Le Masque de la Force
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Une année auparavant, le Conseil Jedi a autorisé, dans le plus grand secret, la construction d’une base d’observation sur Lorrd, dans le secteur Kanz, afin d’épier les mouvements des Sith. L’établissement de ce lieu fortifié et dissimulé dans les montagnes glacées de cette planète neutre prise en étau entre les deux grandes puissances galactiques a été un travail long et difficile : un travail diplomatique et logistique délicat effectué avec rigueur par Maître Don et Maître Manteer en collaboration avec le gouvernement local et une partie même de la population.

Les individus présents sur Lorrd depuis les dernières semaines ont été triés sur le volet : seuls des chevaliers et maîtres en lesquels le Conseil a placé une haute confiance, tant dans leurs compétences que dans leur capacité à vivre coupé du Temple d’Ondéron plusieurs mois, ont été évalués pour venir contribuer à l’activité de cette base secrète. Finalement, n’ont été choisis puis mis dans le secret que ceux dont on savait qu’ils étaient volontaires pour prendre les armes face aux Sith si le besoin s’en faisait sentir. A ceux-là, ont été ajoutés une poignée d’individus de l’Agricorps et de l’Explocorps, de ceux qui n’ont pas froid aux yeux, pour venir conforter les ressources de la base.

Enfin, après des mois de travail acharné, la base était-elle opérationnelle. Et pourtant, les Jedi installés depuis quelques semaines sur Lorrd vont avoir une surprise inattendue : ils apprennent l’attaque de Dubrillion par la République. La décision doit être rapidement prise : doivent-ils contribuer à cette attaque, prenant le risque de dévoiler leur présence sur Lorrd ?
Mais pourquoi sont-ils là, si ce n’est pas pour profiter de cet avantage géopolitique, quand enfin la République se décide à combattre ?

Maître Manteer et Maître Don font un choix difficile, mais inévitable : ils mobilisent leurs maigres équipes, s’emparent de leurs vaisseaux grimés à la manière des esclavagistes thalassiens, artifice qui leur a permis de circuler incognito dans le secteur Kanz depuis des mois, pour se rendre au plus vite auprès de la République dans le secteur Myto. Mais le périple ne s’annonce pas aisé...

La zone des mondes neutres séparant les frontières impériales et républicaines est en effet truffé de patrouilles Sith, à la tête desquels le Seigneur Darth Odium, qui traque depuis de longs mois les vaisseaux de la Ligue des Mondes Périphériques et s’attèle à faire pression sur les mouvements spatiaux locaux, afin de démontrer la puissance de l’Empire.
Lorsque l’attaque de Dubrillion par la République est annoncée, le Seigneur Sith recevait Isobel Takan et son apprentie afin de leur montrer l’évolution du « ménage » réalisé par ses soins dans la zone neutre. Les priorités changent bien sûr rapidement : le chagrien fait regrouper les différents groupes de combat présents dans son secteur. Sans démunir totalement la zone neutre, il sait que les siens ont besoin de renforts au plus vite : l’Empire n’est pas préparé à une bataille de cette ampleur ; pas dans le système Myto, encore en reconstruction !


***


La flotte impériale est toutefois efficace. A proximité de Bimmiel, les manœuvres sont réalisées avec célérité. Plusieurs vaisseaux quittent déjà les lieux grâce à des sauts dans l’hyperespace, lorsque soudain des alarmes se déclenchent à bord du cuirassé de classe Harrower, sur le pont de commandement duquel se tient l’imposant Chagrien. L’information lui est rapidement donnée : leurs vaisseaux sont hardiment harcelés par… Des esclavagistes thalassiens ?!

Isobel Takan et son apprentie, Eerhia Aiarohk, s’éclipsent rapidement du pont de commandement. La « sœur » de l’Impératrice compte bien pouvoir rejoindre Darth Ynnitach au plus vite. Pour cela, il va falloir se débarrasser rapidement de ces intrus… Elles se séparent, suivant leur intuition, pour mieux contrer l’ennemi…

Dans l’espace, juste à l’extérieur, le Maître Jedi Alycius El’Dor, le Chevalier Joclad Draayi et Lhazyr Fey’twa, qui travaillaient tous ensemble sur Lorrd, sont regroupés à bord d’une petite corvette. Ils se sont portés volontaires pour réaliser une mission commando : encadrés par plusieurs chasseurs Jedi qui les aident à dégager le passage devant eux, ils se faufilent auprès du cuirassé impérial. La masse de l’ennemi est si imposante qu’ils frissonnent, avant de se reprendre : ils doivent infiltrer cet énorme appareil à un endroit bien spécifique du cuirassé, où se tiennent les machines permettant au croiseur d’entrer en hypersespace. Saboter durablement les différents modules leur permettra de retarder le cuirassé de plusieurs heures. Leur plan est simple : Joclad, bon pilote et expérimenté dans le domaine de l’infiltration de croiseur impérial – enfin, plus expérimenté que les autres, va les faire pénétrer le cuirassé à l’exact bon niveau où se trouvent les compartiments techniques liés à l’hyperdrive. Alycius, dont la lame est crainte par tous, leur taillera un chemin dans le croiseur certainement truffé d’ennemis. Et enfin, Lhazyr, un minimum d’outillage dans les mains – sa pelle – saura certainement utiliser ses quelques compétences mécaniques et subtiliser quelques explosifs pour saboter la machinerie du cuirassé. Un plan sans faille pour atteindre leur objectif ! Pour la sortie, on y pensera plus tard…

L’abordage ne se fait pas sans difficulté. Une fois ciblée la zone où ils veulent entrer, les chasseurs qui les accompagnent s’acharnent pour créer une ouverture dans les boucliers du cuirassé. Cela leur rend plusieurs minutes, et deux de leurs confrères sont abattus dans la manœuvre. Finalement, Joclad parvient à passer les défenses en profitant d’une brèche qui se referme derrière eux rapidement. Puis, sans réfléchir, il fonce vers une ouverture destinée à accueillir des drones de réparation de la coque. L’entrée est un peu étroite, mais la corvette s’encastre avec fracas dans le sas qui se referment également derrière eux. Des techniciens paniquent face à cette entrée brutale, et quelques tirs lasers de la corvette suffisent à les disperser. Le trio quitte l’appareil qui fume après les dégâts subis, et utilisent leurs sabres pour percer les portes hermétiques qui se sont refermées sur les techniciens. Il faut fuir la zone avant que les soldats rappliquent et ne les encerclent !

Dans leur course effrénée, ils sont cependant bientôt obligés de se séparer : à un carrefour éclairé de néons blancs agressifs surgit une troupe de soldats menés par une jeune Twi’lek Sith, qui aussitôt se met en garde.

- Je m’occupe de les ralentir, continuez ! crie Joclad à ses deux confrères qui prennent la poudre d’escampette.

