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Fuir. Il faut fuir, courir entre les ruelles dégueulasses et jonchées de merde des bas quartiers. Se fondre parmi les ombres, profiter de leurs couverts pour s’abriter à la vue de ses poursuivants et disparaître. Courir pour cette chienne de vie, à laquelle on s’agrippe désespérement tel un naufragé aux poumons à moitié noyés par les eaux salées. Ce soir se jouait un marathon pour la survie. Ne pas réfléchir, laissez le corps s’exprimer. Un pas devant l’autre, et plus vite, de plus en plus vite, jusqu’à laisser s’emballer la machine organique au creux de sa poitrine dans un rythme fou, pulsant et pulsant encore jusqu’à lui faire mal s’il le fallait. L’important est de mettre le plus de distance possible entre elle et eux, jusqu’à regagner son vaisseau.

Mais le corps, si entraîné soit-il, si habitué à cette chasse dangereuse, finit par crier grâce, par exiger un répit. Elle s’arrête violemment, après avoir enjamber des contenaires. La course se stope, mais pas le rythme effréné de son cœur. Elle écoute, à l’affût d’un bruit lui indiquant qu’elle n’est pas seule, qu’on est toujours sur sa piste, alors que résonne les battements jusqu’à ses oreilles. Se force à bloquer sa respiration sur un rythme plus lent, pour reprendre son souffle, la main sur son blaster.

« Tu pensais pouvoir te faire la malle si facilement ? »

Siobhan relève la tête, cherchant la voix venant des toits, et elle le voit. L’un de ses directs chez l’Echange. L’un de ses nombreux fils de Chutta qu’elle avait finalement décider d’entuber ouvertement, avec la certitude de pouvoir s’en sortir sans qu’il y ait trop de casse. Mais les certitudes, dans un endroit et un milieu comme celui-ci, elles ont tôt fait de vous mener à votre perte. Son blaster fuse vers l’homme qui se tient plus haut, le doigt sur la gâchette, mais son adversaire fait de même et tire avant, lui faisant lâcher son arme, avant de descendre à sa hauteur.

« Tu comprendras qu’on ne peut pas te laisser en vie après ce que tu as fait, ni te faire confiance à nouveau. Il n’y a qu’une seule voie à suivre pour les traîtres comme toi… »

Le blaster de l’homme pointe vers elle, à bout de souffle, fatiguée de sa course démente. Il ne voit là qu’une perdante tendant sur sa fin, trop faible pour tenter quelque chose, le pâle reflet de la contrebandière acharnée et brutale. Lourde erreur. La jeune femme saisit son poignet, l’attire à elle d’une violente poussée pour cueillir son bas-ventre avec la lame de son vibrocouteau. L’arme perfore, transperce et déchire sans pitié la chair qui lui fait barrage, remonter jusqu’à la cage thoracique pour continuer son chemin sanglant. Siobhan repousse en arrière l’homme d’une droite, qui le fait chuter comme un pantin désarticulé dans un râle sonore. Un coup, deux coups, d’autres encore, viennent ponctuer son corps avec acharnement, jusqu’à ce que la colère retombe. Siobhan délaisse le reflet agonisant de sa haine au fond de cette ruelle, récupère son blaster, reprend sa course. Elle court sans s’arrêter, prend les chemins les plus improbables pour semer ceux qu’elle sait encore à sa poursuite. Mais malgré sa ténacité, une erreur survient alors qu’elle quitte les bas-fonds et pense enfin pouvoir s’engouffrer dans le grand hall du spatioport où se trouve son cargo par une entrée dérobée. Elle est encerclée par ceux qu’elle pensait semer, toutes armes dehors. Seule contre sept gaillards. Seule contre tous. Seule contre la galaxie entière, comme toujours…

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Cela faisait déjà plusieurs semaines ... Plusieurs semaines depuis Byss, depuis cette connerie ... L'Échange avait retiré la puce qu'ils lui avaient implantée ... J'étais désormais libre ... Et l'un d'entre eux. Bientôt, je pourrais remettre en place les vraies valeurs des sith ... La connaissance liée à la colère. L'évolution ultime ... Mais calmons nous nous n'y étions pas encore ... Il me restait quelques ... Obstacles ... Et en attendant une nouvelle affectation, autant profiter un peu du coin non ? Clubs de strip, casinos, bars ... En bref, le paradis pour ceux qui aiment profiter un minimum de la vie non ? Bon d'accord, la pègre qui tient à son argent et qui va tabasser des rodiens dans une ruelle sombre ...

