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# [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Mer 27 Mai 2015 - 18:56
Dubrillion, ses continents recouverts de forêts, ces océans superbes regorgeants de poissons en tout genre, sa famille royale régnant depuis des générations… Dubrillion, cette petite planète située juste entre l’Empire Sith et la République, à équidistance quasiment parfaite d’Artorias, nom que tous connaissent comme le théâtre de la sanglante réapparition aux yeux de la galaxie entière des siths, et de Dantooine, terre républicaine et ancienne enclave jedi. Dubrillion, cible parfaite pour les siths.
En effet, souhaitant profiter des troubles secouant la République, persuadée que cette dernière n’interviendra pas, la Dame Noire a envoyé l’un de ses plus fidèles lieutenants, le Conseiller Noir Darth Laduim en personne, mener un assaut éclair sur Dubrillion, afin d’étendre l’influence des siths, et de rapprocher dangereusement les frontières des deux Etats rivaux.
Ce dernier a donc mis au point une stratégie simple, digne d’une véritable frappe chirurgicale : forcer les barrages de la défense en leur point le plus faible, puis débarquer directement à terre pour prendre le palais, et forcer le roi Arak II à se soumettre à l’Empire, de gré ou de force. A l’aube, les forces de Dubrillion sont donc submergées au nord par une chasse sith très bien organisée, qui permet rapidement aux navettes transportant les troupes impériales de débarquer. Le Seigneur Sith donne l’ordre à quelques subordonnés de partir en éclaireurs pour prendre des points stratégiques, à l’avant, tandis qu’il fait avancer ses troupes afin de mater toute résistance dans sa marche inexorable vers la capitale.
Affolé, le roi Arak II envoie un message désespéré à la République et à l’Ordre jedi pour tenter de sauver sa planète… Et son trône. Seul Maître Berryl, envoyé pour surveiller la frontière, est suffisamment proche pour lui répondre et intervenir. Il rassemble quelques troupes et décide de se porter au secours de Dubrillion, arrivant juste à temps pour pouvoir atterrir sans trop de dommages, et comprend que la situation est extrêmement préoccupante. L’armée ennemie marche sur la capitale, et malgré la résistance acharnée des locaux, ces derniers n’ont pu que ralentir l’avancée de Darth Laduim et de ses suivants.
Le Maître Jedi a donc la défense d’une ville, et par extension d’une planète neutre entre ses mains, et doit composer avec des troupes de mercenaires arrivées étrangement à point nommées, certains murmurant qu’une organisation nommée l’Astre est derrière cette aide soudaine, des troupes de la Ligue des Mondes Périphériques, quelques unités des forces spéciales républicaines et les forces locales restantes… Bref, un assemblage disparate, hétéroclite mais qu’il va devoir diriger au mieux.
En face, l’armée sith approche. L’affrontement est inéluctable.
Ordre de post: Pendragon Berryl - Darth Laduim
Conditions particulières: Les règles de jets de dés seront les mêmes que celles d'une [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]à la seule différence que vous évoluerez avec des unités terrestres. Vous devez écrire au moins 16 posts pendant le temps imparti sauf si vous arrivez à détruire l'armée adversaire avant cette limite.
En effet, souhaitant profiter des troubles secouant la République, persuadée que cette dernière n’interviendra pas, la Dame Noire a envoyé l’un de ses plus fidèles lieutenants, le Conseiller Noir Darth Laduim en personne, mener un assaut éclair sur Dubrillion, afin d’étendre l’influence des siths, et de rapprocher dangereusement les frontières des deux Etats rivaux.
Ce dernier a donc mis au point une stratégie simple, digne d’une véritable frappe chirurgicale : forcer les barrages de la défense en leur point le plus faible, puis débarquer directement à terre pour prendre le palais, et forcer le roi Arak II à se soumettre à l’Empire, de gré ou de force. A l’aube, les forces de Dubrillion sont donc submergées au nord par une chasse sith très bien organisée, qui permet rapidement aux navettes transportant les troupes impériales de débarquer. Le Seigneur Sith donne l’ordre à quelques subordonnés de partir en éclaireurs pour prendre des points stratégiques, à l’avant, tandis qu’il fait avancer ses troupes afin de mater toute résistance dans sa marche inexorable vers la capitale.
Affolé, le roi Arak II envoie un message désespéré à la République et à l’Ordre jedi pour tenter de sauver sa planète… Et son trône. Seul Maître Berryl, envoyé pour surveiller la frontière, est suffisamment proche pour lui répondre et intervenir. Il rassemble quelques troupes et décide de se porter au secours de Dubrillion, arrivant juste à temps pour pouvoir atterrir sans trop de dommages, et comprend que la situation est extrêmement préoccupante. L’armée ennemie marche sur la capitale, et malgré la résistance acharnée des locaux, ces derniers n’ont pu que ralentir l’avancée de Darth Laduim et de ses suivants.
Le Maître Jedi a donc la défense d’une ville, et par extension d’une planète neutre entre ses mains, et doit composer avec des troupes de mercenaires arrivées étrangement à point nommées, certains murmurant qu’une organisation nommée l’Astre est derrière cette aide soudaine, des troupes de la Ligue des Mondes Périphériques, quelques unités des forces spéciales républicaines et les forces locales restantes… Bref, un assemblage disparate, hétéroclite mais qu’il va devoir diriger au mieux.
En face, l’armée sith approche. L’affrontement est inéluctable.
Ordre de post: Pendragon Berryl - Darth Laduim
Conditions particulières: Les règles de jets de dés seront les mêmes que celles d'une [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]à la seule différence que vous évoluerez avec des unités terrestres. Vous devez écrire au moins 16 posts pendant le temps imparti sauf si vous arrivez à détruire l'armée adversaire avant cette limite.
Invité
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Lun 1 Juin 2015 - 20:31
Encore une fois, les Jedi contre-attaquent après un assaut Sith. Encore une fois, une mission de routine tourne à la catastrophe. Ah mais ! Au moins cette fois, lesdits Jedi - ou plutôt le, puisque seul le maître en bure bleu est présent - arrive pile au bon moment pour organiser la défense.
Car en ce jour, qu'il préfère ne pas décrire en termes de béni ou de maudit, maître Berryl deviens général, chef de guerre pour protéger une petite planète neutre qui n'a rien demandé à personne. Sauf aux Jedi. Pour de l'aide. C'est qu'ils sont un peu, comment dire... aux abois, là. Rapport à l'armée en marche qui enfonce leurs défenses comme un sabre-laser dans une motte de beurre de nerf.
Se frottant les yeux dans la Grand Salle du Conseil où se tenait le conseil de guerre de Dubrillion, Berryl mettait ses idées en ordre. L'affaire n'allait pas être simple, un amalgame de troupes diverses contre une machine de guerre huilée et préparée. Mais la facilité n'est pas Jedi, après tout, elle mène à l'impatience, qui mène à la colère et on sait où cela mène au final. Peut-être pour ça que le côté Obscur de la Force sort si souvent victorieux, tiens.
Bref. Dubrillion. La défense du palais et du roi est la clé de la victoire, mais se concentrer dessus équivaudrait à laisser les Sith marcher librement jusqu'aux portes. Non, l'armée devait être stoppée nette.
Tout d'abord, le Jedi avait avec lui un corps de soldats de la République. Des hommes entraînés, des troupes de chocs qui allaient trouver là, malheureusement pour certains, la gloire au champ d'honneur.
Ensuite, l'armée de Dubrillion tenait encore bon. Un petit miracle, que le Jedi comptait bien perpétuer. Le moral était vacillant, bien évidemment, mais de cela aussi, Berryl allait s'occuper.
La Ligue des Mondes Libres était présente elle aussi, et s'était soumise de bonne grâce à l'autorité Jedi. Jedi, non pas républicaine, il convenait de le préciser.
Enfin, un certain nombre de mercenaires se trouvaient là et disposés à aider la planète. Le roi avait bien eu des inquiétudes quand au paiement, mais la Ligue et la République aideraient à récompenser les mercenaires s'ils aidaient à remporter la bataille. Et puis... il y avait des rumeurs d'Astre...
En face, qu'avait-on ? Des éclaireurs avaient rapporté voir un Twi'Lek rouge et noir, calme et impassible, à la tête des troupes. Un Sith, de toute évidence, qui avait occis quelques soldats peu motivés pour l'exemple. Un adversaire à la hauteur du Corellien - qui espérait en être un à la taille de ce Twi'Lek.
Une frappe propre, rapide, impeccable. Le général comptait sur une attaque-éclair. Il fallait l'enliser. Non pas qu'il perdrait ses moyens, mais au moins devrait-il se rabattre sur une autre tactique.
"Très bien. Votre majesté, Général, avez-vous confiance dans vos troupes ?
- Quelle question ! Bien sûr ! s'insurgea le général en chef de Dubrillion, homme au regard franc encore doté des traces de sa musculature de soldat.
- Nous avons toute confiance, maître Jedi, tempéra le souverain sans se départir de son port altier et charismatique. Ses yeux pétillaient d'intelligence, sans laquelle son trône serait sans doute déjà occupé par quelqu'un d'autre. Mais cette guerre surprise les a, je le crains, mis à mal, si c'est ce que vous voulez dire."
Berryl sourit. On est toujours heureux d'avoir un joueur astucieux et compétent à ses côtés.
"Je vous propose de les laisser reprendre leur souffle et d'envoyer les mercenaires et la Ligue pour former un front ici, fit le Jedi en pointant un endroit sur l'holocarte tactique.
- Et laisser ces étrangers protéger notre peuple, maître Jedi ? Cela risquerait de plomber le moral encore un peu plus."
Le Corellien secoua la tête.
"Ils gagneront un temps précieux pour que vos troupes se ravitaillent et se préparent à repartir au combat. Vos alliés protègent votre armée, votre majesté, et votre armée protège Dubrillion et son peuple."
Se frottant le menton, le souverain échangea un regard avec le général, lui aussi pensif.
"Dans ce cas, nous pouvons poster les plus vaillants aux portes de la ville et dans le palais, sire. Ils mettront les réfugiés à l'abri, et j'admets que cela leur soulagera l'esprit. Nous pourrions déployer nos escouades encore en état sur le côté, par ici, où nous pourrons tenter de repousser le flanc est de l'armée.
- Excellente idée, mon général, répondit Berryl. Si nous parvenons à briser leur ligne, il sera d'autant plus facile de les contenir.
- Mais cela laisse le flanc ouest vulnérable, les troupes de la Ligue et nos soldats ne pourront jamais couvrir tout le terrain. Ces maudits impériaux vont vite s'engouffrer dans la brèche.
- Tout comme ils ont fondu sur le point vulnérable de vos défenses, sire, expliqua Berryl avec un sourire rien moins qu'amical. Et ils ne s'attendront pas à recevoir les forces républicaines venant de ce bois à l'ouest, les prenant en étau avec la Ligue, qui se sera préparée sur son propre flanc ouest.
- Un plan circonvoluté, mais ingénieux.
- Seulement si ça marche. Et je n'aime pas envoyer toutes nos troupes disponibles ainsi, les impériaux pourraient avoir une escouade de commandos nous contournant. Et s'ils nous brisent ici, il n'y aura plus rien pour les retenir."
Le maître secoua la tête, déplaçant les figurines holographiques sur le plateau. Les portes de la salle s'ouvrirent soudain, laissant la place à un soldat républicain visiblement très pressé.
"Pardonnez-moi monseigneur Berryl, mais j'ai une nouvelle urgente à vous communiquer. Le centre com que nous avons installé est sous assaut ennemi."
L'inquiétude s'insinua sur les visages, teintée d'un bref mécontentement lorsque le souverain s’aperçut que le "monseigneur" ne lui était pas destiné. Ce n'était pas une bonne nouvelle du tout. Mais c'était à lui, le Jedi, le maître de guerre, le défenseur galactique, de prendre les décisions.
"Quelle est la force ennemie, sergent ?
- Deux entités confirmées, monsieur. Des Sith. Encore novices, mais...
- Mais des Sith tout de même, je comprends. Mon général, si vous aviez quelques troupes expérimentées qui...
- J'envoie une escouade sur place, le coupa net le soldat expérimenté. Mais cela sera-t-il suffisant ?"
Le regard du Corellien se tourna vers le sergent.
"Les padawans Nanya et Azulis sont déjà en chasse, monseigneur.
- Vous vous attendiez à ça ? s'exclama le général, abasourdi.
- C'est ce que j'aurais fait à la place d'un général fourbe et rusé. Merci, sergent. Soutenez ces padawans au mieux et tenez-nous informés."
Berryl revint à la carte et pointa les deux nouveaux symboles en place.
"Nous n'enverrons pas la totalité des troupes, mon général, vous avez raison. Il va nous falloir jouer avec moins de pièces que l'ennemi, mais nous avons l'avantage de pouvoir nous replier et soigner les blessés. Une partie de l'armée dubrillionne restera pour protéger la ville, aidée au palais par une escouade républicaine. Les mercenaires sont déjà en train de se déployer pour récupérer les installations perdues aux impériaux et protéger celles encore sous notre contrôle, notamment le générateur annexe ici, à l'ouest, la manufacture d'armes, au nord-nord-ouest, et les voies de transport à l'est-nord-est.
- De bien maigres renforts. Général, cela vous paraît-il suffisant ?
- Sire, nous parlons d'hommes farouchement indépendants, équipés d'armes le plus souvent de contrebande et pour la plupart incapables de la moindre discipline martiale.
- Une mauvaise manœuvre, donc s'enquit le roi, renfrogné.
- Sire, je refuse de laisser ces diables d'hommes près de mes troupes. Mais si nous pouvons lâcher ces fauves sur les saboteurs et éclaireurs impériaux, je n'hésiterai pas un instant. Certains d'entre-eux valent chacun une unité complète.
- Voilà qui paraît plus prometteur. La Ligue entière absorbera le choc, alors ?
- Non. Avec vos soldats sur l'est et l'étau à l'ouest, une force plus réduite peut tenir le front au centre. La République gardera des réserves à l'extérieur de la ville, se regroupant avec votre armée à mesure qu'elle se ravitaille. Le reste de la Ligue se postera ici... et ici, avec quelques mercenaires pour leur donner, disons, une force de démolition supplémentaire."
Le roi et le général observèrent les holostatuettes danser sur le terrain.
"Au nord ? Vous étirez dangereusement nos ressources en essayant d'être partout au risque d'être nulle part. Comptez-vous qu'ils fassent diversion auprès des impériaux en offrant des cibles sur leurs deux flancs ?
- Non, ce serait utopique, répliqua le général, penché sur la table et commençant à comprendre la réflexion du Jedi. Ils resteraient camouflés, je vois... c'est très risqué, maître, je dois le dire. Mais cela pourrait être un facteur décisif de victoire.
- Nous verrons, mon général, répondit Berryl sans se départir de son sourire. Il y a plusieurs utilisations à un canif, et j'escompte bien le démontrer à nos invités."
