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La tension était palpable dans la salle du conseil de guerre. A l'extérieur, la panique pointait son museau à la vue des défenses extérieures quasiment démolies. La peur et l'inquiétude flottaient dans les bâtiments et les souterrains où le peuple de la ville, sinon de la planète, avait trouvé refuge. Mais dans la salle, cette anxiété ambiante avait une texture et même, se surprit à remarquer le maître, un goût prononcés.
Les chiffres dansaient d'un côté puis de l'autre au gré des échanges de tir. L'attaque alliée était quelque peu imprécise, mais comment organiser une marche impeccable coordonnée avec pas moins de quatre factions différentes quand échanger des communications pouvait alerter l'ennemi ? L'armée déferlait telle un torrent dévalant une montagne. La ruse avait marché.

Pour autant, personne ne se sentait soulagé. C'était un excellent point de départ. Mais la bataille restait à livrer, et elle n'allait pas être de tout repos. Jamais le maître n'avait autant désiré être sur le terrain plutôt que derrière une table. La situation était pour le moins inhabituelle pour lui, à bien des égards.

L'Empire avait réagi très vite à l'assaut. Trop vite, peut-être - ce qui était un bon point -, en lançant un tir de barrage sur l'arrière des rangs alliés. La charge un rien chaotique avait rendu les tirs difficiles, les lignes arrières ne cessant de fluer et refluer. Il s'agissait en grande partie des troupes de la Ligue, qui démontraient là leur capacité d'adaptation. Ou peut-être tout simplement leur envie d'en découdre avec cette armée qui les narguait. Les pertes étaient négligeables - une expression atroce dans l'esprit du Jedi - et l'infanterie lourde répliquait déjà aux véhicules adverses avec des tirs de roquettes qui filèrent en sifflant au-dessus des casques alliés comme ennemis. Certains mercenaires experts en démolition à distance se joignirent aux efforts, noyant les cieux sous les explosifs et projectiles à ions divers en formant un dôme d'apocalypse au-dessus de la bataille.

Devant, en fer de lance, se trouvaient les troupes dubrillionnes. Impossible de se tromper à leur sujet : les dubrillions voulaient leur match retour. Et là, entre les lasers des blasters lourds, avec les tirs de blindés passant en sifflant au-dessus des têtes casquées, c'était une scène de cauchemar qui se jouait sur plusieurs holoécrans de la pièce. La même vision vue sous tous les angles, la course implacable des troupes, le rugissement des soldats, l'armée ennemie qui tenait position en tâchant de se reformer, mais trop lentement...

Le choc. Brutal, primaire. Les tirs de blaster à bout portant. Les cris aigus des lasers déchirant l'air, le métal, la chair.

"Unité 3 au nord, ciblez la brèche dans la ligne de front. Compagnie 42, soutenez la compagnie 84. Unité 5, tir de couverture pour les commandos républicains." débitait le général avec un air d'intense concentration. Ses yeux fixés sur l'holocarte tactique auraient fait flamber l'hologramme s'il l'avait observé à travers une loupe.

Pour autant, Berryl devait admettre que les Dubrillions étaient des petits malins . Conscients que leur petite planète pouvait devenir la cible des appétits d'une plus grosse coalition, leur réponse au problème de chiffrage des communications était simple : sur les trois ordres, un seul était valide, les deux autres servant de diversion. L'ordre valide changeait en suivant un cycle que le Jedi ne connaissait pas et n'avait pas le temps d'analyser pour le moment, même si l'énigme l'attirait. Les Sith comprendraient vite l'astuce, mais dans ces premières minutes de choc frontal, la confusion que cette petite manipulation pouvait provoquer allait servir d'une manière ou d'une autre.
Pour autant, le Jedi n'était pas dupe. La clé de cette astuce n'était pas le cycle de validité. Tout reposait sur le général qui devait envoyer des ordres et des contre-ordres le plus rapidement possible, et sur les officiers qui devaient les déchiffrer sans erreur. Créer une suite ininterrompue de manœuvres plausibles, où un ordre "faux" un instant avant pouvait devenir vrai trente secondes après.

