Galdur avait déjà expérimenté il y a quelques temps de cela ce que l'on pouvait ressentir si on était un piano qu'on larguait du haut d'un immeuble. Forcément, quand il avait dû retenter l'expérience de nouveau, il se disait qu'il n'allait pas être déçu.
Bon sang, il ne l'a pas été.
Traversant plafonds et s'écrasant sur le sol dans une avalanche de petits morceaux de débris, le trandoshan, pourvu de l'inertie d'une pierre et de la grâce d'un tronc en chute libre, s'étala de tout son long, du moins ce qu'il en restait, sur le sol du yatch qu'il avait infiltré non sans perte et surtout fracas. Grommelant et les yeux fermés, Galdur se surpris à parler tout seul.

« Oh bon sang… C'est bon ? J'suis mort ? Ca en aura prit du temps ! »
Quelque chose se déclencha en lui, comme une sorte d'aspiration, une sorte d'appel qui vint lui parler.
« Ouuuh, tu ne dois pas abandonner maintenant, Chasseur, ouuuh, la route est loin d'être finie... »
« Aaah ! Vous z'êtes qui vous ?! Maman ? C'est toi ! Sors de mon corps ! »
« Mais non nigaud, je suis... »
« Un Jedi ? »
« Imbécile ! Tu as laissé ton comlink actif ! Je suis l'opérateur radio ! »
« Merde. »
« Relève toi. »
« Je peux pas… J'ai tenté ma chance, je suis tombé… Et tout est devenu noir… Je crois que c'est la fin, je me meurs, il ne faut pas se faire d'illusions. »
« Tu as tenté d'ouvrir les yeux ? Terminé.»
Un petit silence suivit, ponctuée du bruit d'une radio que l'on raccrochait.
« Han, mais c'est que c'est pas con comme idée ! »

Galdur rouvrit les yeux et se rendit compte que non seulement il était bel et bien en vie, mais en plus, il se trouvait désormais dans le cœur de sa cible. Les choses s'étaient mieux passées qu'il ne l'avait prévu. Roulant sur lui même afin de se replacer sur le ventre, il fut surpris par la voix criarde d'un hutt qui, visiblement, s'étonnait de sa présence.
D'accord, qu'est ce que vous voulez, on ne pouvait pas être discret à tout les coups !
Le trandoshan inspecta la limace bedonnante qui commençait à tenter de s'enfuir. Enfin, s'enfuir. Tout était relatif.
Parfois, on ne pouvait pas non plus fuir toutes les situations.
La scène tira un sourire à Galdur qui tendit le doigt, ravi de prendre sa cible la main dans le sac.

« Oooh, mais inutile d'essayer de courir ou de s'cacher ! Car je suis ici pour remplir mon devoir, je vais mettre toutes mes ressources restantes afin de t'arrêter pour te soumettre à une série de questionnements qui briseront ton esprit et qui mettront à rude épreuve ta volonté, tout cela au nom de… Hé ho ! Qu'est c'que tu fous l'Hutt là ?! Tu m'écoute ?! » se raffermit soudainement le trandoshan vexé qu'on ne lui accorde pas d'attention alors qu'il se cassait pour une fois les fesses à donner un discours potable.

Et puis, ça voulait dire quoi, « compensateur inertiel » d'abord ? Encore de la bizarrerie créée par les humains à tout les coups ! Ils aimaient se compliquer la vie.

