Kolin Valkizath
Kolin Valkizath
Messages : 376
Eclats Kyber : 5
Kolin Valkizath
Le bras droit
identité
Faction : Indépendant
Poste Vacant : Oui
Nom et Prénom : Kolin Valkizath  / Koval
Année de naissance : 3468 ABY
Lieu de naissance : Coruscant
Espèce : humain
Notoriété : ancien Jedi puis ancien Sith, Kolin peut être reconnu par certains membres des deux factions mais ne possède aucune autre notoriété. Il est connu dans l’espace Hutt pour être le bras armé du seigneur du crime  
Rôle/Métier : Bras droit du Seigneur du Crime


Description
Kolin est un homme frappé du sceau de l’anathème depuis sa naissance dans les bas-fonds pourris de Corsucant. Forgé tour à tour par la misère de son enfance puis par le combat et la guerre qu’il embrassa pour la première fois à ses douze ans, enfin, par l’abandon, la trahison, le rapt, la torture et l’exil forcé, le Coruscanti s’est retranché derrière une armure de glace quasi impénétrable à toute forme de sentiment humain.

Par nature manipulable, candide et entier Kolin n’a jamais pardonné à son ancien Maître Jedi de l’avoir abandonné aux mains des Sith et voue aux Jedi une rancune tenace. Il méprise également les Sith pour avoir été leur prisonnier puis leur recrue jusqu’à la guerre civile durant laquelle il déserta. Autrefois assoiffé de justice, défendant un idéal de droiture et d’intégrité, rêvant d’une galaxie plus juste avec les petits et les faibles, l’homme s’est aujourd’hui muré dans un nihilisme assez déroutant pour ceux l’ayant connu dans son ancienne vie.  

S’il n’est pas sadique ou cruel, il n’hésite plus à recourir à cette violence, longtemps haïe de lui qu’il utilise désormais pour ses propres intérêts. Kolin est un homme aux multiples facettes, ambivalentes mais néanmoins absolument complémentaires. Son côté pile évoque un homme farouche, indomptable, animal et bestial dont l’inextinguible soif de violence ne trouvent de limites que dans le sang répandu de ses adversaires et à la vision de l’amoncèlement de cadavres fumants laissés dans son sillage. Pourtant, le Coruscanti n’est que rarement aveuglé par la haine l’homme est lucide, rusé, sachant où frapper, comment frapper, quand frapper et avec quoi frapper.

Son côté face lui, laisse place à un jeune homme amer, ivre de ses souvenirs passés chez les Jedis. Ne passant pas un jour sans regretter le terrible destin, les mauvais choix et son manque de courage. Cette époque, il s’en rappelle comme de celle la plus heureuse de sa vie et la plus utile pour le bien commun. S’il ne croit plus en sa rédemption, il caresse faiblement l’espoir qu’un autre chemin est toujours possible.

Compétiteur acharné au sein du clan, il autant respecté que craint. C’est un homme totalement sûr de lui et de ses capacités dont il vaut mieux ne pas tenter d’éprouver l’endurance ou la patience.  Kolin est un guerrier au sens le plus béstial du terme toujours aussi frondeur sur lequel la peur ne semble pas avoir d’emprise. Tout ce qui est impossible lui apparaît comme un défi à relever, aucune épreuve n’est trop difficile pour lui. Aucune tâche n’est trop dangereuse.

« QUALITES» Courageux, rusé, pragmatique, résilient, débrouillard .
« DEFAUTS » Borné, manipulable, frondeur, présomptueux, rêveur


caractéristiques
Intellect :  
Kolin n’a jamais brillé par ses compétences intellectuelles. Il fût plutôt mauvais élève en général au Temple et à l’école et ne possède aucune autre expertise que celle de l’entregent des milieux de la rue. Il est hermétique à toute connaissance politique ou géopolitique mais  possède une vraie intelligence de l’action.
Attitude : Kolin a tous les attributs d’un mauvais garçon ce qui peut l’aider à séduire bien que ce ne soit que rarement le but recherché.  
Aptitudes Bretteur de talent notamment sur les formes Ataru et Makashi.
Bonnes compétences en pilotage de petits vaisseaux (notamment chasseurs).
Agilité hors pair et capacités de dissimulation avancées.
Sagesse : Formé à la fois au côté lumineux et aux côtés obscurs de la Force de par sa double allégeance, Kolin possède une approche très agnostique de la Force lui permettant de tirer le meilleur des deux. Son utilisation de la Force reste majoritairement tournée vers le combat et l’agression.
Utilisation avancée du bouclier, de la vague de Force, de la télékinésie et de l’étranglement de Force.