Le maître sourit en coin, refusant de se laisser distancer. La République n'avait jamais pensé à incorporer un tel stratagème dans les classes des officiers, mais les commandos républicains étaient des soldats aguerris. Berryl fit donc appel à des unités qui n'existaient pas, ordonna à des escouades probablement stationnées sur Coruscant d'avancer, utilisant des numéros proches, inversés ou en anagramme des troupes réellement présentes. Rien que cela demandait une concentration de tous les instants et une vivacité d'esprit soutenue. Il préféra ne pas penser à l'entraînement qu'avait subit le général pour y parvenir sans la Force et la discipline mentale Jedi.

Tout se résumait au plus vieux proverbe de la galaxie - ou au moins l'un du top 3 - pour résumer l'état chaotique de cette invasion bien organisée, et que les corelliens adoraient particulièrement ressortir : "ça passe ou ça casse !"

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La contre attaque de l'armée de Berryl limite les dégâts que l'armée de Darth Laduim aurait pu causer.

Attaque de l'armée de Berryl réussi!

L'armée de Darth Laduim peut se défendre avec un jet de sagesse ou contre attaquer avec un jet d’intelligence.


Armée de Berryl: 68/100
Armée de Darth Laduim: 100/100
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De peu,

    Oui, il n'en aurait pas fallut beaucoup pour que les tirs des blindés ne se retournent contre la propre armée Sith ! Darth Laduim n'avait pas imaginé que les forces adverses puissent être aussi bien organisées, mais cette organisation avait un coup que tout général ne devait pas être prêt à payer ! Les frappes blindés avaient monopolisé une énorme attention de la part d'une large partie de l'armée adverse et cela pouvait se ressentir dans l'assaut des troupes régulières qui, bien que particulièrement efficaces, n’arrivaient à trouver de failles facilement exploitable !

    Il suffisait de voir l'acharnement que ceux-ci mettaient dans leurs tentatives de destruction des forces blindés Sith ! Certes, celles-ci avaient une certaine logique, mais ne valait il mieux pas concentrer les frappes sur les troupes régulières ? Les forces blindés venaient elle même de prouver leur efficacité plus que réduite dans une confrontation de la sorte, cela les rendait donc non prioritaires aux yeux de Darth Laduim, mais peut être était-ce là la raison pour laquelle elles étaient la cible de leurs adversaires ?


    " Mon Seigneur, les troupes adversaires tentent de détruire nos blindés ! Avec toute cette agitation de nombreux soldats ennemis arrivent à s'infiltrer dans nos défenses et même si nos troupes arrivent à les contenir, il n'est sans doute qu'une question de temps avant qu'ils trouvent une faille exploitable ! "


    Darth Laduim savait parfaitement cela, il n'était pas stupide et avait des yeux ! Un détail amusant pour un aveugle évidement, mais grâce à la Vision de Force il ne manquait aucun détails, il avait sans doute même une plus grande appréciation de la situation que l'homme à ses côtés. Peut être que la destruction des blindés Sith avaient un but bien précis ? Le Twi'lek accordait à ses adversaires que la destruction de cette force de frappe allait considérablement réduire l'efficacité de son armée sur le long terme, il devait faire quelque chose à ce sujet !

    " Je le sais parfaitement, taisez vous et demandez un rapport aux escouades spéciales ! Où sont elles ? En ont elles finies avec cette DCA ?! "

    " Non Mon Seigneur, mais elles sont à l’œuvre et nous assurent que d'ici peu nos chasseurs pourrons rejoindre le combat ! "

    " Nous allons donc continuer à faire sans... Que les troupes blindées et leurs escortes défendent leur positions ! Qu'elles prennent pour cible l’infanterie lourde aussi rapidement que possible, nous ne devon spas perdre notre force blindé ! Que les troupes régulières continue de tenir tête à nos ennemis ! Nous sommes plus nombreux, il n'y a aucun moyen pour eux qu'ils passent ! "

    " Bien Mon Seigneur... Que faisons nous quant aux transmissions de l'adversaire ? "

