Invité
Anonymous
Fiche de présentation



Nom : Doyle

Prénom : Ben

Âge : 53 ans

Race : humain

Côté de la Force : côté libéral de la Force! Ben n'est pas sensible à la Force.

Rang désiré : Chef de rédaction et éditorialiste au "Coruscant Post", actionnaire majoritaire des Établissements bancaires de Telerath.

Caractéristiques :
Force : 3
Dextérité : 2
Agilité : 1
Constitution : 2
Intelligence : 6
Sagesse : 3
Charisme : 6

Points Forts : Ben a un sens évident des affaires. Il arrive à voir clair dans des opérations financières complexes et a su s'élever dans un milieu fermé. S'ajoute à cela un bagou accrocheur, qui le rend fort populaire auprès du public et des lecteurs du 'Post'.

Points Faibles : Faut-il vraiment les lister tous? Ca risque d'être impossible... Bon, déjà il y a la vulgarité. Enfin, ça peut être un point fort, tout dépend hein? En tout cas, ce qui est certain, c'est qu'il a un caractère pour le moins... changeant. Ses éclats de colère le rendent totalement fou, hurlant et rouge comme une tomate. L'appât du gain, clairement, est aussi une de ses grosses faiblesses. Il lui faut plus, toujours plus (comme dans la pub). Et puis sa gourmandise (ou faut-il dire gloutonnerie?) le rend tout simplement incapable de tout effort physique considérable. Heureusement qu'il y a des ascenseurs pour atteindre le bureau.

Caractère : Ben est quelqu'un de fonceur, qui n'hésite pas à se lancer dans des projets avec enthousiasme et parfois une certaine dose de folie. Toutefois, son pragmatisme et son sens pratique font qu'il ne s'élance jamais dans une idée sans en avoir bien cerné les avantages et les inconvénients. Gouailleur et doté d'une personnalité forte, Ben est le prototype de la grande gueule. Il l'ouvre tout le temps et sur tout, même quand il n'y connaît rien. Il adore les affrontements verbaux et prend toujours un malin plaisir à presser ses invités comme des citrons. Face à un adversaire, il fait tout pour s'imposer, usant par là de sa rhétorique comme de son corps, dont la masse est impressionnante. Ben cultive son franc-parler et se donne ainsi un côté "proche du peuple", comme s'il représentait autre chose que lui-même et ses intérêts. Le pire, sans doute, c'est qu'il y croit.

Ben ne jure pas : il ponctue ses phrases de jurons. Il faut donc s'attendre, en sa présence, à entendre fuser des qualificatifs parfois peu sympathiques. La politesse et le savoir-vivre sont des choses d'aristos pour Ben. Lui, parle comme les "petites gens", sans artifice. Du moins, c'est ce qu'il se targue de faire... Colérique, Ben n'hésite pas à piquer des crises sur ses employés, les insultants copieusement. C'est un patron difficile, exigeant, sarcastique et orgueilleux. Tyrannique, il n'hésite pas à exiger de son personnel qu'il fasse de nombreuses heures supplémentaires. Cela dit, il n'est pas ingrat et rémunère assez bien ses employés. Ben a également tendance à la dépression, bien que rares soient ceux qui l'aient vu vraiment déprimé. En effet, lorsqu'il essuye un échec, Ben a tendance à toujours s'exagérer la chose. C'est alors colère, beuglements puis alcool et tabac. Il a même été chez un psy, pour un jour claquer la porte sans jamais payer, en menaçant le psychologue de divulguer sa liaison avec une de ses confrères. Vive la liberté de la presse. Ben peut toutefois se montrer agréable. Drôle, amusant, amateur de bons mots, grand lecteur, amateur de musique et de gastronomie, c'est un plaisir de discuter avec lui s'il vous a à la bonne et ne s'est pas levé du pied gauche. Souffrant d'insomnie, il prend régulièrement des cachets pour s'endormir, et ne reste au lit que quatre ou cinq heures en général. Il adore Coruscant, et apprécie les balades nocturnes dans les hauts comme les bas quartiers, qu'il connaît comme sa poche, en partie du moins.

