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    Quelle journée longue et fatigante, remplie de rencontres inattendues, de récits rocambolesques, d’une réalité insoupçonnée et ponctuée d’un voyage interstellaire interminable. Tout ceci eu pour point de départ Bestine IV, une planète situé dans la région de la Bordure Intérieure et, le point de chute sur le Temple Jedi d’Ondéron. En à peu près huit heures je me fis arrêté, en compagnie de mon propriétaire humain, en tant suspicion de contrebande et placés derrière des barreaux par les forces de sécurité du spatioport. Puis libérer pour une raison qui m’était inconnu à ce moment-là, incapable de comprendre pourquoi je me retrouvais dehors avec un pass navette en direction d’Ondéron et avec obligation de prendre le prochain vaisseau en partance dans les huit minutes après ma libération, pour me rendre dans le système de Japrael. L’embarquement se fit sur le fil, les moteurs commençant à vrombir à peine au moment où je posais un pied dans le géant d’acier, qui fit un arrêt sur plusieurs planètes afin de déposer des passagers et en reprendre des nouveaux avant de continuer son voyage. Ceci me permit de faire la connaissance du Maître Jedi Marja, une vieille femme avec qui la discutions commençât très mal, au point que je lui fis la menace de manger son doigt si elle ne cessait pas de prendre des airs supérieurs envers moi. C’était tout du moins ce que je ressentais mais heureusement, la discutions se fit assez rapidement sur un autre sujet. Sans que je sache comment cela était possible, elle apprit que j’étais sensible à la force, chose que je ne connaissais pas et que je refusais de croire, la prenant ni plus ni moins que pour une fabulatrice.

    Cette vision des choses fut mise à mal après ses quelques tours de magie, le premier étant qu’elle fit transvaser le liquide du contenue de mon verre et le second, un peu plus effrayant. En effet, celui-ci fut beaucoup plus spectaculaire mais aussi contraire à la philosophie Jedi que j’apprendrais un peu plus tard dans la journée. Levant ses mains au plafond, elle fit trembler le vaisseau tout entier afin que je voie une partie de ce qu’elle pouvait faire, suscitant une peur bruyante parmi les passagers. Bien entendu je fus avant tout impressionner de cela mais malgré un physique qui me donnait l’air d’être un grand vilain, il n’en n’était rien. Ce n’était qu’une apparence héritée de mes parents et ayant vécu loin de ceux de ma race, mon éducation ne fut nullement orientée vers cet aspect hyper brutal et guerrier. Ma première réflexion fut de me demandé ce qu’elle pouvait bien faire d’autre, contre des ennemies bien réel. Et la réponse que j’y apportais ne m’enchantait pas du tout. Cependant, sur ses conseils j’acceptai de me rendre au Temple Jedi sur Ondéron, lieux vers laquelle je me dirigeais depuis le secteur Bestine sans savoir ce qui m’attendait là-bas. Il n’était même pas prévu que je me rende dans un lieu bien précis de la planète, simplement le spatioport, autrement je restais à croupir en cellule. Le choix fut donc vite fait.

    Une fois arrivé au spatioport d'Ondéron je demandais la direction du Temple Jedi et comment m'y rendre, à qui voulait bien me répondre. Ce qui arriva au bout de plusieurs minutes. Mon apparence, le bruit de ma voix, ma manière franche d’abordée les gens ainsi que mes vêtements trop petits ainsi que mes bottes craquelées ne m'aidèrent en rien. Une fois que je pris une navette en direction de ce bâtiment à l'architecture bien particulière, je pu observer l’épaisseur de la jungle de cette planète ainsi que le peu de faune que je voyais depuis notre hauteur. Il ne semblait pas bien judicieux de s'aventurer dans ces lieux à pieds et je me trouvais bien content d'être en l'air même si pour cela, j'avais dépensé mes derniers crédits. J'avais dorénavant les poches trouées comme on dit mais, je me rendrais compte que je n'en n'aurais plus besoin. En me rendant vers l'entrée du temple, il me fut possible de croiser un nombre important de personnes portant une bure et plusieurs races étaient également présentes. Pour une fois depuis aussi longtemps que je me souvienne, je ne me sentais plus la proie de quasiment tous les regards des passants.

    Ce lieux semblait déjà plus ouvert et plus tolérant avant même que je ne rentre dans le bâtiment. Une fois dans celui-ci, je fus accueilli par une peluche répondant au nom de Kanien. Un Padawan complètement à l'opposer de ce que j'étais physiquement, donc. Lui était petit et mignon mais en contre partie, on ne devait pas le prendre au sérieux. Bien entendu cela ne fut aborder par ce petit être, mais je me fis cette réflexion moi même. Était-ce un hasard qu'il ait été envoyé vers moi ? Ou était-ce car on désirait que je vois de mes propres yeux que tout était possible dans cet endroit et que je ne devais plus avoir honte de mon apparence ? En tous cas ses pouvoirs à lui aussi étaient bien réels me confirmant que ma présence ici n'était pas un hasard. Il m'apprit l’existence des Sith, des utilisateurs de la force qui ne semblaient qu'avoir plus de pouvoirs et les utilisés de manière individuelles et personnelles, alors que les Jedi le faisait pour le bien commun et préserver la paix au mieux dans la galaxie. Ce fut tout du moins ses dires, tous comme ceux du maître Marja. La suite de ma présence ici fut, vu le nombre de question que j'avais, l'abandon du petit Padawan à un autre Maître Jedi qui serait plus à même de répondre à mes questions. Il s'agissait du maître Quovro, qui m'assigna ma chambre, insistant sur le fait que je ne devais faire preuve d'aucune agressivité en ces lieux. Une autre personne était en sa présence, le chevalier Jedi Cerendyl.

