Invité
Anonymous
Par de là bien des créations des hommes, des Zabrak ou de l'union et utopie partagée par les trois races, avaient demeurées bien des terres à exploiter, des terres qui se développèrent pour devenir au fil du temps, de grandes et majestueuses citées, havre de paix pour l'apparition de nombreux trafiques en tous genres, de prostitution et nombreux autres créations aussi amorales qui pouvait s'y apparenter. Plusieurs âmes passaient, repassaient sans véritablement finir par discuter entre elle, ce lieu étant de venu trop impersonnel et où, chacun osait le penser, de nouvelles notions manquaient, celle qui permettrait une vie plus appréciables. En regardant parmi la population, un homme âgé de plusieurs trentaines d'années marchait, passait au fil de la population. Son visage pourtant ne délaissait pas la moindre trace de vieillesse, se dévoilant sous un jour de jeunesse, un jour de clairvoyance, d'apaisement pour tout un chacun.

Cet individu au regard bleu sous cette enveloppe qu'il diffusait pour les autres parvenait sans le moindre doute à dissimuler sa véritable nature ardente, aussi agressive que ne l'auraient été toute la violence des volcans de cet univers mesquin et où l'ordre cherchait, dans une misère on ne peut plus compromettante, à se faire une place parmi le chaos. Illusion de lumières au sein des ombres... Cette situation, quoi qu'encore trop peu décidée à cette heure, avait pour responsable le groupe obscure, celui des siths qui, au travers de la force, étaient parvenus à dominer peu à peu l'assemblée ici présente. C'était l'un d'entre eux qui figuraient dans ce corps, l'un d'entre eux qui arpentait la foule, laissant au hasard flâner sa rêverie. Le pensait-on tout du moins ? Un vaste empli de souvenirs qui se diffusaient en lui, un vaste monde de pensés ténébreuses qui rentraient en lui pour ne jamais en ressortir. Sa présence ici même n'avait pour autre but que d'assouvir ses envies naturelles, ses envies de souffrance pour une âme à torturer jusqu'en une mortelle agonie.

Les cibles fleurissaient en ces lieux comme rien ne pouvait être permis, toutes aussi lunatiques, toutes aussi naïve de ce qu'il ressentait à leur aura. La sienne se dissimulait à merveille du monde extérieur, elle ne s'évadait nullement, comme si nulle présence ne pouvait se trouver là. Un travail titanesque qui finissait enfin par porter ses fruits. Il n'y avait sans doute pas nombreux individus capables de lire son âme, encore moins dans la ruelle qu'il franchissait pour s'installer dans une taverne, bondée de monde, qu'il avait eut l'habitude de fréquenter. C'était au fil des jours qu'une légende noire avait commencée à planer, exprimant ainsi quelques risques qui frappaient certaines jeunes femmes qui pénétraient ce lieu, n'y revenant jamais, n'étant jamais revenu chez elle, n'étant jamais revenu nul part. Au fond de lui, Ozrim avait la réponse tant d'interrogations, il fallait dire qu'à ses yeux, rares étaient ceux qui revenaient de la mort. Il y avait certes cette âme qui l'avait traquée, celle de son maitre mais là n'était qu'exception.

Une serveuse arriva vers cet homme vêtu d'une toge bleu nuit, portant à son ceinturon deux formes métalliques, appelées sous le nom de "sabre laser". Tout était rempli, seule sa table comportait encore une dernière place. Dans ce monde et brouhaha, on ne trouvait que lui sans femme à son bras :

- Ce sera une surprise des étoiles m'dame...