Description Physique : C'est sûr, sur un champ de bataille Ben ne ferait guère forte impression. A cinquante-trois ans, le Coruscanti fait cent-trente kilos pour un mètre septante. C'est ce qui arrive lorsqu'on adore manger un déjeuner servi en deux plats, un dîner avec entrée, plat et dessert, puis un souper sur le même mode, avec apéritif avant et pousse-café en prime après. Bref, le tour de taille de Ben s'explique tout simplement par son alimentation folle. Son visage est rond et sympathique, passant du hurlement déchaîné au rire tonitruant. Il conserve encore des cheveux, bien qu'avec l'âge il les perde de plus en plus. Les années n'arrangeant rien, il lui faut aussi porter des lunettes pour lire, maintenant, ce qui l'exaspère au plus haut point. Ben porte tous les jours un veston et un pantalon assorti, ainsi qu'une chemise rentrant difficilement dans son pantalon. Une cravate complète le tout, bref Ben s'habille comme tout homme travaillant en bureaux. Accro au café, il se balade toujours avec un thermo, qui contient également du rhum corellien. Amateur de cigares, le bureau de Ben empeste le tabac tant il fume. La santé de Ben paraît donc bien précaire, pourtant, ses dernières analyses n'étaient pas mauvaises. Il n'y a pas de justice.

Histoire :

Ben Doyle attendait en coulisses que son tour vienne. De l'endroit où il se trouvait, il pouvait facilement apercevoir le plateau du Nieb Numb Show, où le présentateur sullustéen faisait la présentation du programme de la soirée. Ben sortit d'une poche intérieure de son veston une petite flasque et but une gorgée. Bordel, que c'était bon le rhum corellien! Y avait que ça de vrai comme alcool! Pas de ces cocktails pour tapettes.

Karl Trent s'approcha de Ben, son patron, les yeux pétillants. L'humain portait une barbe dont la tonte minutieuse trahissait la psychorigidité.
    « Cette émission pourrait booster les ventes de demain... J'ai fait une projection graphique... »

    « Bordel, lâche-moi les roustons avec tes fromages fluorescents! Je vais nous faire gagner du blé, tu vas voir. Ils vont aimer ça, même plus que le sexe. Ça va être un orgasme audiovisuel dans les chaumières. »


Karl plissa les yeux, toujours dubitatif face aux formules graveleuses de son employeur. Mais, après tout, Ben Doyle le payait, et s'il fallait se taire il le ferait. Vu son salaire, ça valait bien la peine de la boucler de temps en temps.
    « Allez c'est à moi. Putain que je déteste ce sullustéen... regarde-moi cette face, comme c'est laid... »


Ben quitta les coulisses et s'avança sur le plateau, affichant un grand sourire dans son visage rond et gras. Il saluait les personnes présentes, qui applaudissaient chaudement. Le présentateur s'avança vers Ben, lui serra la main devant les caméras puis l'invita à venir s'asseoir à côté de lui dans un fauteuil. Le sieur Doyle était habillé comme à son habitude : costard et cravate. Un ventre bien gonflé, serré dans sa chemise, montrait que l'invité aimait la bonne chair. Et ce n'était pas dans des gargotes que Ben Doyle allait s'empiffrer...
    « Ben Doyle, bonsoir! Je l'ai appris récemment en préparant cette entrevue mais... vous êtes natif de Coruscant! »

    « C'est exact, Nieb. Je suis né dans un centre hospitalier pourri des Bas-fonds de Coruscant. Mon père et ma mère avaient pas un sous. J'suis un coruscanti pur jus. »

    « Lorsqu'on suit votre parcours, il faut avouer qu'il est particulièrement atypique. Comment avez-vous quitté les bas-fonds de Coruscant pour devenir un jour banquier sur Telerath? Racontez-nous. »

    « A la force du travail, Nieb, comme tout honnête citoyen. J'ai toujours bien bossé à l'école, ma mère y veillait. J'ai jamais rien attendu des autres, moi. On n'avait pas d'allocations à l'époque, mes parents se débrouillaient pour m'envoyer à l'école. Ma mère a du trouver un job comme femme d'ouvrage et arrêter d'être mère au foyer. Mon père travaillait à l'usine. J'aurais été un fils ingrat si j'avais pas été foutu de réussir à l'école, tandis que mes parents se tuaient à la tâche pour que je vive un jour mieux qu'eux. »

    « Vous êtes un bon élève durant vos années à l'école... et c'est déjà vers l'âge de treize ans que vous vous sentez la fibre commerçante. »

    « Ouep. J'me débrouillais pour faire des p'tits boulots, à l'époque, histoire d'arrondir un peu les fins de mois et m'acheter un comics en économisant un peu. Bon, aujourd'hui vous pourriez plus, à cause de toutes ces conneries de réglementations... Bref, au fil du temps je me suis formé un petit pactole. Bon, trois fois rien, mais avec ça j'achetais des trucs que j'revendais ensuite... Une fois j'ai acheté exprès une vieille statuette collector à bas prix, qui m'intéressait absolument pas. Mais j'connaissais un mec à l'école qui aurait tout donné pour cette statuette! J'ai fait une belle plus-value, c'jour-là ahahah! Bref, c'était que dalle tout ça, mais c'est vrai que j'me suis tout d'suite senti à l'aise là-dedans. »