Galdur se sentit glisser en avant, comme sur la piste du Hutt. Glisser de plus en plus rapidement jusqu'à ce qu'il décolle finalement du sol. Il finit par comprendre ce qui se passait, ce qui le fait grimacer.
« C'est pas possib' , tout l'monde était content, qu'est ce qu'il a fallut qu'on vienne nous inventer la gravité ! »

[Jet de Constitution - Échec, ça va faire mal demain]

Et il était partit ! Bang contre le mur à droite, bang contre le mur à gauche. Si dans un premier temps, il s'en tirait pas trop mal, il ne tarda pas à se manger absolument tout les obstacles facultatifs a la face.
« Aïe ! Reviens le Hutt... *Pang* Ouille ! Je vais pas te manger... *Bunk* Aaaah ! Je veux juste discuter ! *Paf* Meeh ! »
Une plaque qui dépasse du plafond ? Dans la tête. Une caisse qui s'est bloquée contre un mur de soutien ? En plein dedans. Le chemin fut long pour le trandoshan qui finit par arriver la tête la première dans une barre de maintien des coins du couloir, qui manqua de l'assommer complètement, mais créa une splendide zone noire-violacée sur le front du trandoshan qui tira la langue, écarquilla les yeux, le verre de ses lunettes se fissurant au passage.
Cette fois, si il n'était pas mort, il allait faire couper la seule main qui lui restait !

Allez, la main sur cette merde, on poussa. Pam ! Voilà, libéré. Dernière fois qu’il partait en mission dans cet état là, faute de jambes et de bras, c’était sa tête qui recevait les coups. S’extirpant de ses débris, Galdur en profita pour souffler un bon coup. Pfiouh. Les Hutts aimaient vraiment s’encombrer de choses… inutiles. Sinon, comment expliquer la présence de tout ce bazar ? Maintenant à l’air libre, Galdur grimaça en se rendant compte qu’il était entouré de matière odorante et nauséabonde. Qu'est ce que cela était encore ? Du jus de Hutt ? Beurk ! Il n'en voulait pas !

« Bwaah ! Je veux bien me camoufler dans la crotte de Bantha, mais ça, c’est au dessus des mes moyens ! Dégueu ! »
« Je sais qui t’envoie ! Ta… Loyauté… est… hmm… tout à ton honneur ! Mais regarde la réalité en face : tu es au bout du rouleau. Voilà ce que je te propose : renonce à ton devoir, et je triple ta solde. C’est à prendre ou à laisser… »
« Tripler ? Mmh… Je sais pas si zéro multiplié par trois fait beaucoup. J’suis pas prof de math hein ! »

Il sentit qu’il décollait du sol alors que le vaisseau se mouvait. Oh non ! Pas encore ! Cette fois, les choses allaient être différentes, pas question qu’il retourne se faire assommer contre le mur sans réagir… Une idée, Galdur… Une idée…

[Jet d'Intelligence - Raté ]

« Eeeeh ! Peut être que je pourrais utiliser ma bouche pour attraper cette barre... »

Mais oui ! C'était forcément une bonne idée. Galdur se laissa donc mollement tomber, ravi, et ouvrit grand la bouche comme pour attraper la barre de support vers laquelle il fonçait. Paf, encore une fois dans la tête. Il aurait dû s'en douter, en fait. Bon d'accord, il l'avait peut-être mérité. Le trandoshan atterrit de nouveau dans une pile de débris englués, la face droit dedans. Les petits objets étaient alors collés sur lui comme si c'était une autre couche d'écaille. Les lunettes de Galdur s'échappèrent sur l'occasion et atterrirent un peu à ses cotés. La lumière lui vint aussitôt dans les yeux, ses pupilles se dilatèrent de manière exacerbée et il agita les bras.

« Aaaah ! J'suis aveugle ! » lança le photophobe.

Il y eut un bruit d’électrisation et tout fut noir. Ouf ! Sauvé ! Par contre, il allait devoir retrouver sa paire de binocles, tâtant de gauche et à droite dans les environs...
Petites, petites, petites, où étiez vous ?
Il ne pouvait pas voir quoique ce soit à la lumière sans ses lunettes !

« Pouce ! J'ai perdu mes binocles ! » scanda t-il.

