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Cohorte s’était rendu sur les bas fonds après avoir rempli un contrat visant à ramener un prisonnier s’étant évadé au commissariat local des Forces de Sécurité de Coruscant. Le droïde avait été rapidement engagés pour le retrouver car les membres des FSC avaient perdu sa trace dans le secteur 1313 et étaient bien trop débordés pour mener une enquête approfondie. Fort heureusement, ils avaient suffisamment de crédits pour engager un chasseur de primes de la trempe de Cohorte. L’avantage avec ce genre de contrats, c’est que les employeurs étaient très fiables et payaient toujours –pas forcément dans les délais, mais ils payaient toujours. L’inconvénient c’était que s’ils exigeaient de ramener quelqu’un de vivant, il le fallait absolument vivant. Leurs principes rigides étaient toujours trop éloignés pour Cohorte de certaines réalités du terrain, parfois ramener une cible morte était le mieux qu’il était possible de faire, mais difficile de faire entendre cette raison à ces employeurs officiels de la République.
Pourtant il avait été chanceux, il avait ramené une cible blessée au lieu du rendez-vous et avait été payé immédiatement via un virement de crédits sur le compte de Randuin, compte que gérait Cohorte. Visiblement les F.S.C. avaient suffisamment de connaissance du terrain pour ne pas trop s’offusquer de voir l’ex-détenu blessé.

Par la suite, SCAR-5 avait reçu un message lui demandant de se rendre à proximité d’un relais de communication pour une transmission holographique importante concernant une mission bien rémunérée et à haut risques. Le rendez-vous était prévu pour seize heures et quart, et Cohorte savait que rater cet appel, ce serait rater une opportunité de décrocher un gros contrat. Il ne lui fallut pas longtemps pour atteindre son objectif, mais il était arrivé bien trop en avance, il se décida donc de patienter à proximité d’un bar qui se trouvait non loin et qui semblait être réservé à des vétérans ou officiers de l’armée de la République en permission. Cohorte décida donc de les observer silencieusement pour essayer d’en apprendre un peu plus sur l’avancée du conflit qui opposait la République à l’Empire Sith. Lui qui vivait en marge de ce conflit ne suivait pas trop les nouvelles du front. Bien qu’il portait une carabine impériale en bandoulière, il ne souhaitait pas trop attirer l’attention dans la mesure du possible.
Pour être honnête, Cohorte ignorait un peu ce qui avait poussé la République et l’Empire Sith à entrer en guerre l’un contre l’autre, il se doutait bien qu’il devait s’agir d’une question de rivalités territoriales concernant des ressources, mais il savait aussi qu’il y avait un fond idéologique derrière sans se douter de la profonde animosité opposant les Jedi aux Sith. A dire vrai, il n’en n’avait encore jamais rencontré et préférait éviter d’avoir à en traquer un sans avoir une excellente préparation ainsi que du bon matériel. Randuin lui avait raconté avoir une fois tenté d’attraper un Sith mais avait été forcé de le tuer pour une prime, il avait mis en garde Cohorte sur les dangereux pouvoirs de Force qu’ils avaient, mais Cohorte était resté sceptique sur ces pouvoirs qu’il ne comprenait pas. Pourtant pour avoir vu quelques combats au sabre laser à travers les enregistrements piratés de la République, il ne doutait pas une seule seconde de la dangerosité de ces individus. D’autant plus que la cicatrice de Randuin avait été particulièrement sévère quand il le lui avait montré.

