Lauren Aresu
Lauren Aresu
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Fiche de présentation

Lauren Aresu [terminée] Lauren


Nom : Aresu

Prénom : Lauren


Âge : 14 ans 

Année de naissance : Elle est née en 21 557 (- 3 495 av. BY)

Race : Lauren est issue d'un père humain et d'une mère Echani dont elle garde principalement les traits physiques.

Côté de la Force : 
Côté Lumineux

Rang désiré :
 Padawan de Saery Vespen. 

Sabre laser: Ne possède pas de sabre pour l'instant.

Caractéristiques :
 

Force 3
Dextérité 3
Agilité 3
Constitution 3 (+1) = 4
Intelligence 4
Sagesse 3
Charisme 3

Pouvoirs : Détection (niveau 1) / Télékinésie (niveau 1) / Guérison (niveau 1)(niveau 2)

Points Forts : Empathie prononcée / Travailleuse / Honnête

Points Faibles : 
Monophobie / Aisance et mouvements limités par manque de maîtrise de son bras / Peu confiante / Peur panique d'être immergée complètement sous l'eau

Caractère : Lauren n’a pas grandi dans un environnement calme et sain. La violence a été une notion constitutive de sa jeunesse bien que ses parents aient tout fait pour l’en préserver. La jeune fille développe donc un côté téméraire et impulsif qui ne demanderont qu’à être canalisés par son Maître. Cette témérité ne se traduit pas par la simple envie de prendre des risques inconsidérés et dangereux pour sa vie et celle des autres mais bien l’inverse, l’idée même que l’action a réussi à les maintenir en vie, elle et son père alors que l’inaction les auraient probablement menés vers une mort certaine. Et lorsque l’on n’a pas le luxe du temps et de la réflexion…
 
Paradoxalement, les actes dont elle a été témoin ont exacerbé son humanité, une sorte d’innocence particulière et une confiance palpable envers les autres que l’on ressent dans une envie d’aider, de soutenir et d’offrir une présence qu’elle veut réconfortante. La notion de présence est très importante pour Lauren. Sa mère décédée, leur vie nomade où le seul lien concret est celui qui l’unissait à son père à travers les épreuves puis sa disparition, elle souffre ainsi de monophobie : une peur presque maladive de se retrouver seule, sans attache.
 
Malgré les quatre années pendant lesquelles elle n’a pu recevoir une éducation en bonne et due forme, elle fait preuve de vivacité d’esprit saupoudrée d’une touche d’ingéniosité. Elle est restée profondément marquée par leur voyage vers Makem Te. Ces années-là furent difficiles mais formatrices pour elle. Son instinct de survie est bien développé et, sans dire que Lauren est une fille spirituelle, elle sacralise presque « la vie » puisque durant ce temps, la seule chose qu’ils défendaient vraiment était leur vie, parfois au prix de celle des autres. Son père lui a transmit cette façon de penser optimiste et apaisante pour la protéger mentalement. Elle aura parfois du mal à se positionner comme une enfant aux yeux des adultes, un trait « auto-parent » où souvent, les décisions qu’elle avait à prendre n’étaient pas soumise à un consentement préalable.  
Enfin, Lauren reste une jeune enfant, une adolescente maintenant, ouverte d’esprit. Elle a traversé tant de cultures et de peuples qu’elle continue de s’émerveiller que ce soit de la musique, des holo-films, des langues et des coutumes par exemple.
Description physique : Lauren a hérité du physique caractéristique des Echani. Elle mesure 1,60 mètres et est dotée d’une corpulence que l’on pourrait qualifier par l’adjectif « normale », aussi générique cela soit-il. C’est une adolescente qui n’est pas plus musclée que les autres, pratiquant des activités physiques à intervalles irréguliers qui lui ont permis de garder une silhouette élancée. 

