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# [Espace Sith] Les vents du destin (PV Joseph) - Mar 8 Jan 2019 - 17:56
Flotte de l'Empire Renégat, quelque part dans l'Espace Sith ..
À dix kilomètres des côtes, l'Indomitable, un magnifique yacht stellaire de cent-quinze mètres, fendait les brumes ouatées nimbant les Becs de Feu. La coque oblongue, profilée, aux reflets beiges et amarantes, donnait au vaisseau d'affaire des airs de bâtiment de guerre.
Facturé trois-cent millions de crédits, le navire offrait tout le confort possible, jacuzzi, piscine, salles de banquets, restaurants. Mais tout ce luxe n'avait guère d'intérêt pour son propriétaire. Ayant acquis son yacht quatre ans plus tôt, il s'était empressé de vider la plupart des pièces pour y installer son centre de commandement digne d'un QG militaire.
Relié aux autres navires de la flottille renégate et à tout un réseau de relais terrestres, la salle de contrôle de l'Indomitable accueillait une équipe d'une vingtaine de personnes, techniciens, analystes, coordinateurs , qui vivaient à bord et étaient en contact permanent avec les autres centres d'opération disséminés sur le territoire de l'Empire Sith.
La sécurité sur le navire était assurée par plusieurs escouades de soldats, deux systèmes de détection de missiles, et un arsenal d'armes dernier cri. Le reste de l'équipage, cuisiniers, mécaniciens, personnels d'entretien , faisait monter les effectifs à plus de quarante personnes. L'Indomitable était le vaisseau amiral à partir duquel son propriétaire dirigeait son empire.
Appelé par tout le personnel, le « Général », l'homme était très grand et bien bâti, la chevelure grisaillante, avec un peau blanche et de petits yeux bleus glacés. Son physique, loin d'être banal et ses manières directes étaient en fin de compte des atouts pour ce « pacha » qui avait accumulé sa fortune sur les trésors de guerre volés sur Dubrillon, à l'époque où il était Colonel de l'armée impériale. Il devait le reste de ses moyens aux innombrables complices de sa machination, dispersés aux quatre coins de la nation impériale, certains aux postes clés de son administration, et qui partageaient tous un point commun avec lui. Un idéal politique débarrassé des Sith.
On disait du Général Tiberius Fang bien des choses. Un homme sans âme, un orfèvre du pêché, le bras droit du mal, mais il ne se considérait jamais comme tel. Lui se voyait comme un libérateur, un agent chargé de restaurer l'intégrité primordiale d'une nation injustement souillée par les dessins corrompus d'une race inférieure, les Sith.
Son idéologie était partagée par tous ses sympathisants. C'est naturellement ce qui les avaient conduis jusqu'au cercle très fermé de l'Empire Renégat, cette nouvelle faction sur le point d'émerger au grand jour, qui renverserait un jour les fondations impies bâties par les Néo-Sith.
Les Sith, les vrais, n'avaient pas dépassé selon Fang les temps de l'Antiquité. Ce peuple-là d'aliens à la peau rouge et aux traits osseux et simiesques, qui n'avaient pas attendu les bassesses de l'héritage Jedi, transportées par les Exilés, pour s'élever par-dessus le commun des mortels en érigeant une civilisation redoutable, avide de conquêtes par-delà les mondes connus ; un peuple de guerriers formidables qui ne connaissaient pas la peur et le déshonneur. Un peuple qui dégénéra quand on le confronta à l'aura malveillante des mystiques de la Force, venus du républicain acquit de longue date à l'enseignement des Jedi.
Le Général et ses adeptes se réclamaient de l'héritage du peuple Sith à Sang Pur, celui-là dont la pureté coulaient dans les veines, ces Sith à peau rouge, dont l'héritage fut ternis par des faussaires se réclamant d'un simple dogme inversé à celui de leurs cousins génétiques.
Le navire était fait de plusieurs corridors richement décorés de fresques, de tableaux soigneusement choisis, parcourus de domestiques soigneusement habillés vaquant ça et là à leurs occupations. Les pièces étaient du même acabit, et l'absence ostentatoire de personnels de sécurité adoucissait l’atmosphère lourde qui pesait sur le navire. L'air avait été parfumé et exhalait une douce odeur de plantes. L'architecture privilégiant le bois beige polis et les hublots en guise de fenêtres donnaient l'impression de voguer sur un navire de croisière.
L'endroit où se trouvait le Général était précédé par une antichambre circulaire qui était encore plus décorée que les autres pièces. Cette fois, deux gardes vêtus de costards rouges foncés étaient flanqués de chaque côté d'un sas ovoïde brun. C'étaient des humains, leurs yeux étaient dissimulés par des lunettes jaunes maculée et ils avaient chacun une oreillette reliée à un fil qui ondulait.
Fang était assis dans un confortable sofas bleu-marine orienté vers une verrière qui recouvrait toute une façade de la pièce. Derrière, le paysage azur du littoral s'étendait jusqu'aux côtes grignotée par la végétation tropicale. Un fauve albinos d'une splendeur déconcertante était assoupi à ses pieds. On fit entrer le chasseur de prime qui avait été amené par un majordome.
Les prunelles marines du Général étaient braquées vers l'horizon bleu qui s'étendait en contrebas. Sa jambe droite était repliée sur son genou opposé. L'une de ses mains, posée sur un accoudoir du canapé, tenait un long cigahlo entre ses doigts. Son regard se tourna vers le mercenaire qui venait de faire irruption.
— Ah, Vankrayn ! Prenez place. » il désigna chaleureusement le canapé de cuir ivoire qui était installé quelques mètres plus loin. Son regard s'orienta vers les gardes qui étaient présents à l'entrée.
— Laissez-nous. » dit-il d'un air grave.
Fang aspira quelques bouffées de tabacs en dévisageant Joseph d'un air analytique. Il s'empara d'une carafe de cristal remplie pour un tiers d'un liquide cuivrée. Il la brandit d'une main vers son interlocuteur.
— Whiskey ? Une petite merveille de nos artisans de Kaas. » dit-il en débouchant la bouteille. « Ne ratez pas ça. »
Fang se servit un verre en attendant la réponse du chasseur de prime qu'il s’apprêtait à servir lui-même. Il porta le verre devant lui, inspectant sa robe cuivrée, le passa sous son nez, puis y trempa ses lèvres.
— Vous vous êtes échappé d'un sacré bourbier à ce qu'on m'a dit. Vous avez descendu une dizaine d'ennemis et mis un Seigneur Sith en déroute. Un type comme vous attire naturellement ma curiosité. » dit Fang en mâchouillant son cigare. « Qu'aimez-vous faire en dehors du boulot ? Sport ? Musique ? Peinture ? »
Le Général reposa son verre et se frotta les mains. Son regard se détourna momentanément de Joseph. Il désigna d'une main une caisse oblongue en bois sombre qui reposait sur une table, à côté de lui.
— Mais avant ! J'ai quelque chose pour vous. Votre contrat pour les Arcanautes touche à sa fin. Allez inspecter votre récompense par vous-même. Ça devrait vous plaire. »
Facturé trois-cent millions de crédits, le navire offrait tout le confort possible, jacuzzi, piscine, salles de banquets, restaurants. Mais tout ce luxe n'avait guère d'intérêt pour son propriétaire. Ayant acquis son yacht quatre ans plus tôt, il s'était empressé de vider la plupart des pièces pour y installer son centre de commandement digne d'un QG militaire.
Relié aux autres navires de la flottille renégate et à tout un réseau de relais terrestres, la salle de contrôle de l'Indomitable accueillait une équipe d'une vingtaine de personnes, techniciens, analystes, coordinateurs , qui vivaient à bord et étaient en contact permanent avec les autres centres d'opération disséminés sur le territoire de l'Empire Sith.
La sécurité sur le navire était assurée par plusieurs escouades de soldats, deux systèmes de détection de missiles, et un arsenal d'armes dernier cri. Le reste de l'équipage, cuisiniers, mécaniciens, personnels d'entretien , faisait monter les effectifs à plus de quarante personnes. L'Indomitable était le vaisseau amiral à partir duquel son propriétaire dirigeait son empire.
Appelé par tout le personnel, le « Général », l'homme était très grand et bien bâti, la chevelure grisaillante, avec un peau blanche et de petits yeux bleus glacés. Son physique, loin d'être banal et ses manières directes étaient en fin de compte des atouts pour ce « pacha » qui avait accumulé sa fortune sur les trésors de guerre volés sur Dubrillon, à l'époque où il était Colonel de l'armée impériale. Il devait le reste de ses moyens aux innombrables complices de sa machination, dispersés aux quatre coins de la nation impériale, certains aux postes clés de son administration, et qui partageaient tous un point commun avec lui. Un idéal politique débarrassé des Sith.
On disait du Général Tiberius Fang bien des choses. Un homme sans âme, un orfèvre du pêché, le bras droit du mal, mais il ne se considérait jamais comme tel. Lui se voyait comme un libérateur, un agent chargé de restaurer l'intégrité primordiale d'une nation injustement souillée par les dessins corrompus d'une race inférieure, les Sith.
Son idéologie était partagée par tous ses sympathisants. C'est naturellement ce qui les avaient conduis jusqu'au cercle très fermé de l'Empire Renégat, cette nouvelle faction sur le point d'émerger au grand jour, qui renverserait un jour les fondations impies bâties par les Néo-Sith.