SCAR-5 se moquait de cette guerre car il n’y avait aucun intérêt si ce n’est les éventuels contrats que l’on pouvait proposer. Randuin n’avait jamais accepté un contrat venant de la part de l’Empire et il avait incité Cohorte à faire de même. Bien que les sommes puissent paraître juteuses, Randuin avait suffisamment de principes pour refuser de les accepter. Corellien par nature, Randuin ne voulait rien faire qui puisse aider l’Empire à vaincre la République et donc de mettre Corellia sous la coupe des Sith. Cohorte savait que cette décision était aussi liée au fait que son ancien propriétaire et ami, Randuin avait servi dans les rangs de la République en temps que sergent avant de quitter l’armée pour se mettre à son compte. Il avait toujours justifié son départ comme ayant un problème avec les ordres décidés par un sénat ainsi qu’avec la discipline bien trop carrée à son goût. S’il devait combattre l’Empire ce ne serait certainement pas pour le compte de sénateurs qu’il jugeait être sérieusement incompétent. D’autre part, Randuin estimait qu’en temps de crise, l’armée devait avoir la haute main sur la gouvernance de la République, une opinion n’ayant jamais plu à ses officiers supérieurs.
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Corruscant. La cité aux milliards de lumières. Léonore en avait entendue parlé depuis longtemps et avait déjà eu l'occasion de la visiter à maintes reprises, que se soit durant son enfance, avec son père, ou lors de ses permissions, durant ses affectations au sein des troupes de la république. Pourtant, la jeune Twi'lek avait constamment l'impression d'y étouffe, comme si le vent ne parvenait à venir caresser les joues de la jeune femme, lui donnant l'impression d'être constamment dans une boite fermée hermétiquement. Et cela n'était pas pour aider la jeune femme à se sentir à l'aise.

Elle avait décidé, pour se changer les esprits de se laisser vadrouiller dans les bas-fonds de la planète-citée, accompagnant quelques-uns de ses hommes dans un bar connu, soit disant, pour ses alcools exotiques et de la variété de produits que l'on pouvait trouver dans le coin. Léonor n'était pas dupe, elle se doutait que certains de ces "produits" n'étaient autre chose que des drogues. Mais elle avait confiance en ses hommes pour qu'ils ne prennent pas des substances pouvant les mettre en danger dans le cadre de leur mission. De toute façon, certains passeraient par un test de dépistage sitôt rentré sur Corrélia.


Léonor se tenait accoudait sur le comptoir, entamant tranquillement son deuxième verre de Bière corrélienne épicée. La jeune femme n'était pas une grande buveuse, mais elle aimait la sensation douce et épicée de la boisson, lui rappelant certains côté de son mentor d'autrefois, Roy... Maintenant qu'elle y pensait, cela faisait un moment qu'elle ne lui avait pas parlé. Elle saisit son datapad et tapa un rapide message à son attention, qu'elle ne tarda à envoyer.


"Je suis sur Corruscant. Si tu y es aussi, on peut se voir. Bises"



Un message rapide et simple, laissant toute liberté à Roy de venir ou pas. Mais maintenant qu'elle levais la tête, Léonor remarqua une scène, certes, pas spécialement étrange, mais qui attirait quand même son attention. Un droïde, visiblement conçut pour le combat, et qui portait certaines marques de combats qui "pianotait" sur un terminal. En soit, les droïdes n'étaient inhabituel, mais quelque chose dans le comportement de celui ci évoquait le vieux baroudeur.
Léonor décida de s'approcher de lui, ne serait-ce que pour bien retenir les particularités de ce droïde. Si elle devait le recroiser sur un champs de btaille, qu'elle ne tombe pas dans le piège en croyant avoir à faire sur un simple droïde.


-Vous cherchez quelques chose? Lui demanda-t-elle finalement.
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L’androïde était encore en train d’attendre pour la réception de sa transmission quand quelqu’un l’interpella. Il ne l’avait pas vue arriver et se redressa soudainement, quittant de ses photorécepteurs son datapad qu’il consultait en vue de faire un inventaire de ce qu’il avait en sa possession maintenant que Randuin était mort. Cohorte demeura silencieux et détailla la jeune femme qui se trouvait devant lui. Il s’agissait d’une twi’lek portant l’uniforme des officiers de la République dont les insignes lui conféraient le grade de lieutenante. Sans doute avait-elle quitté le bar situé non loin après l’avoir observé à travers la vitre ? C’était l’option la plus probable. Le droïde lui répondit calmement.

