![[Séléné] Pure question d'calibre, mam'zelle ! [PV : Tah'den] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif)
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# [Séléné] Pure question d'calibre, mam'zelle ! [PV : Tah'den] - Sam 14 Sep 2013 - 12:04
«Tu sais quoi, Noga ? C'est quand même mal foutu, la vie.»
Souder l'tuyau au réservoir... Voilàààà... Le faire passer tranquillou à côté d'l'alimentation d'la lunette de visée automatique... Douuuuuuucement...
«Ouais, sacrément mal foutu !»
Le souder au robinet... Eh non, là, ça va tout faire disjoncter ! ... Comme ça, c'est mieux... Donc, on r'commence : le souder au robinet... Voilà...
«Non mais, quand tu penses ! Toutes ces donzelles ! Et pas une pour faire gaffe à ma p'tite gueule !»
Bon, mettre le Boga Noga dans l'réservoir. Lentement... N'laisser aucune goutte dans les branchements... Tout doux, tout doux...
«Toutes ces donzelles ! Mam'zelle Red, l'autre Yurica qui m'fait des p'tits émoustillements, là, puis plus rien, que dalle, nadache, et puis Katherina Machin, avec sa combi en latex qui lui rentre dans l'cul, même qu'elle doit pas porter d'culotte pour que ça lui pénètre l'entre jambe comme ça !»
Refermer l'boîtier... Activer l'robinet... Attendre deux secondes... Ah ! Ça coule ! Bon, v'là déjà une bonne chose de faite... Allez ! Une p'tite chope pour s'remonter l'moral.
«Ça en fait, des nanas canons ! Y a plus que ça, depuis quelques temps ! À croire que si on r'cherchait des moches (bon, y aurait pas d'raison, mais mettons qu'on en r'chercherait), eh ben, on en trouv'rait pas une seule ! Y z'ont fait un programme d'chirurgie esthétique sur toutes les donzelles d'la galaxie, ou quoi ?»
Maint'nant, r'fermer l'robinet... Bon, pas d'fuite... C'est d'jà ça !
«Tss-tss. On est entouré d'belles gonzesses, et même pas moyen d'y toucher. Avec ça, ces foutus ordres du cap'taine ! À croire que l'Séléné est un monastère... En même temps, si Ventarë me chope à m'lancer dans des p'tites papouilles, y l'a dit lui-même : j'suis bon pour faire un eunuque !»
Un regard à l'attention du p'tit gizka qui s'était logé entre un blaster éventré et les ruines d'la Grosse Bertha, bousillée par la dernière aventure sur Nar Shadaa. Mais la bestiole, elle en avait rien à foutre, en fait : elle machouillait tranquillement un morceau de je-ne-sais-quoi déniché dans un coin crasseux d'l'atelier et fixait l'plafond d'ses yeux bilouteux.
«Eh oh ! Tu m'écoutes, quand j'te parle ? Merde à la fin ! Évidemment, toi, t'en as rien à foutre, hein ! Des p'tites gizkas, t'en trouves à la pelle, et y a personne pour t'empêcher d'y foutre ton...»
Tiens, mais...
Moktarr s'mit à s'gratouiller la tête, un peu embêté. Pas parce qu'il parlait d'ses problèmes sentimentaux à une espèce de caméléon globuleux, non-non, ça, ça faisait partie des choses normales ! Mais parce qu'en fait, depuis qu'il était sur c'vaisseau, Noga n'avait jamais touché à une seule femelle ! Oui, Môssieur ! La bestiole avait réussi à s'abstenir pendant au moins deux ans ! À bah ça...
L'Besalisk abandonna son arme sur la table d'travail (un tout nouveau modèle de lance roquette, capable de servir une p'tite bière pendant l'combat ! Ré-vo-lu-tion-naire, ce truc !), et foutut son gros nez glaireux sur l'étagère, pile en face de sa p'tite bêbête.
«Mais comment tu fais, toi, bordel ? T'as déniché un vibromasseur à gizkas, c'est ça ?»