Car en ce jour, qu'il préfère ne pas décrire en termes de béni ou de maudit, maître Berryl deviens général, chef de guerre pour protéger une petite planète neutre qui n'a rien demandé à personne. Sauf aux Jedi. Pour de l'aide. C'est qu'ils sont un peu, comment dire... aux abois, là. Rapport à l'armée en marche qui enfonce leurs défenses comme un sabre-laser dans une motte de beurre de nerf.
Se frottant les yeux dans la Grand Salle du Conseil où se tenait le conseil de guerre de Dubrillion, Berryl mettait ses idées en ordre. L'affaire n'allait pas être simple, un amalgame de troupes diverses contre une machine de guerre huilée et préparée. Mais la facilité n'est pas Jedi, après tout, elle mène à l'impatience, qui mène à la colère et on sait où cela mène au final. Peut-être pour ça que le côté Obscur de la Force sort si souvent victorieux, tiens.
Bref. Dubrillion. La défense du palais et du roi est la clé de la victoire, mais se concentrer dessus équivaudrait à laisser les Sith marcher librement jusqu'aux portes. Non, l'armée devait être stoppée nette.
Tout d'abord, le Jedi avait avec lui un corps de soldats de la République. Des hommes entraînés, des troupes de chocs qui allaient trouver là, malheureusement pour certains, la gloire au champ d'honneur.
Ensuite, l'armée de Dubrillion tenait encore bon. Un petit miracle, que le Jedi comptait bien perpétuer. Le moral était vacillant, bien évidemment, mais de cela aussi, Berryl allait s'occuper.
La Ligue des Mondes Libres était présente elle aussi, et s'était soumise de bonne grâce à l'autorité Jedi. Jedi, non pas républicaine, il convenait de le préciser.
Enfin, un certain nombre de mercenaires se trouvaient là et disposés à aider la planète. Le roi avait bien eu des inquiétudes quand au paiement, mais la Ligue et la République aideraient à récompenser les mercenaires s'ils aidaient à remporter la bataille. Et puis... il y avait des rumeurs d'Astre...
En face, qu'avait-on ? Des éclaireurs avaient rapporté voir un Twi'Lek rouge et noir, calme et impassible, à la tête des troupes. Un Sith, de toute évidence, qui avait occis quelques soldats peu motivés pour l'exemple. Un adversaire à la hauteur du Corellien - qui espérait en être un à la taille de ce Twi'Lek.
Une frappe propre, rapide, impeccable. Le général comptait sur une attaque-éclair. Il fallait l'enliser. Non pas qu'il perdrait ses moyens, mais au moins devrait-il se rabattre sur une autre tactique.
"Très bien. Votre majesté, Général, avez-vous confiance dans vos troupes ?
- Quelle question ! Bien sûr ! s'insurgea le général en chef de Dubrillion, homme au regard franc encore doté des traces de sa musculature de soldat.
- Nous avons toute confiance, maître Jedi, tempéra le souverain sans se départir de son port altier et charismatique. Ses yeux pétillaient d'intelligence, sans laquelle son trône serait sans doute déjà occupé par quelqu'un d'autre. Mais cette guerre surprise les a, je le crains, mis à mal, si c'est ce que vous voulez dire."
Berryl sourit. On est toujours heureux d'avoir un joueur astucieux et compétent à ses côtés.
"Je vous propose de les laisser reprendre leur souffle et d'envoyer les mercenaires et la Ligue pour former un front ici, fit le Jedi en pointant un endroit sur l'holocarte tactique.
- Et laisser ces étrangers protéger notre peuple, maître Jedi ? Cela risquerait de plomber le moral encore un peu plus."
Le Corellien secoua la tête.
"Ils gagneront un temps précieux pour que vos troupes se ravitaillent et se préparent à repartir au combat. Vos alliés protègent votre armée, votre majesté, et votre armée protège Dubrillion et son peuple."
Se frottant le menton, le souverain échangea un regard avec le général, lui aussi pensif.
"Dans ce cas, nous pouvons poster les plus vaillants aux portes de la ville et dans le palais, sire. Ils mettront les réfugiés à l'abri, et j'admets que cela leur soulagera l'esprit. Nous pourrions déployer nos escouades encore en état sur le côté, par ici, où nous pourrons tenter de repousser le flanc est de l'armée.
- Excellente idée, mon général, répondit Berryl. Si nous parvenons à briser leur ligne, il sera d'autant plus facile de les contenir.
- Mais cela laisse le flanc ouest vulnérable, les troupes de la Ligue et nos soldats ne pourront jamais couvrir tout le terrain. Ces maudits impériaux vont vite s'engouffrer dans la brèche.
- Tout comme ils ont fondu sur le point vulnérable de vos défenses, sire, expliqua Berryl avec un sourire rien moins qu'amical. Et ils ne s'attendront pas à recevoir les forces républicaines venant de ce bois à l'ouest, les prenant en étau avec la Ligue, qui se sera préparée sur son propre flanc ouest.
- Un plan circonvoluté, mais ingénieux.
- Seulement si ça marche. Et je n'aime pas envoyer toutes nos troupes disponibles ainsi, les impériaux pourraient avoir une escouade de commandos nous contournant. Et s'ils nous brisent ici, il n'y aura plus rien pour les retenir."
Le maître secoua la tête, déplaçant les figurines holographiques sur le plateau. Les portes de la salle s'ouvrirent soudain, laissant la place à un soldat républicain visiblement très pressé.
"Pardonnez-moi monseigneur Berryl, mais j'ai une nouvelle urgente à vous communiquer. Le centre com que nous avons installé est sous assaut ennemi."
L'inquiétude s'insinua sur les visages, teintée d'un bref mécontentement lorsque le souverain s’aperçut que le "monseigneur" ne lui était pas destiné. Ce n'était pas une bonne nouvelle du tout. Mais c'était à lui, le Jedi, le maître de guerre, le défenseur galactique, de prendre les décisions.
"Quelle est la force ennemie, sergent ?
- Deux entités confirmées, monsieur. Des Sith. Encore novices, mais...
- Mais des Sith tout de même, je comprends. Mon général, si vous aviez quelques troupes expérimentées qui...
- J'envoie une escouade sur place, le coupa net le soldat expérimenté. Mais cela sera-t-il suffisant ?"
Le regard du Corellien se tourna vers le sergent.
"Les padawans Nanya et Azulis sont déjà en chasse, monseigneur.
- Vous vous attendiez à ça ? s'exclama le général, abasourdi.
- C'est ce que j'aurais fait à la place d'un général fourbe et rusé. Merci, sergent. Soutenez ces padawans au mieux et tenez-nous informés."
Berryl revint à la carte et pointa les deux nouveaux symboles en place.
"Nous n'enverrons pas la totalité des troupes, mon général, vous avez raison. Il va nous falloir jouer avec moins de pièces que l'ennemi, mais nous avons l'avantage de pouvoir nous replier et soigner les blessés. Une partie de l'armée dubrillionne restera pour protéger la ville, aidée au palais par une escouade républicaine. Les mercenaires sont déjà en train de se déployer pour récupérer les installations perdues aux impériaux et protéger celles encore sous notre contrôle, notamment le générateur annexe ici, à l'ouest, la manufacture d'armes, au nord-nord-ouest, et les voies de transport à l'est-nord-est.
- De bien maigres renforts. Général, cela vous paraît-il suffisant ?
- Sire, nous parlons d'hommes farouchement indépendants, équipés d'armes le plus souvent de contrebande et pour la plupart incapables de la moindre discipline martiale.
- Une mauvaise manœuvre, donc s'enquit le roi, renfrogné.
- Sire, je refuse de laisser ces diables d'hommes près de mes troupes. Mais si nous pouvons lâcher ces fauves sur les saboteurs et éclaireurs impériaux, je n'hésiterai pas un instant. Certains d'entre-eux valent chacun une unité complète.
- Voilà qui paraît plus prometteur. La Ligue entière absorbera le choc, alors ?
- Non. Avec vos soldats sur l'est et l'étau à l'ouest, une force plus réduite peut tenir le front au centre. La République gardera des réserves à l'extérieur de la ville, se regroupant avec votre armée à mesure qu'elle se ravitaille. Le reste de la Ligue se postera ici... et ici, avec quelques mercenaires pour leur donner, disons, une force de démolition supplémentaire."
Le roi et le général observèrent les holostatuettes danser sur le terrain.
"Au nord ? Vous étirez dangereusement nos ressources en essayant d'être partout au risque d'être nulle part. Comptez-vous qu'ils fassent diversion auprès des impériaux en offrant des cibles sur leurs deux flancs ?
- Non, ce serait utopique, répliqua le général, penché sur la table et commençant à comprendre la réflexion du Jedi. Ils resteraient camouflés, je vois... c'est très risqué, maître, je dois le dire. Mais cela pourrait être un facteur décisif de victoire.
- Nous verrons, mon général, répondit Berryl sans se départir de son sourire. Il y a plusieurs utilisations à un canif, et j'escompte bien le démontrer à nos invités."
- HRP:
- Jet d'attaque - Intelligence - pour entamer la première manœuvre et lancer les troupes alliées contre le gros de l'armée impériale
Le Masque de la Force
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Lun 1 Juin 2015 - 20:31
Le membre 'Pendragon Berryl' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'6' :
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Résultat :
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Attaque de l'armée sous les ordres de Berryl réussie!
Darth Laduim peut Ordonner à son armée de battre en retraite avec un jet de sagesse ou contre attaquer avec un jet d'intelligence s'il le désire!
'6' :
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Résultat :
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Attaque de l'armée sous les ordres de Berryl réussie!
Darth Laduim peut Ordonner à son armée de battre en retraite avec un jet de sagesse ou contre attaquer avec un jet d'intelligence s'il le désire!
Invité
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Jeu 4 Juin 2015 - 23:06
Dubrillion,
Regardant devant lui, le Seigneur Sith se dit qu'il n'aurait jamais imaginé être celui qui serait choisi pour mener une attaque d'une telle ampleur avant que la Dame Noire en personne ne vienne le lui annoncer. Dans un sens leur souveraine avait agit avec bon sens puisque, en y regardant de plus prêt, à qui d'autre pouvait elle faire confiance en ces moments de difficiles ? Une grande partie du Conseil Noir n'était plus, certains morts, d'autres captifs ou en fuite et les quelques prétendants pour occuper les postes vacants semblaient tous disparaître sans la moindre raison. De là à imaginer un complot, il n'y avait qu'un pas sur lequel Darth Laduim allait enquêter dès qu'il en aurait l'occasion. Mais avant tout il devait mener à bien la tâche qui lui avait été confié, à savoir annexer Dubrillion.
À la tête des troupes avançant vers la capitale, le Twi'lek pouvait se satisfaire de sa position, pourtant il ne semblait que peu attaché au fait de plaire à Darth Ynnitach plus que de raisons et n'avait fait que peu pour la mériter dans un sens. Depuis qu'il avait fait son apparition dans le monde très fermé des Sith, le Twi'lek ne s'était jamais véritablement montré ambitieux et n'avait pas prit plus qu'on voulait bien lui offrir. Était-ce cette fidélité qui avait payé ? Plusieurs fois il aurait pu trahir la Dame Noire au profit de ce maître qui l'avait envoyé à sa rencontre il y a bien longtemps. Il aurait pu aussi la trahir pour son propre profit, mais il n'y avait jamais vu le moindre intérêt, peut être parce qu'il ne se voyait pas comme un potentiel leader, mais au contraire comme l'instrument de celui-ci.
Après tout n'avait il pas été formé dans ce but ? Au fond de lui il se doutait que Darth Ynnitach connaissait la véritable raison de son apparition dans ce tombeau il y a de cela presque six ans, mais au jour d'aujourd'hui, cela n'avait plus la moindre importance. Darth Orn était mort, Darth Deavas aussi et avec eux cette guerre froide qui avait ravagé la galaxie pendant sans doute bien trop longtemps. Le Twi'lek se demandait quel avait été l'impact de toute cela sur les conflits actuels avec la république. Son ancien maître avait il tiré quelques ficelles afin que les Sith soient à nouveau sous le feu des projecteurs ou tout cela n'avait rien à avoir avec cet être déchu qui aurait vendu sa propre tête afin de blesser son éternel rival. Par moment il avait encore du mal à croire qu'il avait lui même mit fin aux jours de son maître, tout c'était passé si vite ce jour là !
Un homme vint se porter à la rencontre du Seigneur Sith et interrompit le fil de ses pensées après une petite courbette.
" Mon seigneur, les troupes de défenses planétaires sont entrains de se retirer vers la ville ! "
" Parfait. Prit par surprise ils n'étaient pas aussi bien préparés que nous et doivent déjà se ravitailler, c'est une chance pour nous et nous allons devoir en profiter. Qu'en est il des éclaireurs que j'ai fais envoyer afin de saborder usines de productions d'armes et leurs convois de ravitaillement ? "
L'homme avala sa salive péniblement ne sachant s'il était bon pour lui d'annoncer de mauvaises nouvelles ou pas. Il avait vu le Twi'lek exécuter plusieurs hommes un peu plus tôt dans la journée et ne souhaitait pas être le suivant, pour autant ne pas répondre allait sans doute conduire le Sith à prendre certaines mesures pour le moins indélicate.
" Les choses n'avancent pas si bien que prévu monseigneur... Il semblerait que les forces de défenses planétaires aient prévu cette attaque et nos hommes, bien que sur place, se heurtent à des Jedi. Il en est de même au centre de communications... "
Marquant une pause, l'homme reprit.
" Cependant l'avancé de notre armée principale se porte à merveille comme vous pouvez le voir. Nous sommes prêts à briser la faible résistance qui s'oppose à nous aux portes de la ville à votre ordre monseigneur ! "
Darth Laduim resta silencieux pendant un moment, pesant le pour et le contre d'une percé vers l'avant. Certains disent que la ligne droite est toujours la plus rapide des trajectoires, ils ont raison, mais se lancer ainsi en un assaut frontal était-ce la meilleure des options ? L'armée Sith surclassait largement les forces de défense de la ville, mais la présence de Jedi dans un coin aussi reculé de la galaxie n'était pas anodine. Le temple avait certainement dû envoyer quelques unes de leurs troupes stationné à la frontière pour venir en aide au roi.
" Où en est on quant à la capture des civils dans les zones que nous avons déjà contrôlées ? "
" Comme vous l'avez exigé nous avons épargné la plus grande majorité de la population et fait de nombreux captifs afin de fournir la main d’œuvre nécessaire à l'empire une fois la planète sous contrôle. Nos troupes ont déjà déployés les inaptes autour de nos positions afin qu'ils absorbent en partie les premières vagues d'assaillants. Cela devrait dissuader les troupes régulières de nous attaquer ! Qui voudrait faire couler le sang des leurs ? "
Un léger sourire se dessina sur les lèvres du Seigneur Sith. C'était parfait ! Les hommes sous ses ordres étaient en surnombre et tant qu'ils ne paniquaient pas et restaient en un seul bloc il n'y aurait aucune chance pour que les défenses de la ville tiennent !