    Une fois que j’eus les informations nécessaires, je pris la direction dans ma chambre en m'aventurant dans les nombreux couloirs, me perdant quelque peu au passage et finissant à l'infirmerie d'ailleurs. On m'indiqua alors où se trouvait les quartiers réservés aux Padawan et je m'y rendis d'un pas précipiter. Désormais je n'étais plus seul et il y eu beaucoup de mouvement autours de moi à ne pas s'y trompé. Cet endroit était logiquement très fréquenté, étant un lieu de vie pour les jeunes sensibles à la force. Ce fut après une bonne demi-heure que je trouvais enfin ma chambre, passant deux fois devant sans y faire attention. Le stresse commençait sans aucun doute à monté, au point que je ne faisais plus attention à l'endroit exacte où je me dirigeais. Finalement je parviens à destination, avec une certaine impatience de rencontrer mon binôme malgré mon entrée qui fut ponctué par un long et grand soupire. Je fis un salut de la main par réflexe sans faire attention à si quelqu'un était dans la chambre et je m’allongeais sur le lit vide devant moi, la tête dans le matelas. J'allais enfin pourvoir me reposer ou tut du moins, c'est ce que je croyais...
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De retour de Nar Shadda. Heureusement ou malheureusement tu ne sais pas vraiment, en tout cas ta défaite est amer et ton corps souffre encore. T'es dans ton lit, dans la demi-pénombre à attendre que le temps passe. Tu ne peux plus rien faire, l'infirmière te l'a interdit, c'est à peine si elle t'autorise à te lever pour aller pisser. Mais t'as encore de la dignité, t'es une Zabrak, ton corps est fait de telle sorte que tu peux forcer, forcer, forcer... jusqu'au moment où il te dit vraiment stop. Et encore, même lorsqu'il te hurle d'arrêter de le maltraiter, tu continues, prenant à se moment précis encore plus de plaisir à sentir tes muscles se contracter, essayant de broyer les os et d'étouffer tes poumons. Sauf que là tu ne peux pas faire la forte tête et reprendre les entraînements du Temple comme tu le souhaiterais, non.
Tu te souviens de l'alarme qui s'est mise à hurler dans le bâtiment où tu t'es retrouvée enfermée avec Glurba, et où vous avez fait une mauvaise rencontre. Tu te souviens de ce son strident qui te vrillait les tympans et faisait vibrer tes neurones. A un moment tu as senti quelque chose de chaud contre ta cuisse, tu n'y a pas vraiment fait attention sur le moment, ça piquait, ça brûlait, mais il y avait plus important ; sauver tes miches, car à ce moment-là, c'était la vraie vie. On ne ferme pas les yeux juste lorsqu'on échoue, on attend pas la lumière blanche aveuglante de la salle de simulation qui nous indique qu'on est toujours en vie, non, on ferme les yeux, et pour toujours. Puis vous avez couru, y'a eu une nouvelle alarme, t'étais devant à ce moment là, et tu t'es prise un coup de blaster en plein dans l'autre jambe... Et c'était pas joli à voir. Le premier coup t'avait salement amoché, t'as vu après coup lorsqu'on a dû pratiquer sur toi de la chirurgie d'urgence, mais le second t'a scotché au sol, tu ne pouvais plus avancer... Tu te souviens même, peut-être, d'avoir vu un bout d'os découvert, la chair autour était inexistante ou cuite. Après t'as tourné de l'oeil.
Une entité autre que Zabrak, ou sans armure d'écailles aurait préféré claquer plutôt que de subir la douleur que tu t'es faite subir, mais toi t'es toujours en vie et tu t'en sors avec deux énormes cicatrices au niveau des cuisses. Ce n'est certainement pas le cas de certains... Tu sais que plus loin dans la galaxie les batailles font rages... Tu devrais t'estimer heureuse d'être encore en vie et qu'on ai pu sauvé ce qu'il te sert à te mouvoir au quotidien, mais au lieu de ça tu rages intérieurement de t'être faite avoir aussi facilement. Tu rages contre ton corps que tu trouves faible. Tu rages contre toi, contre tout, contre le monde entier, la galaxie entière.
Tu te demandes comment tu vas bien pouvoir faire pour devenir chevalier Jedi si c'est pour n'être qu'un échec. L'an prochain tu sais que pour toi c'est le moment de passer les tests, et plus le temps passe, plus les jours et les mois défilent, plus tu sens au creux de tes tripes quelque chose qui s'agite.

En attendant tu apprécies d'être enfin seule dans cette chambre pour pouvoir réfléchir tranquillement avec toi-même au sens de la vie. La dernière entité qui a essayé de survivre avec toi n'a pas fait plus d'un mois... Décevant tu trouves, le record étant établi à cinq mois. Tu te demandes toujours pourquoi on s'obstine à t'assigner un compagnon de chambre, même si tu as une petite idée de où vient le problème : Ton frère, qui s'acharne sur ton cas de " personne-aux-difficultés-acquise-de-sociabilisation ", voulant absolument que tu fasses l'effort de te trouver au moins une personne qui serait susceptible de te supporter. A cette idée tu soupires, sachant très bien comment tu fonctionnes, c'est-à-dire que tu réfléchies très bien toute seule, voir c'est bien plus efficace qu'en petit comité. Enfin bref...

Finissant de discuter avec ton fort intérieur, tu te tournes dans tes draps dans le but de trouver les bras de la mère du sommeil. C'est la seule solution pour oublier la douleur encore lancinante qui cingle tes jambes... Mais il semblerait que la chose soit ardue car la porte de ta chambre vient de s'ouvrir, laissant place à une masse imposante et silencieuse allant se diriger vers le lit fait au carré en face du tien, « Hey, mais c'est quoi ce bordel ?! », éructes-tu en te redressant, agitant tes nerfs au niveau des jambes qui crient à l'agression. Tu crispes la mâchoire pour réprimer une grimace de douleur tout en plissant les yeux vers la grosse chose venant de tomber sur le matelas en face, « T'es qui ? Qu'est-ce que tu fiches là ?! », lances-tu agressive vers l'inconnu. Tu aimerais bien te lever, de façon totalement impulsive comme à ton habitude, mais la chose se trouve être impossible, « T'as cru que c'était un moulin ?! Tu t'es trompé de chambre, casse-toi ! », fulmine ta langue, toujours avec grande délicatesse. Tu voudrais VRAIMENT être tranquille et essayer d'oublier ta médiocrité dans le sommeil.


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    Le repos, c'est tout ce que je m'imaginais au moment où je passais cette porte était de pouvoir enfin m'allonger dans un lit et me changer les idées, après une journée aussi chargée. Mais hélas cela ne marchait pas non plus ici, au Temple Jedi. A croire que leur histoire de Force s'avérait plus problématique qu'autre chose. Alors que je m'écroulais sur le lit fait au carré, sans prêtait attention à qui d'autre se trouvait dans la chambre. Et le moins que l'on puisse dire est que cette femme signala en effet sa présence.

    Shraa a écrit:« Hey, mais c'est quoi ce bordel ?! »
    « T'es qui ? Qu'est-ce que tu fiches là ?! »
    « T'as cru que c'était un moulin ?! Tu t'es trompé de chambre, casse-toi ! »

    Apparemment je n'étais pas tombé sur une personne qui détestait uniquement l'irrespect, ce dont j'admettais avoir fait preuve, mais aussi d'une personne, mélodieusement parlant très caractériel. Je n'étais pas sorti de l'auberge et après quelques secondes je décidais enfin de me lever, dans un premier temps pour m'excuser. Les choses semblaient très mal engagés avec celle qui était ma nouvelle binôme de chambre et bien que nous étions tous les deux en tords dans l'atmosphère qui régnait, c'était avant tout sa chambre. Si une personne devait s'excuser, c'était bien moi. Je me dirigeais alors vers cette femme à peau rouge, tatouages noirs apparent sur le visage et membre d'une race plutôt bien présente dans la galaxie, reconnaissable aux cornes surmontant son crâne. Il s'agissait d'une Zabrak. Au moins une chose que je savais dans la journée, même si je m'attendais à rencontrer des gens relativement plus aimable. Je lui dis alors d'une voix naturellement grave et rocailleuse, parlement tout à fait normalement le basic cependant, bien aidant après autant d'année à arpenter la galaxie en tant que contrebandier.