Pendant quelques instants, l'image d'un Noga en pleine masturbation artificielle s'mit à tourniquoter dans l'crane de Moktarr, jusqu'à ce que les rouages un peu défaillant d'sa cervelle en viennent d'eux-mêmes à cette conclusion d'apparence évidente, mais pas si aisée quand on a un esprit comme celui d'Mac Cload : improbable ! Un vibromasseur à gizka, ça n'existe pas ! Même sur Tatooïne, on en trouverait pas ! Et pourtant, sur Tatooïne, y en a, des machins incongrus !
Mais alors, mais alors, mais alors, si pas de vibromasseur...
«Comment tu fais ! Tu s'rais pas un eunuque, par hasard ?»
La bestiole émit une espèce de bruit bizarre, à la limite entre le ronronnement et le gargouillement. Qu'est-ce que ça voulait, dire, ça ?
Les rouages tournèrent encore quelques instants dans l'crane étroit du Besalisk. Verdict : un gizka eunuque ? Et puis quoi encore ?
Ceci dit, p'têt ben qu'il existe des prédateurs qui n'se nourrissent que d'parties intimes d'gizka. Allez savoir ! Et même que Noga aurait eu l'malheur de rencontrer une bestiole du genre, et puis... couic ! Restait juste à espérer qu'il existe pas l'équivalent pour les Besalisks, parce que hein... (enfin si, ça existe, remarquez : ça a une belle gueule, des ch'veux roux, un manteau rouge, et ça s'la pète tout'l'temps. Vous d'vninez pas ? Allons...)
Oui, enfin bon, bestiole-mangeuse-de-bistouquette ou pas, c'est pas ça qui allait régler l'problème. Ou disons plutôt qu'ça pouvait l'régler, mais c'était un peu radical, hein ? Et Moktarr faisait partie de ces gens - en majorité à bien y songer - qui sont pas trop-trop d'accord avec l'amputation du saucisson !
Tout-à-coup, une espèce de fumée verdâtre vint faire sortir Mac Cload d'ses méditations sur le moyen l'plus approprié de s'débarrasser d'ses ardeurs au milieu d'tant d'gonzesses si alléchantes... Et meeeeeerde ! Le lance-roquette ! L'était en train d'cramer ! Encore un court-circuit ! Bon, arroser tout ça. Et vite ! ... Voilàààà... Et maint'nant, y avait plus qu'à tout r'commencer, encore une fois...
«Putaaaaaaaaaain ! Mal foutu, j'te dis !»
Souder l'tuyau au réservoir... Voilàààà... Le faire passer tranquillou à côté d'l'alimentation d'la lunette de visée automatique... Douuuuuuucement...
«Ouais, sacrément mal foutu !»
Le souder au robinet... Eh non, là, ça va tout faire disjoncter ! ... Comme ça, c'est mieux... Donc, on r'commence : le souder au robinet... Voilà...
«Non mais, quand tu penses ! Toutes ces donzelles ! Et pas une pour faire gaffe à ma p'tite gueule !»
Bon, mettre le Boga Noga dans l'réservoir. Lentement... N'laisser aucune goutte dans les branchements... Tout doux, tout doux...
«Toutes ces donzelles ! Mam'zelle Red, l'autre Yurica qui m'fait des p'tits émoustillements, là, puis plus rien, que dalle, nadache, et puis Katherina Machin, avec sa combi en latex qui lui rentre dans l'cul, même qu'elle doit pas porter d'culotte pour que ça lui pénètre l'entre jambe comme ça !»
Refermer l'boîtier... Activer l'robinet... Attendre deux secondes... Ah ! Ça coule ! Bon, v'là déjà une bonne chose de faite... Allez ! Une p'tite chope pour s'remonter l'moral.
«Ça en fait, des nanas canons ! Y a plus que ça, depuis quelques temps ! À croire que si on r'cherchait des moches (bon, y aurait pas d'raison, mais mettons qu'on en r'chercherait), eh ben, on en trouv'rait pas une seule ! Y z'ont fait un programme d'chirurgie esthétique sur toutes les donzelles d'la galaxie, ou quoi ?»
Maint'nant, r'fermer l'robinet... Bon, pas d'fuite... C'est d'jà ça !
«Tss-tss. On est entouré d'belles gonzesses, et même pas moyen d'y toucher. Avec ça, ces foutus ordres du cap'taine ! À croire que l'Séléné est un monastère... En même temps, si Ventarë me chope à m'lancer dans des p'tites papouilles, y l'a dit lui-même : j'suis bon pour faire un eunuque !»