Tout à coup des hurlements se firent entendre à l'ouest de sa position. Une attaque ? Déjà ? En soit il était prévisible que les opposants à l'empire ne les laissent pas œuvrer à leurs guise, mais avaient ils un avantage à venir les affronter ainsi ? Darth Laduim avait imaginé que le gros de la bataille se ferait dans la ville puisque, en sous nombre les troupes de Dubrillion auraient plus de chance. Pour autant il n'imaginait pas là une erreur de son adversaire encore inconnu, celui-ci avait déjà réussi à anticiper qu'il enverrait des groupes saborder les positions stratégiques, il devait donc avoir un plan d'autant plus que l'attaque n'était pas si virulente...
" Je veux que les troupes blindés contre attaque en pilonnant la position afin que celles sous le feu ennemis puissent s'en défaire et abattre chaque hommes cherchant à fuir ! "
Les choses sérieuses commençaient à présent...
À la tête des troupes avançant vers la capitale, le Twi'lek pouvait se satisfaire de sa position, pourtant il ne semblait que peu attaché au fait de plaire à Darth Ynnitach plus que de raisons et n'avait fait que peu pour la mériter dans un sens. Depuis qu'il avait fait son apparition dans le monde très fermé des Sith, le Twi'lek ne s'était jamais véritablement montré ambitieux et n'avait pas prit plus qu'on voulait bien lui offrir. Était-ce cette fidélité qui avait payé ? Plusieurs fois il aurait pu trahir la Dame Noire au profit de ce maître qui l'avait envoyé à sa rencontre il y a bien longtemps. Il aurait pu aussi la trahir pour son propre profit, mais il n'y avait jamais vu le moindre intérêt, peut être parce qu'il ne se voyait pas comme un potentiel leader, mais au contraire comme l'instrument de celui-ci.
Après tout n'avait il pas été formé dans ce but ? Au fond de lui il se doutait que Darth Ynnitach connaissait la véritable raison de son apparition dans ce tombeau il y a de cela presque six ans, mais au jour d'aujourd'hui, cela n'avait plus la moindre importance. Darth Orn était mort, Darth Deavas aussi et avec eux cette guerre froide qui avait ravagé la galaxie pendant sans doute bien trop longtemps. Le Twi'lek se demandait quel avait été l'impact de toute cela sur les conflits actuels avec la république. Son ancien maître avait il tiré quelques ficelles afin que les Sith soient à nouveau sous le feu des projecteurs ou tout cela n'avait rien à avoir avec cet être déchu qui aurait vendu sa propre tête afin de blesser son éternel rival. Par moment il avait encore du mal à croire qu'il avait lui même mit fin aux jours de son maître, tout c'était passé si vite ce jour là !
Un homme vint se porter à la rencontre du Seigneur Sith et interrompit le fil de ses pensées après une petite courbette.
" Mon seigneur, les troupes de défenses planétaires sont entrains de se retirer vers la ville ! "
" Parfait. Prit par surprise ils n'étaient pas aussi bien préparés que nous et doivent déjà se ravitailler, c'est une chance pour nous et nous allons devoir en profiter. Qu'en est il des éclaireurs que j'ai fais envoyer afin de saborder usines de productions d'armes et leurs convois de ravitaillement ? "
L'homme avala sa salive péniblement ne sachant s'il était bon pour lui d'annoncer de mauvaises nouvelles ou pas. Il avait vu le Twi'lek exécuter plusieurs hommes un peu plus tôt dans la journée et ne souhaitait pas être le suivant, pour autant ne pas répondre allait sans doute conduire le Sith à prendre certaines mesures pour le moins indélicate.
" Les choses n'avancent pas si bien que prévu monseigneur... Il semblerait que les forces de défenses planétaires aient prévu cette attaque et nos hommes, bien que sur place, se heurtent à des Jedi. Il en est de même au centre de communications... "
Marquant une pause, l'homme reprit.
" Cependant l'avancé de notre armée principale se porte à merveille comme vous pouvez le voir. Nous sommes prêts à briser la faible résistance qui s'oppose à nous aux portes de la ville à votre ordre monseigneur ! "
Darth Laduim resta silencieux pendant un moment, pesant le pour et le contre d'une percé vers l'avant. Certains disent que la ligne droite est toujours la plus rapide des trajectoires, ils ont raison, mais se lancer ainsi en un assaut frontal était-ce la meilleure des options ? L'armée Sith surclassait largement les forces de défense de la ville, mais la présence de Jedi dans un coin aussi reculé de la galaxie n'était pas anodine. Le temple avait certainement dû envoyer quelques unes de leurs troupes stationné à la frontière pour venir en aide au roi.
" Où en est on quant à la capture des civils dans les zones que nous avons déjà contrôlées ? "
" Comme vous l'avez exigé nous avons épargné la plus grande majorité de la population et fait de nombreux captifs afin de fournir la main d’œuvre nécessaire à l'empire une fois la planète sous contrôle. Nos troupes ont déjà déployés les inaptes autour de nos positions afin qu'ils absorbent en partie les premières vagues d'assaillants. Cela devrait dissuader les troupes régulières de nous attaquer ! Qui voudrait faire couler le sang des leurs ? "
Un léger sourire se dessina sur les lèvres du Seigneur Sith. C'était parfait ! Les hommes sous ses ordres étaient en surnombre et tant qu'ils ne paniquaient pas et restaient en un seul bloc il n'y aurait aucune chance pour que les défenses de la ville tiennent !
Tout à coup des hurlements se firent entendre à l'ouest de sa position. Une attaque ? Déjà ? En soit il était prévisible que les opposants à l'empire ne les laissent pas œuvrer à leurs guise, mais avaient ils un avantage à venir les affronter ainsi ? Darth Laduim avait imaginé que le gros de la bataille se ferait dans la ville puisque, en sous nombre les troupes de Dubrillion auraient plus de chance. Pour autant il n'imaginait pas là une erreur de son adversaire encore inconnu, celui-ci avait déjà réussi à anticiper qu'il enverrait des groupes saborder les positions stratégiques, il devait donc avoir un plan d'autant plus que l'attaque n'était pas si virulente...
" Je veux que les troupes blindés contre attaque en pilonnant la position afin que celles sous le feu ennemis puissent s'en défaire et abattre chaque hommes cherchant à fuir ! "
Les choses sérieuses commençaient à présent...
Jets intelligence pour une contre attaque puis jet intelligence pour attaquer les possibles fuyards.
Le Masque de la Force
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Jeu 4 Juin 2015 - 23:06
Le membre 'Darth Laduim' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
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Contre attaque de l'armée sous les ordres de Laduim réussie!
Armée de Berryl: -18 Hp
Attaque de l'armée de Darth Laduim réussie!
Berryl peut ordonner à son armée de battre en retraite avec un jet de sagesse ou contre attaquer avec un jet d'intelligence s'il le désire!
Armée de Berryl: 82/100
Armée de Darth Laduim: 100/100
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Berryl peut ordonner à son armée de battre en retraite avec un jet de sagesse ou contre attaquer avec un jet d'intelligence s'il le désire!
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Invité
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Lun 8 Juin 2015 - 23:05
"Redites-moi ça ! tonna le souverain en frappant le poing sur l'holotable tactique, contenant difficilement sa fureur.
- Les troupes alliées ont confirmé faire face à des civils dubrilliens, sire. Il s'agit d'habitants des villes tombées à l'ennemi, mis en première ligne pour pousser nos forces à l'hésitation - ce qui a parfaitement marché. Je crains, messire, que les Sith n'utilisent notre peuple comme bouclier humain contre nous. Voilà qui expliquerait pourquoi le choc initial nous a été aussi défavorable.
- Sans compter le pilonnage de leur artillerie... quels êtres infâmes !"
Le général parvenait à conserver un calme tout militaire, mais la lueur dans l’œil ne trompait pas le Jedi : lui aussi brûlait de faire payer cette humiliation, ce jeu pervers et cruel, à l'Empire.
S'ils savaient... ce n'était là qu'une mise en bouche qui allait vite être suivie du plat principal.
Dans son coin, Berryl réfléchissait en se frottant machinalement le bouc, les yeux rivés sur le terrain holographique et sur les figurines bleutées qui diminuaient ou disparaissaient à mesure que les rapports arrivaient au palais. Une question le tracassait : ce général Sith n'aurait pas pu utiliser la totalité des habitants de plusieurs villes pour ce petit tour, alors qu'avait-il fait du reste ? Les avait-il tous exécutés, ou bien les avait-il déjà tous envoyés vers une exportation dans l'espace impérial ?
Non. Non, quand on rachète un immeuble, on ne tue ni n'expulse ses occupants. Pas sans une bonne idée de ce que l'on va y mettre à la place. Et il s'agissait ici d'une planète entière, un massacre à l'échelle globale ne pourrait que tuer la planète, et empêcher les Sith de l'utiliser, quels que soient leurs objectifs. Le gros de la population devait vivre pour garder les installations et la planète actifs.
Alors quoi ? Où un Sith pouvait-il mettre des milliers, des millions de prisonniers sans risquer de se retrouver avec diverses émeutes éclatant derrière lui et menaçant de le submerger au mauvais moment ? Epurer les civils, diminuer leur nombre en abattant les plus rebelles et faire un exemple marquant pour les autres. Oui, c'est ce que la plupart des Sith feraient.
Mais pas celui-là. Celui-là les avait placé devant ses troupes et armés, en leur laissant deux choix : avancer et abattre leurs frères, ou mourir d'un tir dans le dos et se faire piétiner par la machinerie impériale. Plus que cruel, l'idée était géniale. Efficace, élégante, teintée d'ironie. Pourtant elle manquait de cette folie imaginative caractéristique des Sith. Oh, certes, l'imagination était là, mais il s'agissait de créativité tactique, non de sadisme pur.
Tout indiquait que cet être était plutôt dans le mépris de la vie, du moins de la vie ennemie. Une frappe précise et ciblée, faite pour aller au cœur de la planète d'un seul coup. Utiliser les captifs comme tampon pour épargner ses propres troupes tout en diminuant doublement les forces ennemies et sapant leur moral. Envoyer quelques éclaireurs pour prendre possession des infrastructures encore sous le choc, investissant un nombre minimum de troupes pour des résultats forcément à son avantage - mort de l'ennemi, voire privation d'éléments essentiels à la machine de guerre.
Ce Sith pillait la planète pour l'annexer à l'aide de ses propres forces. Plus qu'un envahisseur, il s'agissait presque d'un parasite. Et un parasite ne tue pas l'hôte, il en prend le contrôle avec le minimum d'effort. Ce qui signifiait que les habitants des villes conquises n'étaient pas parqués chez eux. Trop de monde à surveiller pour trop peu de troupes, et qui ne rapportait aucun avantage.
"Nous pouvons remercier l'Empire, fit le Corellien d'un ton calme et posé au milieu des débats stériles. [color:4d2d=0066CC]Ils nous offrent l'occasion de faire d'une pierre deux coups.
Et d'utiliser leur tactique contre eux, ajouta-t-il in petto.
- Que voulez-vous dire ? maugréa le roi, d'humeur plus que passable.
- Lorsqu'un arbre cache la forêt, que fait-on ? On s'en débarrasse. Les civils sont l'arbre, sans importance, qui masquent le véritable ennemi, l'armée impériale.
- Vous allez trop loin ! Il n'est pas question de sacrifier mon peuple pour votre guerre galactique, monsieur ! s'emporta vivement le souverain, le teint cramoisi.
- Exactement, votre majesté ! répliqua Berryl avec la même vivacité de ton. L'ennemi veut vous forcer à combattre votre propre peuple, à détourner notre attention. Nous ne pouvons pas le laisser faire impunément.
- Des paroles bien creuses, messire Jedi ! Que pouvons-nous faire d'autre, sinon nous rendre et laisser l'Empire nous éliminer ?
- Excellente question, mon général. Il y a longtemps, j'ai assuré devant mes pairs qu'il nous fallait contrer l'agressivité et la sournoiserie Sith en leur offrant notre étouffante bienveillance. C'est ce que nous allons faire."
La perplexité se lut sur les visages présents, pour des raisons somme toute très compréhensibles. Mais le Jedi sourit, de ce sourire qui avait semblé aimable à tant de diplomates orgueilleux persuadés d'avoir échappé aux mailles de l'enquête.
"Messieurs, notre adversaire veut nous imposer un choix. Mais nous n'avons pas à l'accepter. Ce que nous allons accepter, ce sont les premières lignes de l'armée ennemie.
- Etes-vous tombé sur la tête ?
- Votre altesse, je crois que le Jedi a raison, tempéra le général, levant ses yeux pour croiser ceux de Berryl. Les premières lignes sont en définitive nos hommes, et ce général nous les offre sur un plateau. Il nous suffit de les tirer derrière nos propres lignes pour les mettre en sécurité...
- ... et priver les impériaux de leurs boucliers, exactement, mon général, acquiesça Berryl avec un sourire amusé.
- Nos forces vont perdre des hommes, c'est certain, mais moins que s'ils devaient lutter également contre nos civils. Et si nous nous mettions à tirer sur eux, ce serait le signe que nous les avons abandonnés à l'Empire et beaucoup, par désespoir ou colère, deviendraient d'autant plus agressifs."
Le roi se frotta les yeux en soupirant. Tout ceci ne lui plaisait guère, mais pourtant un peu d'espoir reprenait racine en lui. Il y avait encore une chance de limiter le désastre, aussi mince soit-elle.
"La pince est prête, elle peut frapper le flanc ouest de l'armée et créer encore plus de confusion. Cela rendra d'autant plus facile la libération des civils. Mais notre adversaire ne s'est certainement pas contenté de ce petit stratagème. Il faut prévenir les escouades en route pour reconquérir les installations capturées et protéger celles encore en notre possession : il est probable que d'autres civils soient utilisés par l'ennemi.
- En ce cas, il nous faudra les épargner au mieux. Mais tout comme sur le front, nous ne pourrons pas tous les sauver. Certains seront terrifiés à l'idée des menaces qui planent sur leurs familles, d'autres saisiront l'occasion de grappiller quelques miettes pour eux-mêmes, et il y a toujours ceux qui condamnent les actions de votre majesté et seraient ravis de vous voir destitué.
- Je comprends. Nous sauverons ceux qui acceptent de l'être. Les autres... seront considérés comme assassinés par l'Empire. Le souverain soupira de frustration. Je ne devrais pas dire cela, j'ai la sensation de trahir mon peuple. Mais que puis-je faire d'autre ? Maître Jedi, est-ce là le visage des Sith ? Est-ce là ce que votre Ordre prétend combattre ?"
Berryl hocha gravement la tête devant le roi.
"C'est cela même, votre altesse. Mais nous ne prétendons pas les combattre, nous les combattons. Et nous les repousseront ici, en guise de premier pas pour les éliminer une fois de plus de la galaxie.
- Je commence à comprendre pourquoi vous avez tant de difficultés contre eux, maugréa le souverain. Je vous dois des excuses, je n'ai pas toujours été un fervent défenseur de votre cause.
