Joao Orama
Joao Orama
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Eclats Kyber : 35
Joao Orama
Ancien général républicain
identité
Faction : République Galactique
Poste Vacant : Non
Nom et Prénom : Orama Joao
Année de naissance : 21 523
Lieu de naissance: Aldeeran
Espèce : Humain
Notoriété : Connu dans l'armée républicaine et peut être de certains membres de l'empire sith.
Rôle/Métier : Retraité fouineur


Description
Joa est un homme de haute stature à la carrure imposante. Sa barbe longue et grisonnante marque les esprits tandis que son regard, porté par une iris d'un noir d'encre, est dur, perçant et vous met à nu. Dans ses moments de mélancolie, on peut également y lire tout le poids des années et de ses actes. Il semble alors plus humain, plus accessible, moins froid, mais sa ride du lion, profondément marquée et inamicale doit vous rappeler qui il est et ce qu’il a fait.

Joa n’est pas socialement à l'aise. Il reste un homme d’action, déterminé, habitué à être religieusement écouté. Sa vie et ses expériences passées l'ont poussées à juger tous les moyens comme étant acceptable pour atteindre ses objectifs. Le coût n’est jamais trop élevé, les victimes collatérales jamais trop nombreuses.

Néanmoins, l’ancien général reste un homme. Avec l'âge, la dureté de la vie et le retour de sa conscience et de valeur qu'il à perdu l'ont emplis de remords. Il souffre de stress post-traumatique le menant à flirter avec une folie autodestructrice et suicidaire. Seul le retour du sentiment amoureux lui permet de ne pas se noyer corps et âme dans ses démons.

Les sentiments qu’il voue à sa femme son proches de la dévotion. Elle est son encre dans la réalité et dans l’instant présent. Elle est sa seule source de lumière et de chaleur. Sa perte serait le point de basculement le faisant passer de la clarté à l’obscurité. Il n’aurait alors plus aucun garde-fou, plus aucune limite et plus rien à perdre.

Sa haine de ce qu’est devenue la république et le Sénat n’a d’équivalent que sa haine de l’empire sith. Inconsciemment, il juge cet empire et la guerre qu’il a déclenché comme responsable de tout ce qu’il à raté dans sa vie. Pis, il les juge responsable de la mort de sa fille et ne ratera jamais une occasion de « corriger » (comprendre exterminer, vaporiser, anéantir) tout agent soutenant l’empire ou la politique actuelle de la république.

Sa quête de rédemption le mène à chercher et à réhabiliter les jedi au sein de la république. Il voit en eux le moyen de racheter ses fautes, de se faire pardonner et de retrouver cet idéalisme qui le caractérisait quand il était jeune.

Cependant, à plus de soixante ans, Joao n’est plus un jeune homme vigoureux et puissant. Ses articulations lui font mal, les combats l’ont presque rendu sourd. Appuyer trop vigoureusement sur une gâchette pourrait peut être même lui causer une tendinite ! Il devra se battre par les mots ou par pions soigneusement choisi et éventuellement manipulé.

Après tout, c'est ce que la guerre lui a appris à faire.

« QUALITES» Amoureux du vivant, déterminé, expérimenté, sur de lui, incorruptible et implacable
« DEFAUTS » Instable, tourmenté par ses actes, colérique, arrogant, autodestructeur


caractéristiques
Intellect :  Grace à son passé dans l'armée, Joa possède une culture plutôt importante mais surtout un haut niveau de connaissances en matériels, tactiques et stratégies militaire terrestres.

Il connait dans les grandes ligne le fonctionnement, les point forts et points faibles des matériels standards républicains et sith. Il est également au courant de la position d'un certain nombre d'installations militaires républicaines, pour certaines secrètes.

Enfin, et tant qu'elles ne sont pas changées, Joa connait la majorité des stratégies de déploiements et d'interventions de l'armée républicaine, force spéciales comprises.

Attitude : Sa posture, son attitude et son regard font de Joa une personne que l'on peut considérer comme étant charismatique et imposante. En évoluant au sein de la noblesse Aldeeranaise pendant des années grâce à la famille de sa femme, il a également appris les rudiments du savoir être dans ce genre de milieux.