Un cocktail un peu fort mais agréable pour se laisser un peu aller.
Invité
Anonymous
[[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]]

Coruscant. Planète monde, appelée aussi la Planète Joyaux de part sa luminosité intense provenante de la ville qui recouvrait entièrement cet astre, voile métallique, de duracier, ou autres matériaux s’étendant à l’infini sur les paysages uniquement urbains. Activité incessante en tout point de ce monde, tandis qu’au dessous, une véritable fourmilière œuvrait jour et nuit dans ce dédale de rues, d’avenues, de boulevards, quartiers. La vie individuelle n’avait ici en réalité que peu de sens, comparé aux milliards d’êtres, venus de tous les horizons, qui vous entouraient. Lieu d’abandon, de perdition pour certains, début d’une nouvelle ou promesse de gloire pour d’autres, cette planète était peu apprécier de la Jedi, qui, plus que tout, détestait la foule. Et l’on peut dire qu’en ce monde, la pauvre Twi’lek était servit. A bord de la navette qui l’a conduisait à l’astroport le plus proche, Alema se trouvant en mission officieuse pour l’Ordre Jedi, la jeune fille contemplait avec dégout, angoisse, appréhension l’immensité de la ville qui se trouvait juste au dessous, tandis que déjà, à travers les plus hauts nuages dans l’atmosphères, la cime des plus grands immeubles dépassaient fièrement, se dressant avec arrogance vers l’espace infini…

"En approche de l’astroport"

Une voix robotique, inhumaine, froide et routinière, cette même voix qui avait cassé les oreilles, enfin les cônes de la Twi’lek durant tout le trajet depuis Ondéron, se fit de nouveau entendre, et pour la dernière fois du voyage l’espérait bien Alema. A côté d’elle, assit confortablement, un vieux Zabrak, pensif, qui n’a pas dit un mot de tout le déplacement. Il était bien rare de pouvoir observer un individu aussi longtemps silencieux dans ce genre de transport peu cher, où se côtoyaient voyageurs infortunés, fuyards, exilés ou pires encore. Quoique, la jeune Chevalier Jedi n’avait pas beaucoup plus prise la parole que celui-ci, à eux deux, vu leurs visages fermés et laissant affichés leurs antipathie envers Coruscant, ils faisaient un excellent duo de purs râleurs. Enfin le transport entama sa descente, traversant avec aisance les couches supérieures de l’atmosphère, pour s’aligner dans le couloir qui lui était assigné par la tour de contrôle, en direction de son débarcadère, technique largement huilée qui n’avait plus rien à prouver en matière d’efficacité. Puis, le cargo toucha le sol, et déjà, le sas s’ouvrait sur l’air libre, les premiers voyageurs s’afférant à descendre le plus rapidement possible…

Après avoir quittée calmement l’astroport, et avant même de se mettre en route pour sa mission, Alema se dirigea au hasard de ses pas, dans un quartier, bien sombre d’apparence, se laissant totalement guidée par un instinct qui lui était fidèle et dévoué, pour se retrouver proche d’un bar. Au dehors, des dealeurs, criminels qui ne semblaient guères soucis de se dissimuler aux yeux des passants. Avec sa silhouette gracieuse et agréable, la jeune Twi’lek suscitait en cet endroit un certains intérêt, et déjà, beaucoup de paires d’yeux la contemplaient avec insistance, sans troubler toutefois la Jedi. Soudain, sans crier gare, un homme, un humain, à l’aspect des plus repoussants qu’il soit, interpella la Twi’lek, la poussant contre le mur, tout en sortant un couteau grossier, haleine de plus écœurante parfumant l’air…


"Salut ma belle. C’est dangereux par ici. Tu aurais besoin de protection. Et ca te coutera 500crédits pour continuer sans obstacles ta route. Qu’en dis-tu ?"

S’appuyant contre le corps de la Jedi de manière des plus obscènes qu’il soit, Alema ne laissa transparaître aucunes réactions, se contentant de hausser les épaules simplement, alors que déjà, la Jedi faisait le vide en soi, se concentrant sur la suite à donner. Tendant la main d’un geste délicat et assuré, et elle fixa cet être immonde…

"Tu vas jeter cette lame…"

"Je vais jeter cette lame"

L’agresseur semblait être devenu un parfait pantin, comme hypnotisé, son regard vide pendu aux paroles de la Twi’lek, automate attendait ses instructions…

"Tu iras t’excuser à toutes les personnes dans cette rue"

"Je vais m’excuser à toutes les personnes dans cette rue"

"Le premier miséreux que tu verras, tu iras lui payer un bon repas chaud, et tu rentreras chez toi réfléchir à ta vie."

"Je vais payer un bon repas chaud au premier miséreux que je verrais, et je rentrerais chez moi réfléchir à ma vie."