    " Laissez au vaisseau de commandement la tâche de trouver la façon correcte d’interpréter les ordres adverses. Tant qu'ils ne sont pas certains d'eux, nous feront sans comme ce fut le cas jusqu'à présent ! Je ne souhaite pas disperser nos troupes bêtement en suivant d’hypothétiques failles adverses ! "


    Darth Laduim hurla divers ordres aux hommes les plus proche de sa position, levant la main afin d'user de la force pour créer à l'aide d'une vague de force une brèche dans les lignes adverses ! Le Seigneur Sith regarda ses hommes tenter de profiter de la brèche qu'il venait de créer afin de couper l'armée leur faisant face à plusieurs petits groupes.

    La bataille faisait rage, mais au milieu de ce carnage de tous les instants le Seigneur Sith recherchait quelqu'un en particulier, ce Jedi qui menait les troupes, ce Jedi qui avait su anticiper ses attaques et ses ordres ! Avait il eu le courage de prendre par à la bataille lui aussi ou était il resté en arrière afin de préparer la fuite des notables Dubrillioniens ?


Jet de dés : Deux jets d'intelligence pour une contre attaque sur les forces d’infanteries lourdes et pour une attaque sur les troupes menant l'assaut au corps à corps.
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Contre attaque de l'armée de Darth Laduim réussie!

Armée de Berryl: -18 Hp

Attaque de l'armée de Darth Laduim réussie!

L'armée de Berryl peut se défendre avec un jet de sagesse ou contre attaquer avec un jet d’intelligence.


Armée de Berryl: 50/100
Armée de Darth Laduim: 100/100
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Tour de communication détruite par les troupes de Darth Laduim!
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L'ambiance était pour le moins morose dans la salle du conseil de guerre. L'atmosphère était lourde, saturée de dépit et de fureur contenue. Mal contenue, le poing du général s'abattant sur l'holotable avec violence en faisant clignoter le paysage bleuté.

"Je refuse ! beugla-t-il dans le silence oppressant. Je refuse de m'avouer vaincu ! Cela ne se peut pas ! Nous avons tout fait ! Nous avons utilisé toutes les ruses, toutes les tactiques, et l'ennemi n'a pour ainsi dire rien ! Rien ! Et nous... et nous..."

Sa colère légèrement retombée, le regard du général se perdit sur la liste des troupes. La moitié de l'armée tenait encore bon. Mais les forces adverses ne diminuaient pas tandis que les troupes alliées étaient irrépressiblement grignotées. La fin de cette bataille était évidente, et il fallait désormais y réagir.

"Fort bien. J'affronterai l'ennemi en face, puisque...
- Non, sire !
- Non, majesté !"

Le général comme le Jedi pivotèrent d'un bloc vers le souverain pour le stopper. Ils échangèrent un regard, puis le général reprit :

"Sire, le peuple de Dubrillion va avoir besoin de vous auprès de la Ligue pour rallier davantage de troupes et reconquérir la planète. Si l'Empire vous capture, tout est perdu.
- Tout-à-fait, majesté. Cette bataille est perdue, mais la guerre perdure. Vous devez attester de l'atrocité et de la cruauté de cette invasion. L'empire inventera tous les mensonges pour justifier cette attaque, vous le savez comme moi. Nous devons répandre la vérité avant qu'elle ne soit entachée.
- Je n'abandonnerai pas mon peuple, Jedi ! Je ne le laisserai pas entre les griffes de ce...
- Mes hommes se sont sacrifiés pour vous sauver, sire !"

Les dents serrées, le regard dur, le général d'armée fixait son suzerain avec la même détermination dont il avait fait preuve durant la bataille. Le roi soupira et baissa la tête, affligé.

"Ne puis-je donc que fuir ? Ne puis-je qu'aller mendier de l'aide tel un enfant allant chercher un professeur pour le protéger des grands qui le malmènent ? En sommes-nous réduit à cela ?"

Berryl ferma les yeux, inspira, puis répondit d'une voix calme et posée.

"Oui, majesté."