En parlant de ruelle sombre ... Qu'est-ce que c'est que ça ? Il y a des jolies petites lumières qui clignotent partout et il y a des personnes qui courent derrière tout cela ... Si le matérialisme et l'attrait de trucs qui brillent ne marchent plus ... Où va cet univers ? Je vous jure ! Si on ne peut plus corrompre les hommes et les femmes avec des futilités, on est mal barré ... Non, je blague ... Tout cela était trop ... Étrange, si c'était un règlement de comptes ou "une discussion" la personne poursuivie ne serait pas apte à courir comme ça ... Et aussi quitte à essayer d'être discret, pourquoi passer par les niveaux supérieurs ? Les plateformes inférieures ont plus de passages et donc de manières de disparaitre ... La seule chose intéressante a ce niveau ...

Oui, c'est bien ça, elle était là, entouré par sept spadassins ... Pour une seule femme ? Au milieu du spatioport ? Ce symbole ... l'Échange ... ahah, ça commençait à devenir marrant ... Avec une peu de chance si je rapporte cette créature a quelqu'un ... Il pourrait y avoir de bonnes retombées. Maintenant, le petit problème ... Les clébards ... Comment les massacrer ? Quoi ? Comment ça radical ? C'est simple si je me ramène comme ça, ils ne me la laisseront jamais ... Et puis s'ils sont morts, ils ne pourront pas dire que j'ai essayé de leur voler leur ... Friandise. Mais avant tout essayons de négocier ... Je n'ai pas envie de me tacher. Je m'approchais donc d'eux d'un pas sûr, les mains dans les poches de mon manteau.


Bonjour mes chers amis … j'aimerais savoir pourquoi vous poursuiviez cette belle créature ? Elle ne semble pas si dangereuse que ça …

L'un d'eux se retourna vers moi, une expression de hargne gravée sur le visage … sympathique dites donc … Il faudrait surement lui mettre une muselière … je pense qu'il risque de bientôt me mordre … Vas y attaque moi … fait moi plaisir … saute moi à la gorge ! Et bien non … Il s'avança juste vers moi, se planta, restant immobile. Il était plus … massif que moi, mais bon, la taille ne fait pas tout n'est-ce pas ?


Ce ne sont pas tes affaires. Dégage gamin.



Hu … Ça devient mes affaires à partir du moment ou elle peut m'aider … d'une manière ou d'une à faire plaisir au boss…



Nous l'avons prise en premier. Tu. Dégages. Maintenant.


En soupirant, un rictus malsain vint déformer mon visage et, dans un geste ample et précis, je tranchai le coup du pauvre imbécile qui n'avait même pas pris la peine de parler ... C'est dommage quand même ... Enfin pour eux tous ... Des gouttes de sang vinrent s'écraser sur mon visage blanchâtre, la fête pouvait commencer. Trois d'entre eux s'empressèrent de saute sur la femme – trop pressés de recevoir leur prime non ? – et les trois derniers me foncèrent dessus comme des banthas enragés ... Esprits faibles ...

Je me dédoublai ... Étonnement, ils se stoppèrent net. Mais c'était trop tard, il m'avait lancé ... Je rattrapai une goutte de sang avec ma langue avant de me lancer dans cette danse morbide, laissant mon clone s'occuper de mes agresseurs. Comment j'étais passé au milieu de trois hommes ? Je viens de vous le dire ... Je suis passé au milieu, le sabre en avant en embrochant un ... Je la tirai par le col avant qu'elle ne puisse faire quoi que ce soit, la ramenant en arrière ... Pour ça n'allait peut-être pas lui plaire ... Mais j'essayais de lui sauver la vie ! Enfin plus ou moins ...