"Maintenant, va"

L’inconnu fit demi tour, et s’en alla paisiblement, tandis que la Twi’lek entrait dans le bar, donnant un léger coup d’œil à l’ensemble de la salle. Heure de forte influence, ou tout simplement réputation du lieu, toujours est il que l’endroit était bien remplit, et les places se faisaient rares. La Jedi, habillée de sa tenue favorite en cuir synthétique, avec par-dessus une sorte de poncho de laine beige, muni d’une grande capuche, se dirigea en esquivant quelques consommateurs ayant trop consommés justement, pour rejoindre la seule place vide en vue, aux côtés d’un autre homme tout aussi mystérieux. Inclinant la tête d’un geste rapide pour le saluer, elle prise place sur le tabouret, tandis que le barman prenait encore la commande de ce voisin énigmatique. Tout souriant devant une demoiselle d’une telle beauté, car, n’oublions pas que les femmes Twi’leks étaient toujours autant apprécier dans la galaxie, le barman se tourna naturellement vers elle…

"Et vous Mademoiselle, vous prendrez quoi ?"

"Huum… La même chose que monsieur."

"C’est partit alors"


Se retournante sur son tabouret, la Chevalier Jedi en mission contempla alors la salle, son regard évoluant au fil des visages croisés, comme pour surveiller ses arrières, tout en attendant sa consommation, tandis que le temps semblait défiler toujours de la même sorte en ce genre d’endroit…
Invité
Anonymous
Toujours en traque, le seigneur noir n'avait pas cessé de regarder qui l'entourait, quel pourrait-être celle qui quitterait ce soir ce bar pour ne pas y remettre les pieds lors d'un jour futur. Il se laissait porter, aller au fil des odeurs d'alcool subtiles et ennivrantes qui pénétraient ses entrailles, l'alcool finissant par l'apaiser légèrement dans sa fougue. Étrange pour beaucoup mais si commun à ses yeux, l'état d'ébriété ne l'indisposait à aucune folie dévastatrice, préférant se vouer corps et âme au culte de la rage. C'était une après midi comparable aux habituelles, les clients entrant et sortant au fil des minutes qui s'écoulaient puis une qui attira profondément son regard. Il ne s'agissait là nullement de sa beauté mais bien plus de sa clairvoyance et de l'aura bénéfique qui l'entourait, l'accompagnait. La Force s'orientait en elle, brillait et illuminait la jedi. Nul autre doute sur ce point, elle était ni plus ni moins que possédée et attisée par les caprices du conseil. De la crédulité ? Non ressentie, pas encore tout du moins bien que la simple appartenance à l'entité qui combattait pour l'"Ordre" devait forcément entrainer une vision très restreinte de l'univers.

Ce fut dans un hasard opportun qu'elle se dirigea à sa table pour se poser à son tour, Ozrim répondant d'un signe de tête reposé et elle s'exprimant à la serveuse d'une voix aussi gracieuse que le laissait suggérer son corps :


- Huum… La même chose que monsieur.

Il attendit patiemment, contenant toujours au fond de lui cette part négative qui l'aurait trahit. Un entrainement de dissimulation s'était étalé sur plusieurs décennies, restait aujourd'hui à le rentabiliser au travers d'un contact. Cette appartenance et concentration quoi qu'omniprésentes ne diminuait nullement ses capacités de lire en elle, de chercher tout du moins. Puis enfin, il dévia totalement son regard vers elle, son visage remodelé par la Force se dévoilant sous l'apparence d'un homme d'une vingtaine d'hivers, ne rejetant pas le moindre signe négatif ou même positif. Détendu, calme, il confondit leur regard :

- Étrange pour une femme de se balader seule ici même... Pour peu qu'elle n'appartienne pas au corps jedi.

