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    " Attention risque d'explosion en cas de défaillance ! C'est si difficile de mettre un avertissement de la sorte sur ces merdes de droïdes ? "


Redressant la tête je me rends compte que Dranor est à mes côtés, ce qui confirme l'hypothèse de la perte de conscience. Par chance, celui-ci n'a pas cherché à retirer mon casque et semble attendre que je réponde à une question qui m'est inconnue ! Sans doute cherche t il à savoir si tout va bien et je fais de même en lui renvoyant son hypothétique question tout en me saisissant de la main offerte afin de me redresser.

Le choc de l'explosion n'a pas été sans dommage et je m'en rends compte en retrouvant mes appuis, une douleur à la jambe droite apparaissant, mais surtout une douleur au flanc contre lequel je pose une main qui se teinte de rouge lentement. Mon armure a fait son œuvre, mais cela n'a apparemment pas empêché des morceaux de métal de venir se planter dans celle-ci ne la perforant heureusement qu'en un seul endroit. Baissant les yeux sur la blessure, j'écarte de mes doigts celle-ci afin d'en extirper le morceau s'étant incrusté dans ma peau blanche, une légère grimace sur le visage.


" Ça va aller. Juste une petite plaie, en tout cas merci du compliment, tu t'es pas mal débrouillé aussi apparemment Boss. "

Ramassant un des blasters tombé au sol, j'en extirpe le chargeur que je commence à bidouiller tout en suivant Dranor jusqu'à l'homme qu'il a mit Ko. Quelques claques délicates et le mercenaire s’éveille le nez dans un canon de blaster de Dranor qui lui laisse quelques secondes avant de lui expliquer n détail comment tout cela allait se passer. Une perte de temps de mon point de vu, mais je ne suis qu'employée ici et je choisi donc de laisser le Boss faire à sa façon en espérant qu'il ait une idée bien défini en tête.

Je profite du temps offert pour appliquer contre mon flanc le chargeur trafiqué, afin de cautériser ma plaie avec l’énergie s’échappant de celui-ci. Cette manœuvre, je l'ai découverte il y a fort longtemps et utilisé afin de recharger mes propres armes pendant mes années de formation. Particulièrement dangereuse en temps normal, sans la présence du second bloc d’énergie à recharger, il n'y a pour autant que peu de risque d'explosion. Un gémissement de douleur étouffé accompagne les insultes de l'homme en bien mauvaise posture, mais qui préfère malgré tout repousser les avances de Dranor. Je suis presque contente qu'il l'ai ouverte, cela rendant mes propres difficultés presque inaudibles, mais surtout cela me laisse une chance de me venger pour la blessure que j'ai subis.

Avançant vers lui, je le regarde un instant avant de lui exposer mon point de vue tout en laissant tomber le chargeur un peu plus loin.


" C'est fou, on te fait un cadeau et toi tu préfères cracher dessus ! Tu sais que ça m’énerve les gros cons comme toi ? Je vai... "

" Va te faire foutre sale co... "


Sans laisser finir l'homme, je lui brise le genoux droit d'un violent plat du pied. Le geste est net et sans bavure et alors que les hurlement de douleurs du mercenaires s’élèvent dans le hangar, je me glisse contre lui, saisissant un de ses bras pour le presser contre son visage afin d’étouffer ses cris.


" Quand quelqu'un parle, la moindre des politesse c'est de l'écouter jusqu'à la fin ! Ce premier manque de politesse vient de te coûter ton genoux droit et si tu continue de crier comme ça le gauche ne va pas tarder à suivre, tu comprends ? "

L'homme hoche la tête frénétiquement sans pour autant parvenir à stopper ses gémissements, mais je m'y attendais un peu à vrai dire. Peu de gens peuvent contrôler la douleur à la demande, mais vu les efforts qu'il semble faire, je vois qu'on est parti sur de bons rails.

" Tu vas répondre au boss, sinon ce ne sera pas un genoux que tu perdras cette fois-ci ok ? Je te donne un indice, ça se situe un peu plus haut et malheureusement si j'arrache ce truc là, tu vas sans doute parler dans les aigu jusqu'à la fin de tes jours... "
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Nuray vint prendre la place du capitaine en face du pauvre ère à moitié sonné, mais assez crétin pour refuser une sage proposition quand elle se présentait...
çà.. faudrait pas qu'il vienne se plaindre après si il lui arrivait des bricoles... pour une fois que Dranor était sympa plutôt que dégainer son blaster sans même prendre le temps de parler....
Bon au moins il n'auraient pas tout perdu, le contrebandier était plutôt confiant sur l'art et la manière du mercenaire pour arriver à ses fins, mais de quel façon ? Ça on pouvait dire que Dranor se questionnait beaucoup.
Nuray ne semblait pas au genre de mec qui perdait son temps a vouloir briser psychologiquement sa victime. Si on on jugeait par la façon dont il avait dessoudé le robot et la pauvre malheureuse d'un coup de disque dans la tête, on pouvait aisément comprendre que la suite serait plutôt douloureuse.