- Tout cela importe peu, seule la défense de votre planète compte. Les forces républicaines vont frapper les impériaux au flanc, et la Ligue va absorber le bouclier dubrillien.
- Il s'agira moins d'une pince que d'un V, mais cela devrait tout de même aider à briser leur ligne. Et tout Dubrillien en maraude près de nos infrastructures doit être traité avec tous les égards mais gardé sous clé jusqu'à la fin de la bataille, par sécurité. Pas d'exception.
- Quand à l'artillerie ennemie, il se trouve qu'il nous reste les deux groupes postés au nord. Celui-ci Berryl poussa l'une des figurines holographiques est par un hasard inouï en bonne place pour se rabattre sur eux.
- Et laisser le temps à l'armée dubrillienne d'arriver en renforts. Voilà qui est parfait."
Tous trois fixèrent la carte bleutée entre eux. Il fallait absolument que les points rouges diminuent, ils en étaient conscients. Il ne restait qu'à espérer avoir la force et la détermination pour briser cette lame plantée au flanc de la planète.
- Les troupes alliées ont confirmé faire face à des civils dubrilliens, sire. Il s'agit d'habitants des villes tombées à l'ennemi, mis en première ligne pour pousser nos forces à l'hésitation - ce qui a parfaitement marché. Je crains, messire, que les Sith n'utilisent notre peuple comme bouclier humain contre nous. Voilà qui expliquerait pourquoi le choc initial nous a été aussi défavorable.
- Sans compter le pilonnage de leur artillerie... quels êtres infâmes !"
Le général parvenait à conserver un calme tout militaire, mais la lueur dans l’œil ne trompait pas le Jedi : lui aussi brûlait de faire payer cette humiliation, ce jeu pervers et cruel, à l'Empire.
S'ils savaient... ce n'était là qu'une mise en bouche qui allait vite être suivie du plat principal.
Dans son coin, Berryl réfléchissait en se frottant machinalement le bouc, les yeux rivés sur le terrain holographique et sur les figurines bleutées qui diminuaient ou disparaissaient à mesure que les rapports arrivaient au palais. Une question le tracassait : ce général Sith n'aurait pas pu utiliser la totalité des habitants de plusieurs villes pour ce petit tour, alors qu'avait-il fait du reste ? Les avait-il tous exécutés, ou bien les avait-il déjà tous envoyés vers une exportation dans l'espace impérial ?
Non. Non, quand on rachète un immeuble, on ne tue ni n'expulse ses occupants. Pas sans une bonne idée de ce que l'on va y mettre à la place. Et il s'agissait ici d'une planète entière, un massacre à l'échelle globale ne pourrait que tuer la planète, et empêcher les Sith de l'utiliser, quels que soient leurs objectifs. Le gros de la population devait vivre pour garder les installations et la planète actifs.
Alors quoi ? Où un Sith pouvait-il mettre des milliers, des millions de prisonniers sans risquer de se retrouver avec diverses émeutes éclatant derrière lui et menaçant de le submerger au mauvais moment ? Epurer les civils, diminuer leur nombre en abattant les plus rebelles et faire un exemple marquant pour les autres. Oui, c'est ce que la plupart des Sith feraient.
Mais pas celui-là. Celui-là les avait placé devant ses troupes et armés, en leur laissant deux choix : avancer et abattre leurs frères, ou mourir d'un tir dans le dos et se faire piétiner par la machinerie impériale. Plus que cruel, l'idée était géniale. Efficace, élégante, teintée d'ironie. Pourtant elle manquait de cette folie imaginative caractéristique des Sith. Oh, certes, l'imagination était là, mais il s'agissait de créativité tactique, non de sadisme pur.
Tout indiquait que cet être était plutôt dans le mépris de la vie, du moins de la vie ennemie. Une frappe précise et ciblée, faite pour aller au cœur de la planète d'un seul coup. Utiliser les captifs comme tampon pour épargner ses propres troupes tout en diminuant doublement les forces ennemies et sapant leur moral. Envoyer quelques éclaireurs pour prendre possession des infrastructures encore sous le choc, investissant un nombre minimum de troupes pour des résultats forcément à son avantage - mort de l'ennemi, voire privation d'éléments essentiels à la machine de guerre.
Ce Sith pillait la planète pour l'annexer à l'aide de ses propres forces. Plus qu'un envahisseur, il s'agissait presque d'un parasite. Et un parasite ne tue pas l'hôte, il en prend le contrôle avec le minimum d'effort. Ce qui signifiait que les habitants des villes conquises n'étaient pas parqués chez eux. Trop de monde à surveiller pour trop peu de troupes, et qui ne rapportait aucun avantage.
"Nous pouvons remercier l'Empire, fit le Corellien d'un ton calme et posé au milieu des débats stériles. [color:4d2d=0066CC]Ils nous offrent l'occasion de faire d'une pierre deux coups.
Et d'utiliser leur tactique contre eux, ajouta-t-il in petto.
- Que voulez-vous dire ? maugréa le roi, d'humeur plus que passable.
- Lorsqu'un arbre cache la forêt, que fait-on ? On s'en débarrasse. Les civils sont l'arbre, sans importance, qui masquent le véritable ennemi, l'armée impériale.
- Vous allez trop loin ! Il n'est pas question de sacrifier mon peuple pour votre guerre galactique, monsieur ! s'emporta vivement le souverain, le teint cramoisi.
- Exactement, votre majesté ! répliqua Berryl avec la même vivacité de ton. L'ennemi veut vous forcer à combattre votre propre peuple, à détourner notre attention. Nous ne pouvons pas le laisser faire impunément.
- Des paroles bien creuses, messire Jedi ! Que pouvons-nous faire d'autre, sinon nous rendre et laisser l'Empire nous éliminer ?
- Excellente question, mon général. Il y a longtemps, j'ai assuré devant mes pairs qu'il nous fallait contrer l'agressivité et la sournoiserie Sith en leur offrant notre étouffante bienveillance. C'est ce que nous allons faire."
La perplexité se lut sur les visages présents, pour des raisons somme toute très compréhensibles. Mais le Jedi sourit, de ce sourire qui avait semblé aimable à tant de diplomates orgueilleux persuadés d'avoir échappé aux mailles de l'enquête.
"Messieurs, notre adversaire veut nous imposer un choix. Mais nous n'avons pas à l'accepter. Ce que nous allons accepter, ce sont les premières lignes de l'armée ennemie.
- Etes-vous tombé sur la tête ?
- Votre altesse, je crois que le Jedi a raison, tempéra le général, levant ses yeux pour croiser ceux de Berryl. Les premières lignes sont en définitive nos hommes, et ce général nous les offre sur un plateau. Il nous suffit de les tirer derrière nos propres lignes pour les mettre en sécurité...
- ... et priver les impériaux de leurs boucliers, exactement, mon général, acquiesça Berryl avec un sourire amusé.
- Nos forces vont perdre des hommes, c'est certain, mais moins que s'ils devaient lutter également contre nos civils. Et si nous nous mettions à tirer sur eux, ce serait le signe que nous les avons abandonnés à l'Empire et beaucoup, par désespoir ou colère, deviendraient d'autant plus agressifs."
Le roi se frotta les yeux en soupirant. Tout ceci ne lui plaisait guère, mais pourtant un peu d'espoir reprenait racine en lui. Il y avait encore une chance de limiter le désastre, aussi mince soit-elle.
"La pince est prête, elle peut frapper le flanc ouest de l'armée et créer encore plus de confusion. Cela rendra d'autant plus facile la libération des civils. Mais notre adversaire ne s'est certainement pas contenté de ce petit stratagème. Il faut prévenir les escouades en route pour reconquérir les installations capturées et protéger celles encore en notre possession : il est probable que d'autres civils soient utilisés par l'ennemi.
- En ce cas, il nous faudra les épargner au mieux. Mais tout comme sur le front, nous ne pourrons pas tous les sauver. Certains seront terrifiés à l'idée des menaces qui planent sur leurs familles, d'autres saisiront l'occasion de grappiller quelques miettes pour eux-mêmes, et il y a toujours ceux qui condamnent les actions de votre majesté et seraient ravis de vous voir destitué.
- Je comprends. Nous sauverons ceux qui acceptent de l'être. Les autres... seront considérés comme assassinés par l'Empire. Le souverain soupira de frustration. Je ne devrais pas dire cela, j'ai la sensation de trahir mon peuple. Mais que puis-je faire d'autre ? Maître Jedi, est-ce là le visage des Sith ? Est-ce là ce que votre Ordre prétend combattre ?"
Berryl hocha gravement la tête devant le roi.
"C'est cela même, votre altesse. Mais nous ne prétendons pas les combattre, nous les combattons. Et nous les repousseront ici, en guise de premier pas pour les éliminer une fois de plus de la galaxie.
- Je commence à comprendre pourquoi vous avez tant de difficultés contre eux, maugréa le souverain. Je vous dois des excuses, je n'ai pas toujours été un fervent défenseur de votre cause.
- Tout cela importe peu, seule la défense de votre planète compte. Les forces républicaines vont frapper les impériaux au flanc, et la Ligue va absorber le bouclier dubrillien.
- Il s'agira moins d'une pince que d'un V, mais cela devrait tout de même aider à briser leur ligne. Et tout Dubrillien en maraude près de nos infrastructures doit être traité avec tous les égards mais gardé sous clé jusqu'à la fin de la bataille, par sécurité. Pas d'exception.
- Quand à l'artillerie ennemie, il se trouve qu'il nous reste les deux groupes postés au nord. Celui-ci Berryl poussa l'une des figurines holographiques est par un hasard inouï en bonne place pour se rabattre sur eux.
- Et laisser le temps à l'armée dubrillienne d'arriver en renforts. Voilà qui est parfait."
Tous trois fixèrent la carte bleutée entre eux. Il fallait absolument que les points rouges diminuent, ils en étaient conscients. Il ne restait qu'à espérer avoir la force et la détermination pour briser cette lame plantée au flanc de la planète.
- HRP:
- Jet d'Intelligence pour contre-attaquer et jet d'Intelligence pour lancer le second assaut
Le Masque de la Force
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Lun 8 Juin 2015 - 23:05
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Contre attaque de l'armée sous les ordres de Berryl raté!
Armée de Berryl: -16 Hp
Attaque de l'armée de Berryl réussie!
Darth Laduim peut ordonner à son armée de battre en retraite avec un jet de sagesse ou contre attaquer avec un jet d'intelligence s'il le désire!
Armée de Berryl: 66/100
Armée de Darth Laduim: 100/100
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Contre attaque de l'armée sous les ordres de Berryl raté!
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Darth Laduim peut ordonner à son armée de battre en retraite avec un jet de sagesse ou contre attaquer avec un jet d'intelligence s'il le désire!
Armée de Berryl: 66/100
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Invité
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Ven 12 Juin 2015 - 23:51
Inutile,
Jet de sagesse pour une défense contre attaque de l'armée Sith et jet d'intelligence pour une attaque à l'aide des civils kamikazes.- Sous le déluge de flamme que l'armée Sith proposait, jamais une contre attaque avec une aussi faible intensité ne pouvait fonctionner ! À qui ces hommes croyaient ils avoir à faire ? Si Darth Laduim avait demandé à pilonner les positions de la petite escouade de l'armée de défenses planétaires ce n'était pas pour rien ! Un aussi faible nombre de soldats ne pourrait jamais déplacer des montagnes, il savait parfaitement. Il avait choisi d'en disposer selon son bon vouloir afin de faire comprendre aux leaders de cette armée qu'il affrontait, que tout résistance était vaine.
Dans un sens le Seigneur Sith n'avait pas imaginé que ses adversaires puissent commettre un telle erreur, car cela venait de leur coûter une très grande partie de leurs forces vives, pour son plus grand plaisir. Sans parler de l'effet positif que tout cela avait sur ses propres troupes qui voyait les mouvements potentiellement risqués de son commandant leur offrir un début de victoire ! Cela ne pouvait qu'aider, mais il allait à présent falloir tempérer les ardeur des plus téméraires, à commencer par l'homme qui se trouvait à ses côtés.
" Brillante stratégie Mon Seigneur, peut être devrions nous forcer l'allure ? Il me semble clair que l'armée de nos opposants ne peut rivaliser avec la notre. Il serait bon pour l'avancée de l'empire de mettre fin à tout cela sans perdre de temps... "
" Pas encore, nous avons prit un avantage, veillons à ne pas le gaspiller inutilement. Croyez vous vraiment que nos adversaires vont en rester là ? Perdre des troupes fait parti du jeu et la seule question est de savoir si cette perte a été rentable pour eux. Nos adversaires viennent de perdre une part non négligeable de leur armée d'une façon stupide, c'est une bonne chose pour nous, il va falloir à présent faire attention à ne pas commettre la même erreur... "
Les choses pouvaient rapidement tourner dans une bataille d'une telle ampleur, une frappe bien placée pouvait rapidement faire perdre une bataille et inversement. Darth Laduim n'osait imaginer ce qu'il se serait passé si la contre attaque de l'adversaire avait été plus appuyé. Cependant quelque chose dans ce mouvement de troupes clochait. À quoi bon avoir lancé une escarmouche de la sorte ? La force ennemi n'avait clairement eu aucune chance et c'était à peine si les civils protégeant son flanc ouest avaient été blessé pendant l'attaque. Leur présence avait elle à ce point handicapé ses opposants ? Le Twi'lek ne voulait y croire, car il n'y avait pas de place pour les sentiments dans une telle opposition et si ses adversaires ne s'en rendait pas compte ils allaient perdre encore plus facilement qu'il ne se l'était imaginé lui même.
Tout coup puissant tir de barrage vint interrompre les pensées du Seigneur Sith qui ordonna sans plus attendre à ses troupes de se replier, laissant les civils à leur sort. Après tout n'étaient il pas là pour ça ? Souriant en voyant que son appât avait marché à la perfection, Darth Laduim fait suivre ses ordres alors qu'une fortes troupes armées profitait du tir de barrage pour venir les attaquer par l'est. Voilà donc que était le plan initial ? Prendre le gros de la troupe en tenaille afin que les fronts soient trop nombreux pour que ses hommes puissent les couvrir avec efficacité ? Cela aurait pu marcher avec brio si seulement la première vague ne s'étaient pas élancée un peu trop rapidement !
" Que nos forces se replient ! Laisser les civils fuir sur tous les fronts, l'important est de quitter la position tout en couvrant notre flanc de l'attaque lancé contre nous ! Abandonnez les blessés, cela ne fera que nous ralentir et je n'accepterai aucune perte superflue ! "
" Bien Mon Seigneur ! Mais faisons nous pour le dispositif spécial ? Devons nous l'activer dès à présent afin de couvrir notre retraite ? Cela pourrait... "
" Non ! Agissez comme dans le plan, laissons les imaginer qu'ils ont gagnés cette manche ci, continuez la retraire ! "
Darth Laduim avait misé sur le bon cheval ! Les gens faisaient généralement dans le sentimental et mise à part quelques rares exceptions, personne n'était disposé à tirer sur un proche ou un ami voir même un compatriote. Cela venait de se vérifier une nouvelle fois, mais le Twi'lek n'avait pas imaginé que ses opposants utiliserait une telle stratégie afin de sauver les leurs, c'était brillant ! Presque trop même, puisque les tirs avaient crée une telle panique que les civils fuyaient dans tous les sens, sans même réfléchir à ce que tout cela allait causer ! L'important à leurs yeux étaient de mettre le plus de distance entre eux et l'armée Sith sous le feu. Une situation parfaite pour le Seigneur Sith qui donna l'ordre une fois qu'il avait estimé avoir mit suffisamment de distance entre sa position actuelle et sa position initiale sans pour autant ordonner de cesser le tir de couverture.
