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# Un Nouveau Monde, Une Nouvelle Galaxie - Lun 21 Juil 2008 - 10:38
Le vent soufflait sur les plaines de Kuat. Les prairies verdoyantes se livraient une continuelle bataille pour savoir qui est la plus belle. Le soleil commençait à ce coucher. La lumière rose de ce dernier frappait les quelques nuages pour leur donner cette même couleur. Si on s’enfonce plus loin, plus profondément dans la plaine, on peut découvrir un petit lac d’eau douce, border de quelques arbres. Sur l’eau cristalline, nous pouvions voir quelques feuilles qui se sont laissé attirer par cette eau pure, ainsi que quelques insectes, grillant au soleil couchant. L’horizon s’obscurcissait au fur et à mesure que le temps avançait. Très vite, la journée laissa sa place à la nuit. La vie ne s’était pas arrêter pour autant. Quelques oiseaux continuaient de chanter, les félins se réveillaient tout juste. La nuit était en faite aussi vivante que la journée, et seul la lumière changeait.
Mais au loin, un vieil arbre mourrait. Cet arbre centenaire avait survécus à tout. Le froid, les canicules, les vents, c’était le doyen de la petite forêt qui se trouvait derrière lui. Plus on se rapprochait de l’arbre, et plus la nature se faisait silencieuse, comme si elle rendait un dernier hommage au mourant. Mais quelque chose, un bipède vint couper ce silence si profond. Les oiseaux s’envolèrent à son approche, les félins retournèrent dans la forêt, les insectes partirent aussi vite que possible. Le bipède arriva devant le vieil arbre, et comme à chacune de ses visites, il s’agenouilla au pied de l’arbre, priant pour que sa belle connaisse le repos et que la force l’accepte.
Fendor Kaal venait se recueillir une dernière fois au pied de la tombe de sa bien aimé avant de commencer son œuvre. La tristesse s’était emparée de son cœur, mais très vite, cette tristesse se transforma en haine envers les assassins, les voyous et tout ce qui représente la racaille de cette galaxie. Fendor voulait tout simplement éliminer ce qui avait causé la mort de sa compagne et il savait que simplement éliminer la racaille ne suffirait pas, il fallait avant tout s’attaquer à la cause du malaise, c’est à dire, s’attaquer aux différences entre les riches et les pauvres. Ce n’était plus une question d’argent, l’élégance, l’éducation, tout était responsable des différences et à défaut de pouvoir les supprimer, Fendor allait nettoyer les bas fonds, les bidons villes et tout ce qui peut contenir la racaille responsable de la mort de sa femme.
Cette dernière avait été tuée par le grand-père de Fendor, mais le Neutolan ne s’en était toujours pas remit, et avait rejeté la faute sur les basses classes de population. Cette dernière était présente sur toutes les planètes, et Fendor comptait bien visiter chacune d’elles et les nettoyer. Cela lui prendrait plusieurs vies, mais il était près à tout pour y arriver, et même à découvrir un pouvoir des plus primaires, un pouvoir dont la puissance est inégalée, un pouvoir qui permettrait à Fendor d’absorber toute la vie d’une planète rien qu’en posant le pied sur cette dernière. Ce même pouvoir qui avait consommé Dark Nihilus, ancien seigneur sith. Fendor l’avait nommé : La Faim.
Fendor commençait à découvrir se pouvoir, et l’avait testé sur l’arbre qui servait de pierre tombale à sa bien aimé. L’arbre mourrait, doucement, et Fendor récupérait son énergie, bien que cette dernière soit faible. Il espérait aussi à terme, avoir récolté suffisamment d’énergie pour faire revenir parmi les vivants celle qu’il aime. Le Neutolan se releva lentement, et après avoir doucement caresser l’écorce de l’arbre, regarda au loin à l’horizon. Un château se dressait, dominant tout autour de lui. Ce château dégageait quelque chose d’étrange, cette « aura » rappelait à Fendor celle de son maître sith, Milenium. Mais ce dernier était mort, et le Neutolan le savait. Il y avait donc une ou plusieurs autres personnes réceptives à la force dans ce lieu.
Fendor : « toi qui es là bas, toi qui es si loin, toi qui es si riche, vient à moi, explique-moi tout ce que tu sais, transmet moi ton savoir et disparaît comme tu es apparu. Viens à moi petit mortel, rejoints moi ici, et raconte-moi tout ce qu’il se passe. Je sais que tu as quelque chose à m’apprendre, je sais que tu es des miens, et que tu pourras peut être m’aider. Rejoints moi et ensemble, créons une galaxie meilleure, un lieu ou les assassins n’existent pas, où les voleurs sont punis, où les trafiquants ne vendent plus rien. Une galaxie ou règne la paix et la prospérité, rejoints moi petit homme… »
Fendor était entré dans une sorte de stase, débitants toute sorte de parole visant l’occupant du château. Ces dernières ne pourraient l’atteindre que si ce dernier avait l’esprit ouvert et réceptif. Le Neutolan avait besoin d’allier pour accomplir sa mission, et il allait essayer de faire de ce riche l’un de ses pantins, lui disant ce qu’il lui plait, ce qui le touche.
Mais au loin, un vieil arbre mourrait. Cet arbre centenaire avait survécus à tout. Le froid, les canicules, les vents, c’était le doyen de la petite forêt qui se trouvait derrière lui. Plus on se rapprochait de l’arbre, et plus la nature se faisait silencieuse, comme si elle rendait un dernier hommage au mourant. Mais quelque chose, un bipède vint couper ce silence si profond. Les oiseaux s’envolèrent à son approche, les félins retournèrent dans la forêt, les insectes partirent aussi vite que possible. Le bipède arriva devant le vieil arbre, et comme à chacune de ses visites, il s’agenouilla au pied de l’arbre, priant pour que sa belle connaisse le repos et que la force l’accepte.
Fendor Kaal venait se recueillir une dernière fois au pied de la tombe de sa bien aimé avant de commencer son œuvre. La tristesse s’était emparée de son cœur, mais très vite, cette tristesse se transforma en haine envers les assassins, les voyous et tout ce qui représente la racaille de cette galaxie. Fendor voulait tout simplement éliminer ce qui avait causé la mort de sa compagne et il savait que simplement éliminer la racaille ne suffirait pas, il fallait avant tout s’attaquer à la cause du malaise, c’est à dire, s’attaquer aux différences entre les riches et les pauvres. Ce n’était plus une question d’argent, l’élégance, l’éducation, tout était responsable des différences et à défaut de pouvoir les supprimer, Fendor allait nettoyer les bas fonds, les bidons villes et tout ce qui peut contenir la racaille responsable de la mort de sa femme.