Il reste néanmoins quelqu'un de rigide, de "militaire" et il est difficile de ne pas comprendre très vite quel métier il a exercé. Il en garde également une certaine culture du secret et de l'économie de mot. Il restera toujours direct dans ses prises de paroles et n'aura pas de retenue quand il s'agira d'être dur avec quelqu'un.

Enfin, il reste un amoureux des valeurs de la république et n'hésitera pas à la défendre face aux septiques et ce, même s'il est contre le chancelier en place.
Aptitudes ; Joao reste un bon combattant par rapport à la majorité des être vivants de la galaxie. Bien que diminué et rouillé par l'âge, un coup de fouet chimique ou quelques implants bioniques pourraient lui permettre de retrouver un niveau athlétique suffisant pour en faire rougir plus d'un.

L'ancien militaire sait également utiliser un grand nombre d'armes différentes. Il n'est pas spécialisé mais sera rarement pris au dépourvu en se retrouvant avec une arme standard de l'armée républicaine entre les mains.

Sagesse : = Niet niet JarJar


biographie


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Notre histoire commence il y a longtemps, très longtemps, dans une galaxie lointaine, très lointaine…

Il y a plus de soixante ans maintenant est né Joao Orama. Il venait d’une famille simple, loin de la haute société, des strasses et des paillettes. Son père était sous-officier dans l’armée planétaire et sa mère évoluait dans le bas de la bureaucratie d'État. Leur vie était rythmée par les affectations du père. Ils voyageaient de villes en villes, de villes en continents, de continents en lunes, de lunes en stations. Ils n'avaient ni lieu de vie fixe, ni ami, ni famille. Aucune attache si ce n’est l’armée.

Cette vie les menait loin des explosions de joies, des fêtes et des spectacles. La rudesse et la froideur de la vie militaire inculquée au jeune Joao, dit Joa, avait laissé des traces et il développa une carapace d’ombre et de sévérité. Il suivit naturellement et sans se poser de question les traces de son père en passant les concours pour intégrer l’armée. Ses résultats avaient été excellents et il fut intégré à l’école des officiers.

Lors du bal de fin d’études, Joao et Elyanna se rencontrèrent. Lui venait de décrocher son diplôme et sa première affectation d’officier. Elle venait de la noblesse et menait une vie de paraître et de représentation. Ils semblaient opposés en tous points, lui pragmatique et rude, elle naïve et éclatante. Jamais il n’aurait dû vivre, grandir et mûrir ensemble et pourtant, c’est ce qu’ils firent. Luttant contre vents et marées, contre une belle-famille hostile et une armée déterminée à l'exploiter, Joa mit une grande partie de son énergie à maintenir un lien avec celle qu’il appelait Elya.

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Les années passèrent. La vie de militaire était calme en période de paix. Le couple s'épanouit et même la famille d’Elyanna finit par apprendre à vivre avec ce rustre de gendre. Le père de la jeune femme finit par lui trouver des qualités, ce qui n’était pas aisé tant leurs vies semblaient différentes. Joa dégageait une aura de sérénité, de fermeté et d’assurance qui rassurait ceux qui l’entouraient.

Elya et Joa eurent une fille, Pitchoune d’après son père, trop gaga, et Maria d’après sa mère, dure mais juste. Elle fut élevée à la manière de la noblesse Aldeeranaise et Joa n’y trouva rien à redire. Il ne disait de toute façon pas grand-chose et était le genre de père plutôt absent, absorbé corps et âme par sa carrière. Ses absences répétées ne l’empêchaient pas de se montrer proche de sa fille, mais sa relation avec Elyanna se distendit, perdant de sa force. Elle osa lui tenir tête, lui faire des reproches et ces derniers s'intensifièrent avec les années. Maria avait 7 ans lorsqu’elle vit ses parents ensemble pour la dernière fois.

La paix était révolue et Joa partit au combat.

En tant que membre de l’armée d’Aldeeran, Joao eut le choix entre rester dans l’armée planétaire ou rejoindre les forces de la république pour défendre l’institution, ses valeurs et ses territoires. Il fit le second choix et quitta planète, femme et enfant sans se retourner, pour livrer une guerre qu’il ne connaissait pas contre des forces qu’il n’avait jamais appris à combattre.