Lhazyr et Alycius reprennent leur course folle, et ils sèment leurs poursuivants avec astuce. Parfois, ils sont forcés d’assommer un technicien, mais la plupart ne se mettent pas sur leur route. Ils vont bientôt atteindre la salle des machines visées ! Cependant, bientôt le Nazzar sent l’obscurité lui étreindre le cœur : la Force est si néfaste ici, elle ne peut être que le fait d’une Sith, et pas n’importe laquelle…

Brutalement, les lumières s’éteignent, comme pour confirmer son pressentiment. La mission avant tout, se dit-il.

- Lhazyr, continue seul. Quelqu’un d’autre nous suit. Je dois la retenir…

Le membre de l’Agricorps obéit au Maître Jedi, et le laisse seul. Le nazzar porte la main à son sabre, et s’attend à tout instant à ce que surgisse l’ombre terrible qui plane à quelques mètres de lui…

Mais Isobel Takan tarde à se montrer. Elle aime ménager un effet de surprise…



Seuls les joueurs Isobel Takan & Alycius El’Dor peuvent intervenir dans ce sujet. S’agissant d’un combat aux dés, la victoire sera donnée aux joueurs dont les PV ne sont pas tombés en dessous de 10% à la fin de la session. Les règles du combat aux dés peuvent être consultées [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] ; elles ne vous dispensent en aucun cas de fair-play et de respect de la cohérence du contexte et de vos personnages.

Modalité de combat : Vous débutez à distance.
Ordre de post : Isobel - Alycius
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Ma lame s'activa dans ma marche, et le laser détruisit une arrivée de courant. Un "disjoncteur" je crois... Ou peut-être pas. Mais le résultat ne me déplaisait pas. Rappelant la partie létale de mon arme, je continuais comme si rien n'avait changé. Pourtant, l'obscurité régnait en maîtresse maintenant, si l'on oubliait l'éclairage rouge de sécurité.

J'étais pressée, mais pas au point de ne pas prendre mon temps pour ce qui allait suivre. Oui, je rejoindrait l'Impératrice. Oui, je punirais les Jedis trop gentils que pour faire le premier pas dans cette guerre dont je rêvais depuis -il me semblait- une éternité. Cette République avait jeté les prémice d'une chose qu'elle n'avait pas la force d'arrêter. Pour autant, j'en comprenais -je pense- les idéaux. S'ils gagnaient, c'était un puissant message qu'ils enverraient à ma soeur, et des têtes rouleraient au sol de part son probable courroux. Peut-être même la mienne, qui sait ?

Heureusement, je n'étais pas seul. Eerhia était avec moi. Ou tout du moins sur le même vaisseau. Elle avait maintenant l'habitude de faire face à des situations semblables et donc, je l'avais laissé aller à sa guise. Une chasse se pratique après tout seule, et je n’avais pas l’intention de l’en priver, comme elle devait savoir qu’il aurait été “délicat” de tenter de m’arrêter dans cette idée.

Il fallait reconnaître que je ne m’étais pas particulièrement remis de mes derniers affrontements cependant. Un échec cuisant sur Byss, un autre dans l’espace de Makem Te, je comptais bien m’assurer cette fois-ci d’une victoire rapide. Mais la Force m’attirait. Ce que je ressentait était une nouvelle fois enivrant. D’autant plus qu’au vu de la situation, je n’allais pas non plus retenir mes coups.

Mon pas se ralentit alors. Je le sentais. Perdu dans une vague d’obscurité, je le sentais. Et en le voyant, je sus que tout ambition quelconque allait disparaître de moi. C’était… une créature magnifique. Exceptionnelle. Je savais que la Galaxie recelait en son sein des aliens tous plus surprenant les uns que les autres, mais là, j’étais juste pantoise, admirative. L’obscurité ne gênait pas ma vue, mais peut-être était-ce parce que j’avais appris à vivre les yeux camoufler d’un châle à la manière d’une Miraluka.

-”Je ne regrettes pas que tu aies choisi ce vaisseau, Jedi.”

Ma voix trahissait l’admiration que je lui portais, mais aussi la noirceur de mes sentiments à son égard. J’étais friande d’exception, et il en était une comme l’on en rencontre que peu. L’envie de planter mes canines dans sa chair n’en était que plus importante, indécente et une zeltronne inassouvie est une zeltronne dangereuse. Ou plutôt, une Isobel inassouvie est...En fait non. Orgueilleuse que je suis, je déclare haut et fort : Je suis toujours dangereuse.

En disant ces mêmes mots, le sabre qui était dans ma main libéra une nouvelle fois sa lame, illuminant ma robe de sa couleur carmin, avant de venir éclairer mon visage. Je voulais qu’il me voit, et qu’en plongeant son regard dans le mien, il comprenne que ma fascination -certes malsaine- n’en était pas moins sincère.

Ynnitach était maintenant bien loin dans mon esprit, comme ce Chagrien aux commandes de ce vaisseau. Ne comptait plus que cet adversaire et la danse qui allait s’en suivre. Et bien malheureux serait celui qui viendrait interrompre ce moment intime que l’étalon et moi allions partager.

Dans une course visant à amoindrir l’espace entre nous, je m’apprêtais à le frapper de mon arme alors qu’exceptionnellement, un doute me tiraillait. Ou plutôt une question : qu’aurais-je fait de lui si je l’avais trouvé avant les Jedi ? Un si beau spécimen, c’était du gâchis

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Sacrifice d’un dé pour réduire la distance
Jet d’Agilité pour une Attaque au sabre.
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Attaque d'Isobel réussie!

Alycius peut se défendre avec un jet d'agilité s'il le souhaite!
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Les yeux mi-clos, Alycius trépignait intérieurement d'impatience bien que son air neutre ne laisse guère paraître son état. Par ailleurs, le Maître cachait également une certaine inquiétude quant à la tournure de cette mission. Qu'ils aient dû se séparer aussi tôt après l'atterrissage ne lui plaisait pas vraiment. En même temps, que demander de plus au chevalier Joclad Draayi qui avait parfaitement effectué sa manoeuvre visant à les amener directement dans la gueule du rancor ? Non en réalité, le Jedi était d'avantage préoccupé par ce Lhazyr dont il ne connaissait rien, pas même les faits d'armes. Et lui ? Pouvait-il se targuer d'être prêt à affronter cette puissance noire qui s'approchait.

Un voile surgit de nulle part, occultant ce regard qu'il aurait aimé lire. Alycius arqua légèrement son encolure, ses oreilles se couchant automatiquement au fur et à mesure que l'apparition se rapprochait. Le coeur de l'adversaire à défaut de ses yeux cachés exposait clairement ses sentiments. De l'excitation, de la colère mais aussi de... L'admiration ? Surpris par le ton de voix de la femme, le Nazzar avait l'espace d'un instant redressé vivement ses oreilles fines, avant que ces dernières ne se fondent une fois de plus sur son crâne, tant elles étaient tirées vers l'arrière.

- Vous me voyez d'autant plus au regret de ne pas partager votre point de vue.