Cette dernière avait été tuée par le grand-père de Fendor, mais le Neutolan ne s’en était toujours pas remit, et avait rejeté la faute sur les basses classes de population. Cette dernière était présente sur toutes les planètes, et Fendor comptait bien visiter chacune d’elles et les nettoyer. Cela lui prendrait plusieurs vies, mais il était près à tout pour y arriver, et même à découvrir un pouvoir des plus primaires, un pouvoir dont la puissance est inégalée, un pouvoir qui permettrait à Fendor d’absorber toute la vie d’une planète rien qu’en posant le pied sur cette dernière. Ce même pouvoir qui avait consommé Dark Nihilus, ancien seigneur sith. Fendor l’avait nommé : La Faim.
Fendor commençait à découvrir se pouvoir, et l’avait testé sur l’arbre qui servait de pierre tombale à sa bien aimé. L’arbre mourrait, doucement, et Fendor récupérait son énergie, bien que cette dernière soit faible. Il espérait aussi à terme, avoir récolté suffisamment d’énergie pour faire revenir parmi les vivants celle qu’il aime. Le Neutolan se releva lentement, et après avoir doucement caresser l’écorce de l’arbre, regarda au loin à l’horizon. Un château se dressait, dominant tout autour de lui. Ce château dégageait quelque chose d’étrange, cette « aura » rappelait à Fendor celle de son maître sith, Milenium. Mais ce dernier était mort, et le Neutolan le savait. Il y avait donc une ou plusieurs autres personnes réceptives à la force dans ce lieu.
Fendor : « toi qui es là bas, toi qui es si loin, toi qui es si riche, vient à moi, explique-moi tout ce que tu sais, transmet moi ton savoir et disparaît comme tu es apparu. Viens à moi petit mortel, rejoints moi ici, et raconte-moi tout ce qu’il se passe. Je sais que tu as quelque chose à m’apprendre, je sais que tu es des miens, et que tu pourras peut être m’aider. Rejoints moi et ensemble, créons une galaxie meilleure, un lieu ou les assassins n’existent pas, où les voleurs sont punis, où les trafiquants ne vendent plus rien. Une galaxie ou règne la paix et la prospérité, rejoints moi petit homme… »
Fendor était entré dans une sorte de stase, débitants toute sorte de parole visant l’occupant du château. Ces dernières ne pourraient l’atteindre que si ce dernier avait l’esprit ouvert et réceptif. Le Neutolan avait besoin d’allier pour accomplir sa mission, et il allait essayer de faire de ce riche l’un de ses pantins, lui disant ce qu’il lui plait, ce qui le touche.
Invité
# Re: Un Nouveau Monde, Une Nouvelle Galaxie - Lun 21 Juil 2008 - 18:49
Le Prince de Kuat se trouvait dans l’une des nombreuses pièces de son château. Ce soir il avait décidé de passer la nuit dans un endroit reclus ou il y avait fort longtemps selon lui qu’il n’y était pas allé. Cette pièce sombre dans les sous sol du bâtiment était étroitement surveillée et contenait de nombreux objets et artefacts que l’aristocrate se complaisait d’obtenir et aussi de temps en temps à consulter et apprendre.
Le sith était assit dans un large fauteuil en duracier comme celui dont il disposait dans son bureau ici au château et dans sa tour au centre ville. Ces fauteuils disposaient d’une large gamme d’option lui permettant ou qu’il soit de diriger ses affaires et même d’y assister par le biais de projection holographique. Oui il pouvait diriger sans se détourner de son activité du moment.
Darth Ritter avait commencé une étude sur un texte ancien écrit sur du parchemin, donc il devait dater de plusieurs milliers d’année, dans une langue tout aussi ancienne puisqu’elle n’est plus parlée dans notre galaxie aujourd’hui.
« Langue morte, d’un peuple mort »
A présent le Prince ferma les yeux et médiat sur ce qu’il venait de lire, Toutes les informations recueillies au cours des millénaires passés, de ce qu’il avait pu traduire avec le droïde protocolaire qui lui au contraire ne s’arrêta pas et continua mais en silence. Il avait été bien programmé. Il était de couleur noir et avec des photorécepteurs rouge. La pièce n’était nullement éclairée si ce n’est par la lumière translucide bleu des représentations holographique et des photorécepteurs du droïde.
Lors de sa médiation alors qu’il arrivait presque au bout de son puzzle, Darth Ritter fut dérangé par une voix qu’il sentait au travers de la Force. Il se demandait bien quelle personne avait bien l’audace de le déranger ainsi, car il savait par les termes employés que c’est lui qui est appelé. Mettant de côté sa méditation, il resta cependant à suivre les fluctuations de la Force et localisa ou se trouvait l’impudent. Non loin de sa demeure en bas de la colline. Il sentit aussi la véritable nature de la personne.
« Un sith… encore un. »
Sur ce l’aristocrate sortit de sa transe et se dirigea vers la sortie de la pièce. Il ordonna tout de même au droïde de continuer son travail. Puis il se dirigea vers la sortie du sous sol et ensuite par une porte dérobée il sortit à l’extérieur du côté ou le sith fut localisé par les bons offices de la Force.
En chemin Kiel pensait et ressassait les dires et mises en garde qu’il avait entendu depuis le moment ou il avait provoqué le seigneur noir, puis le danger que pouvait représenter selon les dires de H’horis, l’apprenti d’Excidium. Justement le danger était le précédent.
Au gré de l’obscurité qui couvrait bientôt cette face de Kuat, le Prince distingua une silhouette massive au loin, et à la vue des nombreux appendices qui tombaient de la tête de l’être, Kiel en conclu qu’il s’agissait bien de ce sith qui pouvait être danger pour ses affaires.
Machinalement, l’aristocrate caressa de sa main droite gantée le manche de son sabre laser. Oui il est bien la, près à occire une fois de plus si c’est nécessaire et apparemment se sera le cas. Il s’approcha encore du Nautolan et s’arrêta à quelques mètres. Du point de vue du Prince, ce dernier dominait le non humain car il venait de la colline. Son regard bleu était dirigé vers les deux opercules noirs du sith et un petit sourire narquois s’éleva de Darth Ritter. Un léger vent frais se mit à se lever faisant soulever les pans des vêtements que portaient les deux sith.
Invité
# Re: Un Nouveau Monde, Une Nouvelle Galaxie - Lun 21 Juil 2008 - 19:47
L’appel du Neutolan semblait avoir été entendu car très vite une silhouette apparue au loin. La nuit faisait sombrer de plus en plus cette terre dans l’obscurité, mais tout était calme. Les nuages se baladaient dans le ciel, doucement, et ce rassemblaient un peu plus loin pour fusionner et ne former plus qu’un. Une douce brise vint caresser le visage du Neutolan. Fendor était décontracté, confiant, mais aussi triste. L’homme arriva à quelques mètres du sith. Pour Fendor, les signes ne pouvaient pas le tromper, il était en face d’un homme puissant dans la force, et l’aura obscure qu’il dégage laissait à penser qu’il était un sith.