Un regard à l'attention du p'tit gizka qui s'était logé entre un blaster éventré et les ruines d'la Grosse Bertha, bousillée par la dernière aventure sur Nar Shadaa. Mais la bestiole, elle en avait rien à foutre, en fait : elle machouillait tranquillement un morceau de je-ne-sais-quoi déniché dans un coin crasseux d'l'atelier et fixait l'plafond d'ses yeux bilouteux.
«Eh oh ! Tu m'écoutes, quand j'te parle ? Merde à la fin ! Évidemment, toi, t'en as rien à foutre, hein ! Des p'tites gizkas, t'en trouves à la pelle, et y a personne pour t'empêcher d'y foutre ton...»
Tiens, mais...
Moktarr s'mit à s'gratouiller la tête, un peu embêté. Pas parce qu'il parlait d'ses problèmes sentimentaux à une espèce de caméléon globuleux, non-non, ça, ça faisait partie des choses normales ! Mais parce qu'en fait, depuis qu'il était sur c'vaisseau, Noga n'avait jamais touché à une seule femelle ! Oui, Môssieur ! La bestiole avait réussi à s'abstenir pendant au moins deux ans ! À bah ça...
L'Besalisk abandonna son arme sur la table d'travail (un tout nouveau modèle de lance roquette, capable de servir une p'tite bière pendant l'combat ! Ré-vo-lu-tion-naire, ce truc !), et foutut son gros nez glaireux sur l'étagère, pile en face de sa p'tite bêbête.
«Mais comment tu fais, toi, bordel ? T'as déniché un vibromasseur à gizkas, c'est ça ?»
Pendant quelques instants, l'image d'un Noga en pleine masturbation artificielle s'mit à tourniquoter dans l'crane de Moktarr, jusqu'à ce que les rouages un peu défaillant d'sa cervelle en viennent d'eux-mêmes à cette conclusion d'apparence évidente, mais pas si aisée quand on a un esprit comme celui d'Mac Cload : improbable ! Un vibromasseur à gizka, ça n'existe pas ! Même sur Tatooïne, on en trouverait pas ! Et pourtant, sur Tatooïne, y en a, des machins incongrus !
Mais alors, mais alors, mais alors, si pas de vibromasseur...
«Comment tu fais ! Tu s'rais pas un eunuque, par hasard ?»
La bestiole émit une espèce de bruit bizarre, à la limite entre le ronronnement et le gargouillement. Qu'est-ce que ça voulait, dire, ça ?
Les rouages tournèrent encore quelques instants dans l'crane étroit du Besalisk. Verdict : un gizka eunuque ? Et puis quoi encore ?
Ceci dit, p'têt ben qu'il existe des prédateurs qui n'se nourrissent que d'parties intimes d'gizka. Allez savoir ! Et même que Noga aurait eu l'malheur de rencontrer une bestiole du genre, et puis... couic ! Restait juste à espérer qu'il existe pas l'équivalent pour les Besalisks, parce que hein... (enfin si, ça existe, remarquez : ça a une belle gueule, des ch'veux roux, un manteau rouge, et ça s'la pète tout'l'temps. Vous d'vninez pas ? Allons...)
Oui, enfin bon, bestiole-mangeuse-de-bistouquette ou pas, c'est pas ça qui allait régler l'problème. Ou disons plutôt qu'ça pouvait l'régler, mais c'était un peu radical, hein ? Et Moktarr faisait partie de ces gens - en majorité à bien y songer - qui sont pas trop-trop d'accord avec l'amputation du saucisson !
Tout-à-coup, une espèce de fumée verdâtre vint faire sortir Mac Cload d'ses méditations sur le moyen l'plus approprié de s'débarrasser d'ses ardeurs au milieu d'tant d'gonzesses si alléchantes... Et meeeeeerde ! Le lance-roquette ! L'était en train d'cramer ! Encore un court-circuit ! Bon, arroser tout ça. Et vite ! ... Voilàààà... Et maint'nant, y avait plus qu'à tout r'commencer, encore une fois...
«Putaaaaaaaaaain ! Mal foutu, j'te dis !»
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