    « Bon d'accord, j'ai été affreusement impoli et irrespectueux, je ne me suis pas présenté. »

    Continuant de m'approcher, ma marche pris fin à une longueur de bras d'elle, lui tendant ma main par volonté qu'elle me retourne ce geste afin que nous nous serions la main. La mienne était épaisse et à l'apparence global donc plutôt robuste. Sur toute celle-ci on pouvait remarquer des plaques écailleuses plus ou moins épaisses, en particulier sur le dos de la main que j'avais violette, tandis que le reste était dans un ton plus brin. Une épaisse corne était visible au niveau des différentes têtes osseuses qui permettaient aux jonctions des doigts de se mouvoir verticalement. Cette apparence seul servait bien à montrer mon manque de dextérité évidant et une force hors pair, que mes paroles dites un peu plus tôt ne démontraient pas du tout.

    « Maître Quovro m'a envoyé ici, vous êtes donc logiquement Shraa ? Moi c'est Tyr, je suis sensible à la Force. »

    A ce moment, avec tout ce que l'on m'avait dit concernant se pouvoir mystique, j'imaginais que cela serait bien vu dans cet endroit. Hélas j'étais loin d'être le seul et surtout de nombreux novices ne deviendraient jamais des Padawan, je fus mis au courant de cela et ne connaissant rien d'autre que le prénom de cette Zabrak et son caractère de cochon désormais, vu ce que Maître Hildegarde avait jugé utile de me montrer dans le vaisseau en direction d'Ondéron elle semblerait peut-être moins insensible à utiliser ses pouvoirs sur moi. Si elle en avait du moins et si elle décidait d'aller contre l'optique des Jedi.


    « Je vous demande pardon, Shraa. »

    Il valait mieux faire profil bas de plus maître Quovro avait été clair, je ne devais surtout pas être au cœur des problèmes ici. Chose que je prendrais trop à cœur bien au-delà de ce qu'il avait insinué dans ses propos, quitte à littéralement m'écraser devant cette femme. L'image qu'elle se faisait de moi ? Pour le coup je m'en moquais un peu, pour l'instant. Je me contentais de chercher son regard afin de la regarder, yeux dans yeux, que j'avais petits et noirs tandis que naissait une fine couche violette qui d'ici quelques années formerait l'iris de l’œil.
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FT. TYR ALAKI

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Tu ne peux malheureusement pas faire grand chose dans ton état actuel de handicape, tu n'es qu'un amas de cellules faibles, toutefois tu ne te défais pas de ton caractère bien trempé, bien au contraire, tout ceci te donne encore plus de raison de montrer les crocs lorsqu'on s'approche un peu trop de ton nid protecteur. Alors dans la pénombre tu plisses les yeux, presque on pourrait voir sortir de ton regard jaune cerclé de rouge, des éclairs tonnant d'agacement mal placé, mais d'agacement quand même. Ton corps endolori est relativement sonné grâce - à cause - des médicaments que l'on t'a donné pour éviter que ton état te soit insupportable et t'aider à dormir, alors t'as un peu de mal à te concentré sur ce qui se passe, au mieux ça te donne la tête qui tourne. Alors l’intrus semble s'excuser de son impolitesse, ce à quoi tu ne réponds rien d'autre qu'un haussement d'arcade sourcilière nue lorsqu'une main reptilienne se tend vers toi, laissant d'ailleurs celle-ci dans le vent. Il manquerait plus que ça, tient, que tu sois polie ? Ça serait vraiment marcher sur la tête. Du coup tu laisses l'autre se présenter avec ses manières un peu bancales, « Maître Quovro m'a envoyé ici, vous êtes donc logiquement Shraa ? Moi c'est Tyr, je suis sensible à la Force. », dit l'espèce de lézard bipède - de ce que tu vois dans le demi noir -. A ceci tu laisses un léger ricanement sortir d'entre tes lèvres rouges comme ta peau, « Bah, oui c'est moi. Et c'est cool pour toi que tu sois sensible à la Force. T'as cru que ça allait m'impressionner ? », réponds-tu de façon très pinçante. Voilà donc qu'on t'envoie en pâture un drôle de personnage. Il a l'air de ne rien connaître et d'être un élément de candeur dans le monde Jedi. Enfin bon, tu vois bien que les maîtres se sont amusés à t'envoyer un bleu de chez bleu en guise de compagnon de chambre. Peut-être qu'ils se sont dit qu'au vue de ton pouvoir présent tu ne serais pas en capacité de lui faire regretter d'être venu au monde. Enfin bon...

Ton regard s'est plus ou moins adapté à votre environnement et tu peux discerner un peu mieux ton interlocuteur... tout aussi cornu que toi, si ce n'est plus, et au physique assez... rocheux ? Effectivement, il est possible de trouver plus moche que les Zabrak dans ce vaste univers, ce à quoi tu soupires, comme désolé pour lui. « Je vous demande pardon, Shraa. », laisse planer dans l'air le nouvel animal de compagnie. T'as beau ne pas avoir peur de grand chose, tu dois avouer que sa voix ne te laisse pas de marbre et te laisse un petit frisson vicieux dans le dos. En tout cas tu trouves ça très drôle que ce colosse vouvoie ta personne, « J'espère bien que tu demandes pardon. », lui réponds-tu comme si cela t'était dû. Au bout de quelques instants ton regard ambré trouve celui noir et profond de la créature titanesque. Tu dois t'avouer que tu n'aimes pas vraiment la situation présente où tu te retrouve clairement en position de faiblesse...

T'as pas le temps de faire grand chose, ni de dire plus qu'une douleur horrible vient prendre tes deux jambes en même temps. Putain... Tes mains se dirigent vers tes cuisses, les serrants fort comme pour arrêter la progression de ce mal qui te ronge. T'as beau avoir la carcasse rigide, et le corps à tout épreuve, des fois c'est juste... douloureux. Tu sens donc tes coeurs qui s'emballent, la sueur qui perle sur ton front, tes dents se serrent... Tu aimerais bien tomber dans les pommes, là, tout de suite... Mais ton organisme refuse de te faire ce cadeau.
Puis tu te souviens que la Doc' qui s'occupe de toi t'avait filé des antidouleurs en rab, au cas-où... Faut dire que pour vous les zabrak il faut plus qu'une dose humaine pour vous faire de l'effet, « Si tu veux être utile, va me chercher de l'eau. », grognes-tu entre tes dents, sans un merci ou s'il te plaît.


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    C'est alors que je remarque que cette Zabrak n'est pas au mieux de sa forme, comprenant par la même occasion son attitude si hautaine et défensive, sans me douter qu'elle ne voulait tout simplement pas d'un binôme dans sa chambre. Je m'enfonçais un peu plus dans ma bêtise, en me disant qu'il s'agissait là d'un réflexe et qu'elle apprendrait à m'apprécier, car après tout on m'avait donné une image si illusoire ce qu'était un Jedi, qu'il ne pouvait en être qu'ainsi. Mon regard se concentre alors sur le sien, si particulier, durant quelques secondes. J'ai l'impression de lire la haine, la rancoeur, le mépris, tout ce qui caractérise l'autre camp des utilisateurs de la Force. Et pourtant, Shraa gagne ce combat de regard au moment où je détourne légèrement le mien, face à ce qui semble n'être qu'agressivité. Suite à cela, je voyais ma main tendue laissée vacante, « Bah, oui c'est moi. Et c'est cool pour toi que tu sois sensible à la Force. T'as cru que ça allait m'impressionner ? », me répondit-elle suite à ma présentation. Visiblement j'avais le chic pour tomber là où il ne fallait pas et le repos ne serait très certainement pas pour tout de suite. En effet, je n'avais pas encore eu le temps de m'installer et elle ne semblait pas vraiment prête a acceptée cela dans l'immédiat.