Reprenant son sérieux, il se remit à dégager l’aura de peur qui l’entour habituellement. La quête du Neutolan allait commencer à l’endroit même ou sa bien aimée est enterré. La nuit n’était encore suffisamment claire pure que Fendor voit la main du sith se rapprocher de son sabre laser. Un léger sourire apparu sur le visage du Neutolan. Pour lui, ce riche humain voyait en lui un ennemi potentiel. Fendor fit lentement glisser sa main vers les bouts de tissus lui servant de pantalon et souleva l’un d’eux, laissant apparaître là aussi un petit cylindre argenté. Il laissa sa main là où elle était et pris le premier la parole.
Fendor : « Je ne me suis donc pas tromper. Il y avait bien quelqu’un maîtrisant la force au sein du château, mais votre manque de méfiance me chagrine. Pensez-vous que c’est parce que vous m’avez montré votre hostilité que je vais avoir peur de vous ? La peur, c’est moi qui la maîtrise. Néanmoins je dois reconnaître que vous avez un certain cran. Venir sans être accompagné… c’est tout à votre honneur, mais vous n’avez peut être pas mesuré les risques que vous encouriez. Tout le monde ne peut pas parler à travers la force, et j’espère que vous avez pris conscience que je peux être un redoutable adversaire. »
La nuit était désormais totale. Des petits insectes fluorescents décolèrent par centaine de l’herbe devenue terne. Fendor immobilisa l’une d’elle avec la force et l’amena dans la paume de sa main.
Fendor : « Mais je ne suis pas ici pour prononcer de veine menace. Si je vous ai appelé, c’est que bous pouvons chacun trouver notre compte dans les actions de l’autre. Vous êtes un homme riche, mais vous cherchez certainement autre chose, et comme beaucoup de sith, c’est le savoir que vous poursuivez… Je me trompe ? Pour ma part, je ne suis qu’un simple sith à la recherche d’allier pour débarrasser la galaxie des faibles, mais le tout sans déclencher de guerre. Avant de vouloir nettoyer la galaxie, il faut d’abord nettoyer l’ordre sith. Le pouvoir en place est faible. Un seul homme dirige, les sith suivent les plans d’un seul et unique homme alors qu’il serait beaucoup plus efficace de commander à plusieurs. Ces animaux que sont la plus part des sith préfèrent déclencher des guerres ouvertes plutôt que d’agir dans l’ombre. Contrôler le sénat, contrôler les armées, contrôler les jedi, voici la seule solution pour nous à l’heure actuelle de gagner du pouvoir. N’êtes vous pas d’accord ou faites vous parti de ces bestiaux sith qui ne pensent qu’à combattre ouvertement plutôt que de se servir de pantins ? »
Le Neutolan n’y était pas allé par quatre chemins. La confrontation était envisageable et l’humain avait un avantage de terrain par rapport à Fendor. Mais le Neutolan restait confiant. Il espérait que l’humain n’était pas assez idiot pour attaquer de face quelqu’un d’aussi puissant que lui et surtout, quelqu’un qui peut lui permettre d’avoir plus de pouvoir. Fendor fixait le petit insecte qui se débattait pour sortir de l’emprise de la force.
Fendor : « regardez les… Si faible, Si inutile, voilà de quoi est composée les trois quarts de la population de la galaxie. Des êtres faible et inutile qui ne pensent qu’a eu et à leur richesse. Ils pillent et tuent s’il le faut, mais ils ne comprennent pas qu’ils seront à leur tour tué une fois la richesse et le pouvoir acquis. Certain sith œuvre pour le bien commun, et c’est ce que je fais en débarrassant la galaxie de tous ces hommes et ces femmes inutiles. Le pouvoir m’attire, comme beaucoup de personne, mais la seule raison pour laquelle je recherche se pouvoir, c’est pour venir à bout de n’importe quel individu et ainsi débarrasser la galaxie de sa présence. »
Le Neutolan se retourna et pointa du doigt l’arbre entrain de mourir.
Fendor : « Regardez, voilà ce que je peux faire avec le peu de pouvoir que j’ai. J’absorbe l’essence vitale de cet arbre grâce à ma volonté, et ce, sans le blesser physiquement parlant. J’absorbe sa volonté de vivre et sa vitalité, lentement. Imaginez ce pouvoir poussé à son paroxysme. Pouvoir tuer n’importe qui avec la seul force de sa volonté, absorber toute la vie sur une planète, voilà le vrai pouvoir. Tuer sans combattre, anéantir des armées entières juste en les regardant. Et ces vies que vous absorber rallonge la vôtre, vous permettant de vivre éternellement et d’emmagasiner toujours plus de savoir, accéder à la connaissance ultime… Cela ne vous attire pas ? Pouvoir tout apprendre et tout savoir sans être limité par le temps. Voilà ce que j’appel le pouvoir, qu’en pensez-vous ? Quel est votre définition du pouvoir ? »
Le Neutolan relâcha le petit insecte qui repartit le plus vite possible rejoindre ses congénères. Fendor regarda de nouveau le sith qui était devant lui, il le scrutait, ne le lâchant pas pour ne pas rater une seule de ses réactions.
Reprenant son sérieux, il se remit à dégager l’aura de peur qui l’entour habituellement. La quête du Neutolan allait commencer à l’endroit même ou sa bien aimée est enterré. La nuit n’était encore suffisamment claire pure que Fendor voit la main du sith se rapprocher de son sabre laser. Un léger sourire apparu sur le visage du Neutolan. Pour lui, ce riche humain voyait en lui un ennemi potentiel. Fendor fit lentement glisser sa main vers les bouts de tissus lui servant de pantalon et souleva l’un d’eux, laissant apparaître là aussi un petit cylindre argenté. Il laissa sa main là où elle était et pris le premier la parole.
Fendor : « Je ne me suis donc pas tromper. Il y avait bien quelqu’un maîtrisant la force au sein du château, mais votre manque de méfiance me chagrine. Pensez-vous que c’est parce que vous m’avez montré votre hostilité que je vais avoir peur de vous ? La peur, c’est moi qui la maîtrise. Néanmoins je dois reconnaître que vous avez un certain cran. Venir sans être accompagné… c’est tout à votre honneur, mais vous n’avez peut être pas mesuré les risques que vous encouriez. Tout le monde ne peut pas parler à travers la force, et j’espère que vous avez pris conscience que je peux être un redoutable adversaire. »
La nuit était désormais totale. Des petits insectes fluorescents décolèrent par centaine de l’herbe devenue terne. Fendor immobilisa l’une d’elle avec la force et l’amena dans la paume de sa main.
