses, malgré que nous ayons été élevés parmi des jedi. La sagesse ne frappe pas tout les jedi en bas âge, bien au contraire. Il serait sans doute intéressant de voir la réaction des gens de la galaxie, si il savait que derrière toute les rumeurs et les on dits des jedi, se cachait des gens plus ou moins normaux, ou du moins pas plus tordu que les autres. Mais une fois de plus je m’égarais et je retourna au fil de la conversation. Avec politesse donc je me redressa et me présenta en hochant légèrement de la tête.

- Je me Nomme Shamira Ela, je ne suis encore qu’aspirante, mais j’ai bien espoir qu’un maître me remarque.

Si je n’avais pas eu une hésitation, j’aurais sans doute continué en lui expliquant un tas d’autre chose, comme pourquoi j’avais bonne espoir de trouver un maître et pourquoi je pensais que cela ne serait pas facile. Mais mon hésitation mis fin a ma phrase et je garda le reste pour moi. Je n’avais aucun désir d’ennuyer un Padawan avec mes problèmes ou mes espérances. Par les phéromones que Lyrae dégageait, je savais qu’il était la pour se détendre et repousser se qui devait peser sur ces épaules, stresse fatigue, ou autre chose dont je ne savais rien. Si je pouvais comprendre les phéromones, cela me donnait qu’une idée de ces humeurs, pas vraiment plus. Je le savais donc calme pour le moment et je surveillais voir si jamais discuter avec moi lui deviendrais ennuyeux.

- Ravie de faire ta connaissance Lyrae O’sil.

Soudainement, je remarque que je le tutoyais et cela depuis le début. J’étais gêné de mon manque de tact. En Nautila, ma langue maternelle, on ne pouvait pas tutoyer ou vouvoyer, sa n’existais pas. Il y avait qu’une seul manière de parler à quelqu’un. Cela m’avait fait souvent défaut. Je me surprenais à tutoyer n’importe qui par habitude de tutoyer mes camarades de classe ou de dortoir. Cela m’avait apporté plusieurs remarque de mes maîtres, il n’était pas pensable de tutoyer un maître jedi, pas pour une aspirante. Mais la discipline n’était pas trop dur non plus sur se point, vue le nombre de langue et de façon de s’exprimer différente qu’il existait et cohabitait dans le temple. Mais le Basic faisait loi et l’étiquette qui va avec. Je voulue donc m’excuser auprès du jeune homme, mais celui-ci semblait un peu perdu dans ces pensées, son regard s’intéressant a un morceau de bois qui flottait sur l’eau et qui faisait des mouvements peut naturel. Je présuma qu’il devait utiliser la force pour le faire bouger. Je garda donc pour moi mes excuses ne voulant pas le déranger dans ces pensées. Mais a peines avais je ravalé mes excuses, qu’il tourna a nouveau les yeux vers moi, comme si il venait de remarquer qu’il c’était perdu dans ces pensées. Pour s’excuser, il poursuivie la discussion en me posant une question.

- Non, il n’y a pas trop de cours ces temps pour nous. Avec le nombre de Padawan qui on été promu chevalier et donc le nombre de maître qui cherche de nouveau Padawan, les classes ne sont plus très attentive, le programme est donc plus léger. Il y a bien un court de combat au corps a corps, mais Maître Hi’line ma déconseillé se genre de pratique ces prochains jour a cause de sa.