    « Heu... Je, enfin, non ! Mais je pensais que je serais plus accepté ? Enfin je veux dire, je ne suis là par hasard, c'est ce que l'on m'a fait comprendre en tous cas. »

    Sans m'en rendre compte sur le coup, ma maladresse ainsi que mon manque d'assurance tout comme mon ignorance, faisait une bonne cible d'attaque pour qui avait l'esprit mal placé, en plus du fait que je ne fermais pas le dialogue. Bien au contraire, même, je décidais alors de m'excuser, afin de remettre les choses à plat, au-delà du fait que je ne m'étais pas présenté. Encore une fois je m'adressais à elle par vouvoiement, par pas respect et, peut-être, car je cherchais à faire de cette personne un point de repère dans ce Temple Jedi. Ma vie ici commençait à peine et il me semblait impossible de ne pas avoir un point d'ancrage, même si pour cela il fallait faire quelques concessions. Visiblement, celles-ci ne furent pas réciproque non seulement par la façon dont-elle me parlait, mais aussi par le tutoiement qu'elle avait installé, depuis qu'elle m'avait adressé la parole. Sa phrase suivante ne donnait pas lieu à un arrangement, « J'espère bien que tu demandes pardon. », car celle-ci me donne l'image qu'elle me prend déjà de haut. J'étais quelqu'un d'agressif en temps normal et j'aurais probablement déjà répondu, mais le problème est que je suivais trop scrupuleusement les règles. Je devais me taire et me faire accepter par Shraa, quitte à ce que cela dure. Pour le moment elle semble mené la danse et, c'est moi qui ai détourné les yeux tout à l'heure. C'est à ce moment que je me rends compte qu'elle semble contenir une douleur, tout du moins cela en a l'air lorsque je la vois portée ses mains vers ses jambes et au moment où je m'apprêtais à proposer mon aide juste avant qu'elle ne prenne de nouveau la parole, « Si tu veux être utile, va me chercher de l'eau. ». Décelant de la difficulté dans sa voix, je cherchais alors immédiatement des yeux une bouteille d'eau ainsi qu'un verre ou quelque chose qui pourrait servir de récipient.

    « Je m’en charge ! »

    Je me mis rapidement à comprendre cependant que son état, bien qu’elle ne semblait pas prête à tourné de l’œil, exigeait probablement qu’elle prenne ses cachets rapidement et je laissais donc tombé l'idée du récipient. D’apparence, elle ne semblait pas être le genre de femme à se laisser abattre par une sorte de blessure. D’ailleurs, qu’en était-il vraiment ? Je finissais par lui apporter la bouteille, que je lui tendais bouchon enlever, avant de lui posé la question. Il m’était impossible de savoir la nature exacte de son mal, mais un sixième sens me disait que tout n’allait pas rond. Elle semblait trop agressive pour pas grand-chose.

    « Je ne veux pas paraître indiscret, mais vous semblez souffrante. Qu’est-ce qui vous arrives ? »
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FT. TYR ALAKI

948 MOTS
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Accepté... Il a cru qu'il allait être plus accepté. C'est mignon comme pensée, c'est candide. Dommage qu'il perde cette candeur lorsqu'il comprendra où il se trouve vraiment, ce qu'il en est vraiment de la vie de Jedi... Enfin ça, c'est s'il survit aux premières semaines. Dehors ont fait miroiter la face juste, l'honneur, la grandeur du manieur du sabre, presque on pourrait en faire une publicité, même, vous pourriez être les acteurs pour de grandes affiches. Le Jedi est grand, beau, il est le modèle de la tolérance... de l'acceptation. Quelle bonne blague, si tu n'avais pas si mal peut-être que tu en rigolerais. Mais tout ce que tu arrives à faire c'est hausser les sourcils, comme pour dire qu'il se met bien le doigt dans l’œil et qu'il devrait changer de vision des chose, et fissa s'il ne souhaite pas servir de chair à patter. Non le Jedi n'est pas bon, ni le maître, ni le chevalier, et encore moins le padawan. Du moins, c'est pas comme ça que tu le vois, ce n'est pas comme ça que tu le vis au quotidien depuis onze ans.
Malgré ton indélicatesse le nouvel individu - dont tu ne connais toujours pas le nom - exécute ta demande. Ma foi, tant mieux pour toi. Tu dois avouer que dans l'état actuel des choses tu serais bien tenter de profiter de ce bleu qu'on t'a assigné. Il ne semble rien connaître à ton monde vu son comportement, et malgré sa stature et son apparence, il n'a pas l'air bien méchant, au contraire de toi qui a tout de la parfaite ennemi à qui on a envie de tordre le cou pour entendre le doux son des vertèbres qui se désolidarisent.

D'un coup la douleur s'efface et tu peux dé-serrer la mâchoire. Si ça continu comme ça, un jour tu te briseras toutes les dents à serrer si fort. En attendant, même si tes nerfs se sont calmés tu te redresses comme tu peux pour prendre les médicaments posés juste au dessus de ta tête, sur une tablette basique. Un cachet, puis un autre. Tu serais tentée d'en prendre un troisième, mais t'es pas bien sûr que ça soit une bonne idée. Ça doit faire le huitième de la journée.
Les mains toujours sur tes cuisses, tu cambres ton dos puis penche la tête en arrière pour faire glisser au mieux les petites pastilles le long de ton œsophage. Au même moment le lézard te tend une bouteille d'eau que tu t'empresses de prendre pour humidifier ta bouche.
« Je ne veux pas paraître indiscret, mais vous semblez souffrante. Qu’est-ce qui vous arrives ? », te demande le nouveau alors que tu refermes la bouteilles et la pose sur la table de chevet juste à côté de ton lit. Tu lui jettes un œil, le regard toujours aussi chaleureux. Tu aimerais le remballer encore une fois, lui montrer que c'est toi la patronne ici, mais tu dois avouer que ton état est incachable, et que tu voudrais éviter d'autres questions dans un futur proche. Du coup, sans mot dire tu lèves le drap qui couvre tes jambes, découvrant donc celles-ci et dévoilant deux bandages cachant le haut de tes cuisses. D'ailleurs l'un d'eux avait une tâche rougeâtre qui se propageait dangereusement, « Merde... Je crois que la plaie s'est ouverte. », dis-tu agacée, ce qui n'arrangera en rien ton cas. Prenant une grande inspiration tu relèves un peu ta jambes et délie le bandage pour laisser apparaitre ta blessure qui n'a rien de ragoûtant. Ta cuisse est une sorte de jambon charcuté avec une multitude de points. L'état est si grave que la doc' a eu du mal à sauver le morceau. Enfin bon, tu te souviens qu'elle t'avait dit que si ça saignait il fallait que tu fasses un peu d'effort si tu en avais le courage pour user du sort de guérison. Alors tant bien que mal tu appels la Force à toi et tu laisses tes doigts planés au dessus des coutures. Rapidement ce qui ressemble à des flocons de neige apparaissent et viennent enlacer ta peau d'un étaux chaud et rassurant.