Fendor : « Mais je ne suis pas ici pour prononcer de veine menace. Si je vous ai appelé, c’est que bous pouvons chacun trouver notre compte dans les actions de l’autre. Vous êtes un homme riche, mais vous cherchez certainement autre chose, et comme beaucoup de sith, c’est le savoir que vous poursuivez… Je me trompe ? Pour ma part, je ne suis qu’un simple sith à la recherche d’allier pour débarrasser la galaxie des faibles, mais le tout sans déclencher de guerre. Avant de vouloir nettoyer la galaxie, il faut d’abord nettoyer l’ordre sith. Le pouvoir en place est faible. Un seul homme dirige, les sith suivent les plans d’un seul et unique homme alors qu’il serait beaucoup plus efficace de commander à plusieurs. Ces animaux que sont la plus part des sith préfèrent déclencher des guerres ouvertes plutôt que d’agir dans l’ombre. Contrôler le sénat, contrôler les armées, contrôler les jedi, voici la seule solution pour nous à l’heure actuelle de gagner du pouvoir. N’êtes vous pas d’accord ou faites vous parti de ces bestiaux sith qui ne pensent qu’à combattre ouvertement plutôt que de se servir de pantins ? »
Le Neutolan n’y était pas allé par quatre chemins. La confrontation était envisageable et l’humain avait un avantage de terrain par rapport à Fendor. Mais le Neutolan restait confiant. Il espérait que l’humain n’était pas assez idiot pour attaquer de face quelqu’un d’aussi puissant que lui et surtout, quelqu’un qui peut lui permettre d’avoir plus de pouvoir. Fendor fixait le petit insecte qui se débattait pour sortir de l’emprise de la force.
Fendor : « regardez les… Si faible, Si inutile, voilà de quoi est composée les trois quarts de la population de la galaxie. Des êtres faible et inutile qui ne pensent qu’a eu et à leur richesse. Ils pillent et tuent s’il le faut, mais ils ne comprennent pas qu’ils seront à leur tour tué une fois la richesse et le pouvoir acquis. Certain sith œuvre pour le bien commun, et c’est ce que je fais en débarrassant la galaxie de tous ces hommes et ces femmes inutiles. Le pouvoir m’attire, comme beaucoup de personne, mais la seule raison pour laquelle je recherche se pouvoir, c’est pour venir à bout de n’importe quel individu et ainsi débarrasser la galaxie de sa présence. »
Le Neutolan se retourna et pointa du doigt l’arbre entrain de mourir.
Fendor : « Regardez, voilà ce que je peux faire avec le peu de pouvoir que j’ai. J’absorbe l’essence vitale de cet arbre grâce à ma volonté, et ce, sans le blesser physiquement parlant. J’absorbe sa volonté de vivre et sa vitalité, lentement. Imaginez ce pouvoir poussé à son paroxysme. Pouvoir tuer n’importe qui avec la seul force de sa volonté, absorber toute la vie sur une planète, voilà le vrai pouvoir. Tuer sans combattre, anéantir des armées entières juste en les regardant. Et ces vies que vous absorber rallonge la vôtre, vous permettant de vivre éternellement et d’emmagasiner toujours plus de savoir, accéder à la connaissance ultime… Cela ne vous attire pas ? Pouvoir tout apprendre et tout savoir sans être limité par le temps. Voilà ce que j’appel le pouvoir, qu’en pensez-vous ? Quel est votre définition du pouvoir ? »
Le Neutolan relâcha le petit insecte qui repartit le plus vite possible rejoindre ses congénères. Fendor regarda de nouveau le sith qui était devant lui, il le scrutait, ne le lâchant pas pour ne pas rater une seule de ses réactions.
Invité
# Re: Un Nouveau Monde, Une Nouvelle Galaxie - Lun 21 Juil 2008 - 22:06
Le Prince de Kuat eut un sourire. Il est du à la question du Nautolan : Quel était selon lui, la définition du pouvoir ? La définition est variante d’un sith à l’autre. Certains diront que le pouvoir c’est la Force, d’autre leur habileté au sabre, certains le pouvoir en tant que règne sur un lieu donné et d’autre c’est de pouvoir choisir qui doit vivre ou mourir. En y réfléchissant quelques secondes l’aristocrate tout en continuant de sourire et inspirant une bouffée d’air frais dans ses poumons soupira.
-Ah… le pouvoir…je pourrais vous en dire long sur le pouvoir. Voyez vous, moi comme Darth Excidium. Que vous connaissez il me semble ? Oui je disais que lui et moi avons une très bonne connaissance du pouvoir car nous y avons goûté les deux facettes ! Le pouvoir politique sur un monde avec tout ce qu’il encourt et le Pouvoir avec un « P », celui de la Force, celui que vous et moi comprenons parfaitement.
Darth Ritter fit une pause avant de reprendre.
-Bien sur, notre soif de connaissance et de pouvoir sera toujours insatiable. Je vois dans votre manière d’agir et de votre ambition, la même envie de contrôle qu’avait l’un de nos prédécesseurs, Darth Nihilus. Hors vous savez sans doute comment il a finit ?
Le sith laissa de nouveau une pause et reprit.
-Il fut éliminé bien sur, par des jedi mais je voulais dire en temps qu’être. Le savez vous ?
L’aristocrate n’avait pas répondu à la question du sith et il le savait. Il voulait tout d’abord montrer qu’il avait compris ce que le Nautolan voulait. Oui il voulait le pouvoir d’éliminer à grande échelle juste avec la Force. Comme tous les sith. Mais de la a en faire usage…
-Ma vision du pouvoir est la suivante. Il se trouve que je suis d’accord avec vous sur un point. Il est préférable d’agir dans l’ombre mais notre contrôle sur les êtres serait bien mieux efficace en contrôlant la tête plutôt qu’un bras, car il se remplace. D’ailleurs chacun sait que toute bête aussi féroce soit elle perd toutes ses défenses une fois sa tête coupée… Mais ensuite il y a plusieurs procédés et de manières d’agir et je n’irais pas plu loin vous en savez déjà assez.
Pour Kiel, ce n’était qu’une infime partie de son idée sur le pouvoir, il venait uniquement d’évoquer la partie émergeante d’un homme de sa condition désirant le pouvoir. Mais cela est bien suffisant pour le Nautolan. Après tout lui aussi voulait le pouvoir et rien de plus facile que de prendre la place d’un autre.