Par dix ? Ca faisait quand même une sacrée promotion… Nan ? Bof. De toute les manières, c’est pas comme si il faisait ça pour l’argent. On tapote à droite, on tapote à gauche… Ah ! Une surface dure ! Des verres et une monture de cuir synthétique. Bingo ! Ses lunettes ! Le trandosha les ramassa et se les remit sur le crâne avant de cligner des yeux. Le verre teinté ne fit qu’assombrir encore le panneau déjà bien noir des lieux, mais valait mieux ça que de se prendre la lumière de dieu en pleine face a la moindre ampoule ou fenêtre. Galdur voyait de toute les manières les spectres de chaleur. Ce n’était pas l’obscurité qui l’handicapait, mais plutôt la présence de lumière de part sa nature photo-phobique !

« Tu vas me ruiné en assurance de verres anti-reflets, anti-rayures et double épaisseur mec !  Le Temple Jedi rembourse pas les frais d’binocles ! »

Il y avait au fond du couloir la lumière d’entre deux, d’une ouverture de porte, comme si il s’agissait de la porte du paradis. Et visiblement, le hutt avait envie de devenir un ange ! Il prit donc la fuite… Très lentement… Trop lentement…

« Entrée n°je-sais-plus-combien : La cible prend la fuite de manière lente. Demande de renforts immédiate ! » beugla Galdur dans son bracelet.
« Vous n’avez plus de crédit de communication. Merci de recharger votre forfait auprès de votre opérateur habituel. »
« Oh allez ! J’pas appelé autant qu’ça la ligne rose depuis la caserne ! »

Vite, une solution. Il regarda à gauche, il regarda à droite, à la recherche de tout objet qui pourrait l’aider dans sa poursuite. Une caisse ? Nan. Une valise ? Sans intérêt. Des fusibles ? Toujours pas. Un extincteur de sécurité manuel ? Ah…

[Jet d’intelligence - Raté ]

Le trandoshan se saisit et inspecta l'objet. Il ne savait pas comment cela fonctionnait. Il inspecta alors le manuel d'utilisation au dos. Avant de se rendre compte que non seulement l'obscurité l'empêchait de voir correctement les lettres, mais que en plus, il ne savait pas lire.

« J'aurais p'têtre dû suivre d'avantage les cours en formation moi... »

Il tenta d'utiliser l'objet de manière aléatoire et une projection s'échappa de l'engin, poussant Galdur sur le dos et le traînant un certain temps dans divers recoin de la pièce. Il tenait l'objet comme il pouvait sans trop vraiment pouvoir le contrôler. Sans vraiment choisir, il passa à travers la porte au moment où cette dernière se refermait pour venir ensuite s'écraser contre le mur, lâchant son extincteur qui s'envola à gauche et à droite le temps de se vider. Une nouvelle bosse vint s'afficher sur son front.

« Grmbmbl... Engagez vous, qu'ils disaient. Les rangers ondéroniens représentent l'futur, qu'ils disaient. Au moins, sur ma planète, le moindre objet cherchait pas à me tuer... Y'avait qu'les animaux qui voulaient me bouffer... » gargouilla t-il en se frottant la tête, comme lassé de se prendre des coups pour un oui et pour un non.

Qu'importe les circonstances, tout était bon pour lui sauter à la figure ou bien déraper de manière assez conséquente.

Spoiler:

Ici, à boire ! Oui, à boire partout ! Il était mort et on l’avait envoyé au paradis des ivrognes ? Ce n’était pas vraiment la représentation que ce faisait Galdur de l’au-delà, mais il devait reconnaître que c’était rudement pratique. Ramassant une bouteille qui traînait par là, il s’en donna à cœur joie avant de s’en envoyer une cul sec. Pas mal, la gnôle du coin. Ce faisant, il se rendit cependant compte qu’il avait agacé le Hutt.

« Quoi ? Qu’est ce que j’ai encore fais ? » aboya t-il sans comprendre.