Je ponctua ma phrase en montrant au jeune homme la bande de Kolto que j’avais soigneusement appliqué à mon bras. Pour tout Aspirant et Padawan, cette bande était parfaitement reconnaissable, c’était une bande fine qui laissait passé l’aire, parfait pour les brulure, surtout les brulure de sabre laser et aucun Aspirant n’avait jamais eu se genre de blessure. Nous avions tous le souvenir de cette bande appliqué sur l’un ou l’autre de nos membres après un cours de maniement du sabre. Menteur était celui qui dirait ne jamais c’être brulé. Maître Hi’line, une ithorienne, avait vue, de son poste d’infirmière, passée toute les petites têtes blonde du temple.
Lyrae O'Sil
Lyrae O'Sil
Messages : 560
Eclats Kyber : 0
Le jeune homme posa les yeux, attentif, sur la bande de kolto que portait Shamira, avant de lui adresser un sourire amusé. Ah ! Combien de fois cela lui était-il arrivé, à lui aussi ! Il suffisait de peu pour se faire brûler de son sabre laser et il était tout évident que les padawans apprennent si tôt le maniement d'une arme si dangereuse : il fallait tant d'années pour la maîtriser complètement... Les accidents n'étaient pas rares, et certains garderaient certaines cicatrices dues à cet entraînement jusqu'à la fin de leur vie. Toutefois, les blessures extrêmement graves voire mortelles étaient assez rares ; l'instinct et les capacités naturelles des jeunes padawans envers la Force les protégeaient de telles catastrophes.
Lyrae s'était lui-même si souvent brûlé au sabre laser qu'il avait fini par choisir comme spécialité la guérison. Depuis, il compensait sa maladresse par son savoir et sa pratique en médecine. Cela lui avait permis de reprendre un peu confiance en lui et, paradoxalement, il s'était alors mis à beaucoup moins se blesser lors de ses entraînements.

- Maître Hi'line a dû penser que tu serais gênée par la douleur,
déclara-t-il sérieusement, et que cela pourrait te causer d'autres blessures...

Shamira était certainement trop jeune pour pouvoir totalement ignorer les douleurs de son corps blessé lors d'un combat puisque lui-même n'en était absolument pas capable... C'était pourtant un exercice, songeait-il, auquel les padawans devraient peut-être s'habituer un peu. En effet, lors de leurs missions, l'ennemi ne les épargnerait pas d'un combat parce que le Jedi serait blessé... Bien au contraire.

- Mais selon moi, les Jedi doivent savoir se battre même blessés, ajouta-t-il. Par contre, ce n'est vraiment pas évident. Mes courbatures m'empêchent déjà d'être complètement efficace, alors...

Le soleil avait peu à peu fait séché les mains et le visage de Lyrae. Son regard errait à la surface de l'eau tandis qu'il commençait à se sentir moins fatigué de son entraînement. Il avait un peu récupéré.

- Un Maître te remarquera sans doute, ne t'en fais pas,
fit-il en repensant à ce qu'elle lui avait dit en se présentant.

Il se remémorait les années vécues au Temple avant que Misha n'apparaissent dans l'histoire de sa vie ; il avait été si convaincu qu'il n'aurait jamais de Maître... Et pourtant. Comme lui avant, tous les padawans sans Maître avaient cette inquiétude de ne pas trouver de maître mais dans l'ensemble, assez peu voyaient leurs craintes se réaliser. Ils partaient alors dans les camps agricoles. Lyrae ne se serait jamais vu agriculteur. Il aurait certainement choisi de vivre par monts et par vaux en prodiguant ses soins pour gagner un peu d'argent... Et c'était toujours ce qu'il projetait de faire, d'ailleurs, dans le cas où il raterait son épreuve pour devenir Chevalier Jedi. Mais il espérait bien la réussir...

- Ils essaient de prendre les meilleurs, bien sûr, reprit-il, mais si tu es sérieuse, tu n'auras sûrement pas de problème. Il n'y a pas de secret... Il n'y a que l'entraînement et les études, je crois bien.

Et ce n'était pas une mince affaire, en réalité. Ici, pas de jour de repos. Les nuits semblaient de plus en plus courtes à Lyrae, mais il savait que son enfance était terminée, et qu'il n'aurait plus droit aux grasses matinées s'il voulait un jour devenir Chevalier. C'était dur, physiquement comme moralement, de tenir le coup. Mais le jeune homme pensait qu'une fois qu'il serait promu au grade supérieur, l'estime qu'il aurait de lui-même et sa confiance en lui seraient telles que tous ces efforts passés ne seraient sûrement pas vains.
Invité
Anonymous
La discussion semblait être du gout du jeune homme et je fus heureuse d’avoir quelqu’un a qui parler et surtout une nouvelle personne à connaitre. Ma timidité m’empêchait de me faire des amis facilement et j’étais toujours contente de voir des gens. Une fois ma peur de gêner ou de déranger passé, je me sentais plus libre de mes paroles et je me détendis quelque peu face à Lyrae. Comme je m’en étais douté, il savait parfaitement a quoi servait cette bande de Kolto, mais je préféra ne pas lui dire que je me l’étais faite toute seule pendant un simple entrainement. J’étais jeune certes, mais quand on nous apprend depuis notre tendre enfance a utilisé un sabre laser, la logique voudrais qu’on puisse l’utiliser avec un minimum de grâce et de maîtrise. Je préférais bien plus la maîtrise de la force ou j’étais nettement plus doué.