Souffla le Jedi, pas spécialement heureux que la femme ait eu l'idée de le cueillir à la sortie de ce fameux vaisseau, concentré sur la silhouette vêtue d'une robe rouge. Les muscles bandés, le gardien fit jaillir sa lame bleue au dernier instant, étonné par la vivacité de son ennemie. Femme étrange mais de peu de paroles visiblement, c'était une guerrière entraînée, et une Sith certainement haut gradée. Alycius avait bien fait d'ordonner à Lhazyr de s'éloigner, car il était inutile que tous deux ne périssent sous la lame de cette furie noire. Néanmoins, le Maître n'était pas non plus décidé à se laisser tuer sans rien faire. D'un geste vif, il dressa son arme à l'horizontale devant lui pour tâcher de parer l'attaque. Avant cela, il n'avait eu que le temps d'apercevoir ce visage que l'autre avait exposé volontairement sans qu'il ne le sache. C'était une belle humaine ou proche-humaine, et Alycius se surpris à penser qu'à l'époque, il aurait été soulagé d'avoir une telle cliente au lieu de certaines peu ragoûtantes. Peut-être même que s'il en avait eu le coeur, il aurait essayé de la séduire. Seulement, le Jedi savait également que son regard voilé pouvait cacher tous les stigmates du côté obscur, physiquement et sans aucun doute, mentalement. Aux yeux de l'intransigeant équidé, à ce stade, il était inutile d'essayer de raisonner un Sith, perverti à jamais. Rares étaient les rédemptions, et surtout pas dans ce cas où l'adversaire évoluait en parfaite harmonie avec la Force obscure, parée de sa noire beauté.

Le sabre-laser du Nazzar qui s'était prostré devant son propre visage accusa le coup. Pour peu que son geste n'ait pas été assez vif, l'élan de la Sith jouerait contre lui et il recevrait une brûlure dont il n'aurait même pas conscience sous la rapidité de l'action. Dans le même acabit, emporté par ce combat qui commençait tambour battant, le jeune étalon enchaîna en faisant dériver son arme vers le bas, cherchant à trouver le poignet de son ennemie avec l'intention de lui faire lâcher son sabre-laser plus que de la blesser réellement. Dans un premier temps, la voyant plus puissante que lui, le Maître espérait neutraliser quelque peu ses capacités. Ensuite, il aviserait.

[HJ: Jet d'agilité pour se défendre]
[HJ: Jet d'agilité pour toucher Isobel au poignet et lui faire perdre son sabre.

-_-, je teste les dés sur un autre topic pour ne pas me tromper, bon lancé, et là.... SERIEUSEMENT ??? Le tournoi de la grosse malchance commence tiens -_-']
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Défense d'Alycius ratée.
Alycius : - 19 HP.

Attaque d'Alycius réussie, Isobel peut se défendre avec un jet d'agilité si elle le désire.



[HRP : Isobel est-ce que je peux mettre tes jauges à jour ? Je sais pas si tu t'en sers ailleurs ou pas...]
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Un rire frénétique. C'est ainsi que l'on aurait pu qualifier ce qui sortit de ma bouche. J'étais riante, sereine, envieuse, parfaitement intéressée et complètement désireuse de prolonger ce combat encore... Une minute. Sereine ? Non, en fait, j'étais tout sauf sereine. Excitée. Comme une puce, comme l'enfant devant un magasin de jouet. Un enfant à qui l'on dit que tout est à lui et qui ne rêve finalement que d'une chose : savoir comment jouer avec tout en même temps.

L'équidé bloqua maladroitement mon attaque, mais suffisamment pour que le combat ne se termine pas là. Tant mieux, car je ne souhaitais pas qu'il en soit ainsi. Oh que non. Je comptais bien prolonger encore et encore ce combat, jusqu'à l'éternité s'il le fallait. Cet équidé, je voulais le briser. Plus encore que ce vieux Maitre Don que j'avais rencontré sur Alderaan, plus encore que ces deux diables de Jedi qui m'avait fait face dans l'espace de Makem Te. Je voulais qu'il soit mien, ou qu'il ne soit plus. Telle était ma volonté.

Voyant le bleu de sa lame ma rappela tout de même à l'importance de l'instant, et alors que sa lame s'approcha mon poignet, mon autre main s'enquérit de l'un des sabre que Ynnitach m'avait rendu finalement, pour l'activer et parer l'attaque de mon ennemi. Dans un mouvement circulaire, je ne cherchais pas à m'opposer à la force de mon adversaire, mais bien à la déplacer de son objectif premier, pour ne pas qu'elle atteigne son but et me brule le poignet. La fin de ce mouvement fut un pas en arrière, comme si je voulais à nouveau prendre le pouls de la situation.

Dans un combat au sabre, tout venait s’enchaîner, rapidement. Je ne devais pas oublier deux choses : primo, j'avais devant moi un adversaire valable ; et secundo, je rêvais de pratiquer des choses proprement immorales à son esprit étroit de Jedi à son corps. Et de vous à moi, la seconde était vraiment une drogue à mes sens. Rappelant la deuxième lame dans son fourreau métallique, je revenais à la charge dans un mouvement propre du Djem So. Je voulais l'acculer, encore et encore, en utilisant par contre au maximum qu'un sabre et cela même si mes trois crocs restaient présent à ma ceinture. Après tout, deux d'entre eux étaient à mes yeux des vestiges d'une époque révolue.

Ce mouvement, ma nouvelle attaque envers l'homme-cheval, visait à nouveau non pas à le tuer directement, comme certain de mes pairs auraient peut-être tenté, mais bien de l'amoindrir sauvagement et brutalement. Un bras -ou une patte? Comment disait-il dans son cas- en moins, c'était un maigre prix à payer pour ce que je lui réservais.

-"Allons, je suis sur que tu peux faire mieux que ça. Montres-moi ton plein potentiel, mon bel étalon."

Mon bel étalon ? Cela vous étonne. Allons, vous me connaissez. Tout ce qui est unique ici bas, il faut que je me l'approprie. Alors cette magnifique créature... il est normal que je l'adopte. Que je le fasse mien. Ne serait-ce que pour un temps... Ou alors... Mais ce serait trop triste.
__

Jet d'agilité pour défense et pour Attaque.

Par contre, j'ai oublié de changer de compte --' J'ai reposté pour que ce soit adapté.

Pour les jauges, non je ne les utilises pas ailleurs (ou alors j'ai oublié où ^^)
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Défense d'Isobel réussie!

Attaque d'Isobel réussie!

Alycius peut se défendre avec un jet d'Agilité s'il le souhaite!
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[HJ: Défense avec agilité
Attaque au sabre-laser.

Désolé pour le mini-rp Embarassed ]


Elle avait vraiment rit ? Les oreilles d'Alycius s'étaient dressées, surprises par ce bruit saugrenu en ce moment. Pas de doute, son adversaire répondait parfaitement au cliché de la femme fatale dangereuse, sans aucune peur ni pitié. Elle se riait de la mort parce que cette dernière était son amie, l'accompagnant partout. Concentré au possible, le Maître tenta de ne surtout pas se laisser impressionner, il avait en tête sa mission et ferait de son mieux pour l'accomplir, même si cela avait mal commencé.