Il écuma la galaxie, planètes et lunes, rasa des villes, prit des vies par dizaines, ordonna des centaines de mises à mort, perdit des milliers de soldats et vit des millions de vies étreintes et éteintes par cette guerre qu’il commençait à ne connaître que trop bien.

Sa carrière fut riche et florissante. Il commença sur le terrain, commandant des escadrons et des bataillons de l’armée de terre. A cette époque, il était idéaliste et pensait que la guerre pouvait être propre, au moins du côté républicain. Le désenchantement arriva quand il reçut l’ordre de pilonner, avec l’artillerie qu’il commandait, une petite ville qui abritait un avant-poste de l’empire. Ce dernier servait à l'entretien des chasseurs protégeant la planète et était à moitié enterré. Il fallait donc vitrifier toute la zone, et en profondeur. Le général qui coordonnait ce front terrestre s’en foutait de savoir qu’il y avait des civils dans la zone d’attaque.

Il disait souvent “Il y a des gens chanceux, puis il y a les autres. Ils font partis des autres.”

Joao haïssait ce type d’ordre. Il ne comprenait pas à l’époque que l’on puisse avoir aussi peu de considération pour la vie. Le jeune officier pensait encore que la guerre pouvait être morale, saine et vertueuse. Sa formation sur Aldeeran ne l’avait jamais préparé à ce genre d’action…

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Mais le temps passa et ce fut finalement lui qui, au profit de montées en grades souvent méritées, finit par ordonner d'attaquer des cibles abritant parfois des civils. Il n'avait jamais fuit ses responsabilité et justifiait toujours ses actes par l'accomplissement d'un objectif de guerre prioritaire ou par l'absence d'une autre solution plus viable avec les moyens qui étaient les siens. La guerre durait depuis trop longtemps, les sith se jouaient de la retenus de leurs adversaires face aux sacrifices parfois nécessaires. Il fallait mettre un terme à cette mascarade et tous les moyens devenaient finalement bons et justifiable au yeux de Joao. La conscience du Général se faisait étrangement silencieuse dans ces moments là.

Il finira un jour par dire, devant un tribunal de guerre et profitant des conditions particulière de cette journée, prenant du recul sur les les actions perpétrées sous ses ordres, que “La guerre est un monstre qui dévore tout, y compris ceux qui la font”.

Les écarts de Joao durent longtemps tenus cachés par les services secrets républicains. Conscients qu'au milieu d'une guerre qu'ils pouvaient potentiellement perdre, la brutalité du Général Orama pouvait leur être utile. De plus, à l'échelle de l'armée républicaine, ses actes avaient peu de répercutions sur la réputation de la république tant ils étaient noyés au milieu des dizaines de fronts différents.

Joa combattit aux côtés de la République et la servi sans pause pendant vingt ans. Alternant les fronts, les rôles dans l'état major et les moment de repos dans les centres de formations.

Sciemment, il ne retourna pas sur Aldeeran pendant vingt ans.

La guerre prit fin, la République en sortit plus forte, mais à quel prix ? Joao se sentait vieux, las et fatigué. Son expertise de la guerre était grande, mais la souffrance que ses ordres avaient causée lui était désormais insoutenable. A l’aube de ses soixante ans, il en paraissait dix de plus. C’est à ce moment-là qu'il ressentit le besoin de rentrer. Ce qu’était devenu la république l’avait déçu, il ne voyait finalement plus tant de différence avec l’Empire ennemi.

Le chancelier s’était transformé en dictateur et les inégalités s’étaient creusées. Lui qui s’était senti légitimé dans ses actes par les valeurs qu’il défendait et que sa vision de l'idéal républicain représentait, se retrouvait finalement face à ses responsabilités, face au poids de sa conscience. Sa vie n’avait eu aucun sens.

Il n’avait jamais cherché à reprendre contact avec sa femme après leur dernière dispute et son départ. Elle lui avait fait comprendre que leur famille n’avait pas besoin de lui, mais aucun des deux n’avait chercher à divorcer.  Elyanna vivait toujours dans “leur” maison, seule.


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Quand il rentra sur Aldeeran, elle ne sembla pas surprise. Quand ils parlèrent, elle n’haussa pas le ton et ne pleura pas. Ils s’observèrent et semblèrent lire en l’autre le poids des années écoulées. Ils comprirent alors à côté de quoi ils étaient passés. Ils avaient vieilli, s’étaient perdu, et pourtant, leurs regards témoignaient toujours d’un amour profond. La pause avait duré vingt ans. Ils avaient eu besoin de cette séparation pour grandir. Elle comprenait maintenant son choix de partir combattre et il comprenait sa peine et sa colère d’alors.