- Bonjour lieutenant. Négatif, je suis en attente d’une transmission holographique importante.

Furent les seuls mots qu’il prononça tandis qu’il tourna la tête vers son datapad afin de voir le temps restant avant que la transmission ait lieu. Il restait encore une bonne heure avant de recevoir son message. Cohorte pivota sa tête vers la twi’lek qui se tenait encore devant elle. Il resta silencieux puis formula sa question.

- Puis-je vous être utile lieutenant ?

L’espace d’un instant, une idée traversa ses circuits. Peut-être pourrait-il identifier la personne se trouvant devant lui en fouillant dans les bases de données militaires de la République de façon… illégale ? C’était possible mais il écarta cette idée de sa tête car un piratage de ce genre ne passerait pas inaperçu et risquerait d’attirer l’attention vers ce secteur des forces de sécurité de la Coruscant, chose qu’il souhaitait éviter afin de ne pas finir démonté. Il fallait être honnête, autant les êtres organiques passaient devant un tribunal pour répondre de leur actes quand ils étaient interpellés, autant pour un droïde ce serait une autre paire de manche. Randuin lui avait dit qu’il n’aurait pas besoin de débourser grand-chose en frais d’avocats car il serait rapidement désactivé puis démonté.
Pour Cohorte c’était assez injuste mais Randuin lui avait bien dit qu’en dépit de ses efforts, la galaxie était ce qu’elle était, et que les droïdes étaient souvent assez mal vus au point d’être interdits de cantinas parfois ou de certaines zones réservées aux organiques.

Peut-être était-ce pour cela que la twi’lek semblait observer chaque faits et gestes de Cohorte ? Est-ce que celui-ci se trouvait dans une zone interdite aux droïdes ? Il l’ignorait mais n’en n’avait pas connaissance. Dans tous les cas, le mieux à faire serait sans doute de coopérer, après tout un lieutenant ne se promène que très rarement seul dans les bars réservés aux vétérans, et la solidarité entre soldat risquerait sans doute d’attirer des ennuis aux droïdes si ça tournait mal.
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Léonor ne fut pas surprise que le droïde connaisse son grade. Après tout, c’était un droïde de combat. Il devait donc avoir les protocoles de reconnaissance de grade en mémoire. Par contre, qu’il soit capable de donner un point de vue totalement subjectif sur un fait, cela la surprenait.
Il la tira de sa rêverie en lui demandant s’il pouvait être utile. Un droide des plus singulier, si l’on puit dire. Un instant il fait preuve d’un comportement anormale. Puis, l’instant d’après, il reprenait une attitude tout ce qu’il y a de plus normal pour un méca.

 
-En faite, je me demandais d’où vous veniez. Un droïde seul, autant marqué par les combats. Je dirais que cela n’est pas banal. Désolé si cela vous semble déplacé, mais je n’ai pas pour habitude de laisser une question en suspens.
 
Léonor se redressa légèrement, ajustant sa tenue, puis claqua un salut militaire parfait, après avoir posé son verre vide sur une table non loin.
 
-Lieutenant Léonor Victirius, des Forces d’Infanterie de Marine de Corrélia. Quelle est votre identité ?
 