Le sabre-laser de l'adversaire glissa contre la peau du Jedi qui n'avait pas été assez rapide. Un grognement de dépit s'échappa des lèvres du concerné à ce constat. Ses yeux sombres parurent se foncer d'avantage même s'il gardait son calme. La femme parvenait à le déstabiliser de part son comportement ainsi que son talent. Une chose était sûr, Alyicius n'affrontait pas n'importe qui.

Mon bel étalon ? Elle n'était pas timide la demoiselle. Piaffant d'un air semi-outré, semi-moqueur, l'équidé opta finalement pour un sourire presque enjôleur, juste l'espace d'un instant, puis il retrouva son sérieux tandis que sa lame croisait celui de l'adversaire pour la repousser.

- Vous n'êtes pas farouche en tout cas.

Et pas dénué de charme... Clairement. Malgré le voile, le Maître devinait des courbes alléchantes, ainsi qu'un regard où un feu ardent brûlait, alimenté par le côté obscur. Néanmoins froid, le jeune Jedi n'était pas décidé à se laisser aller à cette passion dégradante dont les Siths étaient friands. La tête dressée, les oreilles levées et la garde dignement prête, l'étalon chargea à son tour.

- Pourquoi le côté obscur ?

Demanda-t-il en essayant de croiser le fer avec l'inconnue, faisant glisser sa lame contre la sienne pour l'enrouler et l'en défaire. Il voulait atteindre la chair sans pour autant faire preuve d'une agressivité outre mesure contrairement à certains Jedis contemporains dérivant de leurs principes. D'autres, en revanche se laissaient couler dans une mièvrerie désespérante. Lui essayait de conserver sa ligne, distant mais engagé, avec malgré lui cette éternelle question. Pourquoi choisir l'ombre qui brûlait les veines, jaunissait les yeux, pourrissait l'âme littéralement ?

Pendant qu'ils croisaient leurs sabres dont les couleurs, rouge et bleu, disparates ne juraient étrangement pas, la longue crinière lunaire d'Alycius frôlait la robe carmine de son adversaire. Les deux matières avaient un touché doux, accompagnés d'un mouvement volage, se mêlant comme deux voiles. Les naseaux du Jedi, fins, captaient l'odeur corporelle de la Sith, lequel correspondait au physique offert. Insolent mais agréable, délicat mais mortel. Les yeux grands ouverts, le jeune étalon essayait de ne rater aucun mouvement de la proche-humaine particulièrement rapide.

- Quel gâchis.

Avoua-t-il à mi-voix, sans se douter que la Sith pensait peut-être pareillement de son côté.
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Défense d'Alycius presque parfaitement réussie!

Alycius: -2 Hp

Attaque d'Alycius réussie!

Isobel peut se défendre avec un jet d'agilité si elle le souhaite.
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Pourquoi le coté obscur ? Une question pertinente que celle-là, à laquelle j'aurais bien eu du mal à répondre honnêtement, si j'avais décidé d'être honnête. Car finalement, je n'avais jamais choisi. Le coté obscur m'avait choisi, j'avais été sans réellement le savoir enfanté dans le seul but de servir ce versant de la Force. Mon Maitre ne m'avait jamais rien appris d'autres, si bien que lorsque tout est ténébres autour de vous, au bout d'un certain laps de temps vous ne cherchez plus la lumière. Cela avait été mon cas. J'avais grandi dans une famille de substitution dont mon esprit de Zeltronne s'était délecté de la souffrance de leur mort. Assez rare pour une espèce empreinte en général d'empathie, je vous l'accorde, mais cela avait été fait si tôt dans ma psychologie et à des gens pour lesquelles je n'avais que du mépris, que le coté obscur m'avait séduit avec une force indéfectible. En cela, mon Maitre n'avait en rien échoué. Il m'avait libéré de chaine, alors que certains Jedi diraient qu'il m'en avait fixé d'autres. Si tel était le cas, alors une chose était sûre : j'aimais ces chaines de velours.

Il y avait aussi le fait que l'obscurité ne m'avait jamais déçue, allant jusqu'à prolonger drastiquement mon existence, me permettant de vivre à l'époque de nos rêves, à moi et ma soeur. Il permettait de repousser des limites qui n'existaient finalement que dans l'esprit des Maitres Jedi. La Force le permettait, pourquoi s'en abstenir ? Mais à l'étalon qui me faisait face, je n'avais envie de révéler ni l'une ni l'autre de ces raisons. J'étais plus amusé par la réponse suivante, tentant de repousser son attaque par la même occassion :

-"L'on ne fait pas l'amour dans la lumière. Ce n'est pas... intime."

Saurait-il seulement de quoi je parle ? Quelque chose me susurrait à l'oreille que oui, aussi improbable que cela puisse paraître. Mais qu'il connaisse ou non, il n'était pas compliqué de comprendre que l'obscurité permettait plus. A découvert, l'acte ne pouvait que passer aperçu, alors on se méfiait -tout du moins, le commun des gens-, l'on était sur ses gardes. Mais dans le voile de l'obscurité, couvert par la noirceur, n'importe qui se laissait réellement aller, et finissait par dévoiler toute la puissance d'une passion frénétique.

-"Ce n'est pas du gâchis..."

j'avais entendu, ou ressenti -difficile à dire- ce qu'il pensait, et reculant de quelques pas, mon regard se plongea dans celui de son adversaire.

-"Vous prônez un amour sans réellement connaître ce qu'est faire l'amour. Moi, devant la pâtisserie que serait l'amour, je me sers. Simplement. Le gâchis, ce sont ceux qui refuse de prendre leur part. On finit alors par jeter à la poubelle."

Une image. J'avais employé une image, une métaphore, et ça, en plein milieu d'un combat avec mon ennemi. C'était incroyable. Aberrant. Et pourtant, véridique.

-"Je..."

S'interrompant, je plongeais encore une fois mon regard dans le sien. Une seconde ou une éternité, je n'aurais su le dire, et finalement je me relançais à l'attaque dans l'unique but de gagner. J'avais un projet, mais celui-ci ne passerait pas après les sombres dessins de l'Empire.

-"...gagnerais ce combat !"

Par la force des choses. Mais aussi par la Force. Tout du moins, son obscure facette.
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Jet d'agilité pour défense
Jet d'agilité pour attaque au sabre
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'6' :
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Défense d'Isobel réussie.