    « Tout change lorsque vous terminez vos études secondaires. Vous êtes acceptés à la Financial School of Coruscant, le rêve pour un gamin sorti des Bas-fonds. »

    « Les gens aujourd'hui se plaignent trop, au lieu de tout donner. Moi, j'me suis jamais plaint, j'ai toujours bossé et payé mes taxes, même si elles sont injustes pour la plupart. Aujourd'hui y a des gens qui attendent tout de l'Etat! Des allocs, des aides, des subsides... Qu'ils bossent!

    J'ai travaillé et j'ai été accepté à la FSC, où j'ai retrouvé plein de fils-à-papa. Des gosses de riches, cons comme des manches à balais mais pistonnés. Mais j'me suis pas plaint et j'ai travaillé. Résultat, j'avais ptêt pas les moyens pour me payer les bars les plus branchés de la capitale, mais j'ai fini premier de ma promotion, trois ans après. C'est là que ça fait plaisir de voir tous ces petits bourges bouffer leurs chapeaux de rage... »


    « Vous avez alors aux alentours de vingt-et-un vingt-deux ans. Vous commencez à la Banque du Noyau. »

    « Ouich, c'était mon premier vrai boulot. J'étais moins gros à l'époque, hinhinhin! J'débarque alors dans une des plus célèbres institutions bancaires. La classe! J'étais sous le charme. Comme tout nouveau, on m'a mis au bas de l'échelle. J'connaissais personne en plus, j'avais pas un nom connu ou des amis bien placés... j'avais qu'mon diplôme. Mais peu à peu on a vu que j'faisais du bon boulot. On m'a placé comme trader, finalement, et là j'me suis senti comme un poisson dans l'eau! »

    « Vous faites gagner des sommes gigantesques à la société. »

    « C'est moins technique que ça y paraît. Savez, parfois suffit d'avoir la bonne intuition, de s'fier à son instinct... Vous pouvez difficilement prédire l'évolution de la bourse à trois ou cinq jours, en tout cas pour certains produits financiers. Mais si vous connaissez bien la situation des acheteurs, le produit qui les intéressera, si vous savez anticiper et être suffisamment réactif... Alors vous pouvez faire un bon trader. »

    « Parfois vous opérez même des transactions à hauteur de plusieurs centaines de millions crédits. »

    « Pour sûr. Faut aussi prendre des risques. Moi, j'en ai toujours pris. Les gens qui s'plaignent de pas être aidés par l'Etat sont des froussards. La vie c'est oser. Parfois on perd mais quand on prend des risques, on gagne le plus souvent. Après six ans de taf j'avais remboursé la FSC. J'ai jamais eu de bourse. On m'avait fait un prêt et j'devais l'rembourser. Un donné pour un rendu. Le monde marche comme ça, mon cher Nub, et ceux qui veulent rendre tout gratuit veulent tous nous tirer vers le bas. »

    « Déjà, à l'époque, vous êtes farouchement libéral? »

    « J'ai jamais cru qu'en moi, j'ai jamais compté que sur moi et ma famille. Faut pas attendre de la vie qu'elle vous donne quelque chose, vous devez prendre ce que vous désirez. La liberté d'entreprendre, c'est l'individu qui prend sa vie en mains et qui ose. J'aime les gens qui veulent réussir. Mais j'ai jamais oublié que j'étais un gamin des bas-fonds. Jamais! Moi j'en ai vu des aristos incapables, des "fils de" placés à de hauts postes, des mecs recommandés par des sénateurs corrompus... J'suis un type du peuple moi, j'suis un plébéien pas un aristo. Mon fric, j'l'ai gagné à la sueur de mon front, pas en demandant les faveurs d'un richard ou de l'Etat. »

    « Un véritable self-made man? »

    « J'imagine qu'on peut dire ça comme ça. »

    « Qu'est-ce qui a fait qu'après seize années au sein de la Banque du Noyau, à gravir les échelons peu à peu, vous ayez été finalement viré? »

    « Un tas d'choses. Les administrateurs aimaient pas ma façon de s'exprimer. Selon eux, j'étais trop direct, trop rustre. Bref, trop populo quoi... J'avais ramené dans les caisses de la Banque des tonnes de blé, j'avais pris la tête du département de trading... Mais on avait peur de mes méthodes "non-conventionnelles". Je prenais trop de risques pour certains. La direction a préféré se débarrasser de moi, j'étais un empêcheur de tourner en rond pour eux. »