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Colère sourde naissant de l’impuissance de la proie qui se sait coincer dos au mur. Colère rageuse, le refus de reconnaître sa propre fin, de se rattacher aux lambeaux d’espoir et de vie qu’il reste. Mais la vie, elle va bientôt lâchement et salement l’abandonner. Elle peut en emporter un ou deux dans la tombe si elle joue du blaster rapidement, mais cette maigre consolation n’aurait qu’un goût de cendre et d’inachevé, avant que ce ne soit eux qui lui ôtent la vie. Foutue chienne de vie. Elle est si proche et à la fois si loin de son but, son vaisseau à quelques centaines de mètres à peine, sa porte de secours et son allé simple vers la liberté et de nouveaux cieux. Et pourtant elle va crever là, en ayant en tête Nar Shaddaa, cet endroit qu’elle déteste tant comme ultime image gravée dans les yeux et l’esprit.

Ou peut-être pas en fin de compte. Capricieuse maîtresse, la vie semble finalement lui offrir une diversion inattendue comme elle seule sait les faire. Un homme de haute taille, pâle comme un linge, au regard dans lequel brille un éclat à la fois étrange et inquiétant. C’est ça crétin, fait le malin, détourne leur attention, que je puisse me tirer de là… J’ai pas besoin de grand-chose, juste d’avoir l’opportunité de piquer un sprint.

Qu’ils la sous-estiment tous, qu’ils soient aveugles et ferment les yeux. Elle n’a pas le temps de lancer une répartie cinglante à cet inconnu débarqué de nulle part, mais avec ses mains et sa veste tachées du sang versé quelques minutes plutôt, elle n’a pourtant pas l’air d’une enfant de cœur. Mais peut-être bien que ce type l’est encore moins, alors que la tête du brigand qui lui fait face se détache impitoyablement de ses épaules. Parfait ! Déjà prête lorsque trois de ses opposants s’empressent de tenter de la saisir alors que les autres se tournent vers l’opportun, elle a déjà le doigt sur la gâchette, le canon de son arme pointé vers la tête d’un de ces larbins de l’Echange qu’elle fait sauter dans la seconde qui suit. Puis la suite se passe trop vite et l’inconnu se retrouve brusquement près d’elle, la ramenant sèchement derrière lui.

Ce qu’il reste de survivants se jettent sur Siobhan et son improbable sauveur. Celle-ci en profite du chaos pour se dégager et passer entre les mailles du filet, fonçant vers son vaisseau et se saisissant de son com-link au passage. « 8FI, ouvre-moi le passage et prépare-toi à décoller dans la seconde ! » 8FI, son droïde pilote GD16, qui sait se rendre utile à ce genre d’occasion bien que Siobhan sache parfaitement piloter. Moins d’une centaine de mètres la sépare de son cargo désormais, tandis qu’elle les avale un peu plus, délaissant ses anciens collègues et Nar Shaddaa derrière elle, tirant un trait définitif sur tout cela. Du moins le pense-t-elle…

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Spoiler:



Hu ... C'est comme cela que l'on remercie son sauveur, mademoiselle ? Alala ... Plus aucun respect de nos jours ... Bon avant de m'occuper d'elle, j'avais encore quelques problèmes sur les bras, bon, d'accord avant de se barrer elle avait explosé une tête, apetissant. Bref je devais terminer les deux derniers péons qui osaient se mettre en travers de ma route ! Il faut noter que je n'ai pas réellement l'habitude de me battre au sabre contre des utilisateurs de pisto-laser, je préférai esquiver les tirs plutôt que de les contrer. Je me ruais vers eux. Affamé. Sadique. La pupille rétractée. D'un coup net de sabre, je tranchai le ventre du premier, laissant ses tripes se rependre au sol ... Pendant ce temps, son confrère tenta de m'attaquer dans dos, un coup de pied dans l'abdomen, réorientation de lame vers l'arrière et tranchage de tête verticalement. Appétissant n'est-ce pas ?