Ce qui la rend unique, ce sont ses cheveux blancs éclatants, qu’elle attache parfois en queue volontairement lâche. Quelques mèches descendent, rebelles, sur ses yeux cendrés, dans ce ton si particulier de d'argent. Ce sont des yeux en amande, infiniment expressifs et sans cesse en mouvement qui tour à tour dévisagent et apprécient. Ses sourcils, eux-aussi, possèdent la même couleur que sa chevelure, ils sont fins et sont tout aussi éloquents et démonstratifs que ses yeux. Son nez est très fin, légèrement arqué et descend vers sa bouche, affinée, seule chose qu'elle retient de son père avec sa voix, une voix aux tons chantants, chaleureuse. Son visage est délicatement angulaire, ses pommettes imperceptiblement saillantes lui donnant un charme particulier. 
Lauren n’est pas très à cheval sur ce qu’elle porte ou son apparence en général et tant qu’elle est habillée et propre, elle considère cela comme une chance. 
Histoire : La jeune demi-humaine/echani naquit en 21 557 sur une planète située à l’extrémité des mondes du Noyau, Rhinnal dans le système du même nom. C’était une magnifique planète, connue pour sa beauté sauvage, ses paysages blanchis par une neige permanente, ses montagnes abruptes adoucies par leur épais manteau de poudreuse mais également ses collines et ses lacs dans lesquels le marcheur courageux bravant le froid pouvait en profiter de ses propres yeux. Son père, Nathan, natif de Coruscant a émigré plus jeune sur la planète et sa mère, Reina, alors Jedi, y perfectionnait les usages médicaux de la Force en menant des actions de prévention auprès de la population.

Lauren lâcha son premier cri dans ce contexte paisible. Sa mère quitta alors subitement, sans réelle justification, l’ordre Jedi à la naissance de celle-ci dans le but de l’élever. Menée par un instinct maternel fort et adepte de la Force elle-même, elle craint très vite que sa fille fut détectée sensible et ne lui soit enlevée. Ils ne vécurent pas cachés mais Reina prit certaines précautions, comme éviter l’école qu’elle lui dispensa de ses propres soins. Elle prit d’ailleurs une patience toute particulière à lui expliquer ses origines Echani, leur mode de vie basé sur des duels plus explicites que les mots. Elle évoqua leur style combatif unique, tout cela dans des mots, des exemples et des histoires simples et intéressantes qui piquaient la curiosité de la jeune fille. Lauren était éveillée, quoique peu prompt à prendre des initiatives, un peu peureuse même, à cette époque. Leur vie était bienheureuse et manifestement, elle ne fut pas repérée.
 
Cela bascula durant l’année où Lauren fêta ses quatre bougies, en 21 561. Personne ne le savait encore mais le retour des Sith se fit plus pressant, plus concret et dans la violence. Usant d’une stratégie lâche, ils se firent passer pour des Jedi et commirent les pires exactions envisageables. Durant plusieurs mois, l’animosité envers l’Ordre fut palpable surtout sur les planètes touchées comme Rhinnal. Un voile pesant envahissait les relations sociales, les regards s’étaient fait scrutateurs, perçants et méfiants. Les Jedi furent mis de côté et leur présence n’était plus la bienvenue pour beaucoup. Acceptant exceptionnellement une mission de protection au service d’une amie de longue date, Reina périt durant une rébellion locale contre un convoi Jedi. Rouée de coup puis battue à mort, elle rendit son dernier souffle dans de terribles souffrances. Les Jedi déplorèrent cinq décès, ce jour-là. Lauren et son père furent dévastés sans commune mesure par la nouvelle. Leur point d’ancrage familial, le lien qui l’unissait à Nathan, sa présence maternelle réconfortante, tout disparut avec elle et il ne leur restait que ses vêtements et des souvenirs au goût maintenant amer. Leur deuil fut de courte durée. Ils reçurent dans les deux mois qui suivirent plusieurs lettres de menaces. C’était comme si leur existence n’était plus requise, qu’elle dérangeait. Pour eux, pour cette population ignorante, ils étaient complices, ils étaient des criminels. Pour Lauren et Nathan, c’était impossible. Il devait y avoir une explication, la Reina qu’ils connaissaient apprenait à guérir, à panser. Pas à tuer. Leur vie devenait étouffante et venimeuse. Durant ce laps de temps, la peur de Lauren s’exacerba. Elle n’osait plus sortir, elle ne parlait qu’à son père, la seule personne qui lui voulait du bien. Le soir, ils restaient longtemps l’un dans les bras de l’autre, échangeant un moment silencieux mais apaisant, leur moment que personne ne pouvait déranger. Ils comblaient ce vide qui s’étaient creusé. Lauren ne se sentait plus complète, ses jours prirent un goût fade, aigri.
 