    « Vous avez regretté cette situation j'imagine? »

    « Ca risquait pas de me faire marrer. Cela dit, quand je vois que la banque a aujourd'hui été nationalisée... Je me dis qu'c'etait ptêt pas plus mal. »

    « Vous êtes opposé aux nationalisations? »

    « Et comment! C'est le plus grand vol de l'histoire de la République. Les Muuns ont bossé pendant des siècles pour faire du Clan Bancaire Intergalactique une entreprise remarquable et florissante! Et voilà que quelques politicards ont eu l'idée de tout leur piquer sans rien foutre. Si le gouvernement républicain peut agir ainsi, qu'est-ce qui l'empêchera un jour de prendre aux petites gens ce qu'elles ont? Sans parler du mauvais signal que cela envoie à tous les entrepreneurs. C'est du délire. »

    « Quoi qu'il en soit, après avoir été licencié vous vous êtes tourné vers un autre établissement bancaire... »

    « Tout à fait. A l'époque, j'en avais marre de Coruscant. J'ai toujours adoré ma planète natale mais le sale coup qu'on m'avait fait m'avait donné envie d'prendre le large.

    Je me suis rendu sur Telerath, une petite planète paumée... La planète appartenait presque totalement à une société bancaire dont la situation n'était pas glorieuse. Il y avait eu des affaires de corruption, de pots-de-vin, bref l'établissement avait perdu en crédibilité. A l'époque, je disposais d'un fameux pactole. J'avais gagné plein de pognon. Je n'ai pas honte à le dire, je l'avais mérité par mon travail. J'avais ensuite investi cet argent, je l'avais placé en bourse... Bref, j'avais de quoi racheter une part importante des Établissements bancaires de Telerath. La firme n'était pas très grosse, ses propriétés manquaient d'entretien... J'ai tout misé sur un projet risqué qui pouvait me mettre sur la paille. Encore une fois, je ne pouvais que compter sur moi.

    Mais je vous ai dit que prendre des risques, ça paye. Et ça a payé. Je bossais comme un taré, je m'en rappelle bien... Les cinq premières ont été extrêmement dures. Il fallait s'ouvrir à une nouvelle clientèle, redonner confiance après toutes les affaires, tout en respectant les standards imposés par une législation bancaire et financière exagérément restrictive. La concurrence, en plus, ne manquait pas. Mais après plusieurs années de galère, le travail a porté ses fruits et nous avons eu plus de clients, puis la mécanique était lancée et il fallait maintenant suivre le mouvement. »


    « Il faut aussi remarquer que votre entreprise se distingue des autres établissements bancaires. »

    « Y a pas plus vrai. Telerath appartient presque entièrement aux Établissements bancaires. On propose pas simplement un service bancaire basique... Non, on offre à nos clients un accueil personnalisé dans un cadre de rêve. C'est ce qui plaît à nos clients, mais pas seulement. Nous proposons toutes sortes de placements, à des taux très intéressants. »

    « Vous visez plutôt une clientèle fortunée... »

    « Mais non, encore de la propagande socialiste! J'entends ça tout le temps. Mais je connais pas mal de clients qui ne sont pas des grands magnats... C'est sûr qu'il faut mettre le prix mais nous n'avons aucune exclusive et nous proposons des accueils différents pour tous types de clientèle. Qui plus est, Telerath garantit le secret bancaire et je peux vous dire que c'est là une chose fort appréciée de nos clients. »

    « Vous avez connu le succès économique grâce à votre entreprise mais, aujourd'hui, le public vous connaît avant tout pour être le rédacteur en chef au "The Coruscant Post", le quatrième quotidien le plus lu de la République, le deuxième sur Coruscant. Votre matinale en ligne sur le site du journal, "Ben's tricky questions", où vous interviewez des personnes, sans concessions, est également très suivie. Comment expliquez-vous un tel succès? »

    « J'ai toujours aimé des défis. Après avoir réussi à relancer la machine sur Telerath, j'ai eu envie de revenir un peu sur Coruscant, et on m'a alors proposé une place au 'Post' pour commenter l'actualité économique. Ma façon de faire a plu et comme les audiences étaient bonnes on m'a donné de plus en plus de responsabilités. J'aime ça, les médias. La liberté de la presse est une des choses les plus importantes pour la République avec la liberté d'entreprendre! Les deux sont d'ailleurs liées. »

    « A tel point que les Établissements bancaires de Telerath forment tout de même le troisième actionnaire du ´Coruscant Post'. N'y a-t-il pas là un conflit d'intérêt? Est-ce que cela n'explique pas votre place? »