Au bout de quelques instants tu renvoies les flux de la Force et tu ressers les bandes autours de ta jambes en te mordant l'intérieur de la bouche pour éviter de couiner.
Un peu soulagée, tu lâches un soupire, « Bon ça ira pour le moment... Et avant que tu veuilles poser des questions... Si tu suis l'actualité... Tu dois savoir que la guerre est à nos portes... Et voici quelques dégâts venant de Nar Shadda. », sur ses mots tu remets la couvertures sur tes jambes meurtries et croises les bras sous ta poitrine. Tu dois avouer que tu es un peu gênée par cette situation et tu laisses de longues secondes s'écouler tout en regardant le blanc miraculé de ton drap.
Enfin bon... Trouvant le temps long et trop silencieux au bout d'un moment, tu décides d'allumer la lumière. Si tu ne dois pas dormir, autant faire comme si tu étais en plein jour, « Sinon c'est quoi ton nom ? A moins que" Le Lézard " ça te va. », finis-tu par engager. Parce que effectivement, tu es bien face à un reptile. La pénombre ne t'as pas joué des tours et tu n'as aucun scrupule à le détailler de haut en bas.


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    Sans que je le sache, je fus incroyablement stupide de croire à ce que l'on me servait dans un plateau, quelques heures plus tôt. Les informations qui me furent transmises mettaient uniquement en avant les Jedi, la Force et leur réputation de gardiens et grands sauveurs de la galaxie, sans aborder clairement l'autre côté incarné par les Sith. Pour le moment, ce que je savais se résumait en réalité aux grands gentils et aux grands méchants, sans entrer plus dans les détails. Une vision simpliste et enfantine des choses, qui ne me laissait aucunement me faire idée véritable des choses. Ce qui me convient pour le moment, d'ailleurs. L'idée de ces deux camps s'affrontant, ce pouvoir mystérieux dont je bénéficie sans le savoir, cet endroit qui m'est encore totalement inconnu, le fait que je ne sais même pas si je désire véritablement être ici. Je me pose suffisamment de question pour savoir ce qui est bien ou mal, il faut déjà que je m'acclimate à mon nouvel environnement, qui est bien plus grand qu'un vaisseau cargo. Pas conséquent, je pensais que dire que j'étais sensible à la Force pourrait peut-être me rapprocher d'une façon ou d'une autre de mon binôme de chambre, mais cela ne changea rien. Pas un mot et surtout, même pas un reproche. C'était bien une première depuis mon arrivée dans cette pièce. Est-ce qu'elle commençait à s'habituer à ma présence ? Mon attitude serviable jouait-elle en ma faveur ? Aucune certitude. En tous cas, elle accepta de prendre la bouteille que je lui tendais afin qu'elle avale mieux les médicaments derrière, sans un remerciement. Je commençais à me demander si c'était une bonne idée de m'écraser autant, elle n'avait pas l'air bien commode en apparence, mais je me décidais de jouer avec le feu.

    Je ne dirais donc rien pour le moment et, je sorti de mes songes une fois que Shraa de décidait de me montrer la nature de son mal, qui lui faisant autant serrer les muscles de la mâchoire. Chose qui n'était pas passez inaperçus. Des bandages cachent le haut de ses cuisses, dont une bonne tâche de sang se répand sur le tissu blanc, laissant présager une blessure profonde. Le physique de ma race ne laissant aucune place à l'expression du visage, je me contente de regarder cela sans que l'autre Padawan ne sache ce que je pense. Heureusement, je ne me trouvais pas mal à l'aise, « Merde... Je crois que la plaie s'est ouverte. », même au moment où elle se mit à enlever le bandage. Cependant elle n'est vraiment pas belle avoir et de façon la plus naturel, je me décide à lui proposer mon aide, « Pas fantastique, tu penses avoir un beau souvenir ? Dit-moi ce que je peux faire. Je n'ai pas l'intention de rester les bras croisés. Un binôme ça s'entraide, non ? ». C'est à ce moment qu'elle se mit à user de ce que j'estimais être la Force, des flocons blancs se formant entre les doigts de sa main et sa cuisse découverte. J'ai beau de ne pas avoir d'expression facial, on peut aisément deviner que mon regard fixe ainsi que mon buste baissé afin d'essayer de comprendre ce mécanisme, ne me laisse pas indifférent devant de pouvoir encore mystérieux pour moi.

    Sans m'en rendre compte, je pose même un genou au sol afin de voir la scène encore plus distinctement tout en continuant de regarder fixement ce spectacle sans fermer les yeux, le reflet de celui-ci dans mes yeux noirs. Puis subitement, elle ressert la bande autours de sa jambe, sans que je n’aie vu le temps passer qui n'a semblé dur pour moi qu'une demi-seconde tellement j'étais absorbé par ce spectacle.
    « Bon ça ira pour le moment... Et avant que tu veuilles poser des questions... Si tu suis l'actualité... Tu dois savoir que la guerre est à nos portes... Et voici quelques dégâts venant de Nar Shadda. ». C'est alors que je reprends mes esprits et que je me décide à me relever, tout comme avec le maître Hildegarde dans le vaisseau qui m'avait amené sur cette planète. Le Padawan Kanyen, un Ewok, m'avait un peu informé de la situation mais pas de manière aussi pointu que la Zabrak rouge, qui ne semblait plus aussi agressive. Cependant, je ne trouve pas de mots assez forts pour lui dire ce que je ressens, par manque de connaissance sur le sujet et je tourne donc les talons pour retourner vers mon lit, me préparant à m'installer. Enfin.