biographie


Histoire pré-Enfants de la Force

Kolin vit le jour dans la pénombre d’un taudis quelque part dans les souterrains crasseux du sud de Coruscant et plus précisément dans le quartier de la Cour des Miraculeux. Au plus-près des sous-sols, dans une odeur pestilentielle de décharge géante, de miraculeuse, cette cour n’en avait que le nom. Capitale des laissés pour compte et de la pire faune, la cour des Miraculeux semblait coupée du reste de la ville planète, loin du soleil, peuplée de la pire racaille galactique, n’existant qu’aux yeux de ceux qui avaient la malchance de la hanter. C’est dans dans cet univers clos  et dans la plus grande pauvreté que Kolin fit ses premiers pas. Ne passant naturellement pas le test qui aurait pu l’identifier comme sensible à la Force.

Azol, son père avait jadis été soldat de la République et il aimait montrer à qui voulait bien les voir ses prétendues décorations militaires. Robuste et violent, personne n’avait jamais osé lui dire que ce n’était que du vent et qu’il n’avait rien d’un héros, bien au contraire. Éphore la lumineuse maman du petit garçon travaillait de nuit comme serveuse à la cantina du Joyau Cristallin. Les yeux d’enfants de Kolin lui pardonnaient tout : sa distance, sa sévérité, la haine qui parfois enveloppait ses traits sans raison apparente.

Son éducation de petit garçon fut celle de tant d’autres dans la Cour des Miraculeux, livré à lui-même dans les souterrains ou au dernier rang d’une école dans les quartiers communs, fuyant au maximum la promiscuité d’une maison trop petite et d’un père trop ivre, trop désœuvré. Il mangeait presque tous les jours à sa faim et ne manquait de pas grand-chose et même si il n’avait pas le confort de beaucoup de ses petits camarades, il n’avait jamais été malheureux pour autant, simplement un peu jaloux. Il en fallait plus pour venir à bout de la détermination des «miraculés ».

À la maison, Azol régnait d’une main de maître et lorsqu’il rentrait en titubant complétement plein après s’être fait jeter de la cantina personne n’osait bouger, les claques et les coups pleuvaient sur la tête de la fratrie comme les cadeaux pleuvaient sur les gosses du District Financier. Sa mère, elle, était la première à en faire les frais. C’était un climat atroce pour la jeune femme, un climat qui ne pourrait pas durer, mais ça, Kolin ne le comprit que bien trop tard.

Le premier lundi de chaque mois était le jour des aides si généreusement offertes par le Gouvernement Galactique pour que les honnêtes gens des souterrains puissent continuer à nourrir leur progéniture bruyante. Toute la cour était en ébullition et Kolin courrait dans ses galoches trop grandes pour lui pour aller prévenir sa mère qui galopait à son tour pour récupérer les crédits avant son soulard de mari ne prenne tout. Elle partait régler les différentes ardoises de son père puis achetait un repas de fête pour toute la fratrie. Vivre au jour le jour dans la satisfaction éphémère de ces petits plaisirs, c’est ce qui manquait encore le plus à Kolin aujourd’hui.
Le temps passait inexorablement dans la cour des miracles, Joris, le grand frère de Kolin venait de prendre le large, enrôlé dans l’armée. Ça n’avait jamais été sa vocation, mais quitter la Cour des Miraculeux était encore ce qui pouvait lui arriver de mieux.

C’est à ce moment-là que les choses basculèrent.