Invité
# Re: Un Nouveau Monde, Une Nouvelle Galaxie - Mar 22 Juil 2008 - 11:11
Les insectes continuaient à voler autour des deux sith, mais l’écart entre les deux interlocuteurs était vide, comme si quelque chose repoussait les petits être vivants. Darth Ritter avait donné une définition du pouvoir qui avait plue au Neutolan. Fendor était désormais sur que le sith face à lui n’était pas un animal, mais bel et bien un être doué de raison et d’intelligence. Ritter avait évoqué le pouvoir politique, pouvoir auquel aspirait Fendor, mais son apparence lui refermait toutes les portes. Néanmoins, le Neutolan avait goûté à un pouvoir que le Kuati n’avait pas évoqué, le pouvoir militaire…
Fendor : « Je constate avec une joie non contenue que vous n’êtes pas une bestiole sith qui ne pensent qu’à se battre. Vous avez évoqué le pouvoir politique, j’ai tenté de l’avoir par le passé, mais les portes m’ont été fermées à cause de mon apparence… Guerrière si je puis dire. Donc, au lieu d’être en personne, pourquoi ne pas contrôlé quelqu’un siégeant au sénat ? C’est la question que je me suis posée. Mais comment trouver quelqu’un qui me ressemble suffisamment pour qu’il accepte mes idées sans broncher, mais aussi suffisamment reconnu pour être écouté par ses pères ? Je n’ai hélas pas trouvé cet homme. Bien qu’une partie du sénat soit corrompu, je n’ai pu trouver quelqu’un à mon image, je n’ai donc pu, par conséquent, toucher se pouvoir, je l’ai juste regardé agir et transformer cette galaxie où nous vivons en dépotoir. Mais j’ai eu le droit à une autre sorte de pouvoir, la puissance militaire. Je pourrais être à l’heure actuelle un grand amiral, et peut être même contrôler les vaisseaux sortant de vos chantiers, mais quelques événements m’ont poussé à achever ma formation de sith… »
Fendor repensa à sa femme, elle le hantait. Le Neutolan ne pouvait pas se débarrasser de son image, comme si, au lieu de rejoindre la force, elle avait rejoint son esprit. Il cacha sa tristesse et reprit.
Fendor : « Vous avez parlé de Dark Nihilius et c’est ce qui a fait le déclique chez moi, ce qui m’a permis de vous juger à votre juste valeur. J’ai effectivement pris Nihilus en modèle ou plutôt son pouvoir. Je sais qu’en temps qu’être vivants, il a disparu bien avant l’attaque des jedi sur son vaisseau. Il est mort dévoré par sa Faim et son pouvoir. Le même sort m’attend peut être, tout est possible, mais je m’efforce d’étudier tout le pouvoir dans son ensemble ainsi que chacune de ses facettes avant de passer à l’étape suivante. Cet arbre n’est qu’un test, et ce test me permet de savoir ce qui se passe au fur et à mesure de la disparition de la vie du végétal. Cette sensation de pouvoir qui augmente, cette de bien être laisse très vite place à un grand vide qu’il faut combler en absorbant la vie d’un autre être. Je n’ai même pas encore commencé à utiliser le pouvoir à grande échelle que je ressens déjà ce petit murmure de ma conscience qui me demande de recommencer pour combler se vide. C’est une sensation très gênante mais que j’apprendrais à dompter avant de me lancer sur une expérience à plus grande échelle. »
Fendor était fière de sa rencontre. Le sith avec qui il dialoguait était un être tout à fait civilisé. Chacun avait goûté à une version différente du pouvoir, les deux sith se complétaient en quelque sorte. Mais un nom avait ramené de vieux souvenir dans l’esprit du Neutolan, Dark Excidium. Fendor n’avait pas connu l’Umbaran sous ce nom, mais savait très bien qui il était.
Fendor : « Vous avez évoqué le nom de Dark Excidium. Je connais cette personne, un lien étrange nous unis, un lien qui a été tissé par notre maître. Nous avons tous deux eu le même maître et ce dernier a voulu que je combatte Excidium. Je l’ai vaincu et Excidium à vaincu notre maître, cela fait de moi le plus puissant des deux, mais cela ne m’avance en rien. Au vu de son changement de nom, je suppose qu’il a atteint un rang haut placé chez les sith non ? »
[i">Fendor se remémora son combat contre Excidium. Ce dernier était puissant, mais il semblait pourtant plus faible que l’assassin de la femme du Neutolan, Menan. Ce n’était sûrement qu’une impression, mais cette dernière persista pendant un bon moment. Excidium avait donc survécus chez les sith, peut être est-il l’un des plus puissant sith ? Voilà que le Neutolan s’intéressait au sort de son ancien rival. Il n’osait imaginer ce qu’était devenu l’Umbaran. Si ce dernier avait atteint un haut rang, Fendor n’osait imaginer ce qui l’attendait une fois arrivé sur korriban…
Fendor : « Je constate avec une joie non contenue que vous n’êtes pas une bestiole sith qui ne pensent qu’à se battre. Vous avez évoqué le pouvoir politique, j’ai tenté de l’avoir par le passé, mais les portes m’ont été fermées à cause de mon apparence… Guerrière si je puis dire. Donc, au lieu d’être en personne, pourquoi ne pas contrôlé quelqu’un siégeant au sénat ? C’est la question que je me suis posée. Mais comment trouver quelqu’un qui me ressemble suffisamment pour qu’il accepte mes idées sans broncher, mais aussi suffisamment reconnu pour être écouté par ses pères ? Je n’ai hélas pas trouvé cet homme. Bien qu’une partie du sénat soit corrompu, je n’ai pu trouver quelqu’un à mon image, je n’ai donc pu, par conséquent, toucher se pouvoir, je l’ai juste regardé agir et transformer cette galaxie où nous vivons en dépotoir. Mais j’ai eu le droit à une autre sorte de pouvoir, la puissance militaire. Je pourrais être à l’heure actuelle un grand amiral, et peut être même contrôler les vaisseaux sortant de vos chantiers, mais quelques événements m’ont poussé à achever ma formation de sith… »
Fendor repensa à sa femme, elle le hantait. Le Neutolan ne pouvait pas se débarrasser de son image, comme si, au lieu de rejoindre la force, elle avait rejoint son esprit. Il cacha sa tristesse et reprit.
Fendor : « Vous avez parlé de Dark Nihilius et c’est ce qui a fait le déclique chez moi, ce qui m’a permis de vous juger à votre juste valeur. J’ai effectivement pris Nihilus en modèle ou plutôt son pouvoir. Je sais qu’en temps qu’être vivants, il a disparu bien avant l’attaque des jedi sur son vaisseau. Il est mort dévoré par sa Faim et son pouvoir. Le même sort m’attend peut être, tout est possible, mais je m’efforce d’étudier tout le pouvoir dans son ensemble ainsi que chacune de ses facettes avant de passer à l’étape suivante. Cet arbre n’est qu’un test, et ce test me permet de savoir ce qui se passe au fur et à mesure de la disparition de la vie du végétal. Cette sensation de pouvoir qui augmente, cette de bien être laisse très vite place à un grand vide qu’il faut combler en absorbant la vie d’un autre être. Je n’ai même pas encore commencé à utiliser le pouvoir à grande échelle que je ressens déjà ce petit murmure de ma conscience qui me demande de recommencer pour combler se vide. C’est une sensation très gênante mais que j’apprendrais à dompter avant de me lancer sur une expérience à plus grande échelle. »
Fendor était fière de sa rencontre. Le sith avec qui il dialoguait était un être tout à fait civilisé. Chacun avait goûté à une version différente du pouvoir, les deux sith se complétaient en quelque sorte. Mais un nom avait ramené de vieux souvenir dans l’esprit du Neutolan, Dark Excidium. Fendor n’avait pas connu l’Umbaran sous ce nom, mais savait très bien qui il était.