La voix ne laissait pas entendre qu’il s’agissait là d’un interrogatoire. Il s’agissait plus d’une présentation formelle d’un combattant à un autre.
D’une certaine manière, on pouvait presque deviner que la jeune femme regrettait de ne pouvoir l’inviter à boire un coup pour entendre ses récits de bataille et partager les siennes avec lui. Mais elle faisait bonne figure, montrant quand même le respect nécessaire d’un combattant à un autre combattant.
Et puis, il fallait bien reconnaître que Léonor était curieuse de nature. Elle avait bien envie de demander au droïde la raison de cette transmission et de quoi il s’agit. Mais ce n’était pas son affaire. Elle n’avait donc aucune raison autre pour lui demander. La lieutenant s’en abstiendrait donc. Mais ça lui brûlait la langue. Et elle n’était pas sûr de savoir le cacher correctement.
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L’androïde écouta la twi’lek lui faisant face lui répondre. Ainsi la jeune lieutenante semblait être intriguée par la présence d’un droïde solitaire portant sur lui les affres du combat. C’était vrai que depuis le décès de Randuin, Cohorte s’était quelques peu négligé sur son apparence. Des traces de rayures et de peinture écaillée laissaient apparaitre sa teinte d’origine blanche –devenue grisâtre- par certains endroits pour celui qui avait un œil avisé. A ses jambes, l’on pouvait aussi apercevoir des traces de boue séchée qui venaient tout droit de Nal Hutta, la planète ou il avait abattu un criminel ayant cherché à doubler un Hutt avant d’arriver sur Coruscant.

- Je viens de Nal Hutta, mais j’arpente la galaxie en solitaire et je ne reste jamais très longtemps au même endroit. J’ai été conçu sur Brentaal par des ingénieurs avant d’être vendu. Il s’est écoulé quelques années avant que je me trouve devant vous. Mes souvenirs les plus lointains sont ceux de Nal Hutta ou j’ai travaillé là bas à l’époque.

Confia le droïde dont la mémoire avait été effacée trois fois : la première à la sortie de l’usine lorsqu’il a été vendu aux enchères par Baktoid Combat Automata basée sur Brentaal, la seconde après qu’il ait commis un crime sur Coruscant en tuant un cambrioleur de son propriétaire (un riche neimoidien) en le jetant par la fenêtre de sa tour. La troisième ce fut sur Nal Hutta après que son second propriétaire l’ai perdu sur une table de sabbac contre Bal’Eth le Hutt pour devenir un pirate. Cohorte n’avait encore jamais vraiment ressenti de la curiosité pour sa vie passée dont il n’y avait que très peu de traces. Il avait réussi à retrouver son monde d’origine en questionnant les données embarquées dans sa base ne serait-ce que pour être capable de s’identifier comme étant un droïde de modèle SCAR.

La twi’lek s’en alla poser son verre et SCAR-5 ne la quitta pas des photorécepteurs, observant sa silhouette de dos avant qu’elle ne revienne lui demander son identité. A dire vrai, il avait été baptisé par Randuin qui l’avait nommé Cohorte. Avant cette époque, le trandoshan qui le commandait l’avait simplement appelé « tas de boulons » ou SCAR-5. L’androïde claqua un salut militaire parfait –n’ayant que peu de connaissances sur le protocole militaire, son servomoteur avait estimé que c’était la meilleure façon de saluer l’officier en face de lui. Imitant Léonor, il prit le même ton qu’elle et se présenta.

- Enchanté. Je suis Cohorte. Droïde chasseur de primes de profession.

Il l’ignorait, mais sans doute qu’avec d’autres militaires le fait d’imiter à l’identique le salut militaire en étant un droïde aurait pu passer pour de la moquerie, mais SCAR-5 n’était pas encore très au fait des conventions sociales même s’il s’efforçait de s’améliorer dans ce domaine qui était loin d’être son champ d’expertise le plus poussé. Cohorte s’était renseigné sur le sujet et avait lu quelque part que le mimétisme était une bonne façon d’apprendre auprès des êtres organiques. Du moins si l’on en croyait le droïde protocolaire qui avait noté ça à l’intention de SCAR-5…
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Un parcours des plus atypique pour pareil créature. Même synthétique. Et cela amusait légèrement la jeune Léonor que de voir ce Cohorte évoquer le fait que ses souvenir puissent avoir une limite temporelle. Il est vrai que certains propriétaire leur vidait la mémoire, pour pouvoir partir de zéros à l'acquisition. Mais certains souvenirs n'étaient pas nécessairement bon à effacer. Combien de fois, la lieutenant avait-elle entendu un propriétaire de droïde se plaindre d'avoir effacer la mémoire de sa machine alors qu'elle contenait des données précieuses et que désormais, celle-ci était perdues à jamais.
Puis Cohorte imita parfaitement le salut que lui faisait la twi'lek, ce qui ne manqua pas de la faire sourire une fois encore.


-N'avez vous eu aucun problème jusqu'à présent d'être en autonomie sans "maître", jusqu'à présent? Je parle au niveau des autorités. Pas du fonctionnement. Car je pense que vous devez bien avoir acquit l'expérience ou les programmes nécessaires à votre maintenance et votre existence au jours le jours.


La question était relativement anodine et innocente. Mais Léonor devait bien reconnaître qu'avoir pareil droïde à ses côtés lors des combat, en plus de ses hommes, pouvait être un atout non négligeable. Elle pourrait peut être le recruter pour les forces corréliennes? A voir. Mais chaque chose en son temps. Pour l'instant, elle voulait en apprendre plus sur lui.
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L’androïde fut quelques peu surpris par la tournure des évènements. Après tout il était devant une représentante de l’armée de la République et venait d’annoncer qu’il n’avait pas de maître. Le sort des droïdes sans propriétaire n’était jamais très bon : soit la casse, soit la revente en pièces détachées ou en intact avec la mémoire effacée à nouveau. Il devait garder cette information secrète au maximum, et donc se prétendait être la propriété de Randuin, mais ce dernier était décédé depuis peu. Il avait repris ses papiers afin de ne pas attirer l’attention sur lui. En se révélant devant Léonor, peut-être avait-il prit un risque. Sur la défensive, il répondit avec prudence en réfléchissant un maximum.
 
- Mon associé m’a tout appris. En règle générale, j’essaie de me faire passer pour un droïde accompagnant quelqu’un d’autre. Les autorités ne sont pas curieuses dès qu’on leur montre le titre de propriété.
 
Cohorte restait silencieux un petit instant, jetant un œil sur son chronomètre intégré avant la transmission. Puis il ajouta.
 
- Au niveau de la maintenance, le plus difficile est de trouver des pièces détachées compatibles avec mon armature, et à moindre coût bien évidemment. J’ai appris à être autonome sur ce point.
 
Et c’était véridique, Cohorte était l’un des rares droïdes capable de se réparer sur certains points. Sans bras c’aurait été beaucoup plus délicat, mais fort heureusement il n’avait jusqu’à présent jamais été endommagé au point de perdre un membre. Le plus grave dommage subi restait l’empalement ou les éclats qui avaient criblé de trous le poncho grisâtre et tâchée qu’il portait aujourd’hui.
 
- Vous êtes en permission avec vos hommes lieutenant ? Comment se déroule le conflit actuellement ?
 
Le droïde s’intéressait peu sur la guerre en temps normal. Randuin lui avait dit que les médias en disaient beaucoup et en même temps trop peu. Mais le chasseur de primes l’avait mis en garde sur la propagande qui œuvrait à ne pas démoraliser les soldats ou la population. Le mensonge était encore une notion difficile pour le droïde qui avait du mal à appréhender cette chose purement  L’idéal pour se tenir au courant de ce genre d’évènement, c’était encore d’obtenir des renseignements auprès de ceux qui étaient directement sur le front. Exposés en plein cœur de la bataille sous le feu ennemi, leurs retours d’expérience était toujours bon à prendre. Randuin avait servi la République au sein des forces coréliennes justement, Cohorte ne doutait pas de la véracité de ses propos. Même le droïde éprouvait peu d’intérêt sur la tournure du conflit, la jeune femme présente devant lui représentait une opportunité de se renseigner.
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