Il n’y avait plus personne pour retenir le dément Azol qui à mesure que le temps passait semblait de plus en plus défoncé chaque jour. Un soir, il menaça la mère de Kolin d’un blaster. Elle avait refusée un énième caprice alléguant qu’il fallait bien payer les visites aux droïdes médicaux pour Agnar et Mikko les deux petits frères de la famille âgés de 3 ans à peine qui avaient toujours eu la santé fragile. L’accident mortel ne fut empêché que grâce à

Kolin qui appela les voisins qui vinrent empêcher le pire sous les yeux remplis de larmes et de colère du petit être frappé de plein fouet par la folie et la bêtise des hommes.

La cour était ainsi faîte, si elle était un lieu de désolation pour ceux qui ne l’habitaient pas, elle était une bouée de secours pour ses habitants. Compagnons d’infortunes qui partageaient le peu qu’ils avaient. Cela allait de quelques bonbons jusqu’à la découverte du cadavre d’un dealer de bâtons de la mort qui avait eu le malheur de frapper un des gosses de la Cour.

Ce fut la dernière fois qu’il vit son père qui disparut peu après et ne revint jamais.
Éphore s’était toujours à peu près correctement occupé de Kolin et de ses frères. Son faible salaire et les aides étaient insuffisants pour nourrir les ventres affamés de quatre personnes mais c’était déjà bien, mieux que rien tout au plus. Kolin avait parfois droit à une lettre de son frère qui lui parlait de l’armée. Du sens civique, de l’importance de défendre ses valeurs, de conserver son intégrité envers et contre tout. Que la peur changeait les hommes en esclave. Que la peur était mauvaise conseillère car elles nous faisaient oublier qui nous étions. Et tout ce pourquoi nous nous battions. Il l’incitait également à prendre soin de la famille, que c’était à présent lui l’homme de la maison. Ces lettres donnaient au petit garçon alors âgé de neuf ans du baume au cœur. Joris avait toujours été un modèle pour son petit frère

Kolin devint un dompteur des souterrains, dans son élément au milieu des petits trafics et de la violence quotidienne. Trouver quelques crédits n’était pas très difficile dans la Cour lorsqu’on n’était pas très regardant sur la légalité ou la propreté des tâches à effectuer. Il apportait sa petite pierre à l’édifice de ce qui restait de son unité familiale pour tâcher de rendre le sort des siens un peu moins désagréable. De petites combines en petites combines, le gosse devint vite un petit protégé dans la cour des Miraculeux. Ce n’était jamais méchant mais Éphore voyait d’un très mauvais œil le chemin que prenait son fils qui commençait un peu trop à ressembler à son père à son âge et qui séchait l’école pour aller parier avec les gangs lors des joutes sur les puits d’ordures.

À ses douze ans, il décida - fortement encouragé/influencé par les membres d’un gang miteux - de participer à un défi sur les puits d’ordures. Le challenge était simple : récupérer sur un cadavre en décomposition une dent d’un ver de sables (utilisés sur Coruscant pour avaler les déchets ne passant pas dans les rayons tracteurs) en évitant les canons destructeurs de déchets et les morsures de autres vers. À la clé de ce stupide et insensé défi : 10 000 crédits. Le garçon qui s’imagina tout ce qu’il pourrait offrir à sa mère et à ses frères : l’assurance d’une vie meilleure et d’un avenir plus radieux pour tout le monde. Il accepta ne sachant pas qu’il était quasiment impossible même pour un athlète de faire la moitié du chemin.

Galvanisé par les hurlements stridents des membres du gang et les coups de batteries lasers, Kolin se lança en courant prêt à parcourir les cinq cents mètres le séparant du cadavre encore chaud. Totalement grisé par l’adrénaline, il avançait à bon pas évitant les coups de canons. Le sol s’ouvrit soudainement sous ses jambes le faisant tomber à la renverse dans un tas de déchets alors qu’un immense vers de sables se rua vers lui mâchoire béante en avant. Porté par un réflexe presque surhumain, le gamin se releva à la vitesse de l’éclair évitant l’attaque et se mit à courir comme un dératé. Il évita les attaques répétées du ver des sables et d’un de ses congénères qui s’était invité à la fête. Les deux organismes le suivant avec férocité. Le petit semblait avoir des yeux dans le dos.