Fendor : « Vous avez évoqué le nom de Dark Excidium. Je connais cette personne, un lien étrange nous unis, un lien qui a été tissé par notre maître. Nous avons tous deux eu le même maître et ce dernier a voulu que je combatte Excidium. Je l’ai vaincu et Excidium à vaincu notre maître, cela fait de moi le plus puissant des deux, mais cela ne m’avance en rien. Au vu de son changement de nom, je suppose qu’il a atteint un rang haut placé chez les sith non ? »
[i">Fendor se remémora son combat contre Excidium. Ce dernier était puissant, mais il semblait pourtant plus faible que l’assassin de la femme du Neutolan, Menan. Ce n’était sûrement qu’une impression, mais cette dernière persista pendant un bon moment. Excidium avait donc survécus chez les sith, peut être est-il l’un des plus puissant sith ? Voilà que le Neutolan s’intéressait au sort de son ancien rival. Il n’osait imaginer ce qu’était devenu l’Umbaran. Si ce dernier avait atteint un haut rang, Fendor n’osait imaginer ce qui l’attendait une fois arrivé sur korriban…
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# Re: Un Nouveau Monde, Une Nouvelle Galaxie - Mar 22 Juil 2008 - 12:27
Le Prince de Kuat continuait de sourire, mais ce sourire se transforma en un rictus narquois. Le fait d’avoir éveillé chez son interlocuteur, une certaine appréhension à propos de Darth Excidium. En effet Darth Ritter avait un avantage par rapport au Nautolan. Pas l’avantage de terrain qui n’est guère important pour deux êtres comme eux, mais un avantage de connaissance de l’un de l’autre. Le kuati a eu un bref récit du non humain par l’apprenti d’Excidium. Il est évident qu’il ne sache pas ce qu’il lui est arrivé ces derniers temps, un disparition prématurée qui sera suivit par un retour, si H‘horis ne commet aucune erreur lors du rituel.
-Le fait que vous m’ayez évoqué votre puissance militaire m’a fait sourire en avançant que ce n’était pas mon cas. Ici sur Kuat, j’ai un rang aristocratique avec le pouvoir politique qui en découle, je possède bon nombre de chantiers spatiaux avec la mainmise économique dessus ainsi que d’une force de sécurité… militarisé.
L’aristocrate cessa la son explication. Il n’avait pas à donner les détails de son pouvoir sur Kuat. Seul lui et en partie le sénateur kuati, Nielsen, sont au courant de ce qui se passe sur Kuat. Mais en dehors…
Néanmoins Kiel ne fit aucune remarque sur l’ambition que souhaite son interlocuteur. Celui de maîtriser un pouvoir aussi grand que Nihilus et le fait aussi que le Nautolan ne put trouver d’homme politique à manipuler. Chose aussi stupide qu’inutile. Mais venant d’un non humain, d’un « barbare », d’un soldat ou plutôt de la chair à canon rien de plus, il ne devait pas s’attendre à mieux.
-Il est inutile de se lamenter là-dessus seigneur Kaal. Pourtant il n’est nécessaire de se préoccuper de ça pour l’instant. Contrôler un politicien ou le Sénat pour l’instant est inutile tant que les soi disants garants de la paix et de la justice sont encore en place et de manière durable.
Darth Ritter observa de nouveau un silence et reprit.
-Mais avant de nous occuper d’eux il faudra d’abord s’occuper de notre ordre séculaire…
Invité
# Re: Un Nouveau Monde, Une Nouvelle Galaxie - Sam 29 Nov 2008 - 10:17
Le neutolan sauta sur l’arbre qu’il venait de tuer et se plaça sur la branche la plus haute et la plus solide. Tout était sombre, tout était obscure, pourtant, Fendor pouvait voir son adversaire briller au milieu de cette obscurité. Il était encore plus sombre que le reste, il représentait l’obscurité au sein de la force, et cette obscurité était beaucoup plus puissante que celle provoqué par la nuit. Fendor dégageait-il la même impression, ou n’était-il qu’un pantin parmi les Dieux ? Le neutolan se posait ces questions car il n’avait autant de pouvoir que son interlocuteur. Il n’était rien et pourtant, il représentait un menace. Dark Excidium avait été quelque chose, quelqu’un dans le passé du neutolan. Pour lui, Excidium représentait son seul véritable adversaire. Mais il venait d’ouvrir les yeux. Il n’était pas le seul à maîtriser la force comme il le faisait. Le seigneur Sith connaissait l’existence de l’ordre Sith, mais il pensait, il espérait que ce n’était qu’un ramassis de fripouille tout juste capable de tenir un sabre laser. Il devait avoir partiellement raison puisque son interlocuteur voulait s’occuper de cet ordre séculaire selon ses mots. Fendor se remit à fixer son adversaire, et prit la parole.
Fendor Kaal : Vous avez bien plus de pouvoir que moi, même ci ce n’est pas le même pouvoir. J’ai perdu une partie de mon pouvoir militaire, mais vous, vous l’avez toujours. Vous vous faite passer pour un pantin au yeux de notre chef alors qu’en fait, vous êtes bien plus dangereux que lui et plus dangereux que ce qu’il pense… Du moins, c’est mon avis. Pourquoi aurait-il gardé dans ses rangs quelqu’un capable de l’éliminer, même indirectement ? Pourquoi avoir prit se risque ? Vous avez dit vous-même, de façon indirect certes, mais vous l’avez dit, que l’ordre n’en était plus un à proprement parlé. Vous avez besoin de soldats pour s’occuper de l’ordre pendant que vous tirerez les ficèles. Dites moi ce que vous avez derrière la tête et je vous aiderai dans votre mission. Un seigneur de plus à vos côté ne vous fera pas de mal et vous avez en face de vous un homme qui cherche à récupérer sa gloire passé. Un homme brisé me direz-vous ? Peut être, peut être pas ce qui est sur, c’est que cet homme sera votre allier dans le combat qui vous attend…
Fendor sauta de l’arbre pour atterrir devant Ritter. Il le regarda avant de poser un genou au sol. Il allait accomplir ce que jamais il n’avait fait dans le passé. Même face à ses chefs militaire, même face à ceux qui lui on apprit à se battre. Jamais il ne se sera soumit à un homme quelque soit son pouvoir. Mais les temps on changer et il faut suivre le mouvement, du moins, pour l’instant. Si Fendor veut augmenter son pouvoir, il n’y a rien de tel que l’extermination complète d’un ordre pour en reformer un nouveau, plus puissant et dans lequel, il ne serait pas qu’un simple maître, mais bien un Dieu, une divinité.