Ils ne purent rester plus longtemps. L’insistance de la population était trop pressante. Du jour au lendemain, les habitants de leur village découvrirent cette maison maintenant vide. Ils ne le savaient pas mais seules quelques affaires manquaient, la jeune famille meurtrie n’avait pu tout emporter. Ils ne s’en soucièrent peu et elle fut vendue rapidement. Ils entamèrent un voyage en suivant la route commerciale Perlemienne sur laquelle Rhinnal se trouvait. Ils s’éloignèrent du Noyau et menèrent une vie principalement nomade durant les quatre années qui suivirent. Ils ne restaient que quelques mois sur chacune de leurs destinations. Cette vie fut aux antipodes de paisible et stable. La jeune Lauren dut s’ouvrir, elle dut faire preuve d’indépendance. Son père était la seule attache avec sa vie, jadis. Et l’un avait besoin de l’autre. Tout ceci ne ressemblait en rien à ce que l’on attendait normalement d’une enfant entre quatre et huit ans. Si durant la première année, la fillette était perpétuellement saisie d’une peur indicible, si son regard fuyait et que la présence étrangère ne lui inspirait que crainte, elle s’ouvrit petit à petit pour comprendre que tout ce qui ne lui était pas familier n’était pas un danger. Toute cette partie de sa vie fut marquée par la découverte, ses grands yeux gris exploraient, épiaient tout ce qu’ils pouvaient. Sa langue, elle aussi, se déliait et par plusieurs fois, son père dut la refreiner, l’éduquer, de crainte qu’elle ne se laisse emporter.
Parfois, ils avaient un toit, parfois non. Parfois, son père parvenait à trouver un petit travail, bien miteux et rémunéré au noir qui leur permettait de subsister tant bien que mal. Parfois non et ils étaient obligés de jouer la mendicité, pelotonnés l’un contre l’autre au gré des crédits qui tintaient ou des journées désespérément vides. Une fois même, ils avaient été attaqués ! Nathan avait insisté pour que Lauren transporte un petit coutelas, pliant. « On ne sait jamais » lui avait-il gentiment expliqué en lui ébouriffant les cheveux. Sur l’une des planètes, engourdis par le froid mordant, la surprise avait eu raison d’eux. Son père s’était fait battre, de nombreux coups de poing par un charognard dégoûtant et peu scrupuleux. Lauren, qui n’avait d’yeux pour lui, déclencha son coutelas et le planta dans la cuisse de la brute qui, par chance, décida de partir dans un grognement féroce, lui aussi surpris. Encore une fois, une longue étreinte entre eux. Quand son père tombait malade, elle prenait soin de lui, comme elle pouvait. Quand elle tombait malade, il était la personne la plus aimante du monde. Pour Lauren, ces quatre années engendrèrent un changement de caractère impressionnant. D’introvertie, elle était devenue un peu plus confiante, plus débrouillarde. Elle avait su rendre Nathan fier et évoluer dans un monde neutre/hostile envers eux.
 