Derrière moi, mon double en avait aussi terminé avec ses adversaires, en projetant un dans le vide et envoyant l'autre s'empaler sur des décorations qui étaient dans le coin. Je plains la personne qui va devoir nettoyer tout ça... je devrais peut-être laisser un pourboire ? Ah non ! Pas le temps ! J'ai mon ticket de promotion qui se barre. Et c'est qu'elle courrait vite la petite. Mais ce qui est dommage quand on tente de fuir utilisateur de la force est bien ... c'est qu'il a la Force. Je m'accroupissais, penché en avant, une main au sol, et, dans un mouvement sec, je me propulsai. Bien entendu, cela n'était pas suffisant pour être à sa hauteur, mais au moins désormais, j'étais à sa hauteur pour "la neutraliser", ou tout du moins, la ralentir


Doucement ma belle, où pense-tu aller comme ca ?

Je tendis mon bras, relâchant une décharge d'éclairs, électrisant la frêle demoiselle qui s'étala au sol. Mon clone était encore là. Pendant que je partais m'asseoir en tailleur à côté d'elle. Le double se dirigeait vers le vaisseau vers lequel elle. Je me saisis de son arme, la rangeant dans mon manteau, avant de la saisir au menton pour voir si je ne l'avais pas trop abîmé. Morte ? Je ne pense pas... Vous prenez les paris qu'elle va me mordre quand elle se réveillera ?


Je me demande bien ce qu'ils te voulaient. Se mettre à autant contre toi ... Qu'as-tu donc fait ma petite pour qu'ils t'en veuillent autant ?

C'est vrai ... Pourquoi l'Échange enverrait tant d'hommes pour une femme si frêle ? J'étais curieux, je voulais vraiment savoir le pourquoi du comment avant la livrer, on ne sait jamais, peut-être serait-elle plus intéressante qu'on ne pourrait le croire ... Et si elle est en mal avec une des chefs de secteur, elle pourrait peut-être m'aider à le faire tomber ... Pour que je puisse prendre sa place bien évidemment. Pourquoi vous me regardez comme ca ? Les dirigeants, ça va ça vient non ?

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La jeune femme courait exactement comme si elle avait une horde de « machins » aux fesses, confiante en sa vitesse et son agilité. Ce qu’elle avait sûrement sous-estimé et considéré comme un détail, c’était que l’homme qui s’était interposé entre elle et ses agresseurs, était un utilisateur de la Force. Peu habituée à côtoyer ce genre d’énergumènes, la jeune femme avait à peine idée de l’étendue possible de leurs pouvoirs, et de la nature de ces derniers…

La décharge électrique l’atteint dans le dos de plein fouet, stoppant net sa course, et son corps et ses forces l’abandonnent. Elle chute, secouée de spasmes dû au choc électrique, son esprit sonné. Son vibrocouteau lui échappe, tombant à ses côtés, le vrombissement sourd de celui-ci cessant. Il lui faut plusieurs secondes pour retrouver une part de lucidité, se souvenir où elle se trouve et ce qu’il s’y passe, avant de distinguer le visage d’un homme assis en vis-à-vis, le visage penché vers elle, tandis que l’inconnu lui relève la tête.