L'homme couronné semblait bien frêle dans cette pièce, les épaules secouées de sanglots muets. Aucune trace lorsqu'il releva la tête, bien entendu : un roi ne montre jamais de faiblesse.

"Très bien, répondit-il d'un ton assez dur pour trancher la roche. Puisqu'il le faut, nous partirons.
- Je préviens les troupes de la République. Nous pouvons vous évacuer tous deux dans l'heure, et nous emmènerons tous les réfugiés et blessés que nous pourrons."

Le Jedi fit appeler un soldat républicain pour lui transmettre les ordres, tandis que le roi et le général préparaient leur départ en toute hâte.

"Les troupes vont devoir tenir la ligne autant que possible. Nous devons gagner tout le temps qu'il nous est possible. Chaque minute compte.
- C'est trop risqué, général, ce serait signer la mort de tous les soldats.
- Cela n'a plus la moindre importance, maître. Les mercenaires sont déjà sur le départ. La Ligue est en train d'affréter ses propres vaisseaux en attendant la retraite imminente. Nous nous raccrochons à des brins d'herbes. Les Siths vont conquérir la ville.
- Certes. Mais ils trouveront de la résistance sur le chemin. Et puisqu'un Jedi n'a pas su mener les troupes, il se tiendra à l'entrée de la ville, le sabre à la main."

Le corellien marchait à grands pas vers la porte de la salle, le regard décidé, les mains jointes dans ses amples manches. Le général le rattrapa dans le couloir enfiévré et lui posa la main sur l'épaule.

"Ne tentez même pas de me dissuader, général. Mon rôle est d'assurer votre sécurité et de veiller à ce que Dubrillion aie encore une chance. Peut-être ma présence suffira-t-elle à...
- Je ne doutes pas un instant de votre courage et de votre force, maître. Mais je ne peux confier mon souverain qu'à vous."

Le Jedi tenta de répliquer, mais le général le coupa d'un geste.

"Ne perdons pas de temps à comparer notre courage. Ou notre bêtise, plutôt. Je vous le demande personnellement : emmenez le roi. Emmenez-le à la Ligue, à la République ou auprès de n'importe quelle instance qui lutte contre l'Empire. La bataille est perdue, vous l'avez dit. Cela devient politique. C'est votre domaine, n'est-ce pas ?"

Le corellien fixa le général, puis acquiesça. Chacun devait jouer son rôle, semblait-il. Et bien qu'il en soit ainsi.

Le général partit rejoindre les troupes de défense de la ville, tandis que les forces alliées tenaient la position contre l'envahisseur du mieux qu'elles pouvaient. Les chasseurs formèrent une ligne de défense aérienne pour permettre aux transporteurs républicains et dubrillionnais d'embarquer le maximum de réfugiés.
Pendant ce temps, Berryl escorta le roi, sa suite et sa garde vers un vaisseau de la République. Mais il y avait une autre affaire à régler. Le Jedi sortit un comlink de l'une de ses nombreuses poches et l'alluma.

"Padawans. Rendez-vous au point zéro-trois-C. Ordre prioritaire. Revenez en vie."

Bifurquant dans un couloir, Berryl se rendit au point désigné pour y attendre les padawans. Il n'était pas question de les laisser derrière lui, dût-il affronter la totalité de l'Empire à lui seul.

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Défense de l'armée de Berryl presque réussie!

Armée de Berryl: -4 Hp

L'armée de Berryl fait bloque!

Armée de Beryl: +9 Hp


Armée de Berryl: 55/100
Armée de Darth Laduim: 100/100
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Stratégie payante,

    Darth Laduim avait réussi à prendre le dessus dans l’affrontement en exploitant les failles crées par l'acharnement de son adversaire à chercher à cibler ses blindés et celui-ci devait s'en mordre les doigts à présent ! Il aurait pourtant été facile de laisser cette menace de côté pendant encore de longues minutes, afin de se concentrer sur les troupes aux sols, plus mobiles, mais surtout plus efficace dans la situation actuelle !