Pour être tout à fait honnête, Galdur avait déjà vu un Hutt en colère. Il s’était mit à agiter les bras et le bout de la queue en proférant des insultes et en lâchant les chiens sur le trandoshan, une fois. Les braves toutous, Galdur en gardait plutôt un bon souvenir. Ils étaient joueurs, quoiqu’un peu féroces. Il acceptait de jouer avec eux, mais bon, quand ils commençaient à arracher les doigts et la peau, il fallait rétablir un peu l’ordre et savoir faire preuve d’une bonne autorité.
Bon, d’accord, il avait perdu un bras et une jambe dans l’opération, mais bon. On ne pouvait pas gagner à tout les coups, Galdur n’était pas maître chien.

Il se trouva que le trandoshan fut bientôt affublé d’un fusil qui le visait. Rah, encore ? Cela lui arrivait un peu trop souvent ces derniers temps. C’était quoi cette fois, des fléchettes ? Des cartouches à concussions ? Du napalm ? Perdu ! Cette fois, c’était exotique et pas aussi douloureux que précédemment, puisqu’il se sentit juste quitter le sol, un peu comme quand ce maître jedi l’avait fait quitté la cantina en l’embarquant par force lui et sa chaise pour le faire sortir de l’établissement.

« Ouais, alors entre nous. J’te coupe la queue, j’suis pas sûr que tu ailles très loin non plus. Quand on a pas besoin de jambes, c’est facile de trouver ça normal de pouvoir se démerder sans. Non, sérieusement, ça a rien de personnel cette histoire hein ! J’suis pas là pour te tuer, y’a juste des gens que je connais qui veulent te croiser. On se paye un burger à la sortie de tout ça s’tu veux. » lança t-il.

Bah quoi, il avait faim. En virevoltant dans les airs, Galdur se rendit compte d’une petite présence dans les caisses qui sortit de l’ombre, c’était… une poule ? Tiens, cocotte était sortie de son sac ? Probablement lorsqu’il avait atterrit dans le vin. La poule regardait avec un air ahuri la scène. Galdur décida de tenter le tout pour le tout.

[Jet de charisme - réussi ]

Il tira de son sac une poignée de grain et la jeta aussitôt sur le Hutt.
« Attaque, cocotte ! » intenta t-il.
Excité par la vision du grain, le volatile se mit aussitôt à battre des ailes en poussant des caquètements et se jeta littéralement sur le Hutt en l'agressant à coup de becs, assez pour le déconcentrer de sa tâche. La bonne nouvelle, c'est que le fusil anti-grav allait cesser de faire effet. La mauvaise...

Galdur chuta de sa précédente hauteur comme un marteau pour atterrir non sans pertes et fracas sur le Hutt, se couvrant de bave immonde et se retrouvant sur son dos, littéralement.

« Yaha ! Mush, le Hutt, Mush ! » aboya Galdur sur l'occasion.
Voilà bien la première fois qu'il montait un Hutt. C'était assez rigolo, il fallait dire. Quoique l'odeur n'était pas ce qu'il préférait.

Une bombe, une bombe… Aaah ! Oui ! C’est vrai que dans cette maudite poursuite, il en avait oublié qu’il y avait dans l’histoire un joli petit boum-boum qui allait faire flamber les prix. Une petite minute, est-ce que le commandement savait seulement où la bombe se trouvait ? Galdur n’avait pas fait son rapport, non pas qu’il doutait que le QG eut réussit à trouver les informations qu’il désirait, mais on ne savait jamais. Profitant d’un moment de répit accordé par la poule d’attaque, il ouvrit une communication. Fréquence d'urgence cette fois.