" Mon Seigneur ? "
" C'est parfait à présent, vaporisez les ! "
À peine l'ordre avait il été donné que les civils en fuite explosèrent de concert. Qu'ils soient déjà mort au sol ou entrain de fuir en plein cœur des troupes de défenses planétaires, cela n'avait que peu d'importance, car ils n'étaient plus d'aucune utilités à présent...
Le Masque de la Force
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Ven 12 Juin 2015 - 23:51
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défense de l'armée de Laduim presque réussie!
Armée de Darth Laduim: -4 Hp
Attaque de l'armée de Darth Laduim réussie!
Berryl peut ordonner à son armée de battre en retraite avec un jet de sagesse ou contre attaquer avec un jet d'intelligence s'il le désire!
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Armée de Darth Laduim: -4 Hp
Attaque de l'armée de Darth Laduim réussie!
Berryl peut ordonner à son armée de battre en retraite avec un jet de sagesse ou contre attaquer avec un jet d'intelligence s'il le désire!
Armée de Berryl: 66/100
Armée de Darth Laduim: 96/100
Invité
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Mer 17 Juin 2015 - 1:16
Le souverain resta un long moment à fixer l'holotable tactique, où les rapports des différentes unités défilaient. L'horreur se lisait sur son visage ; l'horreur, et la terreur.
"Ce... c'est un cauchemar... murmura-t-il, le regard perdu au loin. Mon peuple... mes sujets... tant de morts, tant de cadavres... pourquoi ? Pourquoi toutes nos tentatives se retournent ainsi contre nous ? Pourquoi tant d'injustice ? Pourquoi ?"
Ni l'éminent maître Jedi, ni le glorieux général ne répondirent. Il n'y avait rien à répondre lorsque des milliers de civils explosaient en tous sens, couvrant la retraite ennemie tout en frappant les alliés au cœur - à de multiples niveaux.
"Nous ne pouvons pas gagner, nous sommes désarmés comme des enfants face à un rancor... nous devons nous rendre, faire cesser ce massacre...
- Majesté ! Nous ne pouvons laisser ces monstres faire main basse sur notre planète ! Ce serait un sort pire que la mort, nous venons d'en avoir la preuve !
- [color=#0066CC]Je soutiens le général sur ce point, votre altesse. C'est précisément le but de ces tactiques cruelles : faire naître une terreur qui vous brisera l'esprit. Mais nous sommes toujours là, et vous n'êtes pas seul : ce sont les troupes de la Ligue et de la République qui ont accusé le choc. Nous devons rester soudés pour nous en sortir.[color]"
Le corellien étendit son aura de paix à travers la pièce. Perdre la tête était la dernière chose souhaitable en ces lieux. Le roi, tremblant de peur, se frotta les yeux d'un geste las. Puis, se redressant et tâchant de reprendre contenance, il acquiesça.
"Vous avez raison, général, maître. Je... je ne dois pas céder à la panique. Tant que Dubrillion sera là, nous nous battrons."
Le général approuva d'un bref mais vigoureux hochement de tête, tandis que Berryl ferma un instant les yeux pour réfléchir. S'il s'était agit d'une escarmouche où il affrontait le Sith l'arme à la main, les choses auraient été bien plus facile. S'il s'était agit de négociations, il aurait su comment retourner la situation par quelques mots et des questions aux bonnes personnes. Mais il devait mener une armée vers la victoire. Jamais le Jedi n'avait encore tenu autant de vies entre ses mains.
Etouffant dans l’œuf les sentiments négatifs qu'un tel massacre ne pouvait qu'engendrer, Berryl conserva son calme. Que convenait-il de faire, à présent ? Le temps semblait ralentir autour de lui tandis que les différentes possibilités défilaient dans son esprit.
"L'ennemi se replie, il nous faut le poursuivre, s'exclama le général. Nous devons profiter de cette occasion pour lancer une contre-offensive globale."
Le roi se tourna vers Berryl en silence, comme cherchant son approbation. Le Corellien secoua finalement la tête.
"Je comprends l'attrait d'un assaut, et je suis le premier à vouloir rendre à l'Empire la monnaie de son crédit. Mais je préconise la retraite. Nos troupes ont été sévèrement touchées, et l'ennemi n'a que quelques égratignures.
- C'est insensé ! Sire, il est évident que cet homme n'a aucune notion de stratégie militaire ! Tous ses beaux plans se sont révélés totalement inefficaces !
- Mon objectif était dès le départ de stopper l'avancée impériale, répondit aussitôt Berryl d'un ton calme. Hors l'Empire se retire. Si nous nous engouffrons, leur artillerie continuera de pilonner la zone. Votre armée est en chemin, mon général, avec des troupes fraîches et des véhicules de soutien. Regroupons-nous avant de marcher sur l'armée ennemie."
Le général se renfrogna, mais hocha la tête à contrecœur. L'idée ne lui plaisait guère, mais il ne pouvait nier que faire souffler les troupes et les mettre en sécurité ne pouvait qu'aider. Et puis l'Empire jouait la carte de la guerre psychologique, il fallait conserver le moral des troupes haut pour éviter la catastrophe.
"Sonnez la retraite, général. Laissons l'Empire s'enfuir. Et prions ne pas avoir à payer aussi cher pour stopper leur prochain assaut.
- Le prochain assaut sera nôtre, votre altesse ! lança le général en se laissant emporté par sa juste fureur.
- J'approuve cette idée, mon général. Nous allons devoir préparer l'attaque pendant que nos soldats récupèrent. Et je pense, votre majesté, qu'il serait bon que vous adressiez quelques mots aux troupes. Cela montrera que la lutte n'est pas vaine, et que Dubrillion tient bon."
Le souverain approuva et alla rejoindre un terminal de communication, ordonnant de diffuser le message sur tous les canaux alliés. De leur côté, le général et Berryl conversèrent plus avant.
"Je ne vous cache pas, monsieur, que je remets en doute votre capacité à commander, fit le général avec franchise et sérieux.
- J'en prends note. Et à titre informelle, vous faites bien. Il ne faut jamais suivre aveuglément celui qui dirige, et j'aurai grand besoin de votre sens tactique et de votre connaissance du terrain. Nous devons repousser ces envahisseurs, au moins jusqu'à ce que des renforts arrivent.
- Alors nous sommes d'accord. Bottons le derrière impérial au plus vite."
Plus loin, le monarque s'éclaircit la voix et vérifia sa coiffe avant de s'immobiliser en prenant l'air grave et déterminé de circonstance.
"Peuple de Dubrillion, votre roi vous parle. Les atrocités que l'Empire nous inflige aujourd'hui me blessent aussi profondément que vous. La peur, la crainte et l'angoisse nous étreignent tous en ce jour sombre, mais nous ne devons pas céder. Dubrillion est et restera libre !
Aussi je vous demande à tous, que vous soyez soldat, boulanger, chauffeur, médecin, que vous soyez sur les plaines ou dans la cité, je vous demande de garder espoir, de veiller les uns sur les autres et surtout de ne pas abandonner. Nous ne luttons pas seul, et nous vaincrons !"
Le souverain continua plus longuement, ravivant la flamme dans le cœur de ses sujets, tandis que les forces dubrillionnes rejoignaient enfin les troupes conjointes de la Ligue et de la République qui se soustrayaient enfin au feu ennemi.
"Ce... c'est un cauchemar... murmura-t-il, le regard perdu au loin. Mon peuple... mes sujets... tant de morts, tant de cadavres... pourquoi ? Pourquoi toutes nos tentatives se retournent ainsi contre nous ? Pourquoi tant d'injustice ? Pourquoi ?"
Ni l'éminent maître Jedi, ni le glorieux général ne répondirent. Il n'y avait rien à répondre lorsque des milliers de civils explosaient en tous sens, couvrant la retraite ennemie tout en frappant les alliés au cœur - à de multiples niveaux.
"Nous ne pouvons pas gagner, nous sommes désarmés comme des enfants face à un rancor... nous devons nous rendre, faire cesser ce massacre...
- Majesté ! Nous ne pouvons laisser ces monstres faire main basse sur notre planète ! Ce serait un sort pire que la mort, nous venons d'en avoir la preuve !
- [color=#0066CC]Je soutiens le général sur ce point, votre altesse. C'est précisément le but de ces tactiques cruelles : faire naître une terreur qui vous brisera l'esprit. Mais nous sommes toujours là, et vous n'êtes pas seul : ce sont les troupes de la Ligue et de la République qui ont accusé le choc. Nous devons rester soudés pour nous en sortir.[color]"
Le corellien étendit son aura de paix à travers la pièce. Perdre la tête était la dernière chose souhaitable en ces lieux. Le roi, tremblant de peur, se frotta les yeux d'un geste las. Puis, se redressant et tâchant de reprendre contenance, il acquiesça.
"Vous avez raison, général, maître. Je... je ne dois pas céder à la panique. Tant que Dubrillion sera là, nous nous battrons."
Le général approuva d'un bref mais vigoureux hochement de tête, tandis que Berryl ferma un instant les yeux pour réfléchir. S'il s'était agit d'une escarmouche où il affrontait le Sith l'arme à la main, les choses auraient été bien plus facile. S'il s'était agit de négociations, il aurait su comment retourner la situation par quelques mots et des questions aux bonnes personnes. Mais il devait mener une armée vers la victoire. Jamais le Jedi n'avait encore tenu autant de vies entre ses mains.
Etouffant dans l’œuf les sentiments négatifs qu'un tel massacre ne pouvait qu'engendrer, Berryl conserva son calme. Que convenait-il de faire, à présent ? Le temps semblait ralentir autour de lui tandis que les différentes possibilités défilaient dans son esprit.
"L'ennemi se replie, il nous faut le poursuivre, s'exclama le général. Nous devons profiter de cette occasion pour lancer une contre-offensive globale."
Le roi se tourna vers Berryl en silence, comme cherchant son approbation. Le Corellien secoua finalement la tête.
"Je comprends l'attrait d'un assaut, et je suis le premier à vouloir rendre à l'Empire la monnaie de son crédit. Mais je préconise la retraite. Nos troupes ont été sévèrement touchées, et l'ennemi n'a que quelques égratignures.
- C'est insensé ! Sire, il est évident que cet homme n'a aucune notion de stratégie militaire ! Tous ses beaux plans se sont révélés totalement inefficaces !
- Mon objectif était dès le départ de stopper l'avancée impériale, répondit aussitôt Berryl d'un ton calme. Hors l'Empire se retire. Si nous nous engouffrons, leur artillerie continuera de pilonner la zone. Votre armée est en chemin, mon général, avec des troupes fraîches et des véhicules de soutien. Regroupons-nous avant de marcher sur l'armée ennemie."
Le général se renfrogna, mais hocha la tête à contrecœur. L'idée ne lui plaisait guère, mais il ne pouvait nier que faire souffler les troupes et les mettre en sécurité ne pouvait qu'aider. Et puis l'Empire jouait la carte de la guerre psychologique, il fallait conserver le moral des troupes haut pour éviter la catastrophe.
"Sonnez la retraite, général. Laissons l'Empire s'enfuir. Et prions ne pas avoir à payer aussi cher pour stopper leur prochain assaut.
- Le prochain assaut sera nôtre, votre altesse ! lança le général en se laissant emporté par sa juste fureur.
- J'approuve cette idée, mon général. Nous allons devoir préparer l'attaque pendant que nos soldats récupèrent. Et je pense, votre majesté, qu'il serait bon que vous adressiez quelques mots aux troupes. Cela montrera que la lutte n'est pas vaine, et que Dubrillion tient bon."
Le souverain approuva et alla rejoindre un terminal de communication, ordonnant de diffuser le message sur tous les canaux alliés. De leur côté, le général et Berryl conversèrent plus avant.
"Je ne vous cache pas, monsieur, que je remets en doute votre capacité à commander, fit le général avec franchise et sérieux.
- J'en prends note. Et à titre informelle, vous faites bien. Il ne faut jamais suivre aveuglément celui qui dirige, et j'aurai grand besoin de votre sens tactique et de votre connaissance du terrain. Nous devons repousser ces envahisseurs, au moins jusqu'à ce que des renforts arrivent.
- Alors nous sommes d'accord. Bottons le derrière impérial au plus vite."
Plus loin, le monarque s'éclaircit la voix et vérifia sa coiffe avant de s'immobiliser en prenant l'air grave et déterminé de circonstance.
"Peuple de Dubrillion, votre roi vous parle. Les atrocités que l'Empire nous inflige aujourd'hui me blessent aussi profondément que vous. La peur, la crainte et l'angoisse nous étreignent tous en ce jour sombre, mais nous ne devons pas céder. Dubrillion est et restera libre !
Aussi je vous demande à tous, que vous soyez soldat, boulanger, chauffeur, médecin, que vous soyez sur les plaines ou dans la cité, je vous demande de garder espoir, de veiller les uns sur les autres et surtout de ne pas abandonner. Nous ne luttons pas seul, et nous vaincrons !"
Le souverain continua plus longuement, ravivant la flamme dans le cœur de ses sujets, tandis que les forces dubrillionnes rejoignaient enfin les troupes conjointes de la Ligue et de la République qui se soustrayaient enfin au feu ennemi.
- HRP:
- Jet de Sagesse pour se défendre de l'attaque, et jet de Sagesse pour récupérer.
Le Masque de la Force
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Mer 17 Juin 2015 - 1:16
Le membre 'Pendragon Berryl' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'6' :
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Résultat :
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Défense de L'armée de Berryl presque réussie!
Armée de Berryl: -4 Hp
L'armée de Berryl récupère 8 Hp
Armée de Berryl: 70/100
Armée de Darth Laduim: 96/100
'6' :
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Défense de L'armée de Berryl presque réussie!
Armée de Berryl: -4 Hp
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Armée de Berryl: 70/100
Armée de Darth Laduim: 96/100
Invité
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Dim 21 Juin 2015 - 23:28
La mort,
Jet de sagesse pour appliquer le changement de stratégie et revigorer les troupes et jet d'intelligence pour une attaque à l'aide des chasseurs Sith.
- En un instant Darth Laduim venait d'ordonner la mort d'un nombre incalculable de personnes et contrairement à ce que certains pouvaient imaginer, il n'avait prit aucun plaisir dans la manœuvre. Pour autant il n'allait pas plaindre les pauvres âmes ayant péris lors de ce tour de force qui avait sans doute mit à mal l'esprit des troupes adversaires et peut être même son propre commandant ! Le Twi'lek savait que ce genre de manœuvre était difficile à supporter, c'était bien pour cela qu'il avait choisi de la mettre en œuvre.
