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# [Mission] Briser les chaînes (Supisy' Freetaa & Ta'ara Astrea) - Dim 11 Nov 2018 - 23:56
Le geôlier débloqua le verrou en trois tours de clé avant d'ouvrir brutalement la lourde porte de duracier.
— Monsieur le Directeur vous attend ma ptite dame. » lança t-il sur un petit ton sadique vers la forme qui luisait dans un recoin sombre de la cellule.
L'énorme cogneur attendit la prisonnière d'un pied ferme. Mais comme elle ne semblait pas intéressée, deux sbires franchirent le seuil du cachot et l'empoignèrent pour la traîner dehors.
Ils traversèrent un long corridor humide éclairé par des lumiglobes verts, gravirent des escaliers et pénétrèrent finalement dans une pièce qui était ouverte.
— Mademoiselle Rakt, nous vous attendions. » lança le Directeur depuis son bureau.
C'était un être vil, à l’œil malicieux. Il avait une petite voix cruelle et un drôle d'accent. Il dirigeait ce pénitencier de haute sécurité d'une main de cortosis depuis déjà treize ans.
Perdue dans les montagnes gelée de Ziost, la prison était protégée par de lourds murs frappés de plusieurs miradors qui culminaient jusqu'à cinquantaine mètres. Au centre, on trouvait différents bâtiments de permabétons reliés entre eux par des corridors, notamment un centre de commande, un mess, les chambres d'escouades, le bureau du Directeur et bien sûr les blocs cellulaires où gisaient les ennemis de l'Empire Sith. À Malazhar, deux cent prisonniers croupissaient sous la vigilance d'un personnel cruel, deux fois plus nombreux et terriblement aguerris, autant dire qu'une évasion relèverait du miracle. D'ailleurs l’événement ne s'était jamais produit ..
— Monsieur le Directeur vous attend ma ptite dame. » lança t-il sur un petit ton sadique vers la forme qui luisait dans un recoin sombre de la cellule.
L'énorme cogneur attendit la prisonnière d'un pied ferme. Mais comme elle ne semblait pas intéressée, deux sbires franchirent le seuil du cachot et l'empoignèrent pour la traîner dehors.
Ils traversèrent un long corridor humide éclairé par des lumiglobes verts, gravirent des escaliers et pénétrèrent finalement dans une pièce qui était ouverte.
— Mademoiselle Rakt, nous vous attendions. » lança le Directeur depuis son bureau.
C'était un être vil, à l’œil malicieux. Il avait une petite voix cruelle et un drôle d'accent. Il dirigeait ce pénitencier de haute sécurité d'une main de cortosis depuis déjà treize ans.
Perdue dans les montagnes gelée de Ziost, la prison était protégée par de lourds murs frappés de plusieurs miradors qui culminaient jusqu'à cinquantaine mètres. Au centre, on trouvait différents bâtiments de permabétons reliés entre eux par des corridors, notamment un centre de commande, un mess, les chambres d'escouades, le bureau du Directeur et bien sûr les blocs cellulaires où gisaient les ennemis de l'Empire Sith. À Malazhar, deux cent prisonniers croupissaient sous la vigilance d'un personnel cruel, deux fois plus nombreux et terriblement aguerris, autant dire qu'une évasion relèverait du miracle. D'ailleurs l’événement ne s'était jamais produit ..
Invité
# Re: [Mission] Briser les chaînes (Supisy' Freetaa & Ta'ara Astrea) - Mer 14 Nov 2018 - 12:44
Je me retrouvais à nouveau sur Corscucant, dans une salle de conférence avec un amiral Kel’Dor pour aider la République sur une mission sensible. Mais je n’étais pas seule. Il y avait une autre femme avec moi. Elle semblait humaine, mais avait des yeux trop blancs pour en être une. De plus, elle semblait clairement être une Jedi. Moi qui n’avait plus collaboré avec eux depuis plusieurs années, cela allait me changer. Mais ça me donnerait aussi une idée de s’ils étaient toujours les mêmes ou avaient quand mêmes évolué.
Mais bon, remettons cela à plus tard, l’amiral semblait prêt à nous briefer. Il pianota alors sur un clavier, et l’holo-terminal s’alluma, affichant l’image d’un bâtiment qui ressemblait à une forteresse.