Durant l’année où la jeune fille fêta ses huit ans, en 21 565, le duo faiblissait de leurs aventures. Ils étaient las et l’envie se fit sentir, tacitement d’abord puis lorsque Lauren décida d’en parler doucement à son père, de rester quelque part, de ne plus bouger et reprendre une vie « comme » avant. Lorsqu’elle avait dit « comme », sa voix s’était cassée. Quatre ans après la mort de Reina, sa mère constituait toujours un manque palpable pour la jeune demoiselle. Nathan avait réfléchi. D’abord il avait rechigné. Il avait trouvé une certaine sécurité dans l’idée de ne jamais rester longtemps quelque part puis, une nouvelle fois, Lauren avait envahi ses pensées. Dans le regard de sa fille, il ne décelait qu’une envie : être comme les autres, aller à l’école, avoir des amis. Il obtempéra finalement et ils achevèrent leur voyage sur Makem Te, une planète jusqu’alors neutre à l’extrémité de la route commerciale. Les débuts furent difficiles, comme d’habitude, la population les dardait d’un œil froid, mais le père et sa fille étaient rodées. Elle put enfin aller à l’école et, même si les enfants étaient distants, voire moqueurs surtout sur son physique, elle n’était pas considérée comme l’ennemi numéro un. C’était pour elle une joie franche, une joie qui papillonnait dans son estomac, de pouvoir enfin s’asseoir derrière les bancs, de pouvoir écouter et apprendre. Son père voyait sa fille s’épanouir à une vitesse impressionnante. Lauren fait preuve d’exemplarité et si elle ne put combler son retard en si peu de temps, ses progrès étaient saisissants. Nathan, lui, travaille désormais comme manutentionnaire, dans une usine proche et leur vie reprend l’allure qu’elle aurait toujours dû avoir.
 
Peu après les onze ans de la jeune Lauren, en 21 568, les Holonews lancent de curieux appels pessimistes. Makem Te serait prise à parti. Et l’engrenage se mit en marche, doucement mais sûrement, implacablement, pour ramener le petit duo au milieu de la guerre. Lauren était à l’école, son père à l’usine lorsque de puissantes détonations furent ressenties. D’abord lointaines, puis de plus en plus proche, le sol tremblait à chaque impact. Très vite, des cris s’ajoutèrent au bruit assourdissant et lorsque les élèves collèrent le nez aux vitres, le feu et la désolation avaient déjà envahi l’autre côté de la ville. Instinctivement, Lauren pensa à son père, un vent de panique l’emplit. Sa respiration, courte et haletante, devenait difficile. Elle se calma dans les bras protecteurs de l’enseignante mais dans son regard d’argent se lisait la terreur. Elle voulait rejoindre Nathan ! Un souffle pulvérisa les fenêtres de la classe, une odeur de brûlé se fit sentir, piquante, nauséeuse. Ce fut le déclenchement d’un vent de panique. Les élèves, jusqu’ici tenu silencieux certains larmoyants, par l’ahurissement, éclatèrent en cris, en pleurs et en gesticulations que l’enseignante peinait à contenir. Une nouvelle déflagration, très proche, trop proche. Pour Lauren, c’est le noir complet, le vide, une insonorité pesante, une curieuse sensation de plénitude et surtout, le sentiment d’être complètement vidée : vidée de son énergie, de ses ressentis.
 
Les témoins racontèrent la scène en détail, plus tard. Des adjectifs tels « qu’impressionnant », « édifiant » ou encore « spectaculaire » revinrent dans toutes les bouches, des jeunes élèves comme de l’institutrice. Pour eux, alors qu’une chaleur intense avait imprégné la pièce, qu’ils avaient vu les flammes destructrices souffler le lieu, une « bulle » dans laquelle se trouvaient sept écoliers et l’enseignante, se forma autour d’eux. Le feu, qui semblait d’appétit vouloir les consumer, s’heurta à cette barrière au centre duquel se trouvait… Lauren. La jeune fille, aussitôt fini, maugréa quelque chose d’incompréhensible et se laissa choir lourdement au sol. Elle fut sauvée puis ramenée dans un hôpital tandis que l’on déplorait pourtant nombre de ses camarades, calcinés au sol à cause d’une frappe aérienne.
 