Attaque d'Isobel réussie ! Alycius peut se défendre avec un jet d'agilité s'il le désire.
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[HJ: Jet d'agilité pour dérober le sabre-laser d'Isobel,
Jet de Sagesse pour Vague de Force contre un mur

EDIT: J'édite juste après avoir vu le résultat des dés... Comment dire que je m'y attendais... Mais que je suis quand même dégoûtée ?... Le maudit 1 et 6 toujours pour moi Evil or Very Mad 'art de jouer le maître Jedi le moins crédible du monde quoi... lol! ]


La blessure manqua de faire hurler le maître qui venait d'appliquer le principe du sacrifice précédemment enseigné à Glurba, un Padawan Hutt. Laissant sciemment son adversaire blesser ses flancs, l'étalon espérait pouvoir surprendre l'adversaire et riposter doublement, l'avoir à l'usure même si c'était mal parti vu que le sang qui coulait était majoritairement sien. Rouge, commun, facile à confondre avec celui des autres espèces que méprisaient si facilement les Nazzars. C'était entre autres, un des détails qui avait fait changer Alycius d'opinion. Il n'était ni mieux, ni pire qu'un Twi''Lek ou un humain. Bien sûr, le concept lui avait coûté de nombreux efforts, il demeurait d'ailleurs plein de préjugés, surtout en ce qui concernait les Balozars, ces consommateurs de Drogues, ou encore les Twi''Leks trop dociles. Néanmoins, cette Sith apparemment humaine, au sang dont il espérait vérifier la couleur et la texture n'était pas à prendre à la légère.

D'ailleurs, être systématiquement celui qui subissait les assauts aurait pu avoir raison de son ego, mais, depuis le début, Alycius s'était rendu compte que la Sith était meilleure que lui. S'il avait des tendances Xénophobes, il n'était pas machiste et ne s'était pas trompé quand à l'appartenance de cette dernière au sexe féminin. Clairement, toute humaine et fille qu'elle était, son adversaire le dominait. Depuis que la Force l'avait prévenu, Alycius s'était résolu à la freiner plutôt qu'à l'arrêter.

- Et qui vous dis que nous ne connaissons pas l'Amour ? Seulement, il ne nous appartient pas. Il est voué à autrui, ceux qui n'y ont pas le droit.

Souffla le Nazzar en guise de réponse, cachant sa surprise quant à l'étrange parallèle formulé par la Sith. Bien sûr, lui avait retiré l'aspect charnel de sa réponse, jouant sur les mots. Ce n'était pas à elle qu'il confierait avoir été suffisamment désespéré pour s'adonner à ce type de bassesses, encore moins en échange de vulgaires crédits. Bien qu'en apparence dépourvu de ce dit amour qu'il prônait vu son air froid, Alycius se battait ardemment pour cette cause; cet idéalisme qui l'avait pourtant exaspéré chez son défunt maître. Il prêtait son amour et sa lame à ces autres, ces inconnus de toutes espèces, faibles, quoique pas si innocents parfois. Ses doigts fins de pianiste poisseux portés à sa plaie étaient d'ailleurs en train de leur offrir son fluide vital.

- N'en soyez pas si sûre.

Même si au fond, le Nazzar penchait du même côté que la Sith, persuadé qu'elle avait plus de possibilités que lui de l'emporter, il n'allait pas la laisser y croire. Ce serait en soi une bonne stratégie, pouvoir manipuler son esprit, de la conforter pour mieux la faire chuter. Alycius en savait quelque chose de part la mauvaise habitude de son peuple à se croire au-dessus des autres. Plus l'orgueil était gonflé, plus la chute faisait mal lorsqu'une aiguille le perçait.

Cependant aujourd'hui, l'étalon n'en avait pas le temps. Il devait donc montrer toute sa puissance au grand jour, bien que curieusement, la femme semble posséder plus d'expérience que lui dans de nombreux domaines. Son physique prévisible de femelle humaine indiquait pourtant une certaine jeunesse, et connaissant leur espérance de vie à force de les côtoyer le Nazzar lui donnait à peine la trentaine. Le savoir qui se lisait difficilement dans ses yeux, à travers le voile était-il dû à un entraînement quotidien extrêmement ardu, ou à une tromperie génétique ? Malheureusement, Alycius n'était pas très doué en ce qui concernait les espèces. S'il connaissait à fond celles étudiées, intéressé par leurs capacités, son savoir demeurait vague, surtout à propos des humains, peu doués à ses yeux, quand bien même ils avaient colonisés la majorité des planètes. Mais cette Sith en était-elle réellement une ? Possible, le côté obscur l'avait corrompu, qui savait jusqu'où il avait infiltré ses veines, modifiant son apparence, bien qu'il ne l'ait étrangement pas déformée. Pas encore. ça ne saurait tarder, car c'était un venin, qu'on le haïsse ou qu'on le chérisse, la Force noire n'éprouvait ni pitié pour les premiers, ni reconnaissance pour les seconds.

D'un geste vif, le jeune Jedi se retira de l'étreinte mortelle de la lame carmin pour faire dériver son sabre vers le poignet de la Sith. Encore une fois, il avait l'intention de lui dérober son bien. C'était certes prévisible mais pratique s'il réussissait. De l'autre main en revanche, l'étalon tâcha d'être plus surprenant. Espérant que sa première manoeuvre ait concentré le regard de son adversaire sur son sabre, il projeta ses doigts ouverts en avant, puisant dans la Force pour essayer de la projeter contre un mur.

- Vous parlez beaucoup d'Amour pour une Sith... Mais la haine, la haine, ne la sentez-vous pas se repaître de votre chair à force d'user de ce pouvoir obscur que vous chérissez ? Il vous détruira... Vous détruit déjà certainement. Est-ce cela ce que vous souhaitez pour votre futur ? La mort de votre corps ? Je dois admettre que ce serait là, effectivement, un terrible gâchis.

Elle était belle, il ne saurait le nier, mais qu'en serait-il dans quelques années ?
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Alycius encaisse l'attaque d'Isobel.
Alycius : - 19 HP.

Jet d'agilité réussi ! Isobel peut empêcher de se faire dérober son arme avec un jet d'agilité.

Pouvoir de la Force d'Alycius raté.
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Je parlais beaucoup d'amour. Peut-être, mais c'est parce que je connaissais le sujet. J'avais au cours de ma vie aimer le faire, aimer le prendre, aimer m'en délecter, aimer le voler, aimer le briser... J'en avais découvert les penchants plus que charnels, et la passion que cela avait instiller chez moi n'était finalement pas à laisser pour compte. A ce jour d'ailleurs, seule ma soif de sang avait su prendre le dessus sur cette addiction.

Quant à la haine...

-"Mais, c'est que j'aime la haine..."

Mon ton avait radicalement changé pour cette phrase. Mes yeux pétillaient de ma folie, et ma voix était presque à l'égale de ce qu'était l'extase que je ressentais en disant chacun de ses mots. Je me surpris même à ressentir un lâché de phéromones empreints de cette émotion. Le ressentirait-il, cet acte anormalement incontrôlé de ma race ?

-"La Mort est une aventure qu'il me plaira de vivre, sois-en assuré."

La volonté de ses mots venait me faire parer et contrer l'attaque qu'il portait à nouveau, le repoussant une nouvelle fois avec une agilité qui m'étonnait presque de moi-même. Il n'y avait pas à dire, cet étalon me motivait et j'excellais dans ce défi qui me plaisait énormément. Mais si je repoussais son attaque, celle-ci n'en vola pas moins mon sabre, ce dernier tombant à terre. Et malheureusement pour ma soeur, comme toujours dans ces moments-là, je n'avais qu'une envie : qu'il dure et qu'il dure encore. L'impératrice attendrait. Elle attendrait que je me sois rassassié de ce moment.