Elle le remet finalement : l’homme qui s’est interposé face à ses poursuivants. Et il a le culot de la toucher en plus. En tant normal, elle lui aurait déjà ruiné sa main en la mordant, en y plantant son vibrocouteau, ou en tirant un bon coup de blaster dedans. Cependant, la situation ne s’y prête guère, que ce soit par sa position que par les légers tremblements nerveux de ses mains suite au choc électrique, qu’elle serre jusqu’à s’en blanchir les jointures alors que son regard se fait assassin. Se calmer, respirer un bon coup, pour laisser un peu d’oxygène monter jusqu’au cerveau et réfléchir un bon coup, histoire d’éviter de s’attirer des ennuis avec ce gars, voilà finalement un trait de bon sens qui lui traverse l’esprit. Au vu de sa petite démonstration, ce type est clairement un poids lourd en matière de combat. Foutu connerie de Force…

C’est d’un ton hargneux, mais néanmoins avec une pointe de prudence, celle du prédateur qui a conscience qu’il vient de tomber sur plus gros poisson que lui, qu’elle lui répond : « Je les ai enflé, ces fils de Chutta, et j’ai repris la liberté qu’ils m’avaient prise. Rien de plus. Ça leur a pas plut des masses… »

__________


Les bippements intempestifs du droïde utilitaire interpellait 8FI, actuellement tous deux parés à faire décoller le cargo aux ordres de leur maîtresse, celle-ci malheureusement à terre et retenue son improbable sauveur.

« Tais-toi donc, sombre tas de ferraille, je n’ai pas besoin que tu me dises l’évidence ! » s’exclama la voix synthétique du droïde de pilotage. Une nouvelle série de bips sonores se fit entendre en guise de réponse.

« Oui, ça aussi je l’ai vu, il a le double de cet homme qui va vouloir entrer. Blackway n’aimerait pas ça, assurément. Je vais l’empêcher d’entrer, mais laisse les moteurs continuer de chauffer. »
Et c’est ainsi que l’entrée du cargo se referma au nez et à la barbe du double.

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Des mots si vulgaires dans la bouche d’un si joli minois, quelle tristesse, les jeunes de nos jours, je vous jure ! Enfin, au moins elle n’avait pas eu l’audace de me mordre… Liberté ? Une esclave ? Ça commençait à devenir intéressant tout cela. Quelle liberté croit-elle avoir arraché si bravement ? Elle n’a qu’à se regarder, poursuivis par des personnes mieux équipés et plus nombreuse, obligé de fuir constamment… Belle liberté dis donc ! Briser ses chaînes et s’en forger de nouvelles… Bon, il y avait fort à parier qu’elle ne serait pas d’humeur de philosopher avec moi, surtout après ce coup de foudre plutot rude pour elle.

Je me relevais dans un soupir, lui tendant la main, prenant de même garde aux coups fourrés qu’elle pourrait me faire, affichant un sourire en coin. Je voulais voir sa réaction. Était-elle rancunière ? Pensait-elle pouvoir m’échapper ? Nous verrons cela bientôt, je pense. Pauvre petite chose plus perdue qu’elle ne semblait vouloir le reconnaitre… Mais avant… il fallait faire quelque chose pour ce vaisseau. Et mon Doppelganger le savait très bien. Il alluma son sabre et vint le placer à côté d’un des réacteurs du vaisseau de la « demoiselle ».

Je pense qu’il te serait profitable que tu coupes ton les systèmes de ton vaisseau. Enfin, je dis ça pour toi, ce n’est pas moi qui devrais chercher des pièces de rechange sur une planète où je suis recherché. Oh, et si tu veux, j’aurai surement une proposition à te faire pour que ces négriers te laissent tranquille, est-ce que ca t’intéresse ?


Lui dire ce que j’avais en tête exactement ? Hors de question, je voulais voir jusqu’où elle était prête à aller pour conserver son semblant de liberté. Allait-elle accepter les termes d’un inconnu sans les connaitre ? Nous verrons. Dans ce genre de jeu, on gagne, ou on meurt. Rejoins-moi petite chose, rejoins-moi sans savoir dans quoi tu t’engages. Mon sourire devint démonial, affamé, désireux d’obtenir cette âme frêle et brisée.

Car au final, que comptes-tu faire de cette « liberté » ? Fuir et errer sans buts pour toujours ? Je t’offre de faire quelque chose de tes … talents…


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