    Soudain, la lumière s'alluma me donnant par la même occasion un peu plus de visibilité alors que je me contentais de la lumière du couloir pendant ma revue de mon coin. Bien entendu, je n'étais pas stupide au point de ne pas savoir activer un interrupteur, mais Shraa avant sans doute besoin de repos. Ce qui s’avéra être faux au final et une mauvaise anticipation de ma part. « Sinon c'est quoi ton nom ? A moins que" Le Lézard " ça te va. ». Par respect, je me tourne alors vers mon interlocuteur que je vois désormais plus clairement, qui ne semble pas avoir écouté ce que je lui ai dit tout à l'heure. Mais soit, je décide de répondre à nouveau sans rien dire. Désormais je me rends mieux compte du pourquoi de son caractère et l'enthousiasme suscité lors de ma venue, je ne peux lui en vouloir. Elle a probablement traversé des choses qui ne sont pas simples à oubliées et je fais office de, comme on appel cela dans l'armée, un bleu-bite. « Moi c'est Tyr et avant que tu ne me poses la question, je suis un Chistori. Tu viens d'où et quel âge as-tu ? » lui dis-je avec ma voix toujours autant grave et rocailleuse, sur un ton qui était pourtant neutre à mes yeux. Cette fois, cependant, je ne m’avançais pas pour lui serrer la main.
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Le lézard propose son aide, que tu snobes délibérément. Tu détestes l'aide, tu détestes le travail de groupe, tu détestes tout ce qui de près ou de loin ressemble à une collaboration. C'est une bien étrange façon de pensée pour un Jedi, ces êtres si ouverts d'esprit. Mais t'as la curieuse impression que tout ce que tu entreprends à deux ou en groupe est un joyeux bordel où à chaque fois tu t'en prends plein la gueule. Du coup, en toute réponse tu grognes un peu et te referme sur toi-même ; il manquerait plus que tu fasses ami-ami avec cette chose, qui plus est très peu renseignée sur ton, et surtout son environnement - qui est plus le tien que le sien . En attendant l'animal se présente à toi, « Moi c'est Tyr et avant que tu ne me poses la question, je suis un Chistori. Tu viens d'où et quel âge as-tu ? », ah oui, c'est vrai, il t'avait dit qu'il s’appelait Tyr. Tyr bouchon ? Tyr au flanc ? Tu n'espères pas pour lui, mais tes jeux de mots te font bien rire intérieurement. Pour ce qui est du reste tu le trouves très curieux, ce à quoi tu fronces un peu les arcades sourcilières et le toisant de haut en bas encore et encore, comme pour essayer de lire quelque chose sur son armure d'écailles, « Non mais tu m'as pris pour une idiote ? Je sais bien que t'es un Chistori... », grognes-tu à ton interlocuteur. Effectivement tu es plutôt au courant des espèces qui peuple la galaxie... C'est pas comme si tu avait fréquenté et tu fréquentes toujours les marchés noirs.
« Sinon je suis une native d'Ondéron, contrairement à ce que mon physique laisse présager. Et j'ai 18 ans. Tu veux mon CV peut-être ?! Avec lettre de motivation ? », dis-tu au reptile curieux. Il veut peut-être aussi une description de ce que tu manges ou pas, ou si t'es plutôt culotte de grand-mère ou string de gogo-danseuse ? En attendant tu es agréablement surprise de ne pas lire de jugement dans son regard.

Allons bon, tu laisses de nouveau un gros silence dans la pièce. Tu as la tête qui tourne et une soudaine envie de vomir, mais tu n'en dis rien pour ne pas perdre la face. Tu attaches les quelques mèches de cheveux noirs qui s'échappent de ta courte couette sans dire un mot et en essayant de respirer normalement. Tu détestes cette sensation et tu ne peux même pas être tranquille pour souffrir. Voilà qu'on te colle un nouveau et tu es obligée de faire du social si tu ne veux pas qu'il marche sur tes plates-bandes, « Bref... Si tu dois survivre avec moi, ton espace de vie se limitera à ton lit, en dessous, et ce qui l'entour. Je t'autorise à prendre ma porte, parce que je suis sympa. Estime-toi heureux, ça aurait pu être la fenêtre comme la dernière clanpine qui a essayé de vivre ici. », expliques-tu clairement à Tyr.
L'animal n'a pas l'air très a l'aise dans ce nouveau lieu, mais tu n'es pas sûr de vraiment voir ça dans ce corps imposant. Il ne semble rien ressentir, rien exprimer. Et puis cette voix, si grave, si rocailleuse, t'as l'impression qu'elle vient d'un autre monde. Plus tu regardes cette étrange carapace, plus tu trouves l'individu... Intriguant. Faut dire, les Chistori possédant la Force ça ne court pas les rues, surtout que celui-ci à l'air relativement mature. Tu te demandes bien qu'elle âge il a le gros Lézard, « Et toi du coup, t'as quel âge ? Tu viens d'où ? Puis surtout qu'est-ce que tu fiches ici ?! », demandes-tu à Tyr. Bon, tu dois avouer que le personnage est un peu étrange et presque intéressant à tes yeux, mais... ce n'est pas pour autant qu'il faut croire que tu veuilles faire copain-copain.


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L'expression faciale de la Zabrak se faisait alors plus agressive lorsque je me m'y à la provoqué, attitude que je ne remarquerais en vérité qu'après avoir dit les paroles fâcheuses. Désormais, je la regardais fixement dans ses yeux jaunes, qui eurent tôt fait de me faire regretter mes paroles, me faisant même déporter mon regard légèrement sur le côté afin de ne pas croisé plus longtemps le sien. Parler de la sorte à une personne blesser, peut-être incapable de se mouvoir correctement, n'était pas véritablement glorieux mais elle m'impressionnait aussi par le fait qu'elle restait calme, m'avertissant de manière très clair si cela venait à se répéter. Je n'étais pas fière, cela se voyait comme le nez au milieu de la figure et bien que nous ayons tous les deux le don de la Force, je ne savais pas du tout l'utiliser. Comme elle le disait si bien, ce n'était pas le meilleur moment pour faire le malin, bien que fort heureusement cela fut sans suite. Me faire bouffer mes écailles disait-elle ? Nul doute que cela n'était pas à prendre au pied de la lettre, mais sa phrase fut on ne peut plus parlante. Puis vint le changement de sujet, qui venait au moment opportun.

Désormais, je lui parlais un peu de mon arrivée ici en lui apprenant ma rencontre tout à fait par hasard avec un maître Jedi, sans lui préciser depuis combien de temps je semblais posséder ce don. Ce qui remontait à très loin et qui me valut d'ailleurs le fait d'être exilé de mon monde d'origine alors que j'étais en bas-âge, me coupant alors sèchement de mes racines car par la même occasion, ce fut la dernière fois que je vis mes parents ainsi que des représentants de mon peuple. Celui-ci n'acceptant pas qu'un Chistori ayant un tel pouvoir parmi les siens. La Force était donc directement lié au malheur pour moi, sans compté que celle-ci faut aussi la cause de la séparation avec mon père adoptif il y a de cela quelques heures. Je fus envoyé ici forcé malgré, regroupant peu à peu les pièces du puzzle tandis que j'apprenais petit à petit ce qu'un tel pouvoir exigeait... Mais est-ce qu'une telle responsabilité ne serait pas de trop ?
« Oh, t'es qu'un gosse alors... C'est vraiment tout jeune alors. Tu viens de loin... T'y connais donc vraiment rien que dalle à notre monde... »

Lors de mon arrivée au temple, j'avais croisé des enfants alors que moi, je suis un adolescent selon des standards républicains, me montrant alors que j'avais un retard considérable sur d’autres élèves car je fus repéré sur le tard. Mon monde d’origine ne faisant pas parti de la République, je ne fus pas signalé à ma naissance, faisant ainsi l’anguille aux divers contrôles auxquels tous citoyens doivent se pliés. Nous pouvons donc dire que oui, en effet, je ne connais rien du tout de ce monde si ce n’est le peu d’informations que j’ai eu jusque-là. Ne sachant que répondre, l’aspect constamment stoïque faisait que le seul moyen d’interpréter plus ou moins ce que je pouvais penser pour mon interlocuteur était mon regard. Présentement, il était revenu sur Shraa et semblait vide, comme-ci je me plongeais dans mes songes, fixant un point du visage de la jeune femme à peau rouge sans raison, physiquement présent et l’esprit ailleurs. « Bah tu apprendras que c'est pas tout beau, tout beau... »