-"Le gachis serait si je ne connaissais aucun moyen de parer à cela, en réalité."

Je ne m'y serais jamais attendu, mais je venais de révéler à un ennemi ce qui était probablement l'un de mes plus grands secrets. J'aimais ce Nazzar, c'était indéniable. Mais ce n'était probablement pas une bonne nouvelle pour lui, de son point de vue s'il le comprenait. Parce que j'utilisais ce que j'aimais telle une enfant utilisait un jouet, jusqu'à s'en lasser. Et alors que le Nazzar faisait appel à la Force pour me nuire, je pliais l'énergie mystique à ma volonté pour me protéger de son attaque, la rendant nulle.

-"Je comprends parfaitement que tu le penses, mais c'est comme l'amour. Vous parlez vraiment de chose que vous ne comprenez pas. L'Amour, la Haine, la Passion... Toute ces choses, vous ne les voyez que comme le coté d'une pièce, là où nous, nous prenons le recul nécessaire pour nous en servir, voyant clairement la pièce et comprenant sa réelle utilité."

Ma main s'enquérit alors finalement réellement de l'un des autres sabres à ma ceinture, et en activa la lame. Une nouvelle lame écarlate dans ma main, j'envisageais bien de récompenser ce Maitre Jedi de l'une de mes meilleures danses. Je n'allais pas l'offenser en me retenant, mais bien lui offrir un spectacle d'une grande beauté en lui imposant ma force et ma maitrise de mes arts. Me relançant à l'attaque, je l'attaquais en en appelant à la puissance de mes convictions.
---

Jet d'Agilité pour défense au sabre
Jet d'Agilité pour attaque au sabre

PS : j'ai toujours du mal à me dire qu'un Maitre rate une attaque de Force, donc j'ai conclut à la réussite de ta vague mais comme le jet est ratée, j'ai expliqué que je la contrais. Ca me semble plus réaliste.

Edit : le post a été légérement édité pour aller dans le sens des lancé de dé
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Jet d'agilité égal à celui de la tentative d'Alycius : un sabre-laser d'Isobel tombe au sol.

Attaque d'Isobel réussie ! Alycius peut se défendre avec un jet d'agilité si elle le désire.
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[hj: merci tu sauves un peu mon honneur haha. 10 min pour poster...

EDIT: Ouuuuuuf je suis rentrée à 23h50... Et posté à 23H59. J'édite pour mettre un peu en page^^ et une petite description finale. Pas très utile mais bon^^.]


- Sans haine, vous ne vivez pas. Est-ce cela la liberté ?

Les Siths étaient dépendants, clairement, aux yeux d'Alycius. Toujours pris dans une multitude d'histoires sinistres, tordues et loin de pouvoir dormir tranquille, même avec le loquet fermé à double clé. Que quelqu'un veuille les tuer ou que les consciences des moins corrompus les travaillent, le jeune Jedi ne parvenait pas à comprendre leurs principes. Un de ce que l'on nommait gris, passe encore, lui-même considérait l'être en ce qui concernait la religion de son peuple après avoir fuit les siens, sans pour autant rejeter la vision raisonnable qu'en avait un vieux Nazzar exilé.

Le "cling" caractéristique du sabre-laser qui tombe fit dresser l'oreille à l'équidé, presque surpris d'être parvenu à arracher l'arme à sa si puissante adversaire. Sa vague de Force d'ailleurs fut rapidement détournée malgré son bon taux de midichloriens. Sur tous les terrains, la Sith semblait apte à le battre, s'en était frustrant. Choisissant alors de recourir à un pouvoir qu'il maniait comme peu en étaient capables, le Maître se concentra sur son propre corps. Il lui fallait trouver le point de rupture, suivre les filaments qui le tiraillaient, le menant tout droit à ses blessures, puis activer la Force encore une fois. Cependant aujourd'hui, perturbé comme il l'était par la présence de cette femme, Alycius n'était pas certain d'y parvenir.

Dans sa tête, il revoyait des images d'Ylm, vivante, si sérieuse, si concentrée mais parfois si souriante. Rarement, comme lui. Et pourtant, tous deux se portaient un amour sincère, un attachement que chacun aimait à croire raisonnable, passant après les priorités de leurs devoirs. Mais à quoi bon ? Aujourd'hui, Alycius rejoindrait peut-être son apprentie au sein de la Force.

Non, pour elle, il devait encore se battre, refuser l'inébranlable obscurité, se battre pour une cause perdue, car après tout, même derrière son sarcasme, sa dureté apparente, Alycius était bien ça, un fichu idéaliste de Jedi, qui sabre à la main défendait l'opprimé. Pourquoi ? Il ne se l'expliquait pas, c'était juste son devoir, parce que lui le pouvait, et que sinon personne d'autre le ferait, certainement pas cette Sith en tout cas.

Avec courage après avoir tenté de récupéré de ses plaies, Alycius lança son arme contre celle de la Sith, ignorant d'où elle sortait cette autre lame et ne se le demandant guère. Avec, il changea de stratégie et s'essaya à une attaque frontale.

- Et qu'est-ce que ça fait de tuer ? En quoi est-ce agréable ?

Demanda le trentenaire, malgré lui perclus de préjugés. Pour lui un Sith était une personne qui aimait faire souffrir, puis retirer la vie. En tout cas ceux qui étaient déjà bien enrôlé dans le côté obscur et une chose était sûre venant de son adversaire, elle était carrément camouflée au fond de la couverture noire, prête à étouffer, débordant de sentiments. Pour autant, tous n'étaient pas désagréables, Alycius se surprenait à ne pas les trouver odieux, ni à ressentir de hauts-le-coeur. Bien sûr, il ne prendrait pas le café avec cette "charmante" demoiselle mais il ne la trouvait pas si... extrême ? Et pourtant c'était une des pires qu'il avait connu lui semblait-il.

- On n'est pas trop seul, toujours entourés d'ennemis... Sans pouvoir avoir confiance en personne ? Et en devant mettre sa vie en jeu à chaque seconde ?

Là encore Alycius ne pensait pas que les Siths soient capables de vrais bons sentiments. Finalement, comme les Jedis, ils ne connaissaient pas l'amour, mais pas par omission, sinon par hypocrisie, mensonge ou simplement dédain pour ce dernier.

[HJ: Jet de sagesse pour se soigner
Jet d'agilité pour attaquer Isobel à la verticale ]
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Alycius encaisse l'attaque d'Isobel.

Alycius : - 19 HP.

Guérison d'Alycius réussie !

Alycius : - 25 PF.
Alycius : + 66 HP.

Attaque d'Alycius réussie ! Isobel peut se défendre avec un jet d'agilité si elle le désire.
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Quel duel serré ! Tandis que le croiseur dans lequel les deux combattants s’affrontent se prépare à sauter en hyperespace, Alycius devine qu’il faut au plus vite en finir avec cet obstacle et prendre la fuite avec ses deux acolytes… Qu’il doit d’abord retrouver ! Une seule option : ce duel doit voir une issue, et vite !