Les Sith, les vrais, n'avaient pas dépassé selon Fang les temps de l'Antiquité. Ce peuple-là d'aliens à la peau rouge et aux traits osseux et simiesques, qui n'avaient pas attendu les bassesses de l'héritage Jedi, transportées par les Exilés, pour s'élever par-dessus le commun des mortels en érigeant une civilisation redoutable, avide de conquêtes par-delà les mondes connus ; un peuple de guerriers formidables qui ne connaissaient pas la peur et le déshonneur. Un peuple qui dégénéra quand on le confronta à l'aura malveillante des mystiques de la Force, venus du républicain acquit de longue date à l'enseignement des Jedi.
Le Général et ses adeptes se réclamaient de l'héritage du peuple Sith à Sang Pur, celui-là dont la pureté coulaient dans les veines, ces Sith à peau rouge, dont l'héritage fut ternis par des faussaires se réclamant d'un simple dogme inversé à celui de leurs cousins génétiques.
Le navire était fait de plusieurs corridors richement décorés de fresques, de tableaux soigneusement choisis, parcourus de domestiques soigneusement habillés vaquant ça et là à leurs occupations. Les pièces étaient du même acabit, et l'absence ostentatoire de personnels de sécurité adoucissait l’atmosphère lourde qui pesait sur le navire. L'air avait été parfumé et exhalait une douce odeur de plantes. L'architecture privilégiant le bois beige polis et les hublots en guise de fenêtres donnaient l'impression de voguer sur un navire de croisière.
L'endroit où se trouvait le Général était précédé par une antichambre circulaire qui était encore plus décorée que les autres pièces. Cette fois, deux gardes vêtus de costards rouges foncés étaient flanqués de chaque côté d'un sas ovoïde brun. C'étaient des humains, leurs yeux étaient dissimulés par des lunettes jaunes maculée et ils avaient chacun une oreillette reliée à un fil qui ondulait.
Fang était assis dans un confortable sofas bleu-marine orienté vers une verrière qui recouvrait toute une façade de la pièce. Derrière, le paysage azur du littoral s'étendait jusqu'aux côtes grignotée par la végétation tropicale. Un fauve albinos d'une splendeur déconcertante était assoupi à ses pieds. On fit entrer le chasseur de prime qui avait été amené par un majordome.
Les prunelles marines du Général étaient braquées vers l'horizon bleu qui s'étendait en contrebas. Sa jambe droite était repliée sur son genou opposé. L'une de ses mains, posée sur un accoudoir du canapé, tenait un long cigahlo entre ses doigts. Son regard se tourna vers le mercenaire qui venait de faire irruption.
— Ah, Vankrayn ! Prenez place. » il désigna chaleureusement le canapé de cuir ivoire qui était installé quelques mètres plus loin. Son regard s'orienta vers les gardes qui étaient présents à l'entrée.
— Laissez-nous. » dit-il d'un air grave.
Fang aspira quelques bouffées de tabacs en dévisageant Joseph d'un air analytique. Il s'empara d'une carafe de cristal remplie pour un tiers d'un liquide cuivrée. Il la brandit d'une main vers son interlocuteur.
— Whiskey ? Une petite merveille de nos artisans de Kaas. » dit-il en débouchant la bouteille. « Ne ratez pas ça. »
Fang se servit un verre en attendant la réponse du chasseur de prime qu'il s’apprêtait à servir lui-même. Il porta le verre devant lui, inspectant sa robe cuivrée, le passa sous son nez, puis y trempa ses lèvres.
— Vous vous êtes échappé d'un sacré bourbier à ce qu'on m'a dit. Vous avez descendu une dizaine d'ennemis et mis un Seigneur Sith en déroute. Un type comme vous attire naturellement ma curiosité. » dit Fang en mâchouillant son cigare. « Qu'aimez-vous faire en dehors du boulot ? Sport ? Musique ? Peinture ? »
Le Général reposa son verre et se frotta les mains. Son regard se détourna momentanément de Joseph. Il désigna d'une main une caisse oblongue en bois sombre qui reposait sur une table, à côté de lui.
— Mais avant ! J'ai quelque chose pour vous. Votre contrat pour les Arcanautes touche à sa fin. Allez inspecter votre récompense par vous-même. Ça devrait vous plaire. »
Fusil de précision Verpine (deg 20)
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
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- HRP:
- Pour l'arme, j'imagine qu'il serait justifiée qu'elle soit opérationnelle pour le combat pour la prochaine évolution de personnage ?
Joseph Vankrayn
# Re: [Espace Sith] Les vents du destin (PV Joseph) - Jeu 10 Jan 2019 - 4:00
Il avait finit... Enfin ! Après presque trois années de du labeur, avoir traversé la moitié de la galaxie, visitait une dizaine de planète, avoir frôlé la mort un nombre incalculable de fois... Enfin !
Il avait enfin trouvé l'artefact pour lequel il avait était payé pour retrouver. Et ce qui avait était au début une énorme expédition comprenant des dizaines de vaisseau et des milliers de personnes, c'était terminé par seulement son vaisseau personnel, deux personnes, un chien et un droïde astromécano.
Il avait été dans les Régions Inconnus, avait affronté une entité tentaculaire, subis des radiations sur une planète morte, mené un groupe dans un temple sith, traquer des membres d'équipages devenu fou, affronter des bêtes, monstres en tout genre et un sith de l'Inquisition.
Oui, il avait fait son travail et même beaucoup plus. Combien de mercenaire et autre freelance serait resté après de tel épreuve ? Et surtout combien aurait réussit une telle mission ?
Il pouvait se vanter de penser que ce n'était pas le cas et il avait personnellement fait les frais lors de son travail et plus d'une fois même. Mais il avait continué envers et contre tout, fidèle à la parole donné et au travail engagé pour !
Tout ces années pour finalement arrivé ici, dans le vaisseau personnel du Général Tiberius Fang, il semblait que le temps semblait plaisant pour cet homme d'envergure qui avait prit du galon pendant que Joseph était en expédition. C'était toujours une bonne chose que de voir que votre employeur semblait aller pour le mieux et qu'il était dans un état financier plus que probant lors du moment de la paye.
C'était toujours un risque qu'importe qui l'engageait que l'employeur devienne un mauvais payeur et rechigne de verser les crédits ou la chose promit lors de la signature du contrat. Il avait déjà eu affaire et avait toujours trouvé un moyen pour se faire payer d'une manière ou d'une autre, mais il doutait sérieusement que ce soit le cas ici. L'homme en question n'était pas du genre à de tel bassesse, du moins l’espérait-il, car sur le vaisseau amiral entouré de possible ennemie et sans aucune arme sur lui...
Il n'était pas pour autant confiant et restait toujours sur ses gardes.
Suivant un domestique habillé de vêtement sobre mais de très bonne qualité, on lui fit traverser des couloirs fait en bois rare qui semblait contraster avec l'origine des lieux. On pouvait facilement oublier que l'on était sur un vaisseau spatial et cela pouvait clairement se faire comprendre par tout le luxe et le faste qui se retrouvait dans n'importe quelle salle dudit vaisseau.
Il contrastait une nouvelle fois avec ce qui l'entourait, ici tout le monde portait des vêtements chics et l’atmosphère se voulait détendu malgré le fait qu'il était sur un vaisseau d'un certaine importance. Le fait qu'il portait toujours son armure marqué par les traces de blaster et griffures, dont il avait quand même nettoyé un minimum pour satisfaire Holtz qui lui avait rappelé d'avoir une certaine contenance avant de se faire plonger dans une cuve de bacta...
C'était tout ce qu'il ferrait pour lui et c'était déjà bien !
Il jeta un rapide regard vers les deux gardes qui étaient eux aussi dans un genre de tenu "décontracté" même si leur arme elle ne l'était pas. Il trouvait quand même que leur tenu ne leur fournissait en rien une quelconque protection et il se demandait réellement si les lunettes opaques jaunes servaient réellement à quelque chose où si c'était un objet de style.
Il secoua doucement sa tête, sachant que même s'il était habillé comme des clowns, il ne devait pas les sous-estimées car ils devaient être les meilleurs hommes que le "Général" avait sous la main pour qu'ils soient là.
Il se demanda néanmoins si la passion des animaux étaient partagées, car il remarqua en rentrant un fauve qui semblait comme le chien d'Holtz maté. Il regarda son employeur de manière neutre en s'asseyant sur le fauteuil rembourré et d'une valeur inestimable qu'il tacha dès qu'il s’assit dessus. Il ne s'attendait pas à un accueil aussi chaleureux... Est ce que la relique qu'il transportait était aussi importante que ça pour eux ? Qu'est ce qu'elle pouvait bien être ?
Il avait beau avoir plusieurs pensées qui fusaient dans son crane et sa curiosité piqué, il n'ouvrit pas la bouche pour l'instant. Regardant et écoutant comment allez se passer le payement et ce qui aller en découdre... Il y avait toujours la possibilité d'une mise à mort de sa part pour garder un secret sur leur organisation et ce qu'il avait put découvrir personnellement.
"Merci."
Il prit alors le verre de cristal remplit dudit whisky en le reniflant doucement comme si c'était du poison. Il n'était pas un expert en la matière même s'il buvait quelques coups de temps à autre lors d'événement ou de réussite de mission importante. Cela lui fit penser qu'il allait faire une fête de tous les diables quand il partira pour l'espace hutt.
Il fit tourner lentement le vers dans sa main, regardant le liquide ambré se mouvoir dans un cycle rotatif le transformant petit à petit en vortex de couleur, écoutant les paroles du général qui ne semblait pas tarir d'éloge à son égard et lui poser des questions sur ses hobbys.
Il en avait, la chasse par exemple ce qu'il n'avait plus eu le temps de faire depuis un certain temps. Il y avait aussi sa passion pour la culture et tout ce qui avait attrait au mandalorien bien entendu, il avait même prévu une expédition sur Mandalore pour essayer de retrouver des armes ou matériel mandalorien qui pouvait encore être trouvable. La musique classique était aussi une de ses petits plaisirs avec la peinture...