Il est vrai que pour me moment, j’avais eu une description plutôt idéaliste de la Force, des Jedi et du Temple d’Ondéron, qui étaient au final les grands gentils de l’histoire. Mais mon passé de contrebandier me poussait à me méfier de ce genre vision des choses, parfois étriqués. N’ayant pas les cartes en mains, je me faisais cependant à ce que l’on avait bien voulut me dire jusque-là.
« C'est tout de même mieux que d'être tombé entre les mains des Sith... Tu sais ce que c'est les Sith ? »

« J’en ai entendu parler, oui, il y a quelques minutes d’ailleurs, à l’entrée du Temple. Une petite boule de poils, un Ewok m’en a fait part. Il m’a dit que les Sith sont de manière simplifiée, des méchants utilisant la Force à des fins personnels et pour s’accaparer un pouvoir au détriment des autres. »

« Enfin, tu te feras une idée bien assez vite de comment c'est le Temple, je ne veux pas t'influencer... Brave bête. »

« Brave bête ? Est-ce de l’humour ? Je ne me rabaisserais pas à te provoquer une nouvelle fois pendant que tu es blessée et dans l’incapacité de te mouvoir. Mais sache que ce n’est pas car je suis un mâle que j’hésiterais à te faire avaler tes dents, une à une… pendant son sommeil. » Bien entendu, ceci était une référence direct à la menace qu’elle m’avait faite un peu plus tôt et maintenant je me surprenais à jouer avec elle sur ce plan. « Nous verrons alors laquelle des deux bêtes ramperas aux pieds de l’autre, retiens bien ce que je viens de te dire. » Maintenant, voilà que je lui adressais un clin d’œil sorti de nulle part malgré l’état tendu de la situation, mettant probablement en place un défi qu la Zabrak ne manquerait pas de relever. Ne serait-ce que parce qu’elle voudrait probablement me faire fermer ma gueule. A croire aussi que cette discussion faisait ressurgir l’attitude du Chistori que j’étais, plutôt que celui qui se donnait un genre que n’était pas le miens. Elle avait beau être désagréable, Shraa avait au moins le mérite de peut-être me faire redevenir ce que je suis réellement.

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866 MOTS
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La douce chaleur qui pressait tes plaies il y a quelques instants se dissipe peu à peu, ne laissant que la désagréable moiteur de tes draps posés sur tes jambes fragiles. Tu devrais demander de l'aide, tu devrais accepter l'aide qu'on te propose, mais tu es Zabrak et on t'a élevé dans un environnement où on survit, on joue des coudes, on ne s'écrase pas, on ne montre aucune faiblesse, même dans les cas les plus désespérés. Pourtant tu n'as vécu que sur cette terre nourricière qui est Ondéron. Tu n'as pas jamais connu la terre des Doyennes de la famille. D'ailleurs, en parlant des Doyennes, tu dois avouer qu'elles te manquent... Mère aussi, père de même... Puis tous les autres. Et en même temps tu te dis que tant mieux que tu ne puisses plus les côtoyer. Faut que tu oublies ton ancienne vie, toute cette partie où tu étais jeune et candide, où Papa te faisait voyager avec lui, où tu te couchais à des heures indues pour lire des livres entre deux étagères de la bibliothèque familiale. Oh ici tu peux faire pareil... Mais c'est si différent, l'esprit n'est pas le même, l'ambiance est plus froide. Toutefois il te reste la petite soeur et le grand frère ici, même si lorsque tu croises ce dernier tu n'as qu'une envie, lui refaire la bosse de son nez. Tu te dis que si ces deux là n'avaient pas été avec toi, ici, au Temple, tu aurais vite fait de passer du mauvais côté de la balance... Ce sont des choses qui arrivent si facilement.
Enfin bon, tu t'es perdue dans tes pensées, à tel point que tu en as oublié la présence de ce qui va devenir ton compagnon de route... En espérant pour lui qu'il te survivra.

Le Chistori s'amuse à la provocation, ce qui te fait très vite revenir à la réalité. Une nouvelle fois tu le toises de haut en bas avec tes yeux jaunes aux pupilles laissant à peine passer les rayons de lumière. Ton expression se fait plus sombre, plus fermée et menaçante, mais la voix calme tu lui demandes, « Tu veux vraiment faire le malin avec moi ? Parce que j'ai beau ne pas être sous mon meilleur jour, je t'assure que j'ai beaucoup de ressource et que je trouverais une solution pour te faire bouffer toutes tes écailles une à une... dans ton sommeil... Alors j'espère bien que c'est pas récurant tes "excès de confiance"... », tu n'es pas le genre de fille hyper compréhensive, surtout quand tu souffres à vouloir en mourir juste pour ne plus sentir ces horribles nerfs s'agitaient. Le drap te colle aux bandages, tes bandages frottent ta peau qui essaye de se reformer, t'as l'impression de sentir les infections jusque dans ton ventre. Du coup t'as les humeurs qui font des attractions à sensation forte, et voilà qu'un individu nouveau vient t'empêcher de vider toutes les larmes de ton corps alors que tu douilles comme tu n'as jamais douillé avant.

En attendant il ne s'intéresse plus trop à toi, il te raconte sa vie, il se coupe un peu, on dirait qu'il est vraiment pas à l'aise... Mais tu t'en fiches, même, tu dois avouer que t'as bien envie de jouer avec ça. Alors tu le fixes, tu détailles tout ces membres, comment il est fait, comment ses articulations fonctionnent, comment il respire, regarde, bouge... Tu te demandes bien où sont les faiblesses de cette carapace tout en écoutant d'une oreille ce qu'il souhaite bien te dire, « Oh, t'es qu'un gosse alors... C'est vraiment tout jeune alors. Tu viens de loin... T'y connais donc vraiment rien que dalle à notre monde... », bien vite tu repars loin dans tes pensées, n'imaginant pas que ça soit SI récent comme découverte des capacités, fixant les jeux de lumières qui se font sur l'armure de ton camarade de chambre, mais tu te reprends, secouant la tête et plongeant ton regard un peu blasé dans ses petits yeux sombres, « Bah tu apprendras que c'est pas tout beau, tout beau... », sur ces mots tu prends un hololivre sur la tablette au dessus de ta tête quietu slides passivement, « C'est tout de même mieux que d'être tombé entre les mains des Sith... Tu sais ce que c'est les Sith ? », exprimes-tu tout en t'intéressant aux caractères lumineux sous tes yeux, « Enfin, tu te feras une idée bien assez vite de comment c'est le Temple, je ne veux pas t'influencer... Brave bête. », finis-tu. En vérité tu aimerais vraiment mettre en garde ce bleu, mais en même temps tu te dis que c'est mieux qu'il se fasse son avis lui-même. Tu sais très bien que tu n'as pas la vérité unique, et peut-être que lui se plaira très bien dans ce système que tu as envie de vomir.