Sa voix elle aussi avait changé, plus calme, plus douce comme si un tout autre être en était venu à parler à sa place, non gêné par celle qu'elle incarnait. Ses prunelles ne la quittaient pas, contemplaient son visage... Banal pour une Twi’lek ! Moins pour un sith. Désormais ne comptaient plus les mœurs imposées, les limites qu'il avait cherché à créer, seule cette envie, cette recherche comme il eut dans le tombeau de Freedon Nadd. Zian projeta son esprit un peu plus loin, trouvant cette jeune femme menue déposer les breuvages sur la table et recevoir son dût, payée gaiement par le Dark Lord, pour les deux verres apportés. Il saisit son verre, l'apporta à ses lèvres puis senti le liquide s'écouler en lui, le consumer lentement... Retournant à son adresse, il continua ce pseudo-interrogatoire :


- Alors, sur quelle affaire êtes-vous, je suppose que vous n'avez pas quitté Ondéron pour vous mêler à cette ambiance alcoolique de dépravées... Cela dit en passant, de qui se compose le conseil à ce jour ?... Oh ! Toutes mes excuses, je ne me suis pas présenté, Selphi Hirolvos pour vous servir.

Ses pupilles s'élargirent au fil de ses mots, ne quittant toujours pas les siennes. Pour un projet futur, l'homme espérait recueillir certaines informations sur le temps, de l'intérieur si cela lui était possible. Ce numéro qui s'organisait peu à peu, se jouer par un acteur ne se croyant pas trop mauvais, quoi que bien plus par les effets spéciaux qui se produisaient face à la foule endiablée qui ne se composait ici même que d'une personne finirait, espérait-il, par aboutir sur les effets recherchés. Il lui restait certes bien du chemin à parcourir mais ce serait alors chose aisément faite. Sa main droite glissa légèrement sur son flanc pour atteindre l'un des sabres qui se tenaient à son ceinturon, le regard paisible, le geste effectué machinalement.
Invité
Anonymous
Alema n’eut pas le temps de déguster son verre, qu’elle venait de se voir servir que, déjà, son voisin, si mystérieusement habillé, s’adressa à elle, lui posant toutes sortes de questions, prétendants avec une certaine arrogance, qu’elle était une Jedi en mission. Aussi, le ton et la manière de cet être bloqua instantanément la Twi’lek, qui, arqua le haut de son œil droit, stupéfait de l’audace de ce parfait inconnu, reposant son verre pour se tourner plus sincèrement vers lui…

"Je vous demande pardon ? On se connaît ? Non parce que moi pas. Il est étrange en ce monde qu’un homme vous, aborde de la sorte une demoiselle, et insinue toute une vie à celle-ci, sans même la connaître…"

Sur ses premières paroles échangées, la Chevalier Jedi se rebascula face au comptoir, pour boire tranquillement une gorgée dans son verre, puis une autre, affichant un air faussement vexé, sans prêter plus d’attention que cela à ce voisin bien trop curieux. Puis, tandis qu’il évoquait le Temple, une mission en cours, le Conseil, la Twi’lek se mise à rire fortement, faisant exprès de ce faire remarquer, comme pour mettre dans l’embarras cet homme, tandis que les autres consommateurs, proches d’eux, tendaient l’oreille pour entendre un brin de la conversation…

"Je vois, c’est là votre technique de drague. Monsieur fantasme sur les Jedis venus d’Ondéron. Mais dites moi, Monsieur agent secret ou curieux maladif, vous en voyez beaucoup vous, des Jedis, seul, qui viennent boire un verre dans ce trou à rat ?"

Aussitôt, Alema se tourna vers le barman, qui resta, interloqué…

"Sans vous offenser barman"

Le garçon derrière le bar ne sembla pas plus en tenir compte que cela, et retourna vaquer à ses occupations, tandis que la Twi’lek reprenait avec le mystérieux inconnu…

"Non mais sérieusement, mon cher, trouvez autre chose. C’est affligeant comme technique d’approche. Mais, puisque vous me semblez curieux de manière totalement malsaine et néfaste, je vais de suite briser votre fantasme. Non, je ne suis pas une Jedi, je n’ai pas de pouvoirs bizarres et loufoques, et non je ne viens pas d’Ondéron. Je ne suis pas en mission seule non plus, ou alors si ! Je suis en mission vous avez raison."