Fendor Kaal : Je reconnais en vous un homme digne d’être suivit par de fidèle soldats, un homme dont le pouvoir n’a de limite que le nombre de vie présente sur cette planète. Je vous jure allégeance, pour le moment en tout cas et je vous aiderai à faire le ménage et j’éliminerai tous ceux que vous m’ordonnerez de tuer. Mais il y a une condition : Dite moi où est Excidium… Dite moi ce qu’il est devenu. Je ne compte pas le combattre à nouveau, je veux juste savoir, savoir si la force brut peut être utile en ces lieux ou si c’est de part son intelligence qu’il à brillé…
Fendor Kaal : Vous avez bien plus de pouvoir que moi, même ci ce n’est pas le même pouvoir. J’ai perdu une partie de mon pouvoir militaire, mais vous, vous l’avez toujours. Vous vous faite passer pour un pantin au yeux de notre chef alors qu’en fait, vous êtes bien plus dangereux que lui et plus dangereux que ce qu’il pense… Du moins, c’est mon avis. Pourquoi aurait-il gardé dans ses rangs quelqu’un capable de l’éliminer, même indirectement ? Pourquoi avoir prit se risque ? Vous avez dit vous-même, de façon indirect certes, mais vous l’avez dit, que l’ordre n’en était plus un à proprement parlé. Vous avez besoin de soldats pour s’occuper de l’ordre pendant que vous tirerez les ficèles. Dites moi ce que vous avez derrière la tête et je vous aiderai dans votre mission. Un seigneur de plus à vos côté ne vous fera pas de mal et vous avez en face de vous un homme qui cherche à récupérer sa gloire passé. Un homme brisé me direz-vous ? Peut être, peut être pas ce qui est sur, c’est que cet homme sera votre allier dans le combat qui vous attend…
Fendor sauta de l’arbre pour atterrir devant Ritter. Il le regarda avant de poser un genou au sol. Il allait accomplir ce que jamais il n’avait fait dans le passé. Même face à ses chefs militaire, même face à ceux qui lui on apprit à se battre. Jamais il ne se sera soumit à un homme quelque soit son pouvoir. Mais les temps on changer et il faut suivre le mouvement, du moins, pour l’instant. Si Fendor veut augmenter son pouvoir, il n’y a rien de tel que l’extermination complète d’un ordre pour en reformer un nouveau, plus puissant et dans lequel, il ne serait pas qu’un simple maître, mais bien un Dieu, une divinité.
Fendor Kaal : Je reconnais en vous un homme digne d’être suivit par de fidèle soldats, un homme dont le pouvoir n’a de limite que le nombre de vie présente sur cette planète. Je vous jure allégeance, pour le moment en tout cas et je vous aiderai à faire le ménage et j’éliminerai tous ceux que vous m’ordonnerez de tuer. Mais il y a une condition : Dite moi où est Excidium… Dite moi ce qu’il est devenu. Je ne compte pas le combattre à nouveau, je veux juste savoir, savoir si la force brut peut être utile en ces lieux ou si c’est de part son intelligence qu’il à brillé…
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# Re: Un Nouveau Monde, Une Nouvelle Galaxie - Dim 30 Nov 2008 - 12:21
Le Prince de Kuat fut quelque peu surpris de ce que le Nautolan venait de faire, s’agenouiller devant lui. Darth Ritter baissa uniquement les yeux et regarda le sith. N’importe qui penserait qu’il s’agit la d’un regard de triomphe, mais pour le sith kuati, aucun triomphe, sinon un regard froid et une moue méprisante qui se dessinait sur ses lèvres.
-Notre chef ? Je ne suis le subordonné de personne ! Mon âme, mon pouvoir et mon destin m’appartiennent ! Dîtes moi, pourquoi devrais je accepter votre hommage servile ?
*Un allié à mes côtés… plutôt un instrument au service de mes appareils… avant de disparaître bien entendu.*
Pour l’aristocrate, le sith Kaal, pourrait être un précieux instrument contre ces ennemis et ses alliés, un rang très éphémère, surtout chez les sith. Du moins tant que l’on ne les pers pas de vue. Au final ils étaient tous des instruments pour lui et ses instruments se devaient d’éliminer ceux de la catégorie « Bâtons dans les roues », au risque d’en devenir eux même et de disparaître à leur tour, au lieu de vivre et de profiter des opportunités qui pourraient s’ouvrir à eux. Malheureusement, pour beaucoup, surtout chez les sith, la patience n’est pas considérée comme une vertu, mais plutôt comme une marque de faiblesse démontrant ainsi un manque de puissance.
La question du sith non humain fit naître un petit sourire aux lèvres du Prince et il répondit sur un ton quelque peu cruel.
-Ah oui… Darth Excidium… était vieux et faible et à ainsi donc rejoint l’antre du néant… pour être remplacé par un imbécile se croyant le plus fort tout simplement parce que il a éliminé un faible. Idiot…
Il n’avait pas précisé le reste. La tentative d’un apprenti de Darth Excidium de le ramener à la vie, et de sa volonté de remettre en place un nouvel ordre sith. Mais pour être franc Darth Ritter se moquait bien de Darth Excidium. Car pour lui il était déjà mort, juste une simple formalité.
Darth Ritter veut bien remettre en place un nouvel ordre, mais un nouvel ordre selon ses souhaits, et il n’est pas écrit que les sith actuels y fassent partit, au contraire. Selon lui, ils doivent tous disparaître. Pour lui donner raison Kaal s'est agenouillé devant lui alors qu'il est lui même un seigneur. Un seigneur n'a pas à s'agenouiller. Celui qui le fait est un faible et doit périr. Mais un être faible peut aussi être un instrument.
-Notre chef ? Je ne suis le subordonné de personne ! Mon âme, mon pouvoir et mon destin m’appartiennent ! Dîtes moi, pourquoi devrais je accepter votre hommage servile ?
*Un allié à mes côtés… plutôt un instrument au service de mes appareils… avant de disparaître bien entendu.*
Pour l’aristocrate, le sith Kaal, pourrait être un précieux instrument contre ces ennemis et ses alliés, un rang très éphémère, surtout chez les sith. Du moins tant que l’on ne les pers pas de vue. Au final ils étaient tous des instruments pour lui et ses instruments se devaient d’éliminer ceux de la catégorie « Bâtons dans les roues », au risque d’en devenir eux même et de disparaître à leur tour, au lieu de vivre et de profiter des opportunités qui pourraient s’ouvrir à eux. Malheureusement, pour beaucoup, surtout chez les sith, la patience n’est pas considérée comme une vertu, mais plutôt comme une marque de faiblesse démontrant ainsi un manque de puissance.