Il se demanda un instant s'il était sage d'attirer l'attention d'une telle personne avant de jeter sa par dessus son épaule mental et de prendre une petite gorgée de cet alcool fort dont il n'avait jamais goutté.
Il reposa à son tour son verre qui était encore à moité plein, se dirigeant vers la caisse sur la table qui semblait selon ses dires contenir sa paye. Pendant un court instant, il posa sa main et fit glisser ses doigts sur la caisse en bois noir d'origine inconnue. Il avait l'impression de caresser une peau tellement la texture était d'une douceur.
Que pouvait-il bien contenir ? Était-elle remplit de crédit ? Contenait-elle des équipements militaires impériales derniers cries ? Des objets mandaloriens ? Ou un piège...
Il jeta un bref coup d’œil vers Fang avant d'ouvrir la caisse ne laissant rien paraître à ses pensées et examina son contenu.
Il fut surpris... agréablement surpris même. Il détermina tout de suite ce qui était dans la caisse comme un fusil Verpine car cela faisait un bon moment maintenant qu'il en convoitait un. Cependant, il n'y avait qu'une seul race qui pouvait la créer, les Verpines et ils étaient éparpillées en essaim nomade qui ne restaient jamais au même endroit souvent et ne vendait leur produit que très rarement ou faisant du sur-mesure. Rendant leur produit très rare et donc très prisé...
Il prit le fusil dans ses mains, l'examinant sous tous les coutures, remarquant les rajouts comme la crosse antidérapant ou le système de chargeur à minutions échangeable. La lunette de visée avec télémètre incorporé ainsi que le rajout d'un bipied déployable. Nul doute qu'il pouvait se cacher encore bien de surprise dans ce petit bijoux de technologie qui semblait être fait sur mesure pour lui. La poignée semblait correspondre en tout point à sa main et les marques pour les doigts aussi.
Il reposa l'arme dans le coffre avant de le refermer en gardant une main dessus, sachant d'avance qu'il allait en prendre énormément soin.
"C'est en effet le cas, vous avez de bon gout général. Félicitation pour votre promotion d’ailleurs, il semblerait que j'ai manqué votre remise de médaille."
Il avait enfin trouvé l'artefact pour lequel il avait était payé pour retrouver. Et ce qui avait était au début une énorme expédition comprenant des dizaines de vaisseau et des milliers de personnes, c'était terminé par seulement son vaisseau personnel, deux personnes, un chien et un droïde astromécano.
Il avait été dans les Régions Inconnus, avait affronté une entité tentaculaire, subis des radiations sur une planète morte, mené un groupe dans un temple sith, traquer des membres d'équipages devenu fou, affronter des bêtes, monstres en tout genre et un sith de l'Inquisition.
Oui, il avait fait son travail et même beaucoup plus. Combien de mercenaire et autre freelance serait resté après de tel épreuve ? Et surtout combien aurait réussit une telle mission ?
Il pouvait se vanter de penser que ce n'était pas le cas et il avait personnellement fait les frais lors de son travail et plus d'une fois même. Mais il avait continué envers et contre tout, fidèle à la parole donné et au travail engagé pour !
Tout ces années pour finalement arrivé ici, dans le vaisseau personnel du Général Tiberius Fang, il semblait que le temps semblait plaisant pour cet homme d'envergure qui avait prit du galon pendant que Joseph était en expédition. C'était toujours une bonne chose que de voir que votre employeur semblait aller pour le mieux et qu'il était dans un état financier plus que probant lors du moment de la paye.
C'était toujours un risque qu'importe qui l'engageait que l'employeur devienne un mauvais payeur et rechigne de verser les crédits ou la chose promit lors de la signature du contrat. Il avait déjà eu affaire et avait toujours trouvé un moyen pour se faire payer d'une manière ou d'une autre, mais il doutait sérieusement que ce soit le cas ici. L'homme en question n'était pas du genre à de tel bassesse, du moins l’espérait-il, car sur le vaisseau amiral entouré de possible ennemie et sans aucune arme sur lui...
Il n'était pas pour autant confiant et restait toujours sur ses gardes.
Suivant un domestique habillé de vêtement sobre mais de très bonne qualité, on lui fit traverser des couloirs fait en bois rare qui semblait contraster avec l'origine des lieux. On pouvait facilement oublier que l'on était sur un vaisseau spatial et cela pouvait clairement se faire comprendre par tout le luxe et le faste qui se retrouvait dans n'importe quelle salle dudit vaisseau.
Il contrastait une nouvelle fois avec ce qui l'entourait, ici tout le monde portait des vêtements chics et l’atmosphère se voulait détendu malgré le fait qu'il était sur un vaisseau d'un certaine importance. Le fait qu'il portait toujours son armure marqué par les traces de blaster et griffures, dont il avait quand même nettoyé un minimum pour satisfaire Holtz qui lui avait rappelé d'avoir une certaine contenance avant de se faire plonger dans une cuve de bacta...
C'était tout ce qu'il ferrait pour lui et c'était déjà bien !
Il jeta un rapide regard vers les deux gardes qui étaient eux aussi dans un genre de tenu "décontracté" même si leur arme elle ne l'était pas. Il trouvait quand même que leur tenu ne leur fournissait en rien une quelconque protection et il se demandait réellement si les lunettes opaques jaunes servaient réellement à quelque chose où si c'était un objet de style.
Il secoua doucement sa tête, sachant que même s'il était habillé comme des clowns, il ne devait pas les sous-estimées car ils devaient être les meilleurs hommes que le "Général" avait sous la main pour qu'ils soient là.
Il se demanda néanmoins si la passion des animaux étaient partagées, car il remarqua en rentrant un fauve qui semblait comme le chien d'Holtz maté. Il regarda son employeur de manière neutre en s'asseyant sur le fauteuil rembourré et d'une valeur inestimable qu'il tacha dès qu'il s’assit dessus. Il ne s'attendait pas à un accueil aussi chaleureux... Est ce que la relique qu'il transportait était aussi importante que ça pour eux ? Qu'est ce qu'elle pouvait bien être ?
Il avait beau avoir plusieurs pensées qui fusaient dans son crane et sa curiosité piqué, il n'ouvrit pas la bouche pour l'instant. Regardant et écoutant comment allez se passer le payement et ce qui aller en découdre... Il y avait toujours la possibilité d'une mise à mort de sa part pour garder un secret sur leur organisation et ce qu'il avait put découvrir personnellement.
"Merci."
Il prit alors le verre de cristal remplit dudit whisky en le reniflant doucement comme si c'était du poison. Il n'était pas un expert en la matière même s'il buvait quelques coups de temps à autre lors d'événement ou de réussite de mission importante. Cela lui fit penser qu'il allait faire une fête de tous les diables quand il partira pour l'espace hutt.
Il fit tourner lentement le vers dans sa main, regardant le liquide ambré se mouvoir dans un cycle rotatif le transformant petit à petit en vortex de couleur, écoutant les paroles du général qui ne semblait pas tarir d'éloge à son égard et lui poser des questions sur ses hobbys.
Il en avait, la chasse par exemple ce qu'il n'avait plus eu le temps de faire depuis un certain temps. Il y avait aussi sa passion pour la culture et tout ce qui avait attrait au mandalorien bien entendu, il avait même prévu une expédition sur Mandalore pour essayer de retrouver des armes ou matériel mandalorien qui pouvait encore être trouvable. La musique classique était aussi une de ses petits plaisirs avec la peinture...
Il se demanda un instant s'il était sage d'attirer l'attention d'une telle personne avant de jeter sa par dessus son épaule mental et de prendre une petite gorgée de cet alcool fort dont il n'avait jamais goutté.
Il reposa à son tour son verre qui était encore à moité plein, se dirigeant vers la caisse sur la table qui semblait selon ses dires contenir sa paye. Pendant un court instant, il posa sa main et fit glisser ses doigts sur la caisse en bois noir d'origine inconnue. Il avait l'impression de caresser une peau tellement la texture était d'une douceur.
Que pouvait-il bien contenir ? Était-elle remplit de crédit ? Contenait-elle des équipements militaires impériales derniers cries ? Des objets mandaloriens ? Ou un piège...
Il jeta un bref coup d’œil vers Fang avant d'ouvrir la caisse ne laissant rien paraître à ses pensées et examina son contenu.
Il fut surpris... agréablement surpris même. Il détermina tout de suite ce qui était dans la caisse comme un fusil Verpine car cela faisait un bon moment maintenant qu'il en convoitait un. Cependant, il n'y avait qu'une seul race qui pouvait la créer, les Verpines et ils étaient éparpillées en essaim nomade qui ne restaient jamais au même endroit souvent et ne vendait leur produit que très rarement ou faisant du sur-mesure. Rendant leur produit très rare et donc très prisé...
Il prit le fusil dans ses mains, l'examinant sous tous les coutures, remarquant les rajouts comme la crosse antidérapant ou le système de chargeur à minutions échangeable. La lunette de visée avec télémètre incorporé ainsi que le rajout d'un bipied déployable. Nul doute qu'il pouvait se cacher encore bien de surprise dans ce petit bijoux de technologie qui semblait être fait sur mesure pour lui. La poignée semblait correspondre en tout point à sa main et les marques pour les doigts aussi.
Il reposa l'arme dans le coffre avant de le refermer en gardant une main dessus, sachant d'avance qu'il allait en prendre énormément soin.
"C'est en effet le cas, vous avez de bon gout général. Félicitation pour votre promotion d’ailleurs, il semblerait que j'ai manqué votre remise de médaille."