Le barman s’arrêta, et l’autre voisin de la Twi’lek cessa sa conversation en cours, se pencha pas si discrètement que cela, pour entendre les mots qu’allait prononcer Alema…

"Je suis venue ici… pour comparer cette infecte boisson qu’on nous sert, pour un autre bar concurrent. Voilà. Vous êtes trop fort Monsieur Hirolvos, vous m’avez démasqué !"

A cet instant, les plus proches consommateurs du duo improbable éclatèrent en chœurs de rire, tapant tantôt sur le comptoir, tantôt sur leurs tabourets, bien amusé par le commentaire de la Twi’lek, qui n’avait certes pas la langue dans sa poche, et étonnamment un bon sens de la repartie…

"Maintenant, soit vous avez d’autres blagues aussi marrantes à nous sortir, soit je vous prierais de vous mêler de votre vie. Vous devriez savoir que les rixes sont monnaies courantes par ici. On a déjà vu des gens trop curieux se prendre un tir de blaster."
Invité
Anonymous
Image furieuse, regard tout aussi paisible qu'hypocrite. Les qualifications ne manquaient pas pour qualifier un homme plus ou moins âgé qui, dans toute son histoire, ne s'eut emporté qu'un nombre incalculable de fois et qui, aujourd'hui, calme, paisible, doux, mélancolique, retenait toute ses pulsions meurtrières qui traversaient son échine, son dos pour que l'unique reflet qui s'eut opéré dans ses mains s'emporte, se mène en quelques caresses de ses doigts, légèrement ridés, sur le métal, froid, glacial, autant que pouvait l'être son âme.

- Vos paroles sont des plus étranges, l'on aurait peine à vous connaitre, à douter de vous. Malgré tout, estimez juste que le plus grand des aveugles puisse percer les mystères d'une histoire, d'un baratin sans égal...


Les gens regardaient, le méprisaient en de simples yeux, méticuleux, ridicules qui se guidaient à même ses cils, les effleurant dans ce passage de mortel, inodore, tout aussi peu appréciable du sith qu'eux ne pouvaient le sentir à son égare. Une inspiration aussi profonde que putride et, en penchant son regard vers le barman, l'homme sorti une petite capsule de bacta qu'il avala. Il se redressa, le regard droit, n'accordant pas la moindre attention à ceux qui se trouvaient autour de lui, ignares, dépravés n'ayant jamais eus quelconque connaissance dans les Voies de la Grandeurs.

Une légère tout le pris, grasse, tout aussi dégradante pour lui que ne l'étaient ce breuvage dans son estomac. A croire que les clients venaient ici s'empoisonner, en toute âme et conscience. D'autres, les habitués, ne grimaçaient plus, leur lèvres, bouches habituées aux gouts infecte de pareil odeur, pareil sensation d'écœurement à la première goute tombée sur leurs langues.

Il regardait cette femme qui portait tête, avait une maitrise bien correcte de la langue mais qui, dans son degré de naïveté, compréhensible qui plus est, n'avait nul moyen de découvrir qui il était. Une part de mégalomanie s'emparait de lui, le fit frissonner tant il s'aperçut de sa graviter.


- Il est vrai que vous ne me connaissez pas. Cependant, apprenez que les plus illustres jedis, partis au combats, ayant fait choix d'exil après avoir constaté leur incapacité, finissent par ressurgir un jour à la surface du regard, aussi fut-il soit-il, de quelques uns. Qu'importe, malgré l'incompréhension des jeunes, leurs incapacités à apprécier, quand ils en découvrent un, pour en apprendre plus, en découvrir plus sur celle qu'ils servent, vous, la nouvelle génération, restez des êtres toujours aussi intéressants et esclave de causes qui n'en sont pas. Permettez moi donc de prendre congé en espérant que, de là à ce que nous puissions nous revoir, vous eussiez changé, muri et avancez sur les chemins lumineux de La Grande et Puissante.

Il l'abandonna du regard, fit tomber de sa main quelques crédits pour les consommations puis se retourna, enroulé dans sa cape, quelques trais d'une lumière neutre s'évadant de son enveloppe charnelle. Un pas s'était fait en la direction des jedis. Un pas de trop ou bien, un qui aurait eut pour vocation de le détourner de ses Grand Desseins, pour les atteindre surement par d'autres chemins.
Revenir en haut
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
skin made by
© jawn