La vie n’avait été tendre avec aucun des deux, pis, leur fille, Maria, était décédée treize ans plus tôt. Elyanna n’avait jamais eu le courage de le prévenir et n’avait jamais pu faire son deuil avec son mari à ses côtés. Quand il apprit la disparition de leur fille, le général à la retraite éclata en sanglots et se recroquevilla, comme un enfant. C’était la goutte d’eau de trop, celle qui déclencha la soupape de décompression et tout ce qu’il avait retenu toute sa vie durant s’échappa de lui.

Il venait d’apprendre le décès de sa fille, avec treize ans de retard, et il n’avait pas été là, auprès de sa femme, pour la soutenir. Elle avait gardé le poids de cette nouvelle sur ses seules épaules toutes ces années durant. Il avait failli en tant que mari, il avait failli en tant que père, il avait failli en tant que soldat.

Sa vie entière s’écroulait.

Dans un premier temps, Elyanna ne sut pas comment réagir. Elle avait mené une grande partie de sa vie de mère et de femme seule, sans cet homme qui aurait dû être à ses côtés et qui s’effondrait maintenant devant elle.

Elyanna n’avait jamais eu à gérer les émotions de son mari. Elle qui avait réussi à se détacher de cette vie de fille de noble sans responsabilité, elle qui s’était hissée dans la société Aldeeranaise jusqu’à devenir ministre, elle qui avait porté ses propres combats, ses propres démons, se retrouvait désarmée face à tant de fragilité, face à tant fractures et de souffrance.

Le retour de Joa changeait beaucoup de choses. Elle l’avait secrètement espéré, mais ne s’y était jamais vraiment préparée. Ils allaient tous les deux devoir reconstruire quelque chose, s’apprivoiser à nouveau et s’écouter.

Les semaines suivant son retour, ils parlèrent beaucoup de leur vie. Joao se rendit compte de la femme forte qu’était devenue Elyanna, de l’importance qu’elle avait eu et qu’elle avait encore dans la société. Elle avait œuvré des années durant au poste de ministre de l’Économie et de la planification industrielle, elle avait tenté, toute sa carrière politique durant, d'amoindrir les effets de la guerre sur la société Aldeeranaise. Cette même guerre que lui menait en première ligne avait impactée et appauvrit la planète. Elle n’était pas une puissance industrielle de premier ordre, par conséquent, la guerre ne lui avait pas profité. Les jeunes étaient partis, le tourisme s’était tari et l’économie effondrée.

Les médias opposés à Elyanna avaient longuement tenté de la couler en parlant de son mari, de son rôle grandissant dans la guerre exagérant les pouvoirs que son grade lui donnait, allant même jusqu'à lui attribuer la décision de prolonger les combats en refusant les négociations de paix entre la République et l’Empire. Cette propagande mensongère de l’opposition, avait fini par peser sur l’opinion publique et lui avait coûté son poste.

Joa comprit alors que si son retour était rendu public, il aurait une bonne moitié de la planète contre lui, il comprit également que ses actions, qui eurent lieu à l’autre bout de la galaxie, avait eu une influence sur la vie de sa femme à un niveau qu’il n’aurait jamais imaginé, qu’il n’aurait jamais pu prévoir et il s’en voulu. Il parut prendre dix ans de plus en quelques semaines tant il était accablé de remords et savait qu’il n’allait pas pouvoir rester.

Elyanna absorba les récits de son mari comme si elle essayait de rattraper 20 ans d’absence et d’échanges en quelques jours. Elle comprit le poids et les remords de son mari sur les actes qu’il avait approuvés, ordonnés et commis. Elle comprit son inquiétude face au devenir de la République, sa peur d’avoir passé sa vie à défendre des idéaux qui n’existaient plus, d’avoir passé sa vie à combattre un ennemi qui n’était pas si différent de d’eux.

Ils se rendirent compte qu’ils désiraient encore servir, pis, ils en ressentaient le besoin, mais ce coup-ci, ensemble, côte à côte, l’un complétant l’autre.