Ervin Holz
# Re: [Espace Sith] Les vents du destin (PV Joseph) - Dim 13 Jan 2019 - 19:20
Fang observa d'un œil instigateur le chasseur de prime faire jouer la mécanique du fusil. La récompense lui faisait plaisir, et c'était l'essentiel.
— Cinq-cent mille crédits viennent d'êtres versés sur votre compte bancaire. Une somme à la hauteur du service que vous m'avez rendu. Faite-en bonne usage. Comme vous acheter un belle suite à Kaas City. » plaisanta t-il. « Une base arrière intéressante pour un chasseur de prime, cela dit. Discret et bien desservi. »
Le Général continua de tirer sur son cigare tout en caressant le pelage douillet de son fauve. Son regard fut attiré un instant vers l'extérieur du navire. Le vaisseau perdait de l'altitude, fendant les brumes légères portées par la brise marine. Une île se profilait à l'horizon. Quelques rares rapaces d'acier tournoyaient autour.
— J'aime venir ici. Pas seulement parce que c'est un de mes repaires. Mais le climat, Vankrayn, le climat humide et chaud de cette lune convient à un vieil ours continental comme moi. Regardez ce paysage rayonnant de splendeur, ces archipels tropicaux, recouverts de jungles, perdus dans l'immensité azur de cet océan oublié des Sith. »
Fang observa le paysage et l'île qui grossissait en tirant sur son cigare. Un silence s'écoula.
— Bravo, Vankrayn. Vous savez la fermer en admirant le paysage. Les intellos m'assomment. Vous aurez peut-être un jour l'occasion de savoir où nous sommes, mais pour l'heure vous comprenez ma discrétion. »
Le Général pensait à la capture du Professeur Tan. Le vieil homme ne serait pas capable de résister à la torture, surtout arcanique. Le scientifique avait déjà du balancer aux Sith la composition de l’organigramme renégat. Fang et ses principaux lieutenants n'avaient pas attendus le retour du chasseur de prime pour plier valises et rejoindre son repaire. Il faudrait maintenant opérer dans l'ombre, mais l'heure du changement approchait à grands pas. Ce n'était qu'une question de temps avant que la grande mascarade des Sith prenne fin.
À l’extérieur, la majestueuse carcasse du yacht flottait au-dessus des arbres tropicaux de jungle. Le navire stellaire survolait l'île à basse altitude, glissant lentement au-dessus de la canopée verte, faisant frémir la végétation sous les brises d'air chaud diffusées par ses réacteurs.
L'île était bien plus grande vue d'ici. Peut-être une centaine de kilomètres de long pour la moitié de large. Le centre était traversé d'une cordillère de contreforts recouverts par la jungle, et dont les sommets verts sauges traversaient une épaisse couverture de brume ouatée parmi laquelle planait de grands volatiles.
— Avant que vous repartiez, j'ai quelque chose à vous montrer. » le Général toujours confortablement installé dans l'assise de son fauteuil posa un regard sévère sur le chasseur de prime. « Ça vous pose un problème ? »
Fang sentit le yacht se stabiliser en stationnaire. Par la verrière du salon, on voyait distinctement une plate-forme circulaire perchée sur un versant rocheux recouvert de lianes et autres plantes galopantes. Des silhouettes noires se tenaient en bordure de la piste, immobiles.
— Ma promotion ne concerne pas l'Empire Sith, mais celui des néo-impériaux que j'ai l'honneur de commander. »
— Cinq-cent mille crédits viennent d'êtres versés sur votre compte bancaire. Une somme à la hauteur du service que vous m'avez rendu. Faite-en bonne usage. Comme vous acheter un belle suite à Kaas City. » plaisanta t-il. « Une base arrière intéressante pour un chasseur de prime, cela dit. Discret et bien desservi. »
Le Général continua de tirer sur son cigare tout en caressant le pelage douillet de son fauve. Son regard fut attiré un instant vers l'extérieur du navire. Le vaisseau perdait de l'altitude, fendant les brumes légères portées par la brise marine. Une île se profilait à l'horizon. Quelques rares rapaces d'acier tournoyaient autour.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
— J'aime venir ici. Pas seulement parce que c'est un de mes repaires. Mais le climat, Vankrayn, le climat humide et chaud de cette lune convient à un vieil ours continental comme moi. Regardez ce paysage rayonnant de splendeur, ces archipels tropicaux, recouverts de jungles, perdus dans l'immensité azur de cet océan oublié des Sith. »
Fang observa le paysage et l'île qui grossissait en tirant sur son cigare. Un silence s'écoula.
— Bravo, Vankrayn. Vous savez la fermer en admirant le paysage. Les intellos m'assomment. Vous aurez peut-être un jour l'occasion de savoir où nous sommes, mais pour l'heure vous comprenez ma discrétion. »
Le Général pensait à la capture du Professeur Tan. Le vieil homme ne serait pas capable de résister à la torture, surtout arcanique. Le scientifique avait déjà du balancer aux Sith la composition de l’organigramme renégat. Fang et ses principaux lieutenants n'avaient pas attendus le retour du chasseur de prime pour plier valises et rejoindre son repaire. Il faudrait maintenant opérer dans l'ombre, mais l'heure du changement approchait à grands pas. Ce n'était qu'une question de temps avant que la grande mascarade des Sith prenne fin.
À l’extérieur, la majestueuse carcasse du yacht flottait au-dessus des arbres tropicaux de jungle. Le navire stellaire survolait l'île à basse altitude, glissant lentement au-dessus de la canopée verte, faisant frémir la végétation sous les brises d'air chaud diffusées par ses réacteurs.
L'île était bien plus grande vue d'ici. Peut-être une centaine de kilomètres de long pour la moitié de large. Le centre était traversé d'une cordillère de contreforts recouverts par la jungle, et dont les sommets verts sauges traversaient une épaisse couverture de brume ouatée parmi laquelle planait de grands volatiles.
— Avant que vous repartiez, j'ai quelque chose à vous montrer. » le Général toujours confortablement installé dans l'assise de son fauteuil posa un regard sévère sur le chasseur de prime. « Ça vous pose un problème ? »
Fang sentit le yacht se stabiliser en stationnaire. Par la verrière du salon, on voyait distinctement une plate-forme circulaire perchée sur un versant rocheux recouvert de lianes et autres plantes galopantes. Des silhouettes noires se tenaient en bordure de la piste, immobiles.
— Ma promotion ne concerne pas l'Empire Sith, mais celui des néo-impériaux que j'ai l'honneur de commander. »
Joseph Vankrayn
# Re: [Espace Sith] Les vents du destin (PV Joseph) - Mar 15 Jan 2019 - 7:44
Il semblerait que le fusil Verpine n'était pas la seule chose qui venait avec le paquage, une plaisante surprise que cela. Il était vrais qu'un fusil aussi perfectionné et efficace qui soit ne nourrissait pas, que cela était le ventre d'un homme ou le moteur d'un vaisseau. Il était bon de savoir que son travaille effectué était payé à sa juste valeur et que Fang semblait avoir en haute estime.
Nul doute que s'il passait par la case payement plutôt que par celle de l’exécution, il y avait quelque chose qui se tramait... Peut-être un autre contrat ? S'il n'était pas aussi prenant et long, il serait bien tenté de continuer de travailler avec quelqu'un d'aussi important et influant que lui. Surtout quand l’employeur savait se montrer aussi généreux envers son contracter et savait récompensé le travail de qualité.
D’ailleurs, était-ce qu'il sous entendait dans ses paroles sur le fait d'acheter une suite à Dromun Kaas ? Aurait-il encore besoin de ses services dans la capitale de l'Empire Sith, s'il avait pour but l'éradication ou plutôt une purge total des sith alors il avait un paquet de cible potentiel et un travail pour toute une vie... Une vie qui pourrait se terminer abruptement empalé sur un sabre laser dont on pouvait facilement imaginé la couleur, ou pire.
Les sith savaient se montrer des plus imaginatifs dans leur sadique pervers qu'avait certain pour la torture. Il en avait d’ailleurs pratiqué mais toujours dans un but logique et visant un bénéfice et jamais par plaisir comme certain lunatique ou fou... Mais la proposition n'était pas des innocentes, ni des plus fausses.
Une base arrière ou cache dans la capitale de l'Empire Sith n'était pas une si mauvaise idée que cela. Il avait grâce à l'expédition de nombreuse relation dans la noblesse de Kaas City elle-même et il était toujours bien de garder contacte avec ses anciens et potentiels futurs employeurs.
"Ce n'est en effet pas une si mauvaise idée d'avoir une arrière base ou cache dans un pareil endroit, et j’espère pouvoir bénéficier de vos connaissance en la matière."
Il avait pesé ses mots avec soin restant neutre dans ce qui semblait être rien de plus qu'une proposition anodine en la matière, mais rien n'était jamais anodin quand on parlait avec un tel personnage.
Reprenant la caisse qu'il rouvrit comme pour vérifier que le fusil n'avait pas disparue entre temps, il écouta avec attention les paroles du militaire même s'il ne le regardait pas... Il pouvait le sentir, lui et l'odeur de sang mêlé de cartouche blaster qui semblait le suivre partout où il allait. L'odeur d'un soldat, de celui qui en à vu et qui en verra encore, nul doute.
Après tout, il allait déclarer la guerre avec nul autre que les sith, et c'était pas peut dire. Il le respectait pour cela, aller envers et contre tout dans une direction propre qu'il pensait être juste... L'était-elle vraiment ? Peut-être ? Après tout, seul le dernier vivant pouvait écrire l'histoire et Joseph était sur que Fang se voyait déjà être celui qui tiendrait la plume.