La question du sith non humain fit naître un petit sourire aux lèvres du Prince et il répondit sur un ton quelque peu cruel.
-Ah oui… Darth Excidium… était vieux et faible et à ainsi donc rejoint l’antre du néant… pour être remplacé par un imbécile se croyant le plus fort tout simplement parce que il a éliminé un faible. Idiot…
Il n’avait pas précisé le reste. La tentative d’un apprenti de Darth Excidium de le ramener à la vie, et de sa volonté de remettre en place un nouvel ordre sith. Mais pour être franc Darth Ritter se moquait bien de Darth Excidium. Car pour lui il était déjà mort, juste une simple formalité.
Darth Ritter veut bien remettre en place un nouvel ordre, mais un nouvel ordre selon ses souhaits, et il n’est pas écrit que les sith actuels y fassent partit, au contraire. Selon lui, ils doivent tous disparaître. Pour lui donner raison Kaal s'est agenouillé devant lui alors qu'il est lui même un seigneur. Un seigneur n'a pas à s'agenouiller. Celui qui le fait est un faible et doit périr. Mais un être faible peut aussi être un instrument.
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# Re: Un Nouveau Monde, Une Nouvelle Galaxie - Dim 30 Nov 2008 - 20:47
Le Neutolan était déçu. Lui qui pensait que son interlocuteur profiterai de la position de faiblesse de Fendor pour tenter de le décapité ne l’a même pas fait. Le seigneur sith se releva et après un agile mouvement du poignet, dégaina son sabre à la lame argenté et instable. Il l’approcha rapidement de la gorge du sith qui était en face de lui mais s’arrêta brusquement à quelques dizaines de millimètres de la gorge de son adversaire. La lame venait de temps à autres éraflé la gorge de Ritter, laissant apparaître une petite brûlure.
Fendor Kaal : Je suis si déçu de votre comportement… Moi qui pensais que vous alliez sauter sur l’occasion pour m’éliminer rapidement et sans bavure, mais non… êtes-vous si puissant que vous le dite ou bien n’êtes-vous qu’un simple usurpateur, à la recherche d’un pouvoir inaccessible et rêvant de puissance ? Je n’ai plus rien à faire ici pour le moment… J’espère que notre prochaine rencontre se fera dans un lieu plus propice à une discussion amicale. Mais n’oubliez pas, méfiez-vous, même des plus faibles…
Le neutolan éteignit son arme et fit un bon prodigieux dans l’obscurité. Il disparu progressivement de la vue de son interlocuteur au fur et à mesure qu’il avançait. Il atterrit sur l’arbre mort et se retourna vers le sith qui n’avait pour le moment pas bougé. Le regard de Fendor était noir de haine. Comment un être aussi misérable que le sith qu’il avait en face le lui pouvait avoir une ci grande emprise sur le pouvoir politique et militaire. Selon lui, seul les combattants méritent de donner leur avis, mais peut être que Ritter était un combattant, mais qu’il ne combattait pas de la même façon que le Neutolan. Quoi qu’il en soit, ce dernier eut vite fait de rejoindre son vaisseau pour finalement rejoindre les étoiles dans l’immensité de l’espace. Direction : Korriban, le mausolée sith.
(post court, mais il ne me semble pas important de prolonger plus la discussion, après a toi de voir.)
Fendor Kaal : Je suis si déçu de votre comportement… Moi qui pensais que vous alliez sauter sur l’occasion pour m’éliminer rapidement et sans bavure, mais non… êtes-vous si puissant que vous le dite ou bien n’êtes-vous qu’un simple usurpateur, à la recherche d’un pouvoir inaccessible et rêvant de puissance ? Je n’ai plus rien à faire ici pour le moment… J’espère que notre prochaine rencontre se fera dans un lieu plus propice à une discussion amicale. Mais n’oubliez pas, méfiez-vous, même des plus faibles…
Le neutolan éteignit son arme et fit un bon prodigieux dans l’obscurité. Il disparu progressivement de la vue de son interlocuteur au fur et à mesure qu’il avançait. Il atterrit sur l’arbre mort et se retourna vers le sith qui n’avait pour le moment pas bougé. Le regard de Fendor était noir de haine. Comment un être aussi misérable que le sith qu’il avait en face le lui pouvait avoir une ci grande emprise sur le pouvoir politique et militaire. Selon lui, seul les combattants méritent de donner leur avis, mais peut être que Ritter était un combattant, mais qu’il ne combattait pas de la même façon que le Neutolan. Quoi qu’il en soit, ce dernier eut vite fait de rejoindre son vaisseau pour finalement rejoindre les étoiles dans l’immensité de l’espace. Direction : Korriban, le mausolée sith.
(post court, mais il ne me semble pas important de prolonger plus la discussion, après a toi de voir.)
Invité
# Re: Un Nouveau Monde, Une Nouvelle Galaxie - Sam 6 Déc 2008 - 19:33
Le Prince de Kuat eut un air de mépris envers le Nautolan. Même lorsqu’il pointa sur sa gorge son sabre laser, à quelque millimètres de sa peau, l’effleurant par moment, causant par la même une légère brûlure à la chair. Darth Ritter ne broncha pas, bien trop fier pour montrer sa douleur. Oui la douleur est un excellent professeur et la, Kiel ne l’oublierait pas. Il n’oubliera pas que ce Nautolan est vraiment un cinglé. Dès que Fendor retira sa lame, le réflexe de l’aristocrate fut de prendre son sabre mais il ne l’activa pas néanmoins. C’était inutile, vu qu’il n’était plus à portée de sa lame.
*Bien sur que j’aurais pu t’éliminer pitoyable créature sans discipline, mais tu peux encore avoir ton utilité…au service de mes appareils et j’en ai un rien que pour toi. *
Au lieu de son sabre laser, Darth Ritter pourrait très bien l’attaquer avec la Force, mais il ne fit rien. Regardant ainsi s’éloigner le sith non humain, le voir déguerpir de ses terres. Il profita pendant un moment à prendre une bonne bouffée d’air frais, en cette nuit sur Kuat et puis il s’en retourna à son château.
*Bien sur que j’aurais pu t’éliminer pitoyable créature sans discipline, mais tu peux encore avoir ton utilité…au service de mes appareils et j’en ai un rien que pour toi. *
Au lieu de son sabre laser, Darth Ritter pourrait très bien l’attaquer avec la Force, mais il ne fit rien. Regardant ainsi s’éloigner le sith non humain, le voir déguerpir de ses terres. Il profita pendant un moment à prendre une bonne bouffée d’air frais, en cette nuit sur Kuat et puis il s’en retourna à son château.
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