C’est au cours de ces échanges qu’ils abordèrent la question des jedi. L’ancien général avait souvent traité avec eux au cours de la guerre et ils ne lui avaient jamais paru perfides ou manipulateurs. Ils avaient, semble-t-il, toujours œuvré pour le bien commun. Le vieux soldat n’avait jamais ressenti de doute ou de méfiance à leur égard et surtout, il n’avait jamais réfléchi aux conséquences de leur exile.

Joao et Elyanna se demandèrent si finalement, les Jedi n’avaient pas été pendant longtemps l’incarnation des valeurs républicaines et leurs seuls garants. La disparition de l’ordre, précipitée par le chancelier Grendo S’Orn et ses alliés, semblait avoir servi de subterfuge pour renforcer déconstruire la République et éliminer toute résistance possible dans et à l’extérieur du Sénat.

La conclusion de leur réflexion fut simple et sans appel : Pour retrouver nos idéaux et sauver la République, nous devons retrouver les Jedi et leur porter assistance, quel qu'en soit le coût.

Néanmoins, avant de se mettre en quête des Jedi, Joao allait devoir régler un autre problème. Ses actes pendant la guerre, bien que justifiés à ses yeux, ressortaient maintenant et étaient injustifiables aux yeux de la justice. Quelqu'un avait fouiné, puis cafté et le Général se retrouvait maintenant convoqué devant un tribunal militaire. Il allait devoir faire accepter aux juges que les ignominies commises avaient été nécessaire pour la victoire de la république.


La Main de la Force
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Bonsoir Joao,

Description plutôt immersive de l'univers militaire. Pour pouvoir valider ta fiche, j'ai besoin de quelques légères modifications.

La première concerne la mention de nombreux crimes de guerre commis par des soldats républicains sous la houlette de Joao. Si le manichéisme est effectivement un concept subjectif, l'armée républicaine reste l'une des plus irréprochables de la galaxie, surtout à une époque où les Jedi étaient présents dans son sillage comme des observateurs silencieux. Si Joao a ordonné et commis des exactions, ce qui est plausible sur un long déploiement, il faudrait diminuer leur régularité et expliquer pourquoi ces actes n'ont pas été signalé.

Il est ensuite fait mention que Joao n'est pas rentré chez lui pendant vingt ans. La durée de ce déploiement est ici assez extrême. La République n'a pas été en guerre continue sur une aussi longue période au cours des dernières décennies, et il n'est pas dans ses valeurs de mobiliser des soldats aussi longtemps. Même les soldats d'Alexandre le Grand ne sont pas partis à la guerre aussi longtemps sans revenir au foyer:)

Joao Orama a écrit:Les médias opposés à Elyanna avaient longuement tenté de la couler en parlant de son mari, de son rôle grandissant dans la guerre, lui attribuant même la décision de la prolonger en refusant les négociations de paix entre la République et l’Empire.

Cela conférerait un rôle de premier plan à Joao. Il aurait pu refuser seul une décision qui importe au chancelier, à ses ministres et au Sénat. Il faudrait donc être plus modéré sur ce point. Les actions de Joao ont pu pénaliser la République dans sa campagne diplomatique, mais ici encore, si l'Empire Sith est au courant de ces faits, il y aura à minima une enquête côté républicain. Il faudrait donc expliquer pourquoi Joao est en roue libre, même en ayant quitté l'armée, au lieu d'être devant un tribunal.
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Bonsoir La main de la force !

La première concerne la mention de nombreux crimes de guerre commis par des soldats républicains sous la houlette de Joao. Si le manichéisme est effectivement un concept subjectif, l'armée républicaine reste l'une des plus irréprochables de la galaxie, surtout à une époque où les Jedi étaient présents dans son sillage comme des observateurs silencieux. Si Joao a ordonné et commis des exactions, ce qui est plausible sur un long déploiement, il faudrait diminuer leur régularité et expliquer pourquoi ces actes n'ont pas été signalé.

J'ai modifié la partie qui parle de tout ça, n'hésite pas à me dire si ce n'est pas suffisant. Je ne voulais pas donner l'impression qu'il en faisait souvent, mais plutôt que sa vision des choses avait changé avec le temps et que des actes en dehors des clous lui paraissaient maintenant acceptable. Je peux rajouter un paragraphe sur un ou deux passages devant le tribunal de guerre si nécessaire !