"Une expression ne dit pas, qu'il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué... Je pense qu'elle vous correspond bien." *Dit-il après qu'il eut finit.* "Et je comprend que la confiance n’empêche pas la vérification et précaution, comme j'aime le dire à mes payeurs."
Il avait déjà eu du mal avec certain qui ne voulait pas payer à la fin de contrat, l'obligeant à se montrer des plus "imaginatifs" pour trouver sa mise au final.
Il jeta un coup d’œil vers l’île qui semblait tout droit sortie d'une holo image de voyage touristique, bien qu'il n'en ait jamais prit un personnellement, étant toujours en mouvement ou dans un contrat... Il n'avait jamais eu le temps de bien se poser.
Et puis vint le petit grains de sable qu'il avait sentit venir depuis un petit moment déjà avec cette question anodine, mais pas du tout innocente, qui lui demandait de le suivre tout en donnant l'impression qu'il avait la possibilité de refuser. Fang savait, Joseph, savait et rien ne pouvait empêcher ce qui ressemblait pourtant à une valse bien rythmé de tourner et retourner selon la musique mit en place.
Et puis, pourquoi ruiner le show alors que jusqu'à présent, tout va pour le mieux... Il avait toujours le temps d'improvisé si cela tourne mal.
"Et bien, je suis libre et vous piquez ma curiosité..." *Il regarda les silhouettes noires qui semblaient attendre le vaisseau et son occupant en bordure de la zone d’atterrissage.* "De nouvelle personne à rencontrer peut-être ?"
Allait-il lui proposer de rejoindre leur bande de sécessionniste, car si c'était le cas, il allait devoir commencer à imaginer un plan pour sortir de se guêpier. Cependant cela serait insulter l'intelligence du Général qui devait avoir comprit que Joseph, même s'il détestait les sith, n'était pas un partisan impérial et ne partageait pas leur amour pour leur cause... Après tout, ne venait-il pas juste de se faire payer pour retrouver un artefact que cette même cause semblait attacher beaucoup d'importance.
Si c'était par contre pour faire connaissance avec d'autre membre important de ces néo-impériaux pourquoi pas... Il n'était pas contre connaitre plus d'employeur potentiel, mais il aimerait plutôt pouvoir s'en sortir vivant que mieux informés.
"Néo-impériaux vous dites ?"
Vu qu'il était là, autant demander...
Et le faire parler était toujours une bonne chose...
Nul doute que s'il passait par la case payement plutôt que par celle de l’exécution, il y avait quelque chose qui se tramait... Peut-être un autre contrat ? S'il n'était pas aussi prenant et long, il serait bien tenté de continuer de travailler avec quelqu'un d'aussi important et influant que lui. Surtout quand l’employeur savait se montrer aussi généreux envers son contracter et savait récompensé le travail de qualité.
D’ailleurs, était-ce qu'il sous entendait dans ses paroles sur le fait d'acheter une suite à Dromun Kaas ? Aurait-il encore besoin de ses services dans la capitale de l'Empire Sith, s'il avait pour but l'éradication ou plutôt une purge total des sith alors il avait un paquet de cible potentiel et un travail pour toute une vie... Une vie qui pourrait se terminer abruptement empalé sur un sabre laser dont on pouvait facilement imaginé la couleur, ou pire.
Les sith savaient se montrer des plus imaginatifs dans leur sadique pervers qu'avait certain pour la torture. Il en avait d’ailleurs pratiqué mais toujours dans un but logique et visant un bénéfice et jamais par plaisir comme certain lunatique ou fou... Mais la proposition n'était pas des innocentes, ni des plus fausses.
Une base arrière ou cache dans la capitale de l'Empire Sith n'était pas une si mauvaise idée que cela. Il avait grâce à l'expédition de nombreuse relation dans la noblesse de Kaas City elle-même et il était toujours bien de garder contacte avec ses anciens et potentiels futurs employeurs.
"Ce n'est en effet pas une si mauvaise idée d'avoir une arrière base ou cache dans un pareil endroit, et j’espère pouvoir bénéficier de vos connaissance en la matière."
Il avait pesé ses mots avec soin restant neutre dans ce qui semblait être rien de plus qu'une proposition anodine en la matière, mais rien n'était jamais anodin quand on parlait avec un tel personnage.
Reprenant la caisse qu'il rouvrit comme pour vérifier que le fusil n'avait pas disparue entre temps, il écouta avec attention les paroles du militaire même s'il ne le regardait pas... Il pouvait le sentir, lui et l'odeur de sang mêlé de cartouche blaster qui semblait le suivre partout où il allait. L'odeur d'un soldat, de celui qui en à vu et qui en verra encore, nul doute.
Après tout, il allait déclarer la guerre avec nul autre que les sith, et c'était pas peut dire. Il le respectait pour cela, aller envers et contre tout dans une direction propre qu'il pensait être juste... L'était-elle vraiment ? Peut-être ? Après tout, seul le dernier vivant pouvait écrire l'histoire et Joseph était sur que Fang se voyait déjà être celui qui tiendrait la plume.
"Une expression ne dit pas, qu'il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué... Je pense qu'elle vous correspond bien." *Dit-il après qu'il eut finit.* "Et je comprend que la confiance n’empêche pas la vérification et précaution, comme j'aime le dire à mes payeurs."
Il avait déjà eu du mal avec certain qui ne voulait pas payer à la fin de contrat, l'obligeant à se montrer des plus "imaginatifs" pour trouver sa mise au final.
Il jeta un coup d’œil vers l’île qui semblait tout droit sortie d'une holo image de voyage touristique, bien qu'il n'en ait jamais prit un personnellement, étant toujours en mouvement ou dans un contrat... Il n'avait jamais eu le temps de bien se poser.
Et puis vint le petit grains de sable qu'il avait sentit venir depuis un petit moment déjà avec cette question anodine, mais pas du tout innocente, qui lui demandait de le suivre tout en donnant l'impression qu'il avait la possibilité de refuser. Fang savait, Joseph, savait et rien ne pouvait empêcher ce qui ressemblait pourtant à une valse bien rythmé de tourner et retourner selon la musique mit en place.
Et puis, pourquoi ruiner le show alors que jusqu'à présent, tout va pour le mieux... Il avait toujours le temps d'improvisé si cela tourne mal.
"Et bien, je suis libre et vous piquez ma curiosité..." *Il regarda les silhouettes noires qui semblaient attendre le vaisseau et son occupant en bordure de la zone d’atterrissage.* "De nouvelle personne à rencontrer peut-être ?"
Allait-il lui proposer de rejoindre leur bande de sécessionniste, car si c'était le cas, il allait devoir commencer à imaginer un plan pour sortir de se guêpier. Cependant cela serait insulter l'intelligence du Général qui devait avoir comprit que Joseph, même s'il détestait les sith, n'était pas un partisan impérial et ne partageait pas leur amour pour leur cause... Après tout, ne venait-il pas juste de se faire payer pour retrouver un artefact que cette même cause semblait attacher beaucoup d'importance.
Si c'était par contre pour faire connaissance avec d'autre membre important de ces néo-impériaux pourquoi pas... Il n'était pas contre connaitre plus d'employeur potentiel, mais il aimerait plutôt pouvoir s'en sortir vivant que mieux informés.
"Néo-impériaux vous dites ?"
Vu qu'il était là, autant demander...
Et le faire parler était toujours une bonne chose...
Ervin Holz
# Re: [Espace Sith] Les vents du destin (PV Joseph) - Jeu 17 Jan 2019 - 23:43
Le Général jeta un regard vers le chasseur de prime en descendant de la rampe de l'aéronef.
— Si vous cherchez un endroit où vous planquer, j'ai des contacts qui ont de bons tuyaux le marché de l'immobilier. Dromund Kaas est un endroit agréable à vivre, quoiqu'en dise la propagande de nos ennemis. »
Il n'avait évidemment pas oublié l'étonnement du chasseur de prime devant le concept des néo-impériaux. Son regard était braqué devant lui tandis qu'il s'approchait des officiers impériaux venus à sa rencontre.
— Vous savez Vankrayn, avant l'arrivée des Sith sur nos bien aimées contrées, il existait un empire peuplé d'une antique race d'aliens qui connaissait les vertus cardinales de l'existence. Honneur et Puissance. »
Deux officiers impériaux impeccablement habillés de treillis noirs exercèrent un salut martial vers leur supérieur. Il le leur rendit d'une attitude encore plus professionnelle et continua sa route avec le mercenaire, ses sbires et son fauve blanc sur ses talons.
— Les Sith actuels ont détruit cet héritage en exterminant ce peuple, avant de dégénérer dans une religion stupide au service de la cupidité personnelle. Je suis un homme pragmatique, ma mission est de restaurer cet héritage en débarrassant l'empire de ces sorciers malfaisants. »
Fang s'arrêta un instant sur la passerelle et retira le cigare coincé entre ses dents, avant de se tourner vers son convive.
— Méfiez-vous des Sith, Vankrayn, ils ne sont au service que d'eux-même. Quand vous traitez avec eux, vous ne savez jamais ce qui vous attends au bout du chemin. »
Il lui adressa un clin d’œil en se remettant à mâchouiller son cigare qui n'était qu'à moitié consumé et reprit sa marche.