L’objectif se rapprochait à vive allure. Concentré sur sa cible, Kolin n’entendit pas le bruit d’un des canons pivotant sur son support. Il y a eu un éclair et une forte explosion.
Lorsqu’il rouvrit les yeux, Kolin retrouva la vision familière de la main de sa mère qui s’abattit avec force sur sa joue. Il poussa un cri strient et tourna la tête pour apercevoir un vieil homme en bure. Un vieil homme qui lui avait sauvé la vie lui évitant de finir désintégrer.
De passage dans l’antichambre des enfers de Corsucant, le vieux Maître Jedi, sabre à la ceinture qui lui faisait face lui expliqua à lui et à sa mère qu’il possédait des dons, des dons qu’il avait repéré en le voyant s’extirper des griffes des vers des sables, des dons qu’il devait faire grandir dans une sorte de temple pour servir la justice.

Kolin n’eut pas vraiment son mot à dire. Sa mère trop contente d’avoir une bouche en moins à nourrir et ayant l’assurance que son rejeton ne finirait pas dans en prison. Elle donna carte blanche au vieil homme pour emmener le fruit de ses entrailles. Force de persuasion, le Maître Jedi expliqua à Kolin qu’il pourrait plus tard revenir voir ses frères et que c’était une chance pour lui et pour sa famille.  Suffisamment influençable Kolin partit avec l’homme. Jurant à ses frères qu’il serait toujours là pour eux et que dès que sa formation serait terminée, il reviendrait les tirer des bas-fonds et leur offrirait un avenir meilleur, un avenir que leur saleté de père n’avait jamais pu leur offrir.

Histoire pendant les enfants de la Force

L’adaptation à la vie du temple Jedi et au statut de padawan ne se fit pas sans heurt pour Kolin en total décalage avec l’univers policé et drapé de sagesse du monde Jedi. Farouche, agressif et violent, il brille bien plus les punitions qu’il recevaient que par sa grande maîtrise des arts Jedis.

Le garçon des souterrains était un écorché, trop sale pour cet univers trop propre, trop animal pour enlacer les doctrines de l’Ordre. Pourtant, Kolin se combat et donna le meilleur de lui-même pour se corriger malgré les obstacles, le terrible manque de son ancienne vie et l’absence de ses frères. Des rencontres aussi surprenantes qu’inattendues contribuèrent à apaiser ses tourments.

Kolin fit la rencontre suite à une punition donnée par un professeur du Chevalier Lyrae O’Sil qui deviendra son Maître et sa figure paternelle. Sous la houlette du Coruscanti, seul Jedi assez fou pour le considérer autrement que comme une quantité négligeable, Kolin progressa. Peu à peu, mais encore et encore. Porté par le désir de devenir comme son mentor, mû par la soif inextinguible de devenir un grand Jedi et de rendre la galaxie meilleure qu'elle ne l'était.

Ceux qui s'aventuraient à dompter le mauvais caractère du garçon savaient que derrière la crinière sauvage du sale gosse indomptable se cachait un cœur blessé et un sens du sacrifice aigu. Kolin n’était pas le meilleur, ni lui, ni son Maître mais, à eux deux, ils pouvaient renverser la galaxie

Toutes les longues années au Temple Jedi eurent pour dénominateur commun le combat la bataille, malgré son jeune âge, le padawan fut propulsé de théâtre d’opération en théâtre d’opération. Kolin y voua son existence, s’impliquant dans l’idéal Jedi, tentant de sauver de qui pouvait l’être, consommant à envie l’horreur de la guerre sans jamais vraiment en apprécier l’amer goût.

Les choses basculèrent sur Lordd durant une attaque de l’Empire où Kolin fut missionné pour secourir une cohorte de civils refugiés dans un bunker souterrain pour échapper aux bombardements de gaz toxiques impériaux. La mission fut un cuisant échec : peu après avoir réussi à sortir du bunker marchant sur les cadavres encore tièdes des civils innocents, il combattit celui qui allait devenir son nouveau Maître ; Lloyd Hope qui le domina et le fit prisonnier.