« QG ? Test, un deux, un deux. Je confirme qu’il y a une bombe qui est dissimulée quelque part. »
« Et où donc ? » répondit l’opérateur radio.
« Je vous dirais où est la bombe pour mille crédits ! »
« Qu’est ce qui me prouve qu’il y a une bombe ? »
« Si vous ne me dites pas où est la bombe… Si je ne vous donne pas l’argent… A moins que vous me donniez la bombe... »
« L’argent. »
« Ah oui, l’argent. Si vous ne me donnez pas l’argent, la bombe explosera et tuera beaucoup de personnes. »
« Votre carrière aussi. »
« Vous êtes pas drôle, QG… Allez ! Je vous dit où est la bombe pour un crédit ! »
« D’accord. Voilà votre crédit. »

Une annotation apparut sur son bracelet tactile : on venait de faire un versement d’une unité dans son compte.

« Où est la bombe alors ? »
« J’ai oublié. Je vous rends votre crédit. Attendez... attendez... Ça se trouve dans une ville... Cela possède plusieurs étages...» dit-il en restituant l’unité.

Galdur chercha à se rappeler de la position de l’explosif, comme si il avait à peine écouter ses objectifs ou simplement tout ce que son adversaire pouvait dire. Ce n’était pas facile la vie de héros. Lorsque le Hutt avait parlé, il était trop occupé se remettre de sa chute et de voir la poule attaquer… Ah oui ! Un immeuble ! Il avait parlé d’un immeuble !

« QG ? Je me souviens d’où est la bombe ! »
« Elle est dans l’immeuble. »
« Ouais… Voilà votre crédit. » répondit le trandoshan en effectuant le versement à son QG.
« Merci Galdur. Arrêtez de faire l’idiot et retournez travailler maintenant. »

Zut. Il s’était fait roulé, non ?
 « C'est... Fini... C'est... trop tard... pour... stopper la bombe... Je... te laisse... Une dernière chance... Moi non plus... Je n'ai rien de... Personnel... Contre toi. Borenga doit mourir, quel qu’en soit le prix ! Car sans cette enflure, la galaxie sera bien plus tranquille ! N'avons nous pas un but commun : sauver des vies ?! C'est juste que je... pense à plus... long terme que toi. »
« AAHEIN ?! » sursauta le trandoshan, dans ses pensées. Il se rendit aussi compte que cocotte venait de revenu à lui. Il ouvrit son sac et le volatile le rejoignit sans se faire prier, comme par peur de se faire dévorer.
« Si ça peut calmer ta conscience... J'ai prévenu le maximum de monde au moment où j'ai déclenché le compte à rebours... Je... ne suis pas un monstre tout de même...
Alors ?! On a un deal ?! »
 « Ma conscience, elle me dit que j’ai besoin des codes de la bombe si j’veux avoir le droit aux côtelettes de la caserne ce soir… » marmonna t-il avant qu’un énorme gargouillis de ventre ne se fisse entendre. « Puis quitte à sortir, hein, j’peux le faire comme un grand… Pas besoin de tapis rouges ou d’autres trucs... Et puis sans déconner, si je fais pas mon boulot, les civils et les grosses barbes républicaines sont comme mes relations sexuelles : Sans protection. »

Tant qu’il était là, il pouvait peut-être mettre la main sur un de ces objets… Mais avec la poule qui étaient rentrée… Cela devait se trouver tout au fond de son sac. Un peu de gymnastique s’imposait.

[Jet d’agilité pour avoir le bras assez long - Réussi]

Se tordant un peu sur l'occasion non sans une certaine douleur : Bon sang, il n'était pas élastique non plus, Galdur fourra son bras dans son sac en allant chercher jusqu'au fond. Il finit par en tirer ce qui semblait être une grenade rectangulaire dont il déboucha le haut d'un coup de pouce. Cela sentait horriblement mauvais dans ce receptacle... Et le trandoshan avait sa petite idée quand à l'utilité de l'objet. Ce n'était autre qu'une grenade à gaz T-238. Le genre d'engin qui était conçu pour faire avoir des nausées et faire vomir, en d'autres terme. Pas très subtil, mais efficace pour ralentir tant cela était difficilement supportable.

« Maintenant qui va prendre son médicament et faire plaisir à tonton Galdur ? »

Spoiler: