Anasthasia Our
# Sur les marches du temple à l'aube [ouvert] - Ven 7 Oct 2016 - 11:20
Le soleil s’ébroue paresseusement au-dessus de la carcasse d’acier de cette planète. Dessinant des ombres chinoises avec les tours de plastacier.
Planète, planète, enfin c’est ce que dit la carte stellaire Coruscant ressemble plus à une gigantesque base spatiale, le genre de base où l’on se demande où est le début et où en est la fin. L’idée qu’il y à eut des mers et des forêts ici semble être de la science-fiction ici.
La petite boule de feu grimpe au-dessus de l’horizon et lance ses rayons pour réchauffer les âmes et sortir nos corps de la torpeur mais le monstre ne dort que d’un œil. Le balais des nocturnes et des diurnes à ses heures indistinctes entre ombre et lumière.
Une bande d’étudiants en train de finir leur nuit, une bande de travailleur en train de longer les murs à moitié en train de dormir sur le tapis roulant. Les derniers défenseurs encore perdus dans les réminiscences d’hier. Cette journée déjà morte, sauf pour eux.
Et en même temps ils croisent les premiers explorateurs du nouveau jour, partant avec plus ou moins d’entrain à l’assaut de cette journée qui ouvre les bras. Bon certains semble être autant des loques que les vétérans du jour d’avant mais avec un café…..
Même à ses heures mortes la ville bouge encore, mais le rythme n’est pas encore frénétique la ville est encore……humaine, agréable.
Et moi je navigue entre les deux, la soirée a été longue mais je viens de faire une petite sieste, juste assez pour être assez en forme pour m’entrainer un peu. Il y a moins de monde et cela me permet de faire mon originale. Un peu perdue sur le fil de ses deux journées qui s’entremêlent.
En tenue d’entrainement, je mélange une poignée de pas de danse et un soupçon de katas avec mon vieux bâton, traçant des gestes dans les airs sur les marches du Temple Jedi.
Je saute un instant sur un balustrade qui surplombe le vide pour mieux sauter plus loin sur un banc avant de taper dans l’air. Je trace mon propre balai perdu dans mon entrainement.
Le tout sous le regard imperturbable de mon public, mon vieux T3 qui de son unique optique m’observe avec un calme parfaitement droid.
Invité
# Re: Sur les marches du temple à l'aube [ouvert] - Ven 25 Aoû 2017 - 13:55
Les Jedi. Une telle source de fascination pour nombre de personne à travers la Galaxie. Une source d’ennuis pour quelques minorités. Et également une source de savoir pour qui prend la peine de les consulter et de les écouter.
Léonor était venue à la requête d’un conseiller corrélien, le sénateur en poste, pour déposer un artéfact qu’un proche du conseiller avait trouvé et estimé en plus grande sureté au sein du temple, sous la surveillance de ces Gardiens de la Paix.
Elle était donc venue en qualité d’émissaire et avait gravit avec une lenteur sereine les marches menant à ce temple trônant dans le paysage de Corruscent. Un immense édifice que nul ne peut réellement manquer. Mais, du coin de l’œil, alors que le matin n’était pas encore tout à fait levé, elle remarqua une jeune femme qui semblait s’étirer. Ne voulant pas perdre de temps, elle poursuivit sa route et arriva bientôt à l’entrée du temple ou elle trouva un jeune graçon.
-Pourrais-je rencontrer l’Archiviste, s’il vous plait ? J’ai un objet à lui remettre de la part du Conseiller Elwors. Lui demanda-t-elle.
Puis, elle attendit, pendant le jeune garçon lui demanda de patienter et fila avertir le Maître Jedi intéressé. Elle regarda donc la cité-planète qui s’étendait à perte de vu devant elle, se perdant presque dans la contemplation du spectacle. Elle ne s’était jamais réellement accoutumé à la planète, préférant de loin les plaines libres de Corrélia, mais elle devait avouer que ce monde ci avait un attrait pour nombre de personne. Elle regardait le balai incessant des gens qui s’éveillaient pour se rendre vers divers endroits sur le monde, tandis que les travailleurs de la nuit rentraient chez eux pour se reposer. Elle-même se trouvait entre deux feu. Réveillé de bonne heure pour être prête longtemps avant les heures du levé.
Elle regardait donc le spectacle, parfaitement éveillée, lorsqu’une voix la tira de sa contemplation.
-Lieutenant. J’ai ouïe dire que vous aviez quelque chose pour moi.
Léonor se retourna et se trouvait face à une femme d’un certain âge. La soldat s’inclina respectueusement.
-En effet, Maîtresse. Le conseiller Elwors m’a demandé de vous porter ceci, après qu’il me l’ai montré. Léonor sorti un datacron de la sacoche qu’elle portait en bandoulière. L’objet a commencé à lui lorsque je l’ai prise en mains sur invitation du conseiller. Dès lors, il m’a demandé de venir vous le remettre en main propre.
-Je vois. Ce n’est en effet pas commun de trouver ce genre d’objet. Je vais l’étudier pour en savoir plus à son sujet. Je ne puis que vous inviter à patienter un peu, que je puisse rédiger un message au conseiller pour lui donner mes premières constatations.
Léonor acquiesça et commença à se diriger vers l’endroit où elle avait vu la jeune femme un peu plus tôt. Elle là trouva aisément, celle-ci n’ayant que peu bouger de son emplacement. Mais désormais, celle-ci pratiquait des exercices et des Katas, bondissant en tous sens. Etrangement, ces exercices me parurent nostalgique, comme issu de ma mémoire. Cela me fit sourire ; Je venais de me rappeler que c’était exactement le style d’exercice que Roy me faisait pratiquer lorsque j’étais plus jeune. Mais mes mouvements n’avaient pas autant de souplesse et de finesse. Ils étaient bien plus balourds et hésitant.
Etrangement, voir quelqu’un pratiquer pareil exercice me donnait envie de faire bouger mon propre corps. Je m’approchais donc, laissant choir ma veste d’officier et ma chemise, pour rester simplement en t-shirt.
-Puis-je me joindre à vous, Maîtresse ?
Elle s’inclina, puis, avec lenteur presque anormale, la jeune twi’lek commença à reprendre les mouvements de l’exercice de la Jedi.
Léonor était venue à la requête d’un conseiller corrélien, le sénateur en poste, pour déposer un artéfact qu’un proche du conseiller avait trouvé et estimé en plus grande sureté au sein du temple, sous la surveillance de ces Gardiens de la Paix.
Elle était donc venue en qualité d’émissaire et avait gravit avec une lenteur sereine les marches menant à ce temple trônant dans le paysage de Corruscent. Un immense édifice que nul ne peut réellement manquer. Mais, du coin de l’œil, alors que le matin n’était pas encore tout à fait levé, elle remarqua une jeune femme qui semblait s’étirer. Ne voulant pas perdre de temps, elle poursuivit sa route et arriva bientôt à l’entrée du temple ou elle trouva un jeune graçon.
-Pourrais-je rencontrer l’Archiviste, s’il vous plait ? J’ai un objet à lui remettre de la part du Conseiller Elwors. Lui demanda-t-elle.
Puis, elle attendit, pendant le jeune garçon lui demanda de patienter et fila avertir le Maître Jedi intéressé. Elle regarda donc la cité-planète qui s’étendait à perte de vu devant elle, se perdant presque dans la contemplation du spectacle. Elle ne s’était jamais réellement accoutumé à la planète, préférant de loin les plaines libres de Corrélia, mais elle devait avouer que ce monde ci avait un attrait pour nombre de personne. Elle regardait le balai incessant des gens qui s’éveillaient pour se rendre vers divers endroits sur le monde, tandis que les travailleurs de la nuit rentraient chez eux pour se reposer. Elle-même se trouvait entre deux feu. Réveillé de bonne heure pour être prête longtemps avant les heures du levé.
Elle regardait donc le spectacle, parfaitement éveillée, lorsqu’une voix la tira de sa contemplation.
-Lieutenant. J’ai ouïe dire que vous aviez quelque chose pour moi.
Léonor se retourna et se trouvait face à une femme d’un certain âge. La soldat s’inclina respectueusement.
-En effet, Maîtresse. Le conseiller Elwors m’a demandé de vous porter ceci, après qu’il me l’ai montré. Léonor sorti un datacron de la sacoche qu’elle portait en bandoulière. L’objet a commencé à lui lorsque je l’ai prise en mains sur invitation du conseiller. Dès lors, il m’a demandé de venir vous le remettre en main propre.
-Je vois. Ce n’est en effet pas commun de trouver ce genre d’objet. Je vais l’étudier pour en savoir plus à son sujet. Je ne puis que vous inviter à patienter un peu, que je puisse rédiger un message au conseiller pour lui donner mes premières constatations.
Léonor acquiesça et commença à se diriger vers l’endroit où elle avait vu la jeune femme un peu plus tôt. Elle là trouva aisément, celle-ci n’ayant que peu bouger de son emplacement. Mais désormais, celle-ci pratiquait des exercices et des Katas, bondissant en tous sens. Etrangement, ces exercices me parurent nostalgique, comme issu de ma mémoire. Cela me fit sourire ; Je venais de me rappeler que c’était exactement le style d’exercice que Roy me faisait pratiquer lorsque j’étais plus jeune. Mais mes mouvements n’avaient pas autant de souplesse et de finesse. Ils étaient bien plus balourds et hésitant.
Etrangement, voir quelqu’un pratiquer pareil exercice me donnait envie de faire bouger mon propre corps. Je m’approchais donc, laissant choir ma veste d’officier et ma chemise, pour rester simplement en t-shirt.
-Puis-je me joindre à vous, Maîtresse ?
Elle s’inclina, puis, avec lenteur presque anormale, la jeune twi’lek commença à reprendre les mouvements de l’exercice de la Jedi.
Anasthasia Our
# Re: Sur les marches du temple à l'aube [ouvert] - Lun 18 Sep 2017 - 11:20
Je continue mes cabrioles.
Je change d’exercice, de la danse je passe à des coups de sabre d'entraînement en essayant de garder un style en puissance. Je me concentre pour embrasser de Force mon sabre de bois et le renforcer. Le tout sans prendre comme à mon habitude un style de combat purement offensif.
C’est vraiment compliqué pour moi à chaque fois que je prend cette posture je prend le style de combat Sith Après si je change est-ce mieux, où vais-je perdre en efficacité ?
* A ce moment une jeune femme qui viens visiblement de sortir du temple m’aborde *
Mais bien sur, vous pouvez me rejoindre avec plaisir ! Si je voulais être seule , j’aurais choisie un lieux moins...public ! Mais que voulez-vous Coruscant à cette heure de la journée en devient presque une Ville agréable. La vie semble pulsée dans les artères chromées, on sent le cœur de la ville recommencer à battre plus vite et je trouve cette sensation vraiment agréable. Et cette place est vraiment parfaite pour s’imprégner de cette ambiance si éphémère.
Voyez vous pendant la journée je trouve la planète un peu trop mécanique. Habitants et voyageurs prennent un rythme pressé, automatique à l’image de la planète. Bref cela me fait plus penser à une architecture informatique qu’à des êtres vivants.
* Je reprend mon souffle, et m’approche pour saluer *
Enfin, navré de vous importuner avec mes convictions personnelle, quand je m'entraîne j’aime assez ressentir l’ambiance locale et j’étais perdue dans mes pensées.
Tout en achevant ces derniers mots, j’en profite pour réajuster ma coiffe et le voile qui me couvre la tête.
Anathasia, je crains de manquer fortement d’originalité étant donné la place mais Jedi.
Je change d’exercice, de la danse je passe à des coups de sabre d'entraînement en essayant de garder un style en puissance. Je me concentre pour embrasser de Force mon sabre de bois et le renforcer. Le tout sans prendre comme à mon habitude un style de combat purement offensif.
C’est vraiment compliqué pour moi à chaque fois que je prend cette posture je prend le style de combat Sith Après si je change est-ce mieux, où vais-je perdre en efficacité ?
* A ce moment une jeune femme qui viens visiblement de sortir du temple m’aborde *
Mais bien sur, vous pouvez me rejoindre avec plaisir ! Si je voulais être seule , j’aurais choisie un lieux moins...public ! Mais que voulez-vous Coruscant à cette heure de la journée en devient presque une Ville agréable. La vie semble pulsée dans les artères chromées, on sent le cœur de la ville recommencer à battre plus vite et je trouve cette sensation vraiment agréable. Et cette place est vraiment parfaite pour s’imprégner de cette ambiance si éphémère.
Voyez vous pendant la journée je trouve la planète un peu trop mécanique. Habitants et voyageurs prennent un rythme pressé, automatique à l’image de la planète. Bref cela me fait plus penser à une architecture informatique qu’à des êtres vivants.
* Je reprend mon souffle, et m’approche pour saluer *
Enfin, navré de vous importuner avec mes convictions personnelle, quand je m'entraîne j’aime assez ressentir l’ambiance locale et j’étais perdue dans mes pensées.
Tout en achevant ces derniers mots, j’en profite pour réajuster ma coiffe et le voile qui me couvre la tête.
Anathasia, je crains de manquer fortement d’originalité étant donné la place mais Jedi.
Invité
# Re: Sur les marches du temple à l'aube [ouvert] - Dim 1 Oct 2017 - 0:19
La jeune femme portait une coiffe sur la tête lui cachant les yeux. Pourtant, cela ne semblait pas la gêner le moins du monde, lorsqu'elle fit face à la soldat qui s'approchait.
Léonor la laissa exprimer son intérêt pour l'activité des habitants et de la Ville-Monde en général, avant de finalement s'excuser pour son engouement et son exposé. Ce qui fait doucement sourire la lieutenant.
-Je vous pris de m'excuser. Je ne partage pas ce plaisir. Un tel niveau de construction sur un monde me paraît presque comme une aberration, ayant grandit sur Corrélia. A mes yeux Corruscent est une dégradation du monde que cette planète aurait pu être.
Lorsque la jedi se présenta, Léonor s'inclina respectueusement,
-Je suis le Lieutenant Léonor Victirius, membre des Troupes de Marines de Corrélia, détachée à la garde du Conseiller corrélien Elwors. Enchanté de faire votre connaissance.
Vos exercices me rappelle ceux que me faisait pratiquer mon mentor durant ma jeunesse, avant que je n'entre à l'académie militaire. Raison pour laquelle je suis venu vous. En attendant que l'Archiviste finisse d'étudier le datapad que le Conseiller m'a demandé de lui apporter. Un truc étrange comme quoi l'objet ne se serait allumé qu'à mon contact. Je n'ai pas bien comprit de quoi il s'agissait.
Léonor la laissa exprimer son intérêt pour l'activité des habitants et de la Ville-Monde en général, avant de finalement s'excuser pour son engouement et son exposé. Ce qui fait doucement sourire la lieutenant.
-Je vous pris de m'excuser. Je ne partage pas ce plaisir. Un tel niveau de construction sur un monde me paraît presque comme une aberration, ayant grandit sur Corrélia. A mes yeux Corruscent est une dégradation du monde que cette planète aurait pu être.
Lorsque la jedi se présenta, Léonor s'inclina respectueusement,
-Je suis le Lieutenant Léonor Victirius, membre des Troupes de Marines de Corrélia, détachée à la garde du Conseiller corrélien Elwors. Enchanté de faire votre connaissance.
Vos exercices me rappelle ceux que me faisait pratiquer mon mentor durant ma jeunesse, avant que je n'entre à l'académie militaire. Raison pour laquelle je suis venu vous. En attendant que l'Archiviste finisse d'étudier le datapad que le Conseiller m'a demandé de lui apporter. Un truc étrange comme quoi l'objet ne se serait allumé qu'à mon contact. Je n'ai pas bien comprit de quoi il s'agissait.
Anasthasia Our
# Re: Sur les marches du temple à l'aube [ouvert] - Jeu 5 Oct 2017 - 14:16
« Vous savez je viens aussi d’une planète ayant drastiquement limité la présence des machines. Aussi j’avais au départ moi aussi beaucoup de préjugés. Mais même si je préfère toujours des décors plus naturels, on ne peut nier la beauté de ce gigantesque organisme artificiel. Un être vivant d’une taille titanesque où les humains ne sont que de simples cellules. Je trouve le tableau délicieusement ironique.
C’est bien dommage d’avoir abandonné vos exercices, sur le terrain les armes de corps à corps n’ont pas totalement disparues de la circulation. Si vous voulez essayer. »
Je lui tend un bâton en bois.
Cette franche jeune femme semble transpirer le dynamisme. Et ce n’est pas tous les jours qu’une personne reconnaît aussi simplement ne rien comprendre dans nos artefacts.
« Je pense que cela doit être une sorte d’Holocron, un objet technologique créé pour interagir aussi avec la Force. Ce genre de sciences et toujours assez impressionnantes. Souvent il sert à enregistrer des données et la Force est un verrou mais parfois c’est bien plus complexe.
D’ailleurs, si vous avez d’autres questions n’hésitez pas. »
C’est bien dommage d’avoir abandonné vos exercices, sur le terrain les armes de corps à corps n’ont pas totalement disparues de la circulation. Si vous voulez essayer. »
Je lui tend un bâton en bois.
Cette franche jeune femme semble transpirer le dynamisme. Et ce n’est pas tous les jours qu’une personne reconnaît aussi simplement ne rien comprendre dans nos artefacts.
« Je pense que cela doit être une sorte d’Holocron, un objet technologique créé pour interagir aussi avec la Force. Ce genre de sciences et toujours assez impressionnantes. Souvent il sert à enregistrer des données et la Force est un verrou mais parfois c’est bien plus complexe.
D’ailleurs, si vous avez d’autres questions n’hésitez pas. »
Invité
# Re: Sur les marches du temple à l'aube [ouvert] - Dim 8 Oct 2017 - 8:29
Cette jedi intriguait fortement la lieutenant. non pas qu'elle soit étrange. Après tout, la galaxie renfermait son lot d'étrangeté. Des choses que l'on ne peux pas toujours expliquer. Mais cette façon de voir le monde autour d'elle, d'y trouver de la beauté... Cela perturbait la soldate. Elle avait un esprit relativement simple et sa perception de ce qui l'entourait avait tendance à se résumer à ce qu'elle voyait. Même si elle acceptait parfaitement qu'il puisse y avoir des choses qu'elle ne percevait pas.
Mais de là à trouver ce monde beau... C'était un pas que la jeune femme n'était pas prête à franchir.
-J'espère que vous me pardonnerez de ne pas avoir le même ressenti en ce qui concerne la beauté de cette scène. Je comprends votre point de vue, mais ne le partage point. La jeune femme s'inclina respectueusement vers la jedi, puis se redressa calmement. J'ai arrêté, car je suis entrée à l'académie militaire et que je manquais de temps pour concilier ces deux formations.
Mais j'en ai profité pour apprendre l'escrime, histoire de ne pas complètement perdre la main. Mais il me manque, je le reconnais volontiers, l'aspect pratique du combat à l'arme. Enfin, en dehors du combat au poignard, que j'ai apprit à maîtriser rapidement. Depuis, je me perfectionne lorsque je le peux.
Léonor prit le bâton tendu et le soupesa, le faisant jouer dans sa main. L'arme était équilibrée et la sensation rappelait à la jeune femme les heures d'entrainement avec Roy.
Elle écouta la supposition de l’inconnue qui lui proposa de poser les question qu'elle pouvait avoir.
-En faite, en ce qui concerne ces choses, il y a tellement de questions que je me pose que je ne sais par ou commencer. Mon mentor avait commencé à m'expliquer la Force, mais il n'est jamais entré dans le détail. J'ignore pourquoi.
Mais de là à trouver ce monde beau... C'était un pas que la jeune femme n'était pas prête à franchir.
-J'espère que vous me pardonnerez de ne pas avoir le même ressenti en ce qui concerne la beauté de cette scène. Je comprends votre point de vue, mais ne le partage point. La jeune femme s'inclina respectueusement vers la jedi, puis se redressa calmement. J'ai arrêté, car je suis entrée à l'académie militaire et que je manquais de temps pour concilier ces deux formations.
Mais j'en ai profité pour apprendre l'escrime, histoire de ne pas complètement perdre la main. Mais il me manque, je le reconnais volontiers, l'aspect pratique du combat à l'arme. Enfin, en dehors du combat au poignard, que j'ai apprit à maîtriser rapidement. Depuis, je me perfectionne lorsque je le peux.
Léonor prit le bâton tendu et le soupesa, le faisant jouer dans sa main. L'arme était équilibrée et la sensation rappelait à la jeune femme les heures d'entrainement avec Roy.
Elle écouta la supposition de l’inconnue qui lui proposa de poser les question qu'elle pouvait avoir.
-En faite, en ce qui concerne ces choses, il y a tellement de questions que je me pose que je ne sais par ou commencer. Mon mentor avait commencé à m'expliquer la Force, mais il n'est jamais entré dans le détail. J'ignore pourquoi.
Anasthasia Our
# Re: Sur les marches du temple à l'aube [ouvert] - Lun 23 Oct 2017 - 11:52
« Vous semblez être une jeune femme en manque cruel de temps. Aussi votre instructeur a certainement décidé de ne pas vous importuner avec des détails inutiles. Certes pour un utilisateur la Force est une philosophie de vie, un exercice de la vie de tous les jours aussi nécessaire que la nourriture ou l’oxygène. Mais de votre côté, ce n’est qu’un outil à devoir gérer sur le terrain au même titre qu’un blindé ou une arme pointée sur vous.
La meilleure analogie que je pourrais trouver, c’est un fleuve tumultueux qui porte les utilisateurs. Parfois un utilisateur s’y noie.
Parfois il t’envoie le fleuve dans la figure histoire de te blesser, te bloquer ou te tromper.
Parfois il t’y plonge pour t’aider.
Evidemment, pour moi le sujet et plus complexe. Plus proche de la religion c’est une philosophie de vie. Mais d’un point de vue plus « neutre », vous pourriez me décrire comme une pratiquante religieuse, une moniale.
N’hésitez pas à être plus précis, vouloir en savoir plus sur la force c’est comme vouloir une introduction à la chimie : le sujet est vaste. »
J’arrête mon monologue pour recommencer mon entrainement avec la soldate.
« Vous avez de bon reste, vous savez l’entrainement au coteau nécessite d’avoir de sérieuses compétences en escrime. Avec peu d’allonge la maitrise de votre corps est encore plus impérieuse. »
Je continue à tournoyer avec elle et la soldate remarque rapidement que je bouge beaucoup pendant mes passes d’armes et involontairement je donne l’impression de lui tourner autour.
La meilleure analogie que je pourrais trouver, c’est un fleuve tumultueux qui porte les utilisateurs. Parfois un utilisateur s’y noie.
Parfois il t’envoie le fleuve dans la figure histoire de te blesser, te bloquer ou te tromper.
Parfois il t’y plonge pour t’aider.
Evidemment, pour moi le sujet et plus complexe. Plus proche de la religion c’est une philosophie de vie. Mais d’un point de vue plus « neutre », vous pourriez me décrire comme une pratiquante religieuse, une moniale.
N’hésitez pas à être plus précis, vouloir en savoir plus sur la force c’est comme vouloir une introduction à la chimie : le sujet est vaste. »
J’arrête mon monologue pour recommencer mon entrainement avec la soldate.
« Vous avez de bon reste, vous savez l’entrainement au coteau nécessite d’avoir de sérieuses compétences en escrime. Avec peu d’allonge la maitrise de votre corps est encore plus impérieuse. »
Je continue à tournoyer avec elle et la soldate remarque rapidement que je bouge beaucoup pendant mes passes d’armes et involontairement je donne l’impression de lui tourner autour.
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