    « Ma place s'explique par les audiences que je fais et l'augmentation des ventes du journal. Vous ne voyez pas de conflit d'intérêt lorsqu'un chancelier est également militaire, lorsqu'une chancelière est aussi Jedi ou lorsqu'un ministre du Trésor est chef d'entreprise, ce qui me semble d'ailleurs être un très bonne chose. Si un jour mon travail n'est plus apprécié, je n'hésiterai pas à rendre mon tablier. J'imagine que ce n'est pas sur votre fiche, mais il y a quatre grands actionnaires au 'Post', si trois d'entre eux veulent que je m'en aille, je le ferai. Une seule chose est cependant sûre aujourd'hui : le public veut que je reste. »


P.S. : ce personnage s'inspire sur plusieurs du personnage de "Ben Cafferty" dans la série "Veep". Il est dépressif, marrant et bien portant. La ressemblance est voulue, j'adore la série en question et justement je souhaiterais avec ce personnage faire un peu dans le genre comique, à mon humble niveau. Cela dit, "Ben Cafferty" est une inspiration, rien de plus. Il ne s'agit pas de transposer un personnage d'un autre univers dans celui de star wars, de façon illogique. Toute l'histoire de mon petit Ben Doyle est inventée, et certains traits de son caractère divergent du personnage de la série (qui n'est pas aussi vénal, par exemple). Je préférais préciser, histoire que tout soit clair. :) Bonne et agréable (j'espère!) lecture!

Question HRP : Comment avez-vous connu le forum ? Je joue également Darth Valeras. ^^ Ça fait longtemps que je voulais faire ce personnage (de comédie) et je le ressors des cartons. :)
Invité
Anonymous
Je précise que la fiche est terminée, parce que j'ai dû modifier certains éléments du texte depuis que j'ai posté (j'avais notamment oublié de mettre les points faibles, et j'ai apporté des corrections d'ordre orthographique et grammatical). :)
Luuna Shein
Luuna Shein
Messages : 3909
Eclats Kyber : 0
Salut Ben !

Très belle fiche très agréable à lire et un personnage vraiment sympa !

La validation ne sera je pense qu'une formalité, mais il y a un petit quelque chose qui me chagrine concernant le personnage.

Ben est rédacteur en chef du Coruscant post, mais aussi dirigeant et actionnaire majoritaire des Établissements bancaires de Telerath, ce qui lui donne outre une puissance énorme au bonhomme, un emploi du temps complètement ingérable.

De là j'ai pas mal réfléchi à la chose et j'en suis arrivé à cette idée.

Pour avoir eu le temps de gravir les échelons au Coruscant Post, Ben a dû tout mettre de côté afin de se concentrer à 100 % sur ce but. J'ai l'impression que c'est sous entendu dans ta fiche, mais je voudrais en être certaine et surtout savoir comment Ben faisait pour la gestion des établissements bancaires de Telerath.

À présent rédacteur en chef, il n'a, a mon sens, que très peu de temps pour autre chose que cela, car c'est un poste à plein temps où il ne doit sans doute pas compter les heures sup'. Du coup, Ben a t il délégué la gestion des établissements bancaires à des personnes de confiance ?

De mon point de vu je le vois comme restant dans l'ombre côté bancaire, mais gardant un œil dessus sans autant s'y impliquer tout en étant au contraire complètement tourné vers la presse. Dans un sens cela serait logique et offrirait assez de temps à celui ci pour se concentrer à fond sur le Corucsant post tout en ayant des revenus plus que confortables.
Invité
Anonymous
Bonsoir! Merci de t'être occupé de ma fiche!

En fait, le terme "dirigeant" n'était pas très adapté... Je vais l'enlever! Je suis effectivement sur la même longueur d'ondes que toi, Ben se concentre avant tout sur son travail de rédacteur en chef. Comme actionnaire majoritaire des Établissements, il a un poids assez logique sur l'entreprise mais il ne la dirige pas directement, et n'appartient donc pas au conseil d'administration. :) Gérer le Post et diriger les Établissements en même temps serait effectivement ingérable. Les Établissements forment une entreprise qu'il détient en majeure partie, mais dont toute la gestion est détachée de Ben. :) Il se contente de dire "versez-moi mes dividendes". Razz

Luuna Shein
Luuna Shein
Messages : 3909
Eclats Kyber : 0
Ok, c'est donc parfait!

Te voilà validé!

Tu connais la chanson et n’oublies pas de mettre le lien de ta fiche dans ta signature Wink
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