« Voici la prison impériale de Malazhar sur Ziost. Il s’agit surement du complexe le plus sécurisé de l’Empire où sont enfermés les prisonniers de guerre. Récemment, le Maître Jedi Makilda Rakt qui a été capturé sur Dathomir y a été emmené ainsi que son padawan. Malheureusement, Makilda possédé des informations confidentielles qui nous montraient en fâcheuse position si jamais elle venait à leur raconter tout ça. Même si nous avons confiance en elle pour tenir face à la torture, elle n’est pas inébranlable et encore moins invincible. Ce n’est surement qu’une question de temps avant qu’elle ne cède. Votre mission est donc simple. Vous devez libérer la Maître Rakt et la ramenez saine et sauve. Son padawan est secondaire. Inutile de vous dire je pense que personne n’a jamais réussi à s’évader de cette prison. Nous attendons donc de vous un grand professionnalisme. »
Et ben, si je m’attendais à ça. C’est vrai qu’ils avaient dit que ce serait surement une mission impossible à boucler, mais là, on avait vraiment passé un palier. Infiltrer la prison impériale la plus sécurisé de la galaxie. En voilà un programme intéressant. Cependant, il restait encore des zones d’ombres à éclaircir si on voulait pouvoir planifier un plan d’action.
« On sait quoi sur leurs défenses ? »
L’amiral soupira, ou du moins poussa quelque chose de similaire. Il était compliqué de savoir avec les Kel’Dor et leur masque.
« Pas grand-chose. Il y a toujours 5 ou 6 croiseurs autour de la planète pour veiller sur tout ce qui transit. Impossible de passer sans des identifiants spécifiques sous peine de se retrouver sous feu nourris. Mais un vaisseau furtif vous sera fourni pour passer ces croiseurs. Et en ce qui concerne le bâtiment en lui-même, classique : mirador, centre de commande, mess et tout ce qui compose une base militaire, les blocs cellulaires en plus. En ce qui concerne le personnel, impossible de donner un nombre précis. Ils peuvent aussi bien être 200 que 500. »
Les impériaux ne rigolaient donc pas. Il allait effectivement être compliqués de trouver une faille, même minime dans un tel dispositif. Je me tourna alors vers la Jedi, qui nous écoutait et semblait étudier l’hologramme.
« Vous avez une idée ? »
Mais bon, remettons cela à plus tard, l’amiral semblait prêt à nous briefer. Il pianota alors sur un clavier, et l’holo-terminal s’alluma, affichant l’image d’un bâtiment qui ressemblait à une forteresse.
« Voici la prison impériale de Malazhar sur Ziost. Il s’agit surement du complexe le plus sécurisé de l’Empire où sont enfermés les prisonniers de guerre. Récemment, le Maître Jedi Makilda Rakt qui a été capturé sur Dathomir y a été emmené ainsi que son padawan. Malheureusement, Makilda possédé des informations confidentielles qui nous montraient en fâcheuse position si jamais elle venait à leur raconter tout ça. Même si nous avons confiance en elle pour tenir face à la torture, elle n’est pas inébranlable et encore moins invincible. Ce n’est surement qu’une question de temps avant qu’elle ne cède. Votre mission est donc simple. Vous devez libérer la Maître Rakt et la ramenez saine et sauve. Son padawan est secondaire. Inutile de vous dire je pense que personne n’a jamais réussi à s’évader de cette prison. Nous attendons donc de vous un grand professionnalisme. »
Et ben, si je m’attendais à ça. C’est vrai qu’ils avaient dit que ce serait surement une mission impossible à boucler, mais là, on avait vraiment passé un palier. Infiltrer la prison impériale la plus sécurisé de la galaxie. En voilà un programme intéressant. Cependant, il restait encore des zones d’ombres à éclaircir si on voulait pouvoir planifier un plan d’action.
« On sait quoi sur leurs défenses ? »
L’amiral soupira, ou du moins poussa quelque chose de similaire. Il était compliqué de savoir avec les Kel’Dor et leur masque.
« Pas grand-chose. Il y a toujours 5 ou 6 croiseurs autour de la planète pour veiller sur tout ce qui transit. Impossible de passer sans des identifiants spécifiques sous peine de se retrouver sous feu nourris. Mais un vaisseau furtif vous sera fourni pour passer ces croiseurs. Et en ce qui concerne le bâtiment en lui-même, classique : mirador, centre de commande, mess et tout ce qui compose une base militaire, les blocs cellulaires en plus. En ce qui concerne le personnel, impossible de donner un nombre précis. Ils peuvent aussi bien être 200 que 500. »
Les impériaux ne rigolaient donc pas. Il allait effectivement être compliqués de trouver une faille, même minime dans un tel dispositif. Je me tourna alors vers la Jedi, qui nous écoutait et semblait étudier l’hologramme.
« Vous avez une idée ? »
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