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L'expression faciale de la Zabrak se faisait alors plus agressive lorsque je me m'y à la provoqué, attitude que je ne remarquerais en vérité qu'après avoir dit les paroles fâcheuses. Désormais, je la regardais fixement dans ses yeux jaunes, qui eurent tôt fait de me faire regretter mes paroles, me faisant même déporter mon regard légèrement sur le côté afin de ne pas croisé plus longtemps le sien. Parler de la sorte à une personne blesser, peut-être incapable de se mouvoir correctement, n'était pas véritablement glorieux mais elle m'impressionnait aussi par le fait qu'elle restait calme, m'avertissant de manière très clair si cela venait à se répéter. Je n'étais pas fière, cela se voyait comme le nez au milieu de la figure et bien que nous ayons tous les deux le don de la Force, je ne savais pas du tout l'utiliser. Comme elle le disait si bien, ce n'était pas le meilleur moment pour faire le malin, bien que fort heureusement cela fut sans suite. Me faire bouffer mes écailles disait-elle ? Nul doute que cela n'était pas à prendre au pied de la lettre, mais sa phrase fut on ne peut plus parlante. Puis vint le changement de sujet, qui venait au moment opportun.

Désormais, je lui parlais un peu de mon arrivée ici en lui apprenant ma rencontre tout à fait par hasard avec un maître Jedi, sans lui préciser depuis combien de temps je semblais posséder ce don. Ce qui remontait à très loin et qui me valut d'ailleurs le fait d'être exilé de mon monde d'origine alors que j'étais en bas-âge, me coupant alors sèchement de mes racines car par la même occasion, ce fut la dernière fois que je vis mes parents ainsi que des représentants de mon peuple. Celui-ci n'acceptant pas qu'un Chistori ayant un tel pouvoir parmi les siens. La Force était donc directement lié au malheur pour moi, sans compté que celle-ci faut aussi la cause de la séparation avec mon père adoptif il y a de cela quelques heures. Je fus envoyé ici forcé malgré, regroupant peu à peu les pièces du puzzle tandis que j'apprenais petit à petit ce qu'un tel pouvoir exigeait... Mais est-ce qu'une telle responsabilité ne serait pas de trop ?
« Oh, t'es qu'un gosse alors... C'est vraiment tout jeune alors. Tu viens de loin... T'y connais donc vraiment rien que dalle à notre monde... »

Lors de mon arrivée au temple, j'avais croisé des enfants alors que moi, je suis un adolescent selon des standards républicains, me montrant alors que j'avais un retard considérable sur d’autres élèves car je fus repéré sur le tard. Mon monde d’origine ne faisant pas parti de la République, je ne fus pas signalé à ma naissance, faisant ainsi l’anguille aux divers contrôles auxquels tous citoyens doivent se pliés. Nous pouvons donc dire que oui, en effet, je ne connais rien du tout de ce monde si ce n’est le peu d’informations que j’ai eu jusque-là. Ne sachant que répondre, l’aspect constamment stoïque faisait que le seul moyen d’interpréter plus ou moins ce que je pouvais penser pour mon interlocuteur était mon regard. Présentement, il était revenu sur Shraa et semblait vide, comme-ci je me plongeais dans mes songes, fixant un point du visage de la jeune femme à peau rouge sans raison, physiquement présent et l’esprit ailleurs. « Bah tu apprendras que c'est pas tout beau, tout beau... »

Il est vrai que pour me moment, j’avais eu une description plutôt idéaliste de la Force, des Jedi et du Temple d’Ondéron, qui étaient au final les grands gentils de l’histoire. Mais mon passé de contrebandier me poussait à me méfier de ce genre vision des choses, parfois étriqués. N’ayant pas les cartes en mains, je me faisais cependant à ce que l’on avait bien voulut me dire jusque-là.
« C'est tout de même mieux que d'être tombé entre les mains des Sith... Tu sais ce que c'est les Sith ? »

« J’en ai entendu parler, oui, il y a quelques minutes d’ailleurs, à l’entrée du Temple. Une petite boule de poils, un Ewok m’en a fait part. Il m’a dit que les Sith sont de manière simplifiée, des méchants utilisant la Force à des fins personnels et pour s’accaparer un pouvoir au détriment des autres. »

« Enfin, tu te feras une idée bien assez vite de comment c'est le Temple, je ne veux pas t'influencer... Brave bête. »

« Brave bête ? Est-ce de l’humour ? Je ne me rabaisserais pas à te provoquer une nouvelle fois pendant que tu es blessée et dans l’incapacité de te mouvoir. Mais sache que ce n’est pas car je suis un mâle que j’hésiterais à te faire avaler tes dents, une à une… pendant son sommeil. » Bien entendu, ceci était une référence direct à la menace qu’elle m’avait faite un peu plus tôt et maintenant je me surprenais à jouer avec elle sur ce plan. « Nous verrons si je ne suis qu'une brave bête. » Maintenant, voilà que je lui adressais un clin d’œil sorti de nulle part malgré l’état tendu de la situation, mettant probablement en place un défi qu la Zabrak ne manquerait pas de relever. Ne serait-ce que parce qu’elle voudrait probablement me faire fermer ma gueule. A croire aussi que cette discussion faisait ressurgir l’attitude du Chistori que j’étais, plutôt que celui qui se donnait un genre que n’était pas le miens. Elle avait beau être désagréable, Shraa avait au moins le mérite de peut-être me faire redevenir ce que je suis réellement.

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FT. TYR ALAKI

414 MOTS
DIALOGUE EN #DC143C
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Lorsque le reptile t'expose sa définition de l'autre côté du miroir tu as un demi-sourire qui se dessine sur tes lèvres. On pourrait dire ça effectivement, mais cela voudrait dire que même les Jedi du côté lumineux serait des Sith. A tes yeux, cette définition candide représente toute la population capable d'utiliser la Force. La Force est sauvage, elle est barbare, un peu mesquine, mais pas foncièrement méchante. A tes yeux elle est comme un océan capricieux que les Forceux ont plaisir à dresser à leur bon vouloir, à naviguer, à soumettre... Ou presque. Des fois elle est plus rude, elle est violente, et d'un coup une vague géante et déchainée s’abat sur votre navire et vous plonge dans les abysses sombres et profondes... « Oui, c'est peut-être ça. Si c'est ce que tu penses, c'est que c'est vrai. », lui réponds-tu sens vraiment y faire attention.

Celui-ci n'ayant apprécié tes menaces, se permet de se lever contre toi, en essayant un humour douteux, te menaçant de la même façon, et en plus de ça te provocant.
Au fond de toi ce tas d'écailles commence à un peu te plaire. Il a du répondant, même s'il n'est pas très sûr de lui. Mais ne nous emballons pas, il n'en reste que tu trouves ça inadmissible de la part d'un nouveau que de te répondre de la sorte, « La brave bête me provoque en plus de ça... Tu vas voir toi, quand je serai de nouveau capable de marcher je te foutrais à terre et tu me servira de tapis ! », Grognes-tu contre le Chistoris. Tu lâches l'hololivre que tu tenais et esquisse un mouvement vers Tyr, prenant ton air le plus menaçant. « Et si ce n'est pas moi qui t'enfonce ta sale gueule dans le sol, ça sera d'autres ! Moins que rien ! », au final tu lui balance le livre électronique en direction de son museau.

Pour terminer tu tiltes sur quelque chose qu'il a dit plus tôt, « Puis t'as rien à faire là, t'es dans une chambre de gonzesse ! CASSE-TOI ! Si je vous encore ton museau dans 10 secondes, je t'étouffe ! », demandes-tu délicatement à l’intrus. Enfin bon, tu dis ça, mais tu es bien incapable d'apposer la Force de cette façon sur un autre individu sans te faire mal toi-même...


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