Ils traversèrent une passerelle qui reliait la piste à un sas métallisé encastré dans la falaise recouverte de lianes qui pendouillaient dans le vide. Fang tapa un numéro sur la console d'identification et la porte métallique s'ouvrit. Ils traversèrent un couloir très haut de plafond, creusé dans la roche. Les parois n'avaient pas été artificialisées, laissant le naturel maître des lieux. Le groupe déboucha sur une plate-forme circulaire de métal qui ressemblait à un ascenseur. Fang activa de nouveau un mécanisme, et l’élévateur s'enfonça lentement dans les profondeurs. Il déboucha sur un hangar, il y avait plusieurs véhicule terrestres. Le Général s'assit sur le siège arrière droit d'une jeep et invita le chasseur de prime à prendre place. Les deux majors impériaux qui les suivaient se répartirent sur les sièges avant, l'un conduisant le véhicule. Fang qui avait terminé son cigare sortit une boîte métallique de sa veste et exhuma deux autres cylindres de tabac. Il en tendit un au mercenaire.
— L'un des attributs du commandement. » dit-il en souriant. « En route, Major. »
Le militaire à la casquette noire qui tenait le volant rétorqua d'un martial « à vos ordres », puis le véhicule se mit en marche tandis qu'un rideau d'acier se levait, éclairant le garage des rayons solaires et dévoilant le paysage vert de la jungle qui s'étendait à l'horizon.
— Permettez moi un petit conseil. Si vous voulez commander un jour, n'essayez surtout pas de vous protéger, ou d'impressionner vos hommes. Les faux-culs répugnent tout le monde, tout comme les lèches-culs. N'oubliez pas vos priorités, la mission, vos hommes. »
Il admira quelques secondes le paysage végétal qui se profilait sur sa droite, et les lointaines chaînes de montagnes enduites de jungles qui s'élevaient au loin, avant de revenir vers son interlocuteur.
— Au fait, vous aimez la chasse ? Qu'est-ce que vous pensez de ce sport ? »
— Si vous cherchez un endroit où vous planquer, j'ai des contacts qui ont de bons tuyaux le marché de l'immobilier. Dromund Kaas est un endroit agréable à vivre, quoiqu'en dise la propagande de nos ennemis. »
Il n'avait évidemment pas oublié l'étonnement du chasseur de prime devant le concept des néo-impériaux. Son regard était braqué devant lui tandis qu'il s'approchait des officiers impériaux venus à sa rencontre.
— Vous savez Vankrayn, avant l'arrivée des Sith sur nos bien aimées contrées, il existait un empire peuplé d'une antique race d'aliens qui connaissait les vertus cardinales de l'existence. Honneur et Puissance. »
Deux officiers impériaux impeccablement habillés de treillis noirs exercèrent un salut martial vers leur supérieur. Il le leur rendit d'une attitude encore plus professionnelle et continua sa route avec le mercenaire, ses sbires et son fauve blanc sur ses talons.
— Les Sith actuels ont détruit cet héritage en exterminant ce peuple, avant de dégénérer dans une religion stupide au service de la cupidité personnelle. Je suis un homme pragmatique, ma mission est de restaurer cet héritage en débarrassant l'empire de ces sorciers malfaisants. »
Fang s'arrêta un instant sur la passerelle et retira le cigare coincé entre ses dents, avant de se tourner vers son convive.
— Méfiez-vous des Sith, Vankrayn, ils ne sont au service que d'eux-même. Quand vous traitez avec eux, vous ne savez jamais ce qui vous attends au bout du chemin. »
Il lui adressa un clin d’œil en se remettant à mâchouiller son cigare qui n'était qu'à moitié consumé et reprit sa marche.
Ils traversèrent une passerelle qui reliait la piste à un sas métallisé encastré dans la falaise recouverte de lianes qui pendouillaient dans le vide. Fang tapa un numéro sur la console d'identification et la porte métallique s'ouvrit. Ils traversèrent un couloir très haut de plafond, creusé dans la roche. Les parois n'avaient pas été artificialisées, laissant le naturel maître des lieux. Le groupe déboucha sur une plate-forme circulaire de métal qui ressemblait à un ascenseur. Fang activa de nouveau un mécanisme, et l’élévateur s'enfonça lentement dans les profondeurs. Il déboucha sur un hangar, il y avait plusieurs véhicule terrestres. Le Général s'assit sur le siège arrière droit d'une jeep et invita le chasseur de prime à prendre place. Les deux majors impériaux qui les suivaient se répartirent sur les sièges avant, l'un conduisant le véhicule. Fang qui avait terminé son cigare sortit une boîte métallique de sa veste et exhuma deux autres cylindres de tabac. Il en tendit un au mercenaire.
— L'un des attributs du commandement. » dit-il en souriant. « En route, Major. »
Le militaire à la casquette noire qui tenait le volant rétorqua d'un martial « à vos ordres », puis le véhicule se mit en marche tandis qu'un rideau d'acier se levait, éclairant le garage des rayons solaires et dévoilant le paysage vert de la jungle qui s'étendait à l'horizon.
— Permettez moi un petit conseil. Si vous voulez commander un jour, n'essayez surtout pas de vous protéger, ou d'impressionner vos hommes. Les faux-culs répugnent tout le monde, tout comme les lèches-culs. N'oubliez pas vos priorités, la mission, vos hommes. »
Il admira quelques secondes le paysage végétal qui se profilait sur sa droite, et les lointaines chaînes de montagnes enduites de jungles qui s'élevaient au loin, avant de revenir vers son interlocuteur.
— Au fait, vous aimez la chasse ? Qu'est-ce que vous pensez de ce sport ? »
Joseph Vankrayn
# Re: [Espace Sith] Les vents du destin (PV Joseph) - Mer 13 Fév 2019 - 6:21
Il suivit le Général en descendant avec lui du vaisseau en écoutant son explication plus que légère. Il aurait existé une race originelle d'alien sith qui étaient très différentes de celle qui existait de nos jours. Des siths qui avaient une notion d'honneur et qui avait une certaine notion de la vie autre que conquérir la galaxie et tuer tout les jedi... Il en doutait fortement mais il gardait cela pour lui en continuant d'écouter le militaire poliment.
Il trouva néanmoins qu'il y avait une certaine ressemblance à leur "mission" personnel, Joseph comptait redonner vie à la culture mandalorienne et Tiberius qui comptait redonner vie à cette sois-disant ancienne culture Sith. Il avait beau dire ce qu'il voulait au final c'était quand même du sith et des forceux, ce qui était contradictoire avec le fait qu'il voulait tous les exterminer.
Existait-il des bons et des mauvais sith ? Non... Il n'y avait que des mauvais... Ou presque...
Pour le peu qu'il avait croisé il avait une mauvaise opinion de cette "caste" ou "secte".
Et le Général semblait avoir la même opinion que lui.
Il ne s’empêcha pas de regarder et d'examiner les environs au fur et à mesure de leur marche. La piste d’atterrissage menait à un ascenseur qui se fondait bien dans la nature, s'en servant comme d'un couvert et camouflage. Ascenseur menant à un garage souterrain ou cacher dans une caverne naturelle où des véhicules étaient garés, il était clairement visible que les infrastructures avaient étaient largement préparés à l'avance. Cela était clairement prévue à l'avance car il semblait prévoir une confrontation avec les sith tôt ou tard.
Et s'il n'avait pas prévue cela, il n’aurait était pas digne de son poste ni du respect que le mercenaire avait pour lui. Il accepta le cigare avec un hochement de tête pour le remercier avant de ranger ce nouveau cigare avec l'autre, il allait avoir tout une nouvelle collection avec tout ce qu'il lui offrait au fur et à mesure de la journée.
"Pour l'instant commander ne fait pas partie de ce que je prévois de faire une fois en dehors de cette planète. Je vais me reposer un peut avec vos crédits, boire, aller dans un coin discret à ma connaissance et tester le nouveau bijou que je viens d'avoir."
En effet, il ne comptait pas pour l'instant commander une armée, même s'il savait qu'il allait devoir y toucher du doigt avec la futur création de son clan ou regroupement de nouveau mando. Mais çà c'était pour plus tard, pour l'instant il voulait une bonne douche chaude, une belle infirmière qui s'occuperait de ses blessures et une belle cible sur lequel tirer pour tester le fusil verpine.
Il admira la vue de la nature à l'état sauvage qui était sur cette planète abandonnée de tous, cela lui rappelait d'une certaine manière la lune d'Ondéron, Dxun. Elle était juste une boule verte qui était entièrement recouverte de jungle et de tempête, sans oublier la population animales qui étaient plus que carnassière et qui pouvait donner du mal même au mandalorien.
Peut-être qu'il irait faire un tour là-bas à nouveau, se reposer dans une ancienne base mandaloriennne qu'il avait découvert des années plus tôt.
La question qu'il lui posa le sortit de ses pensées.
"Hmm... La chasse... Et bien si je ne l'aimerais pas je n'en aurais pas fait mon métier, mais plus qu'un métier je trouve qu'il y a une remise en question de sois. Chasseur ou chassé, toi et ta proie et rien d'autre, si tu te goures tu risques d'y laisser ta peau. C'est une épreuve pour survivre et s'améliorer à chaque nouvelle chasse..." *Il fit une pause.* "Je ne mélange pas la chasse à l'homme et la véritable chasse, ce n'est pas la même chose entre chasser une bête tel une épreuve à passer pour s'améliorer et le boulot. Après je compte bien me mettre à une traque de haut vol en visant les jedi et sith... Il me manque juste le bon équipement." *Il se tourna vers lui.* "Lance-fléchette, lance-flamme, grenade à gaz et d'autre chose dans le genre."
Il tournera son visage vers l'environnement qui les entouraient.
"Mais oui j'aime la chasse, pourquoi il y a de beau trophée à prendre sur cette planète."