Alyicus El’Dor et Isobel Takan poursuivent le combat !

[HRP : Avant de reprendre, je vais vous demander de patienter quelques jours le temps que nous relancions la deuxième session.]
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Entre deux échanges de coups, les protagonistes vacillent brusquement : le sol sous leurs pieds vibrent avec force, les déstabilisant momentanément. On dirait... L'hyperdrive est activé ! Le cuirassier s'apprête donc à quitter les lieux... Il ne reste plus que quelques minutes aux Jedi pour ficher le camp. Alycius doit retrouver ses alliés et ficher le camp au plus vite !
Sauf que son adversaire n'est certainement pas prêt à le laisser partir si vite...


Le combat reprend !
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Un rire s'échappa de moi, alors qu'il me répondait. Sans haine, je ne vivais pas. Etait-il sérieux ? Pensait-il vraiment que la haine était mon unique moteur, mon unique raison de vivre ? Quelle erreur de sa part. La haine n'était pas un moteur, seulement un accélérateur. Un atout de plus. Ce serait comme dire que ... Que rien du tout, car finalement, cette idée était autant raciste que grotesque. Absurde...

Parant son attaque, mon regard dériva vers le sien et je me décidais alors à lui répondre à nouveau :

-"Ce n'est pas dans le fait d'oter la vie que le plaisir se cache. C'est dans tout ce qui précède."

Et je riais à nouveau, imaginant ce que cette phrase, cette révélation pouvait suggérer à son esprit. La torture ? Ce n'était rien en comparaison de ce dont j'étais réellement capable. Et je n'allais pas me priver de celà pour lui, ni même envisager d'arrêter.

-"Pour ce qui est de la solitude, ne te gênes pas pour tenter d'y remédier..."

Proposition osée ? J'espérais bien que c'est ce qu'éveillerait à son esprit ce genre de phrase, il est tellement plus facile de battre un esprit déstabilisé, et j'avais parfaitement ressenti la Force lui venir en aide un peu plus tôt. Et je n'allais pas le laisser penser que tout allait comme sur des roulettes. Je comptais bien moi-même faire appel à la Force pour triompher, et lui montrer le vrai potentiel qui résidait dans le coté obscur.

Me concentrant alors, j'envisageais d'user de l'un de mes préférés : l'appel d'un double parfait en tout point. Un allié utile pour la suite d'un tel duel. Mais alors que je me concentrais, quelque chose me fit perdre tous mes moyens : le sol venait de se mettre à vibrer. Déconcentré dans ce que je tentais d'accomplir, j'étais pris à mon propre piège. En cherchant à le déconcentré, le retour en marche des moteurs m'avait fait vaciller un instant, et mes sens furent pris par l'envie de ne pas m'aplatir cul au sol.

Humiliée dans mon ego, je ne comptais cependant rien laisser paraître, comprenant ce qui était la cause de ce tremblement. Et le sourire aux lèvres, j'avisais le Nazzar de la situation :

-"D'ici quelques minutes, nous pourrons être sur de continuer cette échange au coeur même de l'Empire. Qu'en penses-tu ?"

Mon ton, narquois et moqueur, était fidèle à lui-même. Ce Jedi n'avait plus beaucoup de temps pour s'enfuir de ce vaisseau, si tel était son but. Mais surtout, il y avait sur la route la plus belle Zeltronne de la Galaxie. Malheureusement pour lui, c'était moi cette Zeltronne, et j'étais probablement la plus dangereuse aussi.
___

Jet de Dé 1 : Agilité pour défense au Sabre
Jet de dé 2 : Sagesse pour Pouvoir Création du Double

Si le double est créé, voici les jets du double :

Agilité x 2 pour deux attaques au sabres (utilisation de l'Ambidextrie)
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#1 '6' :
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#1 Résultat :
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Défense d'Isobel réussie!

Pouvoir de la force d'Isobel raté!


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Joclad a vaincu la Sith qui s'opposait à lui. Il rejoint en trombe Alycius pour lui prêter main forte afin que ceux-ci puissent fuir les lieux au plus vite.


Joclad rejoint le combat. Isobel récupère son deuxième sabre sans nécessité de sacrifier un dé.
Nouvel ordre des tours : Joclad - Alycius - Isobel.

Spoiler:
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Elle était vaincue, terrassée, épuisée. Pourtant, elle cherchait à me résister, encore et encore, mais dan quel but ? Pensait-elle que j’allais la tuer, elle et son enfant ? Était-ce donc cela, que l’on faisait rentrer dans leur crâne à coup de burin ? Quoi qu’il en fût, elle se trompait. Dans une ultime tentative d’attaque, je venais écarter son arme pour me saisir de son bras et lui faire lâcher son arme d’une pression du poignet. Là, mon coude vînt finir sa course dans sa cage thoracique, pour lui faire perdre l’équilibre et détourner son attention de moi. Le choc la ferait suffoquer, mais elle ne cesserait pas de respirer. Là, je l’aidais à tomber au sol, accompagnant sa chute pour qu’elle ne se belle pas plus encore. Je me pliais, laissant un genoux tomber sur sa poitrine pour immobiliser ses bras, alors que je laissais la Force s’emporter autour de moi, et que je venais m’assurer que son enfant survivrait. Je n’étais pas expert dans le domaine, mais mon expérience sur Sy Myrth m’avait donné certaines compétences qui m’étaient désormais nécessaires. L’enfant allait bien, pour le moment. Mes attaques ne l’avait pas meurtri, mais c’était bien la Twi’lek qui risquait de tomber en état de choc. Je la stabilisais au mieux, avec le peu de temps que j’avais. Je ne pouvais pas m’éterniser ici. Je devais retrouver Lha’zyr, ou Maitre El’dor. On devait poser ces explosifs et quitter le vaisseau. Elle aussi, le devait. Par pure précaution. Je posais une main sur son crâne, pour dissiper partiellement la douleur :

« Tu dois partir d’ici, ou ton enfant et toi vous ne survivrez pas. Ne me suis pas, c’est inutile. Tu n’es plus en état de te battre. »

Je me redressais, quittant aussi vite que possible ce couloir qui m’avait trop longtemps immobilisé. J’essayais de retrouver Lha’zyr, en suivant le chemin que je lui avais indiqué. Mais il n’était plus là. Sans doute avait-il dû prendre un chemin annexe, ou même utilisé les conduits de maintenance comme je l’avais fais lorsque je m’étais retrouvé piégé dans un de ces vaisseaux à Makem Te. Quoi qu’il en fut, j’ignorais où il était, et je me plongeais dans la Force pour tenter de le retrouver. Cela risquait d’attirer d’autres Sith, mais je n’avais pas le choix. J’étendais mon champ de perception, ressentant les remous du combat de Maitre El’dor dans la Force. Il devait être aux prises avec un être puissant, vu la puissance des secousses obscures qui se répandaient dans le flux en véritables déferlantes. Mais aucune trace de Lha’zyr. Le Bothan n’était pas spécialement puissant dans la Force, et cela devait jouer sur ma capacité à le sentir.