Suite douloureuse qui ne manqua pas d'arriver alors que Nuray brisa le genoux du mercenaire d'un coup sec du pied, étouffant ses cris en repliant son bras sur sa bouche.
Grimaçant légèrement au craquement osseux, le capitaine sortit un cigare pour l'allumer continuant d’écouter son coéquipier qui était en train de mettre les points sur les i de l'estropié.

''Je crois que ça ira mon vieux, je crois qu'il à saisit l'idée....je vais prendre le relais....''

Dranor tapota sur l’épaule du Ubèse avant d'inverser une nouvelle fois de position, revenant à sa place d'origine à savoir face au mercenaire.
Le contrebandier le regarda un instant, tirant sur son cigare, c’était ptêtre lui le bon flic dans l'histoire en fait ? Ça c’était ironique... mais assez comique en somme.

''Bon... on est partit sur de mauvaises bases tout les trois... mais ça veut pas dire que ça va continuer.... Bien... Alors je veux savoir ou se trouve les dortoirs des porte flingues, la cantine, le local de sécurité, et le local technique.''

A chaque questions, le contrebandier appuyait son index sur le gilet tactique du soldat de fortune, comme pour appuyer la nécessité d'avoir une réponse.
L'homme gémit ses réponses tant et si bien que le contrebandier du rapprocher son oreille pour mieux comprendre. Mais au moins ce que lui révéla leur prisonnier corroborait ses anciens souvenirs.

Après la salle, un long couloir direction l'est puis, sur la droite les quartiers dortoirs. Si on continuait tout droit on tombait sur le poste de commandement sécurité puis en bifurquant sur la gauche la salle de repos commune. Le centre technique lui se trouvait tout au bout... forcement... ce n’était jamais drôle quand c’était trop facile...

Se frottant sa barbe de trois jours, le contrebandier l’interrogeât sur la présence d’éventuels droïdes en plus ainsi que le nombre de mercenaire sur place. Et, entre deux gémissements de douleurs le soldat amoché fut relativement loquace. Il restait trois robots de combats, et environ une petite dizaine de soldats. Avec un peu de chance ils arriveraient sans doute à se frayer un chemin, et si par le plus grand des hasards certains dormaient alors la ça serait le jackpot !

Remerciant le soldat en lui tapotant doucement sur le dessus du crane, le contrebandier se releva et le frappa finalement d'un coup de crosse derrière la tête, se retournant vers Nuray pour se justifier :

''C'est pour pas qu'il souffre tu comprends !''

Il lui gratifia d'un large sourire avant de tirer sur son cigare et de fouiller le soldat. Il n'y avait rien de franchement intéressant, si ce n’était un paquet de chewing-gum qui termina dans la poche du capitaine. Bien ! A présent il fallait continuer, ce n’était pas tout ça mais Dranor n'avait pas envie de s'attarder ici plus que de raison.

''Bon bon ! On va continuer ! Je te laisse passer devant et je te couvre, on va aller les enfumer dans leur quartier. On en fait qu'une bouchée et on degage d'ici au plus vite. Si t'as des idées en cours de route, je suis ouvert a la discussion ! Allez en avant mon pote !''

Tapotant l’épaule du mercenaire, le capitaine ramassa un fusil blaster automatique. Il n'était pas fana de ce genre de pétoire, pas comme son cousin Jake en tout cas, mais ça pourrait toujours être utile, surtout dans un couloir, ça poivrait bien ces conneries d'armes !
Contournant les caisses métallique, le contrebandier rejoignit la porte menant au couloir que lui avant indiqué le soldat, et, vérifiant si l’arme etait bien chargé, il attendit que Nuray passe pour le couvrir.


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    " La violence n'est pas une solution ! Je pense que le mec qui a sorti cette connerie devait être un de ces coincés du cul offrant son autre joue. "


La violence est une solution plus que correcte pour de très nombreuses situations et il suffit de voir la tête du mec à qui je viens de casser le genou pour le comprendre. Avant cette petite clarification il n'était pas vraiment enclin à parler, sans doute trop fier de sa petite loyauté, mais avec une pression pour le moins mesurée, il commence à comprendre qu'il n'a pas vraiment le choix. Enfin si, il a le choix de continuer à se taire et ainsi gagne le droit de souffrir un peu plus, mais je n'ai pas le temps pou ce petit jeu pourtant plaisant !