    C'est celles-ci qui avaient su protéger les forces mécaniques de l'Armée Sith et harceler l'armée adverse avec une telle rage que la plus part de ses troupes lourdes avaient périt dans la manœuvre ! Les forces blindées n'étaient pas encore incontestées, mais elles avaient devant elle une voie royale et les assauts des troupes régulières Sith, bien que contenue en partie commençaient à trouver leur chemin eux aussi !

    " Mon Seigneur, le vaisseau de commandement nous fait savoir que votre équipe d'apprentis a mené sa mission à bien au niveau du centre de communication. Nos adversaires n'ont plus aucun moyens de communiquer avec leurs propres troupes, autant dire que la bataille va devenir une lutte à sens unique sans personne pour diriger une armée de cette taille... "

    " Parfait, qu'en est il des escouades spéciales ? Cette DCA a elle enfin était mise hors service ? "

    " Il semblerait que oui mon Seigneur, mais nos chasseurs luttent toujours contre ceux de l'adversaire et je ne pense pas que nous puissions compter sur leur aide dans un futur proche. À vrai dire ils sont même entrain de se faire repousser... "

    " Comment ça ? "

    " De nouveaux vaisseaux ont été engagés dans le conflit Mon Seigneur. Il semblerait que nos adversaires tentent de créer un couloir aérien sûr... Sans doute comptent ils fuir avec la noblesse... "

    " Qu'ils fuient alors ! Maintenez l'ordre de retraite pour vos vaisseaux ! Demandez des tirs d'appuis afin de couvrir celle-ci, nos adversaires s'avouent vaincus, nous allons donc en profiter ! Il n'est plus utile de faire traîner les choses à présent ! Ordonnez à nos blindés de se mettre en mouvement, qu'ils avancent sur la ville, qu'ils brise les murailles ! Repoussez la ligne de défense crée par l'armée adverse, forcez les à se disperser ! Que les deux escouades spéciales rejoignent le combat ! Je ne veux aucun survivants ! "


    Les hurlements conjoint des hommes autour du Seigneur Sith retentirent avec force et comme un seul homme, l'armée Sith soutenue par les pouvoirs obscurs de son leader fondit sur le mur humain crée pour la circonstance. Les hommes le composant était sans doute de braves combattant, mais sans le soutient de leur chaîne de commandement ils ne pourraient s'opposer à la machinerie Sith en mouvement, la fuite était leur seul espoir, mais au fond de lui le Twi'lek espérait qu'ils feraient front et qu'ils périraient en soldats.


Jet de dé : Jet d’intelligence pour une attaque conjointe sur le mur humain faisant bloquage devant la ville.
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Attaque de l'armée de Darth Laduim réussie!

L'armée de Berryl peut se défendre avec un jet de sagesse ou contre attaquer avec un jet d’intelligence.


Armée de Berryl: 55/100
Armée de Darth Laduim: 100/100
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Un vent froid et morbide souffle sur le champ de bataille. La capitale de Dubrillon est la proie des flammes. Dans un silence tout aussi morbide, des colonnes de dizaines de milliers de prisonniers civils défilent devant les troupes impériales en liesse. Car elles ont toutes les raisons de se réjouir : la victoire est écrasante. Les pertes dans le camp impérial sont négligeables. De mémoire d'homme, aucune annexion planétaire n'avait été réalisée avec tant d'efficacité. "Le Rancor de Dubrillon" est ovationné par ses hommes... Et il le mérite.

Seule une poignée de militaires a survécu, guidée par l'ex-Général en chef des forces Dubrillonnes. S'ils ont pu s'extraire de la capitale, et s'organiser en un petit mouvement de résistance, c'est seulement grâce aux armes lourdes sauvées par la République, lors de la défense de l'usine d'armement. Ils refusent de s'avouer vaincu, mais que peuvent-ils faire, seuls face à la machine impériale ?

Quant aux autres, ceux qui ont eu la chance de pouvoir fuir... Leur destin est entre les mains de la République à présent. Ils ont pu pour la plupart rejoindre Dantooine, le monde habité le plus proche... La famille royale est sauve. Et c'est une bien maigre consolation pour ce peuple fier à présent sans patrie, sans terre, et dont l'honneur a été foulé par des bottes impériales.


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