Il trouva néanmoins qu'il y avait une certaine ressemblance à leur "mission" personnel, Joseph comptait redonner vie à la culture mandalorienne et Tiberius qui comptait redonner vie à cette sois-disant ancienne culture Sith. Il avait beau dire ce qu'il voulait au final c'était quand même du sith et des forceux, ce qui était contradictoire avec le fait qu'il voulait tous les exterminer.
Existait-il des bons et des mauvais sith ? Non... Il n'y avait que des mauvais... Ou presque...
Pour le peu qu'il avait croisé il avait une mauvaise opinion de cette "caste" ou "secte".
Et le Général semblait avoir la même opinion que lui.
Il ne s’empêcha pas de regarder et d'examiner les environs au fur et à mesure de leur marche. La piste d’atterrissage menait à un ascenseur qui se fondait bien dans la nature, s'en servant comme d'un couvert et camouflage. Ascenseur menant à un garage souterrain ou cacher dans une caverne naturelle où des véhicules étaient garés, il était clairement visible que les infrastructures avaient étaient largement préparés à l'avance. Cela était clairement prévue à l'avance car il semblait prévoir une confrontation avec les sith tôt ou tard.
Et s'il n'avait pas prévue cela, il n’aurait était pas digne de son poste ni du respect que le mercenaire avait pour lui. Il accepta le cigare avec un hochement de tête pour le remercier avant de ranger ce nouveau cigare avec l'autre, il allait avoir tout une nouvelle collection avec tout ce qu'il lui offrait au fur et à mesure de la journée.
"Pour l'instant commander ne fait pas partie de ce que je prévois de faire une fois en dehors de cette planète. Je vais me reposer un peut avec vos crédits, boire, aller dans un coin discret à ma connaissance et tester le nouveau bijou que je viens d'avoir."
En effet, il ne comptait pas pour l'instant commander une armée, même s'il savait qu'il allait devoir y toucher du doigt avec la futur création de son clan ou regroupement de nouveau mando. Mais çà c'était pour plus tard, pour l'instant il voulait une bonne douche chaude, une belle infirmière qui s'occuperait de ses blessures et une belle cible sur lequel tirer pour tester le fusil verpine.
Il admira la vue de la nature à l'état sauvage qui était sur cette planète abandonnée de tous, cela lui rappelait d'une certaine manière la lune d'Ondéron, Dxun. Elle était juste une boule verte qui était entièrement recouverte de jungle et de tempête, sans oublier la population animales qui étaient plus que carnassière et qui pouvait donner du mal même au mandalorien.
Peut-être qu'il irait faire un tour là-bas à nouveau, se reposer dans une ancienne base mandaloriennne qu'il avait découvert des années plus tôt.
La question qu'il lui posa le sortit de ses pensées.
"Hmm... La chasse... Et bien si je ne l'aimerais pas je n'en aurais pas fait mon métier, mais plus qu'un métier je trouve qu'il y a une remise en question de sois. Chasseur ou chassé, toi et ta proie et rien d'autre, si tu te goures tu risques d'y laisser ta peau. C'est une épreuve pour survivre et s'améliorer à chaque nouvelle chasse..." *Il fit une pause.* "Je ne mélange pas la chasse à l'homme et la véritable chasse, ce n'est pas la même chose entre chasser une bête tel une épreuve à passer pour s'améliorer et le boulot. Après je compte bien me mettre à une traque de haut vol en visant les jedi et sith... Il me manque juste le bon équipement." *Il se tourna vers lui.* "Lance-fléchette, lance-flamme, grenade à gaz et d'autre chose dans le genre."
Il tournera son visage vers l'environnement qui les entouraient.
"Mais oui j'aime la chasse, pourquoi il y a de beau trophée à prendre sur cette planète."
Ervin Holz
# Re: [Espace Sith] Les vents du destin (PV Joseph) - Jeu 4 Avr 2019 - 11:48
— Il vous plaira. Le dégoter n'a pas été facile, ce modèle n'est pas utilisé dans l'armée impériale. Trop complexe à manier. Mais comme on dit, maîtriser une chose ardue rend doublement plus habile. »
Fang inspira deux petites bouffée de son cohima n.56. Un léger goût milieux avec quelques arômes de fève.
La jeep venait de s'engager sur une route terreuse qui s'enfonçait profondément dans la jungle. Depuis le départ, ils avaient roulé une vingtaine de minutes et les voilà qui parviennent dans une zone ressemblant à une base embusquée, dissimulée sous la canopée. Des structures métalliques ressemblant à de petits hangars et des casemates camouflés étaient érigés là. Trois ou quatre bâtiments tout au plus, avec quelques miradors recouverts de filets de camouflage. La jeep s'arrêta devant un poste de garde fermé par plusieurs barrières et le conducteur du véhicule s'entretint avec la sentinelle qui se trouvait au guichet. La barrière s'ouvrit et le véhicule entra.
— Il y a une faune sauvage et dangereuse sur cette île, de quoi s'amuser entre quelques séances de travail. Mais nous arrivons. Je vous explique pourquoi je vous raconte tout ça. »
Le Général sortit de la jeep qui s'était garé au bout de la route de terre, prêt d'autres véhicules tout terrain. L'air sentait le rance de la végétation de la jungle profonde, l'endroit était très reculé dans la forêt équatoriale, on entendait encore plus le hululement de la faune perchée dans la canopée, mais aussi des voix portantes qui s'élevaient quelque part.
— Nous sommes sur la base de la Shadow Company. Peut-être que vous en avez déjà entendu parler. C'est une unité paramilitaire qui a assisté à la première expédition des Arcanautes. Je l'ai démobilisée pour la préparer à mener mon grand projet. »
Fang coinça son cigare entre les dents et se mit à marcher dans l'herbe poisseuse. Les tiges des petites tubérales chargée de sèves éclataient sous ses pieds et répondaient un liquide orange sur le pistil des autres plantes. Il eut soudain un mouvement d'hésitation en esquivant un revers demain devant son visage.
— Ça grouille d'insectes dans cette merde, mais au moins on se fait discret. Ici, personne n'a l'idée de venir nous cueillir. »
Les Majors étaient restés à la jeep. Fang contourna un casemate recouvert de filets de camouflage et tomba devant une vingtaine de personnels à l'exercice. Des soldats de très fortes carrures dépassant sans doute tous les 1m90 et vêtus de treillis simples et de polo kakis pompaient sur le sol à cadence rythmée tandis qu'un autre, sans doute un gradé, marchait entre eux avec un chrono.
— Ces gars auront un grand rôle à jouer le jour J. Ils sont entraînés à buter des Sith, une formation que je les fais suivre depuis deux ans. »
Le Général observa quelques secondes les paramilitaires en silence, puis il ramena son regard vers le chasseur.
— Je sais que vous avez des projets personnels et hâte de vous débarrasser du contrat qui noue lie, et comme vous m'avez été fort utile, je ne me montrerai pas encombrant. J'ai une dernière faveur à vous demander. Cette future unité serait sans doute bien plus opérationnelle si elle bénéficiait des conseils d'un spécialiste comme vous. Que diriez-vous de leur donner un stage intensif de trois semaines rémunéré à quinze mille crédit ? Vous serez logés ici, nourris, et pourrez profiter du domaine de chasse naturel à vos heures perdues. Qu'en dite vous ? »
Fang inspira deux petites bouffée de son cohima n.56. Un léger goût milieux avec quelques arômes de fève.
La jeep venait de s'engager sur une route terreuse qui s'enfonçait profondément dans la jungle. Depuis le départ, ils avaient roulé une vingtaine de minutes et les voilà qui parviennent dans une zone ressemblant à une base embusquée, dissimulée sous la canopée. Des structures métalliques ressemblant à de petits hangars et des casemates camouflés étaient érigés là. Trois ou quatre bâtiments tout au plus, avec quelques miradors recouverts de filets de camouflage. La jeep s'arrêta devant un poste de garde fermé par plusieurs barrières et le conducteur du véhicule s'entretint avec la sentinelle qui se trouvait au guichet. La barrière s'ouvrit et le véhicule entra.
— Il y a une faune sauvage et dangereuse sur cette île, de quoi s'amuser entre quelques séances de travail. Mais nous arrivons. Je vous explique pourquoi je vous raconte tout ça. »
Le Général sortit de la jeep qui s'était garé au bout de la route de terre, prêt d'autres véhicules tout terrain. L'air sentait le rance de la végétation de la jungle profonde, l'endroit était très reculé dans la forêt équatoriale, on entendait encore plus le hululement de la faune perchée dans la canopée, mais aussi des voix portantes qui s'élevaient quelque part.
— Nous sommes sur la base de la Shadow Company. Peut-être que vous en avez déjà entendu parler. C'est une unité paramilitaire qui a assisté à la première expédition des Arcanautes. Je l'ai démobilisée pour la préparer à mener mon grand projet. »
Fang coinça son cigare entre les dents et se mit à marcher dans l'herbe poisseuse. Les tiges des petites tubérales chargée de sèves éclataient sous ses pieds et répondaient un liquide orange sur le pistil des autres plantes. Il eut soudain un mouvement d'hésitation en esquivant un revers demain devant son visage.
— Ça grouille d'insectes dans cette merde, mais au moins on se fait discret. Ici, personne n'a l'idée de venir nous cueillir. »
Les Majors étaient restés à la jeep. Fang contourna un casemate recouvert de filets de camouflage et tomba devant une vingtaine de personnels à l'exercice. Des soldats de très fortes carrures dépassant sans doute tous les 1m90 et vêtus de treillis simples et de polo kakis pompaient sur le sol à cadence rythmée tandis qu'un autre, sans doute un gradé, marchait entre eux avec un chrono.