Lauren n’en gardait pourtant presque aucun souvenir, de près ou de loin. Pour elle, la seule chose marquante était l’intense douleur, comme si une aiguille avait transpercé sa tête de part et d’autre, qui avait précédé l’événement. Plusieurs jours plus tard, après avoir récupéré des forces, Lauren siégeait là, sur ce lit parfaitement blanc, pensive. De son père, aucune trace. Aucun avis de décès. Seulement une disparition qui, une nouvelle fois, rouvrait un vide douloureux pour la jeune fille. Elle mangeait, dormait et regardait, hébétée, le mur d’en face à longueur de journée. De son bras droit, il ne reste rien non plus, amputé à hauteur d’épaule. Selon les personnes qui étaient présentes, une explosion proche avait fragilisé le plafond de la pièce. Un bloc était tombé directement sur son bras, elle fut chanceuse mais son membre fut réduit en charpie. Elle les entendait, les docteurs. « Nous allons lui créer une prothèse » disait-ils. Peu importe.
 
Son geste héroïque et involontaire avait également attiré l’attention de l’Ordre Jedi qui, devant leur stupéfaction et leur perplexité, ne comprenait pas que la jeune demoiselle n’ait pas été détectée bien plus tôt. Maintenant orpheline, elle rejoignit les rangs de celui-ci durant la même année, en 21 568, chose à laquelle elle n’eut pas son mot à dire. Ils décidèrent de la renvoyer vers Ondéron. La voilà repartie vers une destination inconnue, vers une monde dont elle ignore tout, vers un mode de vie changeant. Du haut de ses onze années, elle comprenait que le sort s’acharnait sur elle mais… elle n’avait plus la force de se battre, déjà.
 
Elle passa les trois prochaines années, jusqu’à ses quatorze ans, au temple d'Ondéron où elle suivit l’entrainement et l’éducation normales Jedi. Ce qui la sauva durant cette période, c’est qu’elle parla. Elle parla beaucoup finalement. Pas avec n’importe qui, non. Avec un des Jedi dont elle ne connaissait pas la position. Il était calme, bienveillant et avait une oreille attentive. Lauren avait trop intériorisé et elle ressentait ce besoin pressant de se confier, de tout lâcher. Cela l’aida à surmonter ce traumatisme. Elle commençait même à se faire quelques amis, rares toutefois.
Sa maîtrise du sabre était gauche, hésitante et maladroite. Habituellement droitière, maintenant affublée d’une prothèse perfectionnée, elle était de plus en plus confiante mais loin d’atteindre une maîtrise correcte. Et elle désespérait. Entrée très tardivement dans cet ordre qui formait pourtant ses jeunes apprentis depuis leur bas-âge, elle n’attirait aucun maître. Ce n’était donc pas une combattante exceptionnelle, elle n’avait rien de spécial, si ce n’est son empathie à vif et sa vivacité d’esprit. Sa maîtrise de la Force, qu’il avait fallu découvrir pas à pas avec elle qui l’avait ignorée toute ses années, était inhabile, inexpérimentée. Mais ce n’était pas faute d’efforts intense de sa part ce que soulignait volontiers les adultes. Lauren attendait donc, travailleuse, avec une petite angoisse et un chagrin.

Question HRP : Comment avez-vous connu le forum ? 
J'ai connu le forum grâce à Saery, justement, qui m'a forcé contre mon gré à venir mais je vous aime bien quand même ! ^-^
Saï Don
Saï Don
Messages : 6736
Eclats Kyber : 31
Salut Lauren !

C'est une très jolie fiche que voilà ! Je suis à deux doigts de te valider, il y a juste un petit détail qui ne va pas dans l'histoire, dû à une particularité du forum. En effet, ici le Temple Jedi où sont formés les padawans se trouvent sur Ondéron. Le Temple de Coruscant accueille bien des Jedi avec des archives etc., mais il n'a été rouvert que récemment. C'est toujours au Temple d'Ondéron que sont formés les jeunes recrues.

Dès que cela sera modifié, je te valide. A très vite !
Saï Don
Saï Don
Messages : 6736
Eclats Kyber : 31
Modifications faites, félicitations te voilà validée !

Tu peux dès à présent commencer le RP sur le forum, pense juste à mettre un lien vers cette biographie dans ta signature.

Pour t'aider à débuter dans le jeu, si tu veux, tu peux faire un tour dans les Appels à RP , pour poster ou répondre à une demande de RP.
Et si tu as des interrogations, n'hésite pas à chercher ou poster dans la Foire aux Questions !

Bon jeu :-)
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