Lyrae m’expliqua ensuite se que je savais déjà, par la je parle de la raison qui avais poussé l’infirmière a me déconseillé le cours de combat au corps a corps. J’aurais pue y assister si j’avais été vraiment motivé, au moins comme observatrice, pour faire figure de bonne élève. Mais pour dire vrai je n’aimais pas trop se genre de cours. Je n’étais pas nul en combat au corps à corps, mais c’étais une faculté plus naturelle pour moi que maîtrisé. Aillant une ossature plus développé que les espèces terrestres en moyenne et une musculature bien entrainée avec le temps que je passais sous l’eau, j’avais un avantage sur un bon nombre de mes camarades de classe. Je n’étais pas la plus forte, mais comme j’avais une bonne résistance, cela faisait bien des fois la différence. Mais je n’aimais pas me battre, tout comme je n’aimais pas manier le sabre. Je faisais des efforts pour avoir une bonne moyen, mais pas beaucoup plus.

Le jeune homme m’indiqua aussi que m’entraîner avec ma blessure ne pouvait pas vraiment me faire de mal. En combat réel, que je sois blessé ou pas, beaucoup d’adversaire s’en fiche et même pour bien des lâches, je deviendrais sans doute une cible plus intéressante blessé. J’en avais bien conscience mais je me doutais que mon futur maître aurait tout el temps de m’enseigner de telle chose. Mieux valait que je profite des derniers moments de tranquillité du temple avant de me voir propulsé au rang de Padawan. De plus je visais plus un poste de diplomate que de guerrier, j’étais persuadé que tout combat pouvait être évité en faveur de la parole. Ce n’était pas chose toujours comprise et on me maintenait souvent que le recours a la force et de temps a autre la seul alternative. Personnellement, je n’en étais pas sur. Il y avait toujours un moyen de résoudre tout problème par la parole. Même si se n’était pas chose facile, mais comme le disait si bien nos maîtres, le côté claire est difficile, car il demande beaucoup de discipline et de philosophie, tandis que le côté obscure et plus facile, car il suffit de se laissé glisser, d’écouté ces désirs primaire.

- Selon moi, je répétais les mêmes mots qu’il avait utilisés quelque seconde plus tôt, un jedi doit surtout apprendre à ne pas se battre. Cela est je suppose nettement moins évident et demande bien plus d’entraînement.

La discussion vira soudainement sur mon peut être futur maître. Je supposais avoir laissé comprendre plus de se que je voulais dans ma phrase. Il avait du sentir ma certaine angoisse de ne pas être a la hauteur. Sur le coup de la gêne, mes tentacules redevinrent tout mous sur mes épaules et mon dos. Je savais belle et bien que les meilleurs étaient les premier à partir et si il fallait que tout ceux qui étaient meilleurs que moi soit pris pour qu’un maître me remarque… Je coupa court à se genre de pensé défaitiste. Comme je me le disais souvent, la pensée positive était la meilleure façon de s’engager sur une voie. J’avais espoir que mes pensées positives seraient suffisantes. Mais bon, se n’était pas comme si j’étais nulle partout. Je maîtrisais assez bien la force, je connaissais bien la diplomatie, j’étais plutôt maligne d’après mes maîtres et… ben je nageais très bien. Ce n’était tout de même pas rien.