Il y a bien longtemps son maître avait utilisé ce même genre de bassesses pour mettre la main sur les richesses de son peuple, mais surtout pour isoler sa famille et mettre la main sur le jeune Twi'elk qu'il était. Cependant, à la différence du peuple de Dubrillion, il n'avait eu personne sur qui pointer la faute, personne contre qui se battre, personne a combattre, car cela aurait été au moins aussi dangereux que de signer son propre arrêt de mort. Darth Daevas avait su mener sa barque dans cette histoire, détruisant une famille tout entière tout en prenant le total contrôle de la vie de son apprenti. Cela avait conduit Darth Laduim à servir ce maître pendant des années sans jamais même penser à se rebeller et sans une mauvaise appréciation de celui-ci quand aux liens qui le liait à Lloyd, il y a fort à parier qu'il lui serait encore fidèle.
" Mon Seigneur, les troupes ennemies se replient ! Nous devons enfoncer leurs lignes ! Ils sont terrifiés, vous avez brisé leur moral avec cette manœuvre au combien plaisante pour les yeux ! Ne perdons pas un instant ! "
Cet homme devait apprendre à garder ses pensées pour lui par moment, par chance il était seul avec le Seigneur Sith et personne n'avait à écouter ses allégations toujours trop pressées.
" Non, je ne compte pas sacrifier tout nos efforts sur une seule attaque. Nos adversaires viennent de perdre une force de frappe certes, mais les dégâts n'ont pas été aussi spectaculaire que prévu ! Garder la tête froide et savoir bouger ses pions, voilà ce qui fait un bon commandant, voilà ce qui fait que nous n'êtes qu'un intermédiaire ! Où en sont nos hommes lancés sur les points stratégiques ? "
Baissant les yeux sur son datapad, l'homme ne fit aucun commentaire, sans doute certain que la moindre parole déplacé allait lui coûter cher.
" Je... Oui, alors... L'équipe lancé contre le centre de communication avance plutôt bien, il y a fort a parier qu'ils vont pouvoir couper court à l'organisation de l'armée nous faisant face en faisant tomer leurs communications. Concernant nos autres forces, elles semblent en difficultés... "
" Comment se passe l'approvisionnement ennemi ? "
" Leurs forces semblent être entrain de se regrouper, ils ont du comprendre qu'ils ne pourraient nous avoir avec des petites escarmouches. Il semblerait aussi que les forces planétaires soient à nouveau opérationnelles d'après les scanners de nos vaisseaux en orbite. "
" Très bien, envoyez les chasseurs et leur escorte bombarder la ville, je vais offrir mon point de vu sur la suite des opérations directement à nos hommes ! "
" Bien Mon Seigneur. "
L'ordre n'était pas difficile à prendre, il n'y avait que peu de chance pour que l’ennemi ait des défenses antiaériennes et une fois encore tout homme tué pendant cette attaque ne ferait que renforcer les forces de l'armée Sith ! Darth Laduim aurait préféré ne pas en arriver à une telle extrémité, mais en se repliant de la sorte, les forces de l'armée de défenses planétaires venaient de lui forcer la main ! Tant que les usines de productions d'armes et leurs stocks ne seraient pas incapable de venir ravitailler en arme et véhicule l'armée, une avancé directe sur la ville était trop dangereuse, il devait donc appuyer celle-ci par des tirs et ses forces blindés n'étaient pas à portée !
" Écoutez moi tous ! Dans quelques instants nos chasseurs vont bombarder la ville, cela va nous offrir un couvert et nous allons en profiter pour marcher sur la ville ! Nos forces blindés vont se replacer en formation afin de soutenir notre avancés ! Par la suite, nous entrerons en ville et prendrons celle-ci par la force ! "
Les mots du Seigneur Sith furent accompagnés par une escadrille de chasseurs traversant le ciel afin de bombarder les zones indiqués comme prioritaires.
Jet de sagesse pour appliquer le changement de stratégie et revigorer les troupes et jet d'intelligence pour une attaque à l'aide des chasseurs Sith.
Le Masque de la Force
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Dim 21 Juin 2015 - 23:28
Le membre 'Darth Laduim' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
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L'armée de Darth Laduim récupère 7 Hp
Berryl peut ordonner à son armée de battre en retraite avec un jet de sagesse ou contre attaquer avec un jet d'intelligence s'il le désire!
Armée de Berryl: 70/100
Armée de Darth Laduim: 100/100
'6' :
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Résultat :
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
L'armée de Darth Laduim récupère 7 Hp
Berryl peut ordonner à son armée de battre en retraite avec un jet de sagesse ou contre attaquer avec un jet d'intelligence s'il le désire!
Armée de Berryl: 70/100
Armée de Darth Laduim: 100/100
Invité
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Jeu 25 Juin 2015 - 23:32
"Vous serez ravis d'apprendre, sire, qu'une autre vague de civils a atteint sans souci l'enceinte de la cité, fit le général en lisant son datapad avec ce qui ressemblait plus ou moins à un début de sourire. Ce serait semble-t-il le travail des mercenaires, qui comptent dans leur rangs quelques experts en... euhm... "guerre cybernétique de terrain", me contenterai-je de dire. Ils ont réussi à brouiller le fonctionnement de ces damnés colliers très tôt, et l'ont transmis aux forces alliées afin de circonscrire l'attaque."
Dans son siège, le souverain s'autorisa un soupir de soulagement. A défaut d'en avoir fini, il semblait qu'ils aient atteint l’œil du cyclone. Malheureusement, le plus dur restait à venir, il en était conscient.
"Savoir qu'il y a des survivants de cette... de cette barbarie est un immense soulagement. Un miracle, devrais-je dire. Pour autant, nous n'avons pas pu tous les sauver, et cela me pèse."
La salle resta silencieuse quelques instants. Une cérémonie plus officielle aurait lieu plus tard - si tant est qu'il y aurait un plus tard - mais pour l'instant c'était tout ce que l'état-major pouvait se permettre pour saluer la mémoire des victimes collatérales.
Berryl tapota son datapad, sur lequel défilait des rapports des différentes unités sur le terrain. Oui, le gros de la tempête revenait rapidement.
"Malheureusement, l'ennemi est déjà en train de se réorganiser. Et pour nous prévenir de faire de même, il a visiblement lancé son aviation sur la cité.
- Le salopard ne nous laisse aucun répit, maugréa le général en serrant les dents. Il compte probablement nous harceler avant de revenir à la charge tel un bélier.
- N'y a-t-il rien que nous ne puissions faire ? Les défenses de la cité peuvent les contenir, n'est-ce pas ?"
Le Jedi et le général fixèrent différents points de l'holocarte tactique, les sourcils froncés. Une unité d'aviation possédait une plus grande mobilité, mais la cible du Sith restait le palais. Pour autant, allait-il essayer à nouveau de s'y précipiter en droite ligne ? L'Empire avait fait une éloquente démonstration de sa cruauté et de ses tactiques retorses. Pour autant... il ne semblait pas y avoir de manoeuvre de contournement outre mesure. Peut-être que ses forces n'étaient pas assez ravitaillées ou nombreuses pour s'autoriser une dispersion des ressources. Un angle d'attaque pour les forces unies de Dubrillion, peut-être.
"L'armée dubrillienne a rejoint le reste des forces unies, votre altesse. Berryl pointa un hologramme clignotant et tournoyant doucement sur place, arborant le symbole de la planète. Il y a des véhicules d'assaut et de l'artillerie montée. Ils peuvent intercepter l'escadron sur le chemin, d'autant que nos troupes se sont retranchées derrière un relief où il sera plus difficile de les cibler."
Le général approuva d'un hochement de tête, l’œil critique rivé sur la carte.
"En effet. Il y a un risque que l'escadron bombarde nos troupes au passage, mais tout ce qui peut réduire le nombre de ces vaisseaux permettra d'épargner d'autant la cité, et nous fera gagner un temps précieux pour faire décoller ce qui reste de notre propre flotte aéronavale.
- Parfait. Je préférerais plonger ma lame dans le cœur noir de cet affreuse créature, mais abattre ces démons sera un excellent début."
Ayant repris de son calme, le roi bouillonnait désormais de fureur contenue, ce qui n'avait pas manqué de galvaniser les troupes durant son élocution. Plus que jamais, la ville fourmillait d'activité pour faire fonctionner la machinerie martiale et écraser l'envahisseur.
Berryl ne pouvait décemment dire qu'il appréciait la vue. Mais c'était toujours un meilleur spectacle que celui qui le remplacerait si l'Empire mettait le pied botté et ensanglanté ici. Malgré la violence du choc initial, malgré l'invincibilité apparente de l'armée adverse, il n'était pas question de céder un pouce de terrain. Le temps était avec eux. Il le fallait.
"Utilisons également ce sursis pour sonner l'alarme et mettre le maximum de la population en sûreté. Cela limitera les pertes si l'escadron devait passer, surtout avec les rescapés que nous venons de récupérer.
- En effet, approuva le général. Certains avaient du matériel sur eux, des détonateurs, des armes, des munitions, que nos troupes vont pouvoir récupérer. Ravitaillement en vol, j'aime ce genre de bonnes surprises !"
Souriant en coin, le maître ne pouvait nier que l'expert martial avait une propension à se réjouir des plus petites victoires. C'était de ce que le Jedi en savait une compétence essentielle pour commander des troupes sans sombrer dans la dépression ou la panique. L'essentiel était de ne pas lâcher jusqu'à la toute fin, et la Force veillerait au reste.
Dans son siège, le souverain s'autorisa un soupir de soulagement. A défaut d'en avoir fini, il semblait qu'ils aient atteint l’œil du cyclone. Malheureusement, le plus dur restait à venir, il en était conscient.
"Savoir qu'il y a des survivants de cette... de cette barbarie est un immense soulagement. Un miracle, devrais-je dire. Pour autant, nous n'avons pas pu tous les sauver, et cela me pèse."
La salle resta silencieuse quelques instants. Une cérémonie plus officielle aurait lieu plus tard - si tant est qu'il y aurait un plus tard - mais pour l'instant c'était tout ce que l'état-major pouvait se permettre pour saluer la mémoire des victimes collatérales.
Berryl tapota son datapad, sur lequel défilait des rapports des différentes unités sur le terrain. Oui, le gros de la tempête revenait rapidement.
"Malheureusement, l'ennemi est déjà en train de se réorganiser. Et pour nous prévenir de faire de même, il a visiblement lancé son aviation sur la cité.
- Le salopard ne nous laisse aucun répit, maugréa le général en serrant les dents. Il compte probablement nous harceler avant de revenir à la charge tel un bélier.
- N'y a-t-il rien que nous ne puissions faire ? Les défenses de la cité peuvent les contenir, n'est-ce pas ?"
Le Jedi et le général fixèrent différents points de l'holocarte tactique, les sourcils froncés. Une unité d'aviation possédait une plus grande mobilité, mais la cible du Sith restait le palais. Pour autant, allait-il essayer à nouveau de s'y précipiter en droite ligne ? L'Empire avait fait une éloquente démonstration de sa cruauté et de ses tactiques retorses. Pour autant... il ne semblait pas y avoir de manoeuvre de contournement outre mesure. Peut-être que ses forces n'étaient pas assez ravitaillées ou nombreuses pour s'autoriser une dispersion des ressources. Un angle d'attaque pour les forces unies de Dubrillion, peut-être.
"L'armée dubrillienne a rejoint le reste des forces unies, votre altesse. Berryl pointa un hologramme clignotant et tournoyant doucement sur place, arborant le symbole de la planète. Il y a des véhicules d'assaut et de l'artillerie montée. Ils peuvent intercepter l'escadron sur le chemin, d'autant que nos troupes se sont retranchées derrière un relief où il sera plus difficile de les cibler."
Le général approuva d'un hochement de tête, l’œil critique rivé sur la carte.
"En effet. Il y a un risque que l'escadron bombarde nos troupes au passage, mais tout ce qui peut réduire le nombre de ces vaisseaux permettra d'épargner d'autant la cité, et nous fera gagner un temps précieux pour faire décoller ce qui reste de notre propre flotte aéronavale.
- Parfait. Je préférerais plonger ma lame dans le cœur noir de cet affreuse créature, mais abattre ces démons sera un excellent début."
Ayant repris de son calme, le roi bouillonnait désormais de fureur contenue, ce qui n'avait pas manqué de galvaniser les troupes durant son élocution. Plus que jamais, la ville fourmillait d'activité pour faire fonctionner la machinerie martiale et écraser l'envahisseur.
Berryl ne pouvait décemment dire qu'il appréciait la vue. Mais c'était toujours un meilleur spectacle que celui qui le remplacerait si l'Empire mettait le pied botté et ensanglanté ici. Malgré la violence du choc initial, malgré l'invincibilité apparente de l'armée adverse, il n'était pas question de céder un pouce de terrain. Le temps était avec eux. Il le fallait.
"Utilisons également ce sursis pour sonner l'alarme et mettre le maximum de la population en sûreté. Cela limitera les pertes si l'escadron devait passer, surtout avec les rescapés que nous venons de récupérer.
- En effet, approuva le général. Certains avaient du matériel sur eux, des détonateurs, des armes, des munitions, que nos troupes vont pouvoir récupérer. Ravitaillement en vol, j'aime ce genre de bonnes surprises !"
Souriant en coin, le maître ne pouvait nier que l'expert martial avait une propension à se réjouir des plus petites victoires. C'était de ce que le Jedi en savait une compétence essentielle pour commander des troupes sans sombrer dans la dépression ou la panique. L'essentiel était de ne pas lâcher jusqu'à la toute fin, et la Force veillerait au reste.
- HRP:
- Jet d'Intelligence pour contre-attaquer avec la DCA et jet de Sagesse pour se regrouper et se ravitailler
Le Masque de la Force
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Jeu 25 Juin 2015 - 23:32
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La contre attaque de L'armée de Berryl limite les dégâts qu'aurait pu causer l'armée de Darth Laduim
L'armée de Berryl récupère 7 Hp
Armée de Berryl: 77/100
Armée de Darth Laduim: 100/100
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La contre attaque de L'armée de Berryl limite les dégâts qu'aurait pu causer l'armée de Darth Laduim
L'armée de Berryl récupère 7 Hp
Armée de Berryl: 77/100
Armée de Darth Laduim: 100/100
Invité
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Mar 30 Juin 2015 - 0:16
Échec,
Jet d'intelligence afin de pilonner les premières lignes de défenses de la ville.
- Le mot était difficile à prononcer, mais c'était pourtant une réalité que le Seigneur Sith ne pouvait occulter ! Dans un sens l'échec n'était pas total puisque les chasseurs de sa flotte avaient fait leur œuvre, permettant aux troupes au sol d'avancer sans avoir à s’inquiéter le moins du monde de l'armée adverse. Mais d'un autre côté l'aviation impériale n'avait occasionné aucun dégâts chez leurs adversaire, celle-ci s'étant fait prendre sous le feu d'une DCA rapide et particulièrement précise.
