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La navette légère qui transportait le sénateur Nielsen approchait rapidement du Temple Jedi, dans la cabine, Seyrmus Nielsen triturait nerveusement le pommeau de sa canne. Il n'osait penser à ce que pouvait lui réserver ce sombre avenir qui se profilait pour sa conscience, que n'avait-il été plus méfiant? Il était aujourd'hui responsable d'un désastre, cette république qu'il aimait tant était aujourd'hui menacée par la faute de sa naïveté. Il avait pourtant cru que tout pourrait se passer sans anicroche et que personne n'en aurait souffert, mais force était de constater que les évènements n'avaient laissé personne indemne. Il ne savait pas vraiment ce qui l'avait poussé à demander à s'embarquer aussitôt pour Ondéron et se rendre au chevet de la personne qui le faisait se sentir aussi coupable. Il avait coupé court à tout éventuel débat politique et avait contacté un de ses anciens compagnons de bord qui commandait la flotte du secteur d'Ondéron. Par égard au personnage et à son ancien compagnon, ce dernier lui avait permis de faire la voyage et le saut en hyperespace à bord d'un croiseur de guerre.

Et voilà que notre sénateur de Kuat se retrouvait dans les cieux d'Ondéron sur le point d'accoster le hangar du Temple Jedi sans avoir au préalable était invité par un membre de l'Ordre avec le titre minimum de Chevalier mais il ne pouvait plus supporter cet état de fait. Il avait été informé peu de temps avant par un de ses agents que maître Ellana Caldin avait été hospitalisée dans un état critique et que le Prince de Kuat lui aussi peu fringant avait été mis aux arrêts, suspecté par l'Ordre Jedi d'être un seigneur Sith. Il n'avait pas le temps de faire une requête au Sénat pour aller demander un rapport aux Jedis, ces derniers se seraient d'ailleurs sans doute méfier d'un envoyé du Sénat et ne lui aurait accordé qu'un minimum de leur temps. Nielsen se trouvait donc ici en toute indépendance pour ne pas dire en toute illégalité.

"Phase d'atterrissage en cours" commenta le pilote automatique.

La navette se posa avec grâce sur la plate-forme et lorsque la passerelle se fut abaissé, Nielsen se précipita à l'extèrieur.
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Cela fesait plusieures semaines que j'etudiais les vaisseaux du hangar.Certains partaient, mais ils revenaient toujours, et avec le temps, j'avais appris a qui appartenais chaque vaisseau.Quand la navette legere arriva, je savais qu'elle n'apartenais a aucun jedi.

Lorsqu'un homme surgit en courant , le bourdonnement d'un sabre laser l'acceuillit.Ce n'etais clairement pas un jedi, et sa precipitation ne laissait presager rien de bon.

Mon sabre laser volletais tranquilement sous son nez, alors que je me tenais calmement derriere lui.

-"Vous me semblez bien pressé. Qui etes vous? et que faites vous ici ?"

Les jedi arrivaient encore a me cacher leur pensées, mais les humains normaux n'avaient plus de secrets pour moi. j'etais en mesure de savoir si il mentais ou pas.

En me concentrant sur lui, je ressentis un mellange d'emotions contradictoires, mais toutes tournée vers ellana ... qu'est ce que cet homme pouvais bien lui vouloir ?
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Nielsen tréssauta en entendant le bruit familier d'un sabre laser, le bourdonnement de la lame et la lueur qui en jaillit emplirent le hangar sombre et morne. Son intuition lui faisait penser qu'il n'y avait rien à craindre mais il préférait rester sur ses gardes, les Jedis se méfiaient de lui, il en était conscient. Peut-être le prince de Kuat s'était-il montré indiscret en voulant sauver sa tête. Il se tourna aussitôt vers sa nouvelle interlocutrice. Car c'était une adolescente semblait-il, il sentit le sabre-laser et sa chaleur s'approcher de lui. Il aurait été extrêmement sot de dégainer son blaster, sot et peu utile car il aurait été désarmé aussitôt. Habile diplomate, Nielsen décida, en dépit de son empressement, de s'expliquer avec la jeune personne.

Il sentait bien que cette dernière sondait son esprit, mais dans ce curieux lien qui l'unissait à la force, il savait qu'il pouvait masquer ses émotion au point de ne pas permettre au Jedi de toutes les déceler. Pourtant, user e ce pouvoir maintenant serait aussitôt ressentit par la padawan. Il était donc obliger de laisser son esprit à la merci des pouvoirs de l'enfant.

-Je suis le Sénateur Seyrmus Nielsen, envoyé du Sénat auprés du Conseil Jedi. Je suis ici pour savoir ce qui se passe, la raison de l'emprisonnement du Prince de Kuat et aussi me renseigner sur l'état de santé de maître Ellana Caldin.

Il regarda la padawan avant d'ajouter:

-Je vous conseille de rengainer votre arme jeune novice, elle ne vous sra d'aucune utilité. A moins que vous ignoriez que faire violence à un représentant de la République est un crime trés grave... Par ailleurs, qui êtes-vous?
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Mon sabre tomba a terre. L'état de santé d'ellana ??? quand le diplomate avais dit ça, j'avais eut quelques visions du rapport que le sénateur avais lu ... en entendu, les détails s'échappaient, mais cela fessait plusieurs jours qu'ellana étais a l'infirmerie.

a cette idée, j'avais complètement perdu ma concentration, et mon sabre étais tombé a terre.Cela ne m'étais jamais arrivé.

je réouvris les yeux, de toute façon j'avais senti la vérité dans les dires de seyrmus.

Mes idées allaient a cent a l'heure, et a ce train j'aurais bien du mal a contrôler ne serais-ce que mon fauteuil.

-"Vous courez vite visiblement, vous pouvez me pousser jusqu'à l'infirmerie?"

je sentais mes muscles se contracter sous le coup de micro contractions, comme un tremblement imperceptible
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Nielsen se précipita pour soutenir la jeune fille, il se débarassa de sa longue toge de sénateur et ramassa le sabre de la jeune fille qu'il glissa dans une poche intérieure de sa veste. Puis se plaçant derrière son fauteuil anti-gravité, il commença à le pousser, ayant l'impression que malgré son aspect massif, l'engin n'était pas plus lourd qu'une plume. Il se hâta en direction de l'infirmerie, encore soulagé d'avoir échappé à un interrogatoire peut-être un peu trop approfondi. Il sentait la faiblesse de la pauvre enfant, il tentait de déceler ce qui n'allait pas, mais sa perspicacité n'allait pas jusque là.

-Tenez bon mon enfant.

Prenant l'ascenseur, Nielsen et la malade se dirigèrent vers l'infirmerie.
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[hj : on continue a l'infirmerie...]
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