Kolin passa plusieurs mois dans les geôles impériales, farouchement opposé à toute forme de désertion, il finit par courber l’échine et devint l’apprenti de son ravisseur, noyant sa colère et sa rancœur dans le côté obscur. Ne rêvant que de se venger de ceux qui l’avaient abandonné, hurlant à la mort sa rancune contre Lyrae, ce deuxième père qui, lui aussi, l’avait abandonné. L’ancien padawan embrassa complétement le culte impérial et fut un apprenti remarqué par ses qualités de combattants. Pas complétement dévoué au culte obscur. Toujours tiraillé dans ses allégeances, Kolin se montra un soldat efficace, fidèle à son Maître et à sa nouvelle haine contre les Jedis.

Histoire  post Enfants de la Force

Il passa plusieurs années à l’Académie Sith et se montra un apprenti particulièrement efficace. C’est dans le sang du combat qu’il passa guerrier Sith peu avant la prise de contrôle de l’Empire par son Maître. Sa première mission sous ce nouveau statut fut pour lui une épreuve terrible, mettant à genoux son allégeance.
Brûler un centre de réfugiés en s’arrangeant pour faire accuser la République. Kolin ne put mettre le plan à exécution, les visages endormis des hommes, femmes et enfants déclassés et exilés lui étaient insupportables, qu’aurait pensé son frère ? Ses amis ? Non Kolin ne pouvait se résoudre à tuer des innocents. Si l'ancien Jedi n'avait jamais sourcillé à mettre à mort un ennemi, assassiner froidement des enfants innocents qui auraient pu être ses frères à l'époque de la  Cour des miraculeux lui étaient insupportables. Le côté obscur ne lui avait pas encore tout pris.

Il décida de quitter en secret l’Empire et l’Académie. En bon déserteur, il alla se réfugier dans l’Espace Sith où quelques connaissances issues de ses missions l’aidèrent à s’installer et à trouver un boulot. Quoi de plus simple pour un ancien Jedi et un ancien Sith que d’être l’homme de main d’un petit baron du crime local. Le job était simple : intimider les mauvais payeurs – qui eux n’étaient pas des innocents -, casser quelques doigts, trancher un membre au sabre laser. Le Coruscanti se montra particulièrement à l’aise dans l’exercice. Particulièrement adroit, il grimpa dans la hiérarchie pour devenir le bras droit de son patron. Comme à l'accoutumé, Kolin se trouva particulièrement bien intégré dans un écosystème qui lui rappelait tant celui de son enfance. Il possédait les codes de cet univers, les codes et un sabre laser déjà usé par la barbarie du monde.

Trois ans plus tard à la faveur du rapprochement de son patron avec le groupe de l’Echange. Kolin eut une promotion.  Son ancien statut de Jedi puis de Sith et son efficacité dans le monde du crime n’étaient pas passé inaperçu. Kolin gravit rapidement les échelons de cette organisation du crime. La mise en lumière de la loyauté discutable de son ancien patron lui qui se solda pas un froid assassinat lui valu la promotion de bras droit du Seigneur du Crime.

Un seigneur du crime dont les ambitions démesurées dans la République et l'Empire nécessitait les compétences d'un Kolin Valkizath au sommet de sa forme.




Kolin Valkizath
Kolin Valkizath
Messages : 376
Eclats Kyber : 5
Hello cher staff,

Que plaisir de revoir ce forum !

Ma fiche est finalisée, je la laisse à votre lecture !
La bise
La Force
La Force
Messages : 186
Eclats Kyber : 100017
Cher Kolin,

Quelle nostalgie de lire cette histoire. La solitude amère d'un Kolin adulte est saisissante.

Tout est correct. La fiche est validée. Si besoin tu peux demander des RP ici : https://youngjedi.keuf.net/f21-table-des-rp
Mais je crois que tu vas assez vite recevoir des MP de toutes façons !

Bienvenue parmi les Survivants et bon jeu à toi.
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