Par chance, les pertes avaient été nulles dans les deux camps et chaque appareil était dors et déjà prêt à retourner dans le feu de l'action, mais Darth Laduim n'était pas certain que ce soit une très bonne idée. Dans un sens cela forcerait ses adversaires à rester concentrés sur la menace immédiate, lui permettant de mettre en place l'invasion de la vie et la capture de ses points stratégiques avec facilité. D'un autre côté il n'avait pas prévu que la DCA adversaire soit aussi performante et s'il devait perdre une partie de sa flotte contre celle-ci, cela pourrait lui poser problème lorsque l'aviation de son adversaire serait prête à passer à l'attaque. Son adversaire cherchait il a jouer sur ce tableau là ?
Voilà quelque chose que Darth Laduim n'aimait pas. Se battre a distance n'était pas quelque chose qui le rendait fier, ni même quelque chose qu'il appréciait véritablement, car avec ce genre de confrontation il était particulièrement difficile de lire dans le jeu de son adversaire et d'en tirer les failles. Bluffer devenait tout à coup relativement facile et le Sith avait peur que ses adversaires ne soient entrain d’appliquer cette mesure afin de gagner du temps. Pour autant il ne pouvait pas simplement décider d'ignorer cela, car si bluff il n'y avait pas il avait bien trop a perdre... Le principal problème était donc un manque cruel d'information, car bien que les radars de ses vaisseaux en orbites l'informe en temps réel des mouvements de troupes adversaires, il reste bien trop de chose que le Seigneur Sith ne peut voir. Peut être était il temps de sortir un atout de sa manche ?
" Déployez la première et la seconde des équipes spéciales. "
" Bien Mon Seigneur, quels sont leurs ordres ? "
" Qu'ils s'infiltrent en ville et comblent notre manque de vision sur le terrain. S'ils peuvent saboter la DCA adverse en certain point, qu'ils nous en informent. Nous attaqueront ces points ci avec les chasseurs aussitôt tout menant le gros de nos forces vers les autres points stratégiques. "
" Bien Mon Seigneur, quelle brillante idée tout de même d'avoir incorporé ces apprentis ratés à nos forces. Mais, êtes vous certains qu'il ne vont pas chercher à vous trahir ? "
" S'ils essayent, ils prouveront eux même qu'ils n'ont pas leur place dans l'empire et je ne leur laisserai pas le temps de profiter de cette liberté qu'ils auront tenter de voler. Leur seule chance est de nous servir et de mener à bien leur mission, afin d'avoir droit à espérer un avenir meilleur. "
Incorporer des Apprentis aux forces régulières était une façon particulièrement efficace de rentabiliser ces poids morts. Le seul risque était bien évidement que ceux ci cherchent à fuir l'empire après avoir subit une telle déchéance, mais le Seigneur Sith avait présenté cela de façon à s'assurer une grande coopération de la part des êtres concernées. Les premiers tests se faisaient donc avec des apprentis relativement apte, mais sans maître chose dont peu de personne pouvaient se venter de savoir. Ce détail avait toute sont importance, car ceux-ci voyaient cela comme une opportunité d'attirer le regard d'un potentiel Guerrier sith à la recherche d'un apprenti. Il fallait que cette idée reste intact dans leurs esprit et Darth Laduim avait déjà mandaté certains guerrier de l’académie afin qu'ils enrôlent les survivants, ainsi lorsque les déchets seraient envoyé à la mort, dans un futur proche, ceux-ci se lanceraient à l'assaut avec un espoir concret.
" Envoyez les chasseurs à nouveau, mais ordonnez leurs de se retirer dès qu'ils seront à portés de tir adverse. Dès cet instant que l'artillerie bombarde les premières lignes de défenses afin de nous ouvrir une brèche et nous agenceront vers celle-ci. Cela devait les distraire suffisamment longtemps afin de laisser le temps à nos hommes d'infiltrer la ville. "
" À vos ordres Mon Seigneur.... "
Jet d'intelligence afin de pilonner les premières lignes de défenses de la ville.
Le Masque de la Force
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Mar 30 Juin 2015 - 0:16
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Attaque de L'armée de Darth Laduim réussie!
L'armée de Berryl peut se défendre avec un jet de Sagesse ou contre attaque avec un jet d'intelligence si elle le désire!
Armée de Berryl: 77/100
Armée de Darth Laduim: 100/100
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Invité
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Ven 3 Juil 2015 - 23:55
Les rapports se suivaient et ne se ressemblaient pas. Pour toute liste de blessés ou de décès dans une troupe ou une unité, il y avait un recensement de civils avec leur nom, leur ville d'origine, la famille dont ils avaient été séparé ou, fort heureusement, parfois retrouvée.
Les seuls rapports qui restaient identiques étaient ceux relatifs aux forces ennemies. Aucun des trois résidents du conseil de guerre n'appréciait le fait, pourtant il était délicat d'enrayer cette mécanique. Même avec le dernier rapport en date, que le général compulsait.
"L'aviation ennemie revient à l'assaut. Nous aurions pu faire plus de dégâts lors de leur premier passage, mais ils ont été prompts à réagir. Que nous n'ayons pas perdu plus de troupes était un petit miracle.
- Je n'irai pas jusqu'à dire que la chance seule en est à l'origine... lâcha le roi en glissant un regard vers le Jedi, qui sourit amicalement.
- Certes, votre majesté. La précision et la discipline de vos troupes y sont en grande partie responsable. Et j'espère bien que cela nous aidera à surmonter cette épreuve. Cependant, la bataille n'est pas encore en notre faveur, je le crains.
- Certes. Les défenses anti-aériennes de la cité peuvent les contenir, mais je crains qu'une offensive trop poussée comme nous y habitue l'Empire ne brise les remparts."
Le souverain resta pensif quelques secondes, les sourcils froncés, calculant et soupesant les différentes possibilités d'action. L'aviation planétaire avait montré sa faiblesse face aux engins impériaux, et cette blessure restait visible.
"Un assaut du reste de notre flotte me paraît un plan risqué. Pourtant, il serait inconscient de la garder inactive alors que c'est la cité même qui est en danger. Quels sont vos avis ?
- Notre flotte est en l'air et prête à en découdre, sire. Elle veut sa revanche. Nous pourrions frapper le flanc de l'escadron ennemi en coordination avec l'artillerie au sol. Une tactique classique qui a fait ses preuves. Nul besoin de manœuvre complexe pour surclasser l'intelligence ennemie : écrasons-les."
Le roi approuva du chef puis se tourna vers le Jedi, qui fixa l'holotable tactique et opina également. Il n'y avait ni la place, ni le temps, ni l'espace pour un guet-apens raffiné. L'opération du général possédait une simplicité qui la rendrait facile à comprendre, mais difficile à briser.
Pour autant, il n'aurait pas été Berryl s'il n'avait pas une autre idée derrière la tête.
"C'est en effet une belle manoeuvre, général, rapide à mettre en pratique et qui stoppera sans doute le gros des forces ennemies. Cependant, j'aimerais vous demander de faire durer cet escarmouche autant que possible."
Berryl attendit un instant, afin de laisser libre cours aux objections du général. Qui, étonnamment, resta calme et fixa le Jedi d'un air suspicieux.
"Vous n'êtes pas un imbécile, lâcha-t-il finalement. Vous savez que cela augmenterait drastiquement les risques pour nos troupes. Mais je veux croire que vous ne demandez pas cela pour rien. Alors qu'avez-vous en tête pour vouloir condamner encore plus de nos citoyens ?
- Je ne vous demande certes pas de jeter vos avions sous le feu ennemi, seulement de repousser le moment de la retraite. C'est une maigre différence, je vous l'accorde. Mais en provoquant l'escarmouche dans cette zone, au nord de la ville... Le maître pointa la table à l'emplacement décrit. ... cela ne pourra qu'attirer l'attention de l'Empire, qui y verra certainement une occasion d'assister son aviation avec sa propre artillerie.
-Je dois vous avouer que l'intérêt de la chose m'échappe, à part tuer nos hommes..."
Mais le général, qui fixait lui aussi la table, déplaça lentement les pointeurs représentant les troupes alliées en un arc de cercle qui allait vers l'est avant de se rabattre sur l'armée impériale, au nord. Berryl sourit en coin, hochant la tête.
"Si l'artillerie prête assistance à la flotte, nos troupes auront le champ libre pour contourner l'armée. Et si l'ennemi repère et prend pour cible notre infanterie, notre flotte aura à nouveau l'avantage. C'est brutal de votre part, Jedi. Non pas que l'idée me déplaise.
- Dans toute négociation, il arrive un moment où l'on ne peut que placer les diplomates trop avides devant un choix où il perdra forcément quelque chose. Cependant, je dois vous l'avouer, ces choix ne sont que des illusions : l'Empire pourrait trouver un moyen de fausser la donne et gagner sur les deux tableau.
- Certes, ces diables ne cessent de briser toutes nos manœuvres comme s'il ne s'agissait que de murs de bois mal cloués. Mais dans les deux cas, une bonne part de nos troupes serait en place pour une attaque massive. Si l'armée de défense parvient à rester à couvert de ces collines, ici... peut-être même pourrions-nous déplacer tout l'affrontement plus loin encore de la cité.
- Alors ne perdons pas de temps, messieurs. Contenons l'assaut ennemi avec pertes et fracas, comme nous l'avons fait au premier choc de cette bataille insensée. Et si les dieux, ou la Force, ou la chance ou même la justice le veulent, une astuce simple ne sera pas ce à quoi s'attend l'Empire. Réorganisons nos troupes et préparons-nous à frapper l'ennemi, ou au moins à le maintenir éloigné."
Les seuls rapports qui restaient identiques étaient ceux relatifs aux forces ennemies. Aucun des trois résidents du conseil de guerre n'appréciait le fait, pourtant il était délicat d'enrayer cette mécanique. Même avec le dernier rapport en date, que le général compulsait.
"L'aviation ennemie revient à l'assaut. Nous aurions pu faire plus de dégâts lors de leur premier passage, mais ils ont été prompts à réagir. Que nous n'ayons pas perdu plus de troupes était un petit miracle.
- Je n'irai pas jusqu'à dire que la chance seule en est à l'origine... lâcha le roi en glissant un regard vers le Jedi, qui sourit amicalement.
- Certes, votre majesté. La précision et la discipline de vos troupes y sont en grande partie responsable. Et j'espère bien que cela nous aidera à surmonter cette épreuve. Cependant, la bataille n'est pas encore en notre faveur, je le crains.
- Certes. Les défenses anti-aériennes de la cité peuvent les contenir, mais je crains qu'une offensive trop poussée comme nous y habitue l'Empire ne brise les remparts."
Le souverain resta pensif quelques secondes, les sourcils froncés, calculant et soupesant les différentes possibilités d'action. L'aviation planétaire avait montré sa faiblesse face aux engins impériaux, et cette blessure restait visible.
"Un assaut du reste de notre flotte me paraît un plan risqué. Pourtant, il serait inconscient de la garder inactive alors que c'est la cité même qui est en danger. Quels sont vos avis ?
- Notre flotte est en l'air et prête à en découdre, sire. Elle veut sa revanche. Nous pourrions frapper le flanc de l'escadron ennemi en coordination avec l'artillerie au sol. Une tactique classique qui a fait ses preuves. Nul besoin de manœuvre complexe pour surclasser l'intelligence ennemie : écrasons-les."
Le roi approuva du chef puis se tourna vers le Jedi, qui fixa l'holotable tactique et opina également. Il n'y avait ni la place, ni le temps, ni l'espace pour un guet-apens raffiné. L'opération du général possédait une simplicité qui la rendrait facile à comprendre, mais difficile à briser.
Pour autant, il n'aurait pas été Berryl s'il n'avait pas une autre idée derrière la tête.
"C'est en effet une belle manoeuvre, général, rapide à mettre en pratique et qui stoppera sans doute le gros des forces ennemies. Cependant, j'aimerais vous demander de faire durer cet escarmouche autant que possible."
Berryl attendit un instant, afin de laisser libre cours aux objections du général. Qui, étonnamment, resta calme et fixa le Jedi d'un air suspicieux.
"Vous n'êtes pas un imbécile, lâcha-t-il finalement. Vous savez que cela augmenterait drastiquement les risques pour nos troupes. Mais je veux croire que vous ne demandez pas cela pour rien. Alors qu'avez-vous en tête pour vouloir condamner encore plus de nos citoyens ?
- Je ne vous demande certes pas de jeter vos avions sous le feu ennemi, seulement de repousser le moment de la retraite. C'est une maigre différence, je vous l'accorde. Mais en provoquant l'escarmouche dans cette zone, au nord de la ville... Le maître pointa la table à l'emplacement décrit. ... cela ne pourra qu'attirer l'attention de l'Empire, qui y verra certainement une occasion d'assister son aviation avec sa propre artillerie.
-Je dois vous avouer que l'intérêt de la chose m'échappe, à part tuer nos hommes..."
Mais le général, qui fixait lui aussi la table, déplaça lentement les pointeurs représentant les troupes alliées en un arc de cercle qui allait vers l'est avant de se rabattre sur l'armée impériale, au nord. Berryl sourit en coin, hochant la tête.
"Si l'artillerie prête assistance à la flotte, nos troupes auront le champ libre pour contourner l'armée. Et si l'ennemi repère et prend pour cible notre infanterie, notre flotte aura à nouveau l'avantage. C'est brutal de votre part, Jedi. Non pas que l'idée me déplaise.
- Dans toute négociation, il arrive un moment où l'on ne peut que placer les diplomates trop avides devant un choix où il perdra forcément quelque chose. Cependant, je dois vous l'avouer, ces choix ne sont que des illusions : l'Empire pourrait trouver un moyen de fausser la donne et gagner sur les deux tableau.
- Certes, ces diables ne cessent de briser toutes nos manœuvres comme s'il ne s'agissait que de murs de bois mal cloués. Mais dans les deux cas, une bonne part de nos troupes serait en place pour une attaque massive. Si l'armée de défense parvient à rester à couvert de ces collines, ici... peut-être même pourrions-nous déplacer tout l'affrontement plus loin encore de la cité.
- Alors ne perdons pas de temps, messieurs. Contenons l'assaut ennemi avec pertes et fracas, comme nous l'avons fait au premier choc de cette bataille insensée. Et si les dieux, ou la Force, ou la chance ou même la justice le veulent, une astuce simple ne sera pas ce à quoi s'attend l'Empire. Réorganisons nos troupes et préparons-nous à frapper l'ennemi, ou au moins à le maintenir éloigné."
- HRP:
- Jet de Sagesse pour se défendre de l'assaut aéroporté, et jet de Sagesse pour récupérer avec une mobilisation de l'armée.
Le Masque de la Force
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Ven 3 Juil 2015 - 23:55
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Défense de l'armée de Berryl moyennement réussie!