— Ces gars auront un grand rôle à jouer le jour J. Ils sont entraînés à buter des Sith, une formation que je les fais suivre depuis deux ans. »
Le Général observa quelques secondes les paramilitaires en silence, puis il ramena son regard vers le chasseur.
— Je sais que vous avez des projets personnels et hâte de vous débarrasser du contrat qui noue lie, et comme vous m'avez été fort utile, je ne me montrerai pas encombrant. J'ai une dernière faveur à vous demander. Cette future unité serait sans doute bien plus opérationnelle si elle bénéficiait des conseils d'un spécialiste comme vous. Que diriez-vous de leur donner un stage intensif de trois semaines rémunéré à quinze mille crédit ? Vous serez logés ici, nourris, et pourrez profiter du domaine de chasse naturel à vos heures perdues. Qu'en dite vous ? »
Joseph Vankrayn
# Re: [Espace Sith] Les vents du destin (PV Joseph) - Mer 22 Mai 2019 - 23:50
Il continua d'examine les environs à travers la fenêtre en plastacier du véhicule militaire. Cette ile ou se petit bout de continent sur lequel il était arrivé ressemblait plus a une grosse touffe de foret déposé en plein milieu de l'océan… Comme s'il fallait dans tout se bleu un peut de vert pour contre balancer selon un ordre céleste.
En tout cas avec tout les bruits, cries et autres mouvements qu'ils pouvaient apercevoir brièvement dans la canopée… La zone était des plus vivantes.
Il avait presque l'impression d'être de retour à Dxun, il manquait juste la pluit et des cannoks.
"Avec plaisir."
En tout cas avec tout les bruits, cries et autres mouvements qu'ils pouvaient apercevoir brièvement dans la canopée… La zone était des plus vivantes.
Il avait presque l'impression d'être de retour à Dxun, il manquait juste la pluit et des cannoks.
"Avec plaisir."
Il se détourna du paysage qui n'était pas non plus à couper le souffle pour se tourner vers le Major qui allait enfin venir à la raison de sa visite dans se lieux des plus secret. Il fallait avouer que l'excitation des cadeaux et de sa paye était redescendu depuis un certain temps maintenant…
Et il ne cessait de se demander ce qu'il faisait ici et sur quoi allait porter son extra boulot.
Shadow Company… Il semblerait que les sith n'étaient pas les seul a aimer porter des noms des plus colorés et imaginatif. Les impériaux semblaient aussi partagés ses gouts qui étaient on ne peut plus compréhensif… Après tout qui aimeraient nommé une unité d'élite de l'armé "Les Chevaucheurs de Bantha" ou "Big Hearth".
Il n'était pas là pour faire du tourisme ou en vacance et le nom devait quand même avoir une connotation qui ne ferait pas honte à ceux qui le porteraient.
Malgré tout, il n'allait pas lui dire qu'il ne les connaissaient pas, surtout si ceux-ci avaient participés à l'expédition des Arcanautes. Tout d'abord parce que cela donnerait peut-être une mauvaise image de lui et secondement parce qu'il ne voulait pas les insulter.
Il savait faire preuve de certain tact envers les personnes qu'il le méritait et si ils avaient vraiment fait partie de l'expédition, le seul fait qu'ils étaient encore en vie prouvaient leur qualité.
Il lui suivit tachant ses bottes et bas de pantalon de matière végétale dont il loua la viscosité et le fait qu'il portait un masque. Il savait que certaine plante pouvait relâcher des spores ou autres gaz néfastes et dangereux pour leur santé… Ou qu'il puait énormément.
Ils arrivèrent rapidement au niveau un baraquement pour tomber sur un terrain vague qui semblait être utilisé pour les exercices physiques et quotidien des soldats en garnisons.
Il fallait avouer que le groupe de soldat donnait une impression vivifiante de vitalité et de danger que seul ceux qui avaient fait face à de nombreux situation mortelle pouvaient émettre. Ils étaient tel des vibrolames qui n'attendaient que l'ordre d'activation pour trancher et découper tout ceux qui se trouveraient sur leur chemin.
Il ne pouvait pas cacher qu'il était des plus curieux concernant ledit entrainement et formation pour buter des sith… Une formation dans lequel il aurait besoin de ces connaissances au jour ou l'autre, sans nul doute !
Mais il n'en dit rien, n'y ne posa de questions dessus. Cela devait certainement être un secret de leur organisation et il n'avait pas envie de savoir dans quoi ils avaient trempés leur soldat. Cela n'était pas la première fois qu'il entendait parler de formation et d'entrainement d'élite qui pouvait dès fois se résumé à des drogues et lavage de cerveaux.
Il était donc là pour sortir ses hommes de leur livre de combat militaire académique. Non pas qu'il avait besoin de plus d'expérience en la matière avec les situations de combat et de risque mortel qu'ils avaient du subir durent leur passage dans l'armée.
Il voulait donc trois semaines d'exercices en tout genre pour les préparer au pires et ceux pour la modique somme de quinze mille crédits, tout frais payé ?
Il fallait dire que c'était une offre des plus généreuse, ce n'était pas tout les jours que quelqu'un pouvait sortir autant de crédit pour une tache non "mortelle" ou qui ne lui prenait pas des mois de chasse, de préparation ou de travail.
D'ailleurs c'était aussi une bonne chose pour lui, car il allait pouvoir s'entrainer à gérer un groupe de personne expérimenté et de fort caractère. Ce qui allait certainement arriver quand il allait créer et gérer son futur clan, chose qui semblait plus que possible avec un tel fond.
Il allait pouvoir payer du ravitaillement, arme, minution, médicament et autre fourniture pour un tel groupe.
Il ne négocia pas la chose, ni ne détourna le regard du groupe de soldat qui continuaient leur pompe dans un rythme mécanique qui ne semblait jamais s'arrêter.
"J'accepte…"
Comme quoi son voyage retour allait devoir patienter un petit moment encore, non pas que cela soit une perte en sois… Au contraire.
Et il ne cessait de se demander ce qu'il faisait ici et sur quoi allait porter son extra boulot.
Shadow Company… Il semblerait que les sith n'étaient pas les seul a aimer porter des noms des plus colorés et imaginatif. Les impériaux semblaient aussi partagés ses gouts qui étaient on ne peut plus compréhensif… Après tout qui aimeraient nommé une unité d'élite de l'armé "Les Chevaucheurs de Bantha" ou "Big Hearth".
Il n'était pas là pour faire du tourisme ou en vacance et le nom devait quand même avoir une connotation qui ne ferait pas honte à ceux qui le porteraient.
Malgré tout, il n'allait pas lui dire qu'il ne les connaissaient pas, surtout si ceux-ci avaient participés à l'expédition des Arcanautes. Tout d'abord parce que cela donnerait peut-être une mauvaise image de lui et secondement parce qu'il ne voulait pas les insulter.
Il savait faire preuve de certain tact envers les personnes qu'il le méritait et si ils avaient vraiment fait partie de l'expédition, le seul fait qu'ils étaient encore en vie prouvaient leur qualité.
Il lui suivit tachant ses bottes et bas de pantalon de matière végétale dont il loua la viscosité et le fait qu'il portait un masque. Il savait que certaine plante pouvait relâcher des spores ou autres gaz néfastes et dangereux pour leur santé… Ou qu'il puait énormément.
Ils arrivèrent rapidement au niveau un baraquement pour tomber sur un terrain vague qui semblait être utilisé pour les exercices physiques et quotidien des soldats en garnisons.
Il fallait avouer que le groupe de soldat donnait une impression vivifiante de vitalité et de danger que seul ceux qui avaient fait face à de nombreux situation mortelle pouvaient émettre. Ils étaient tel des vibrolames qui n'attendaient que l'ordre d'activation pour trancher et découper tout ceux qui se trouveraient sur leur chemin.
Il ne pouvait pas cacher qu'il était des plus curieux concernant ledit entrainement et formation pour buter des sith… Une formation dans lequel il aurait besoin de ces connaissances au jour ou l'autre, sans nul doute !
Mais il n'en dit rien, n'y ne posa de questions dessus. Cela devait certainement être un secret de leur organisation et il n'avait pas envie de savoir dans quoi ils avaient trempés leur soldat. Cela n'était pas la première fois qu'il entendait parler de formation et d'entrainement d'élite qui pouvait dès fois se résumé à des drogues et lavage de cerveaux.
Il était donc là pour sortir ses hommes de leur livre de combat militaire académique. Non pas qu'il avait besoin de plus d'expérience en la matière avec les situations de combat et de risque mortel qu'ils avaient du subir durent leur passage dans l'armée.
Il voulait donc trois semaines d'exercices en tout genre pour les préparer au pires et ceux pour la modique somme de quinze mille crédits, tout frais payé ?
Il fallait dire que c'était une offre des plus généreuse, ce n'était pas tout les jours que quelqu'un pouvait sortir autant de crédit pour une tache non "mortelle" ou qui ne lui prenait pas des mois de chasse, de préparation ou de travail.
D'ailleurs c'était aussi une bonne chose pour lui, car il allait pouvoir s'entrainer à gérer un groupe de personne expérimenté et de fort caractère. Ce qui allait certainement arriver quand il allait créer et gérer son futur clan, chose qui semblait plus que possible avec un tel fond.
Il allait pouvoir payer du ravitaillement, arme, minution, médicament et autre fourniture pour un tel groupe.
Il ne négocia pas la chose, ni ne détourna le regard du groupe de soldat qui continuaient leur pompe dans un rythme mécanique qui ne semblait jamais s'arrêter.
"J'accepte…"
Comme quoi son voyage retour allait devoir patienter un petit moment encore, non pas que cela soit une perte en sois… Au contraire.
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