Il est ensuite fait mention que Joao n'est pas rentré chez lui pendant vingt ans. La durée de ce déploiement est ici assez extrême. La République n'a pas été en guerre continue sur une aussi longue période au cours des dernières décennies, et il n'est pas dans ses valeurs de mobiliser des soldats aussi longtemps. Même les soldats d'Alexandre le Grand ne sont pas partis à la guerre aussi longtemps sans revenir au foyer:)

Pour la durée de service de 20 ans, c'est modifié aussi en précisant que c'est un choix personnel. Cette décision aggrave encore plus sa responsabilité dans la mort de sa fille et ça n'est pas pour me déplaire !

Cela conférerait un rôle de premier plan à Joao. Il aurait pu refuser seul une décision qui importe au chancelier, à ses ministres et au Sénat. Il faudrait donc être plus modéré sur ce point. Les actions de Joao ont pu pénaliser la République dans sa campagne diplomatique, mais ici encore, si l'Empire Sith est au courant de ces faits, il y aura à minima une enquête côté républicain. Il faudrait donc expliquer pourquoi Joao est en roue libre, même en ayant quitté l'armée, au lieu d'être devant un tribunal.

Pour les médias, cette partie devait être mal tournée, j'espère que ça sera plus compréhensible maintenant.

L'idée de base était de faire un parallèle avec les médias de notre monde, qui partent d'un fait insignifiant et le montent en épingle pour en faire une montagne. Joao n'a jamais eu autant d'influence et n'a jamais chercher à en avoir autant. Ce n'est pas un homme de pouvoir, en tout cas, pas dans ce genre d'utilisation du pouvoir. Ici, ils cherchent juste à utiliser le fait que c'est un grader de l'armée républicaine pour salir la réputation et les efforts d'Elyanna.

De plus, cela ne concerne que la sphère politico-médiatique d'aldeeran. Je peux faire erreur, je ne pense pas que ça puisse rejaillir sur le reste des institutions républicaines ? J'espère que la nouvelle formulation est plus compréhensible. N'hésite pas à me dire si ce n'est toujours pas le cas, je trouverai une autre idée pour montrer que Joa a pourri la vie de sa femme même à plusieurs années lumières de distance !

Je te souhaite une bonne journée/soirée/nuit/sapristi !
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Bonsoir Joao,

D'accord pour les clarifications. Cela dit, si Joao a été opérationnel sur une période aussi longue (avec la répercussion psychologique que ça impliquera sur lui, je pense que tu en es conscient), il faudrait préciser comment il a échappé à un jugement à son retour, voir même pendant cette période. A moins que ce jugement ait eu lieu, et à ce moment, comment s'en est-il tiré ? Son épouse a t-elle été d'un recours ? L'administration l'a t-elle couvert pour ses services rendus à la République ? Le croit-on mort ?

Sur vingt années de guerre, plusieurs bavures ont probablement été découvertes et rendues publiques par la presse, d'autant que comme tu l'as écrit, il est très critiqué sur Alderaan où on lui prête une réputation de va-t'en-guerre.

Ce petit ajout fait, je pourrais te valider.
Joao Orama
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Bonsoir,

J'ai édité ma fiche. Si cela te convient, mon premier RP sera solo pour détailler le tribunal. Je n'ai pas trouvé de moyen pour résumer les choses au même format que l'histoire. Un rp détaillé conviendra beaucoup mieux à tout ce qu'il faut raconter !

On pourrait même imaginer un système de vote ? Les joueurs du forum ou l'administration votant après la défense de Joao pour déterminer s'il est coupable ou non ?

A toi de me dire !
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Une simple explication m'aurait suffi en quelques mots, mais tu peux préciser cet épisode dans un RP si tu le préfères.

Le staff est trop occupé pour gérer des cas particuliers pour le moment, mais tu peux t'aider de la session Table à RP pour trouver un(e) partenaire, ou bien le faire en solo selon ta préférence.

Je te le laisse choisir.
Joao Orama
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Je me lancerai dans un RP solo, ça me permettra d'avoir une introduction un peu plus poussé et de me remettre dans le bain du RP !
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Tu es donc validé.

Bienvenue sur les Survivants de la Force Wink
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