Armée de Beryl: -8 Hp
L'armée de Berryl récupère 5 Hp
Armée de Berryl: 74/100
Armée de Darth Laduim: 100/100
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Invité
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Mer 8 Juil 2015 - 22:39
Touché,
- voilà ce que confirmait les premiers rapports envoyés après la frappe d'artillerie sur les défenses de la ville. La machinerie Sith était parfaitement huilée et rien ne semblait pouvoir enrailler sa progression, mais il ne fallait pas crier victoire trop vite, car l’ennemi était bien trop calme pour que cela soit normal. Habituellement lorsque les rats se sentaient menacés ils fuyaient en utilisant tous les moyens à leur disposition, mais ceux faisant face à Darth Laduim semblaient au contre vouloir se terrer plus profondément encore ! Comme si le temps allait suffire pour faire passer l'orage qu'il faisait s’abattre sur eux.
Les plus optimistes ou stupides pouvaient y croire, pouvaient voir en cela une faiblesse incapable de combler et donc une victoire à portée de main, mais le Twi'elk lui n'y croyait pas ! Comment un homme ayant fait preuve d'une telle audace au début de leur affrontement pouvait à présent tout simplement ne rien faire ? Il devait préparer quelque chose, un piège quelconque qui se refermerait sur ses troupes tôt ou tard ! Toute la question était à présent de savoir quel était la teneur de ce piège et pour cela il allait utiliser les deux escouades qu'il avait fait déployer en ville.
" Où en sont les équipes spéciales ? "
" Elles ont réussi à entrer en ville suivant vos désirs Mon Seigneur. Le tir d'artillerie sur les défenses de l'ennemi les y a grandement aidé, mais les dégâts causés ne sont pas aussi important que nous le pensions au début. L'adversaire semble avoir comprit nos manœuvres et arrive à évacuer ses blessés rapidement tout en les remplaçant par des troupes aptes à tenir leurs positions... "
" Bombardez à nouveau avec notre artillerie. "
" Mon Seigneur il serait peut être temps de porter assistance à notre flotte, celle-ci est toujours sous les tirs adverses... "
" Je vous avais ordonné de leur demander de se replier dès qu'ils arriveraient à porter des défenses antiaérienne adversaire ! "
" Oui Mon Seigneur, ce fut ordonné, mais les troupes adverses ne semblent pas l'entendre de cette oreille et harcèlent nos chasseurs en permanence les empêchant de quitter la zone. "
" Dans ce cas nous allons leur forcer la main ! "
Il n'y avait jamais qu'une seule et unique solution à un problème en temps de guerre, il suffisait à présent que Darth Laduim trouve la plus adapté à son problème. Lancer l'assaut serait sans doute la chose la plus simple à faire, la brèche était déjà ouverte et les bombardement d'artillerie allaient finir de dégager le passage. Dès lors, il suffirait de s'y engouffrer et de l'élargir ! D'après les rapports de la flotte en orbite, l'armée était concentré prêt du palais, il leur faudrait donc un certain temps pour qu'elle puisse venir renforcer les défenses en périphérie, laissant largement assez de celui-ci à l'armée Sith pour investir la ville et commencer à y étendre sa domination.
D'un autre côté, le Twi'lek avait déjà des hommes en ville et ceux-ci allaient sans doute commencer à lui envoyer des rapports de plus en plus précis sur la situation, il saurait ainsi les endroits les plus susceptibles de faciliter la progression de son armée. Peut être devrait il attendre ceux-ci avant d'envoyer ses troupes et continuer sur cette manœuvre ?
" Mon Seigneur, l'équipe spéciale numéro une nous fait savoir qu'elle peut, sous votre ordre, handicaper les voies de transports en direction de la brèche que nous avons crée. "
" Qu'elle s'y applique alors ! Et j'exige que la numéro deux continue à progresser vers le cœur de la ville. Continuez le bombardement, et maintenez l'odre de replis pour les chasseurs, qu'ils reviennent au plus vite sur notre position, nous allons avancer après la confirmation de l'équipe spéciale numéro une. "
Jet d'intelligence afin de pilonner les premières lignes de défenses de la ville pendant que l'équipe spéciale numéro une coupe les voies de transports vers celles-ci.
Le Masque de la Force
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Mer 8 Juil 2015 - 22:39
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Invité
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Jeu 9 Juil 2015 - 22:33
La frénésie de la bataille se voyait au défilement insensé des rapports, aux bruits étouffés d'explosions aux limites de la cité, à la course effrénée des volontaires et des soldats dans les rues. Le calme de l’œil du cyclone était passé : il fallait désormais affronter la seconde moitié de la tempête, toujours plus violente que la première.
"Il semblerait que l'ennemi a détruit le système de chiffrage républicain, lut le maître Jedi sur son datapad d'un ton soigneusement laconique. Cela va compliquer les échanges, même si fort heureusement l'information a été transmise à l'armée avant qu'elle ne révèle involontairement sa position actuelle.
- Les remparts tiennent, mais l'offensive impériale ne sera plus contenue très longtemps, surtout avec l'artillerie qui s'ajoute à la force de frappe. Le général n'était pas plus joyeux que le Jedi.
- Quand pouvons-nous espérer des renforts extérieurs ?" s'enquit le roi.
Un long silence et de lentes négations de la tête furent déjà bien trop pour une réponse que tous trois auraient voulu différente.
"Nous sommes arrivé au dernier assaut, sire. Il n'y a plus de réserve. Il n'y a plus de lieu où se retrancher. Nous vainquons l'ennemi ici et maintenant, ou nous périssons en essayant."
Il n'y avait nulle agressivité dans le ton du militaire. Du moins pas de celle explosive et inutilement énergique que l'ont voyait le plus souvent. Une fureur sans fin couvait sous les paroles maîtrisées, une fureur qui ne demandait qu'à s'abattre sur l'envahisseur cruel, déterminé, et puissant. Une émotion vive mais canalisée, que le général utilisait comme combustible interne.
De son côté, le Jedi conservait son calme mais n'aurait vu aucun inconvénient à voir la fureur du général se déverser sur l'armée Sith. Malheureusement, une telle émotion n'aurait probablement fait que renforcer les envahisseurs, qui n'en avaient pas besoin.
"L'avantage est que nos forces ont pu contourner les collines sans alerter l'ennemi. Nous sommes en position d'attaque. Il n'y a plus qu'à lancer l'assaut."
Et espérer très fort que la Force est avec nous, ajouta-t-il in petto.
Fort heureusement, le chiffrage des communications n'était pas la seule sécurité qu'une armée en campagne pouvait et devait maintenir pour s'assurer de ne pas voir la totalité de ses plans dévoilés au grand jour. C'est pour cela que le général se contenta de déclarer dans un canal de communication :
"A toutes les unités. Phase trois. Je répète : phase trois."
Les trois silhouettes observèrent l'holotable où les holomarqueurs des forces alliées se déplacèrent, d'abord une, puis deux, puis cinq, puis tous, se coulant autour du dénivelé pour se précipiter sur le flanc de l'armée impériale.
Plus bas, les points représentant les flottes mêlées dansant dans les cieux au-dessus des remparts changeaient encore et encore de forme. L'artillerie et l'aviation ennemie faisaient disparaître quelques points de-ci, de-là, mais il suffirait de tenir juste un peu, puis de fondre sur l'armée ennemie dès que l'assaut terrestre l'ébranlerait.
Il n'y avait plus qu'à attendre les rapports du choc martial... et espérer.
"Il semblerait que l'ennemi a détruit le système de chiffrage républicain, lut le maître Jedi sur son datapad d'un ton soigneusement laconique. Cela va compliquer les échanges, même si fort heureusement l'information a été transmise à l'armée avant qu'elle ne révèle involontairement sa position actuelle.
- Les remparts tiennent, mais l'offensive impériale ne sera plus contenue très longtemps, surtout avec l'artillerie qui s'ajoute à la force de frappe. Le général n'était pas plus joyeux que le Jedi.
- Quand pouvons-nous espérer des renforts extérieurs ?" s'enquit le roi.
Un long silence et de lentes négations de la tête furent déjà bien trop pour une réponse que tous trois auraient voulu différente.
"Nous sommes arrivé au dernier assaut, sire. Il n'y a plus de réserve. Il n'y a plus de lieu où se retrancher. Nous vainquons l'ennemi ici et maintenant, ou nous périssons en essayant."
Il n'y avait nulle agressivité dans le ton du militaire. Du moins pas de celle explosive et inutilement énergique que l'ont voyait le plus souvent. Une fureur sans fin couvait sous les paroles maîtrisées, une fureur qui ne demandait qu'à s'abattre sur l'envahisseur cruel, déterminé, et puissant. Une émotion vive mais canalisée, que le général utilisait comme combustible interne.
De son côté, le Jedi conservait son calme mais n'aurait vu aucun inconvénient à voir la fureur du général se déverser sur l'armée Sith. Malheureusement, une telle émotion n'aurait probablement fait que renforcer les envahisseurs, qui n'en avaient pas besoin.
"L'avantage est que nos forces ont pu contourner les collines sans alerter l'ennemi. Nous sommes en position d'attaque. Il n'y a plus qu'à lancer l'assaut."
Et espérer très fort que la Force est avec nous, ajouta-t-il in petto.
Fort heureusement, le chiffrage des communications n'était pas la seule sécurité qu'une armée en campagne pouvait et devait maintenir pour s'assurer de ne pas voir la totalité de ses plans dévoilés au grand jour. C'est pour cela que le général se contenta de déclarer dans un canal de communication :
"A toutes les unités. Phase trois. Je répète : phase trois."
Les trois silhouettes observèrent l'holotable où les holomarqueurs des forces alliées se déplacèrent, d'abord une, puis deux, puis cinq, puis tous, se coulant autour du dénivelé pour se précipiter sur le flanc de l'armée impériale.
Plus bas, les points représentant les flottes mêlées dansant dans les cieux au-dessus des remparts changeaient encore et encore de forme. L'artillerie et l'aviation ennemie faisaient disparaître quelques points de-ci, de-là, mais il suffirait de tenir juste un peu, puis de fondre sur l'armée ennemie dès que l'assaut terrestre l'ébranlerait.
Il n'y avait plus qu'à attendre les rapports du choc martial... et espérer.
- HRP:
- Jet de Sagesse pour contenir la frappe aérienne, et jet d'Intelligence pour lancer un assaut terrestre par l'est.
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# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Jeu 9 Juil 2015 - 22:33
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L'armée de Darth Laduim peut se défendre avec un jet de Sagesse ou contre attaque avec un jet d'intelligence si elle le désire!
Armée de Berryl: 68/100
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# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Mar 14 Juil 2015 - 23:23
Une brèche,
Deux jets d'intelligence pour contre attaquer et faire ensuite attaquer les troupes de l'armée adverse par les blindés.- Voilà qui était fait, l'artillerie avait fait son œuvre en faisant exploser les défenses de la ville face à l'armée Sith qui avait une voie royale ouverte devant elle.
" Mon Seigneur, les rapports sont formels, les défenses statiques de nos adversaires sont réduites à néants dans cette zone, seule la DCA reste active, mais l'équipe spéciale numéro deux nous fait savoir qu'ils approchent du but. De plus, d'après l'équipe spéciale numéro une, il va devenir compliqué pour nos adversaires d'envoyer des renforts efficacement, puisqu'ils ont piégés ou condamnés les routes en accès direct. "
" Très bien. "
Il n'y avait plus à reculer à présent, les lignes étaient ouvertes, les routes donnant directement sur la zone coupés, il ne restait plus qu'à avancer et à mettre un terme à tout cela. Darth Laduim avait malgré tout un mauvais pressentiment, tout semblait trop simple ! Pourquoi l'armée adversaire n'avaient elle pas bougé ? Certes les frappes aériennes pouvaient monopoliser leur attention, mais le Seigneur Sith avait demandé une retraite et ce par deux fois, il y avait donc fort à parier que les escadrons de chasseurs n'avaient pu causer de gros dégats.
Si les dégâts avaient été d'importance, il aurait été au courant, il était donc impossible que l'aviation Sith ait à elle seule faite tomber une portion si importante de l'armée de ses adversaires pour qu'elle reste à ce point en retrait. Comptaient ils l'affronter en ville et profiter des infrastructures de celle-ci ? Darth Laduim n'y croyait pas non plus, car on lui avait clairement faire comprendre que ce n'était pas une option souhaitable ! Ses adversaires voulaient minimiser les pertes civiles et engager une bataille en pleine ville allait causer de nombreuses pertes civiles.
Que pouvaient ils dont lui préparer ?
" Mon Seigneur, un rapport urgent du vaisseau de commandement, l'équipe menant l'assaut de la tour de communication vient de voir faire savoir qu'ils ont détruit les installations d'encryptages de données adversaires. En réalité, le message nous est parvenu il y a quelques minutes, mais n'ayant pas su trouver la fréquence sur le moment, le commandant n'a pas voulu vous en avertir avant d'avoir su accomplir cela afin de ne pas troubler vos projets. "
" Bien, qu'a t il pu en tirer ? "
" Malheureusement que peu de chose Mon Seigneur, les communications sont discontinues, interrompu même de puis de longues minutes, ce qui tend à dire que l'adversaire sait que son cryptage est tombé. Pensez vous qu'ils soient entrain de préparer quelque chose ? "
" Évidement qu'ils le sont, personne ne laisserai son armée inactive dans un telle situation ! "
" Une attaque ! On nous attaque ! "
L'attaque était complètement inattendue ! Comment avaient ils pu quitter la ville sans que personne ne soit capable de lui fournir cette information ?! Regardant le flot d’unités s’abattre sur le flanc de son armée, le Seigneur Sith réagit immédiatement, par chance l'attaque semblait mal coordonnée, sans doute à cause du peu de communication entre les généraux et leurs hommes !
" Tout le monde sur le flanc ! Déployez vous afin de gagner un maximum de surface de contact ! Nous leurs sommes supérieur en nombre il faut en profiter ! Je ne veux pas qu'ils puissent profiter de notre position pour prélever la moindre unité gratuitement ! "
" Mon Seigneur, nous devrions.... "
" Taisez vous ! Et ne vous aviez pas de fuir ou je vous ferai écarteler ! "
Le seigneur Sith activa son sabre laser, lui aussi allez participer à la bataille, il le fallait afin de motiver ses troupes, afins qu'ils ne se sentent pas seuls !
" Ordonnez aux blindés de se replacer pour attaquer une fois la première vague arrivé au contact, qu'il fasse feu sur les lignes les plus lointaine afin de réduire au maximum les risques que nos troupes soient touchées ! "
Le Masque de la Force
# Re: [Dubrillion - Opération] Plus jamais Artorias ! - Mar 14 Juil 2015 - 23:23
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La contre attaque de l'armée de Darth Laduim limite les dégâts que l'armée de Berryl aurait pu causer.
Attaque de l'armée de Darth Laduim réussi!
L'armée de Berryl peut se défendre avec un jet de sagesse ou contre attaquer avec un jet d’intelligence.
Armée de Berryl: 68/100
Armée de Darth Laduim: 100/100
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