Je fus tiré de ma contemplation par de soudaines secousses, des vibrations rapides et régulières, monotones, comme si le vaisseau lui-même cherchait à se contorsionner. Je n’étais pas expert de ce genre de bâtiments, mais je savais encore reconnaitre quand un navire chargeait son hyperpropulseur, cet instant où l’intégralité du vaisseau cherche à se propulser plus vite qu’il ne lui ait physiquement possible dans l’espace conventionnel. Je grimaçais, car ce n’était pas une bonne chose. On devait partir, tout de suite, avant que nous ne retrouvions piégés. Ce vaisseau pouvait nous emmener n’importe où, c’est pourquoi je me concentrais à nouveau dans la Force pour émettre une alerte à l’intention de Lha’zyr, lui indiquer de faire demi-tour, de trouver un moyen de quitter le vaisseau. Maintenant.

Puis je rebroussais chemin, maintenant ma connexion avec l’entité mystique pour remonter le chemin jusqu’à Alycius. Le Maitre avait sans doute besoin d’aide pour se défaire de son ennemi, et je ne pouvais tout simplement l’abandonner sur ce vaisseau sans avoir tenté de l’assister. Je ne perdais pas de temps à me chercher des patrouilles, me contentant de les prendre par surprise pour les neutraliser sur mon chemin. Mon agilité et ma dextérité au sabre étaient reconnues, bien qu’imparfaites, et me suffisaient largement pour me libérer de quelques soldats.

J’arrivais bien vite sur le lieu du combat, ressentant de plus en plus à chaque pas la puanteur suintante du côté Obscur, et ses volutes immondes, tentatrices et destructrices. Je me lançais soudainement dans le couloir, laissant mes bottes glisser sur le sol de duracier du navire. Ma lame restait quasi verticale, tranchant l’air devant mon visage, l’auréolant de son bleu azur. Mon regard glissa vers Alycius, puis vers son adversaire.

« Maitre, il nous faut partir au plus vi… »

Mes lèvres s’immobilisaient et mon visage se crispait alors que mes prunelles brunes venaient se poser sur la Sith qui faisait face à Alycius depuis le début. Je me sentais soudainement transporté dans mon passé, balancer ci-et-là au cœur de mes souvenirs douloureux, jusqu’aux conséquences de la bataille d’Artorias. Je revoyais son visage, comme pour me convaincre qu’il s’agissait bien de la même personne. Je pouvais ressentir la douleur et l’incertitude qui m’avait tétanisé à l’époque. Je…

Non.

Mon esprit venait immédiatement se refermer sur lui-même, alors que je laissais tomber ma forteresse mentale entre mes pensées, mes émotions et ma conscience. Il était hors de question que je ressente la moindre chose, si ce n’est le danger et la volonté de la Force. Aucune peur, aucune pitié. Elle ne les méritait pas. Cette Zeltronne n’était qu’un monstre. Un monstre qui ne m’atteindrait plus jamais. Je pouvais dans son regard qu’elle ne nous laisserait pas fuir. C’était une évidence. Elle ne me laisserait pas repartir. Elle ne commettrait pas cette erreur une deuxième fois, si ?

« Vous. »

Ma voix était devenue glaciale, alors que seule la froideur se détachait de mon visage, à l’image d’un Léonard Tianesli. Le Maitre Jedi m’avait bien formé sur ce sujet, et je n’étais plus ce faible padawan à l’esprit tourmenté qu’elle avait pu connaître.



[ Sacrifice d'un jet pour venir au contact, Jet d'Agilité pour une attaque au sabre, lame bleue. ]


Nous devions la défaire, et je laissais planer ce fait à l’esprit du Nazzar. Ainsi que mon idée, mon plan. Notre nécessité de la terrasser, rapidement. Pour que nous puissions ensuite nous enfuir. Au même instant, je bondissais en avant, comme mué par une force nouvelle, retombant sur un pied d’appui pour me propulser de côté. J’abattais ma lame, soudainement, suivant une trajectoire circulaire retombant en oblique dans une fente précise mais imparfaite.

J’espérais à présent que le Maitre Jedi allait me suivre, me faire confiance, et qu’il partagerait ses idées avec moi. Avec la Force, dans laquelle je tirais mon savoir.


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Attaque de Joclad réussie!

Isobel peut se défendre avec un jet d'Agilité si elle le souhaite!
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- Je pense que quelqu'un qui préfère à la mort, ce qui la précède n'est pas la personne avec qui j'ai envie de prolonger l'échange.

Les sabliers s'étaient inversés, tandis que la Sith montrait toujours plus son obscurité. Par ce qui était avant la fin, Alycius imaginait assez facilement qu'elle parlait de la torture. Quoique le combat en lui-même semblait déjà passionner son adversaire décidément de plus en plus enthousiaste. Désormais pressé de s'enfuir au lieu de devoir gagner du temps, le Maître décida de changer de tactique et de passer à l'offensive. Pour autant, l'ennemie bloqua une fois encore son attaque. Il allait renouveler sa tentative, la harceler de coups sans ces regrets qu'éprouvaient certains Jedis qui se cachaient derrière leur pacifisme lorsqu'une aura bien connue fit pivoter ses oreilles. Le Chevalier Joclad Draayi. Apparemment, il connaissait la puissante Sith et ce n'était pas une amie. Ayant déjà perçu à travers les mots ainsi que les actes de cette dernière son agressivité accrue, Alycius ne put qu'obtenir confirmation de la part du Chevalier qui s'ouvrit à lui. Glaciale. L'onde le mettait clairement en garde. Il fallait se défaire de cette ennemie à tout prix, sachant qu'elle ne les laisseraient probablement pas repartir sans être assommée ou... Alycius espérait simplement ne pas en venir à cette extrémité.

Le Jedi coupa net à la froideur du constat qui planait dans son esprit, sans pour autant l'oublier. Joclad semblait connaître parfaitement l'adversaire, tout comme lui aurait su retrouver celui l'ayant torturé à cause de son parfum et de sa voix. Il ne savait pas comment le Chevalier avait rencontré cette femme, ni dans quelles circonstances, mais une chose était sûre, le Nazzar respectait le "savoir" de son cadet. Ayant néanmoins à coeur de retrouver une certaine sérénité, il chercha à en faire profiter à Joclad, en lui envoyant une onde modulée, tiède. Le jeune homme n'était pas seul.

En revanche, lorsque l'onde atteignit la Sith, elle se transforma, d'eau calme en torrent orageux quoique non colérique. Sans doute pourrait-elle y percevoir une certaine urgence, car Alycius n'avait plus envie de traîner ici, mais c'était avec une tranquillité étonnante que le Maître attaquait. Il faisait ce qu'il avait à faire aux côtés de ce jeune qu'il avait apprit à respecter en un temps record.

Sans prendre le temps de laisser sa vague de Force déferler sur l'ennemie, et donc voir le résultat Alycius chargea avec son sabre, fermant le geste circulaire de son compagnon d'armes.

[HJ: Jet de sagesse pour une vague de Force
Jet d'agilité pour une attaque au sabre. ]
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