C'est pourquoi je suis tout de suite passé à la vitesse supérieure en lui promettant de lui ôter le membre le plus précieux de son anatomie. Plutôt amusant par ailleurs de voir qu'un homme préfère perdre un jambe ou un bras plutôt que ses bijoux de famille. Comme s'il pouvait encore avoir usage de ce genre de chose une fois incapable de bouger dans un lit d'hopital après que chaque membre de son corps aient été réduit en bouillie par des soins tout ce qu'il y avait de plus chirurgical ! Après tout chacun voyait midi à sa porte, mais je dois avouer que les mâles sont bien trop facilement manipulable sur ce point ci ! Sans doute pour ça qu'ils son aussi faibles ?


" Ok Boss, mais si tu as besoin demande et je me ferai un plaisir de passer mes nerfs sur sa petite gueule, au moins c'est pas comme ce droïde de merde, lui il hurle quand on le découpe en petit bouts. "


Frappant sur l'épaule de l'homme, je lui glisse un petit à bientôt pour finir de le motiver à cracher le morceau alors que Dranor revient vers lui afin de le questionner à nouveau sur la base que nous étions entrain d'infiltrer. Je n'ai pas vraiment l'impression d'être allé très loin avec tout ça, mais l'homme montre déjà des difficultés d'élocution alors qu'il tente de répondre à chacune des questions du contrebandier et c'est avec prudence que je surveille ce qu'il se passe, puisque si c'était moi dans sa position je ferai exactement la même chose afin de forcer mon opposant à se rapprocher pour pouvoir l'attaquer plus facilement ! Mais en fait, l'homme n'est peut être bel et bien qu'une chochotte cherchant à jouer au grand garçon puisqu'il ne tente rien et balance allégrement à chaque question.

C'est plutôt sympa, mais ça m’empêche de lui en mettre encore plein la gueule gratuitement et ça c'est très con, mais au moins on a les informations qu'il nous manque et je me doute qu'il va falloir se débarrasser du témoin de notre petite intrusion ! Cela ne m'inquiète pas trop, contrairement à la présence de trois autres droïdes de combats comme celui que j'ai déjà détruit. C’est clairement une mauvaise nouvelle et j'espère que l'on va pouvoir passer sans avoir à les affronter à nouveau, parce qu'un seul c'était déjà corsé alors si les trois se décident à s'associer c'est carrément la merde et on aura aucun moyen simple de récupérer le matos !


" Pas de problème, enfin... Si tu veux je peux faire qu'il ne souffre plus jamais tu sais ! "

Je tapote un de mes disques pendant que Dranor fouille le corps du mec.

" Si tu cherches un lance-roquette je pense pas que tu va trouver ça dans sa poche, pourtant ça nous sera bien utile si on tombe sur un de ces merdes de droïdes. Sinon, je suis tout à fait ok pour aller les fumer dans leur sommeil ou en plein milieu d'une partie de Sabacc.  "

Quitta la pièce, je suis Dranor sans un bruit entre les caisses métalliques, je prend la tête après qu'il m’ait ouvert la porte. D'après les explications de la petite fiole, le quartier des garde se trouve un peu plus loin sur la droit et c'est ans un bruit que je m'y dirige en prenant soin d'être ouvert par le contrebandier à chaque mouvements avant de faire de même pour lui.

Une chose est certaine, le dortoir ne doit pas abriter de droïde il est donc plutôt malin de commencer par là. Une fois arrivée devant la porte, j’amplifie les son m'entourant grâce à mon casque et fait signe à Dranor qu'il y a au moins 3 hommes là dedans, dont un dormeur au sommeil plutôt bruyant qui n'aide pas à l’identification des sons. Je lui demande sans un mot s'il veut toujours que l'on entre où que l'on tente d'éviter l'affrontement. Pour ma part je suis plutôt d'avis d'entrer et de dégommer ce qu'il y a à dégommer, ce sera toujours ça de moins à se coltiner plus tard !

La confirmation obtenue, je me saisis de mes deux disques et ouvre la porte comme si je venais pour prendre un peu de repos afin de n'attirer qu'une attention minime mur nous. Il faut bien avouer que défoncer les portes à coups de pieds c'est grande classe, mais ça fout un bordel monstre ! Y a bien que les mecs pour faire des conneries comme ça ! Sans parler, qu'ouvrir la porte avec calme ne m’empêche pas de fondre dans la pièce lorsque je fais face à trois hommes et en repère un quatrième dormant sur une couchette. J'espère que Dranor était prêt parce qu'il va y avoir du travail pour tous ! Lançant mon premier disque que j'active d'une rapide pression du pouce, je tranche la tête du second des hommes me faisant face sautant sur le premier comme une furie lui enfonçant le second de mes disque dans le flanc.


" A toi Boss ! "

Un cri qui se fait stopper dans son élan par un violent revers de chaise m'envoyant m’écraser sur un des lits...
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