Il m’expliqua que l’entraînement et les études étaient les meilleurs moyens de se faire remarquer d’un maître. Sa je n’en doutais pas et les enseignant n’arrêtaient pas de nous le répété. C’était une bonne excuse pour nous motivé au travaille. Mais je n’avais pas trop à avoir peur sur cela. Ma faiblesse au sabre me faisait passer beaucoup de temps aux salles d’entraînement et niveau étude, j’étais irréprochable. J’adorais tout se qui était lecture ou holovideo sur l’histoire ou sur la géographie. J’aimais aussi bien apprendre les langues et j’avais une calligraphie soigné, même si en basic, j’avais une faiblesse sur l’orthographe, mais le reste était bien. J’aurais voulue lui formuler une bonne phrase pour le remercier de tenter de me mettre en confiance mais je ne trouva rien à dire et tout se qui sortie fut un…

- Oui

Ce n’était pas grand-chose… mais bon. Il y avait pire comme réponse. Mais je trouva rapidement sur quoi rebondir. Je préférais ne pas bloquer la discussion la et laisser la place a un silence gêné pour le laisser une fois de plus rompre cela, il risquait de se lasser. Alors pour continuer je lança une question qui devait reprendre la discussion, mais j’étais très intéressé par la réponse.

- Et toi, tu as eu de la peine à trouver un maître ? Les rumeurs disent que maître Misha est plutôt… excentrique sur certain point.
Lyrae O'Sil
Lyrae O'Sil
Messages : 560
Eclats Kyber : 0
[Désolé pour le temps de réponse, j'ai été un peu occupé ces temps-ci!]



La jeune Nautolan n'avait pas tord, à la réflexion. Beaucoup de padawans étaient si pressés de se battre qu'ils en oubliaient que le rôle principal du Jedi était de garder les peuples en paix... Mais il ne lui semblait pas que ce fut son cas. Lyrae était d'une nature calme et les rares combats qu'il avait mené étaient soit des combats d'entraînements, soit des réactions de défense contre des créatures agressives dans la jungle d'Iziz. Des maalraas, le plus souvent. Et ils ne lui avaient pas laissé le choix, pour autant qu'il s'en souvienne. Mais il le savait, lorsqu'on l'avait, mieux valait opter pour la discussion que la violence. Le problème était là, l'on n'avait pas toujours ce choix.

Lyrae secoua la tête pensivement. La vie était un peu plus dure que ce qu'il n'aurait cru. C'était surprenant. La Nautolan interrompit ses pensées, et le jeune homme fut secoué d'un rire spontané.

- Ah ah ! Oui, c'est vrai, elle est un peu excentrique... C'est ce que tout le monde en dit. Mais c'est amusant, en fait. Et derrière ses allures, il y a un vrai Chevalier Jedi. On dirait parfois qu'elle ne sait pas ce qu'elle fait mais en réalité, elle tire toujours très bien son épingle du jeu... Ce doit être déroutant pour ses ennemis, conclut-il.

Tout défaut pouvait parfois servir de qualité, si on savait s'y prendre. Lyrae était trop jeune pour savoir le faire, mais il se promit d'y réfléchir. Peut-être que lui aussi pourrait jouer sur son apparence, plus tard...

- J'ai eu un peu de mal à trouver un Maître, oui. Quand j'avais 17 ans, on m'a confié à une chadra-fan du nom de Kerradas Salyar. Mais elle a dû retourner précipitamment vers les siens et n'est pas revenu. Tu n'imagines même pas, après tout ce temps vécu au Temple, ce que j'ai pu être déçu. Je me trouvais déjà trop vieux, je ne sais pas pourquoi les Maîtres ont accepté de me garder ici. Mais c'était une bonne chose finalement ; au moins, je n'ai pas erré dans la nature sans but. J'ai continué à m'entraîner et j'ai commencé à trouver ma voie dans la guérison... Et puis, il y a quelques semaines, Maître Don m'a convoqué au Conseil.

Il lui semblait que tout cela s'était déroulé une éternité auparavant. Tout s'était fait si vite ! Le lendemain matin même, alors qu'ils ne se connaissaient même pas, lui et Misha avaient décollé pour Kuat, pour leur première mission. Il se souvint qu'il s'était senti un peu perdu, ne se rendant pas compte qu'enfin venait de commencer sa vraie vie de Jedi.

- C'est ce jour-là qu'on m'a présenté mon Maître. Le plus dur, ça a juste été d'attendre, tu vois.

Sur ces mots, Lyrae se leva et fit quelques mouvements pour étirer ses muscles. Après l'entraînement, il fallait toujours faire attention à son corps. Il était plus fragile que ce qu'il en avait parfois l'air. C'est ce que le jeune homme avait retenu de ses études sur la guérison.
Revenir en haut
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
skin made by
© jawn