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Petits meurtres sur Corellia




" Que souhaites-tu comme exemple ? Un meurtre cruel et barbare ? Du brisage d'os ? Une mare de sang ? Ou bien tout simplement une action précise et sans effusions de sang ?"



- Je vois que la technologie Sith est encore et toujours à la ramasse... dit Venas en jetant un regard de dégout sur le tableau de bord de la navette dans laquelle elle venait tout juste de rentrer.

Sans en attendre l'invitation, elle s'assit à la place du copilote et croisa les jambes, dévoilant ses jambes pâles partiellement recouvertes de ses bottes montantes. Croisant les bras, elle attendit que la Sith se charge du décollage sans même écouter sa réponse et sans lui décocher ni mot, ni regard. Sortant de sa manche une petite pièce, elle entreprit de la faire circuler entre ses doigts lentement sans la toucher. Ceci petit exercice avait l'avantage de l'occuper un bon moment et de ne pas l'obliger à faire la conversation.

La navette ayant décollé, elle tourna la tête vers la Sith, refermant la main pour se saisir de la pièce. D'un œil suspicieux, Venas l'observa. Cette jeune Sith avait une peau pâle, si pâle qu'elle faisait concurrence à la sienne. Il fallait reconnaitre qu'elle disposait d'une silhouette d'un certain charme, voir même un début de beauté. Son visage laissait apparaitre deux yeux noirs et des lèvres rouges comme le sang... Irrésistibles... Néanmoins, ses mains étaient lisses et dénuées de marques, ce qui indiquait qu'elle était soit forte... soit lâche. Ce qui dans les deux cas, n'arrangeait pas les affaires de la Dathomirienne.

Voyant que la navette entrait dans l'hyperespace après l’achèvement du calcul de la trajectoire par les navicomposants, Venas se décida enfin à se découvrir. Ôtant le tissu qui lui cachait le visage, elle enleva également sa capuche, dévoilant ainsi toute sa tête.

Venas était une Dathomirienne des plus séduisantes. Ses cheveux noirs comme l'ébène s'arrêtant en-dessous de ses épaules encadrait son visage pâle. Ses yeux noirs soulignés par son maquillage lui donnait un regard impénétrable et difficilement soutenable. Au-dessus de son œil gauche, un petit bande rouge traversait verticalement son front et témoignait encore de son appartenance au clan. Venas avait beau avoir fait une croix dessus en quittant sa planète, elle ne crachait pas sur ses semblables et sur ses origines. D'ailleurs, savoir que les Siths devaient avoir implanté une base sur Dathomir l'irritait au plus au point. Si un jour l'envie lui prenait d'y retourner pour devenir Chef de tous les clans en les soumettant, les Siths encore présent y serait exterminés, tous, sans exceptions...

Chassant ses dernières idées de son esprit, Venas ouvrit finalement la bouche :

- Tu as un nom jeune Sith ? lâcha-t-elle, se souvenant que sa commanditaire avait fini par la tutoyer. Ou se contentent-ils de te siffler ?

Venas lança un sourire mauvais comme pour se moquer de la jeune femme, avant de retourner sa tête vers l'effet psychédélique de l'hyperespace. Elle aimait naturellement provoquer les rares personnes qu'elle côtoyait, comme pour prouver sa supériorité vis à vis d'eux. Elle testait également ainsi leur tempérament et leur caractère. Une personne qui répliquait au quart de tour était du genre manipulable, alors qu'une autre conservant son calme... serait bien plus difficile à manipuler.

- Sinon... Que souhaites-tu comme exemple ? Un meurtre cruel et barbare ? Du brisage d'os ? Une mare de sang ? Ou bien tout simplement une action précise et sans effusions de sang ?

Venas tourna la tête vers la jeune Sith avant de poursuivre :

- Faire naître la terreur au sein la plèbe n'est pas dans mes habitudes... Disons que je ne cherche pas à le faire et qu'elle se répand d'elle même sur mon passage... Alors énonce donc tes fameuses règles Sith... Que je ne me déplace pas pour rien...

Attendant les bras croisés la réponse de l'Arkanienne, Venas fit claquer sa langue pour signifier son manque de patience. Après tout, l'Ombre de la Mort avait une réputation à tenir.

M
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Je refermais simplement la rampe de la navette et je laissais mon invitée s’installer. J’allais d’abord régler une ou deux choses dans mes appartements avant de la rejoindre, ignorant clairement sa remarque. Cette navette était identique à des milliers d’autres. Elle n’était pas « Sith » d’origine, de toute façon. Enfin bref... Je demandais rapidement l’ordre de quitter ce cailloux qu’était Nar Kreeta et faisait chauffer les moteurs pour finalement nous faire décoller. Durant toute l’ascension, je ne la regardais pas. Pourtant, je savais qu’elle m’épiait. J’étais parfaitement conscience qu’elle m’observait sans aucune retenue. Il était évident que je la surveillais malgré tout. Je n’étais pas folle au point de tourner le dos à une assassin sans assurer mes arrières. Finalement, je plaçais le vaisseau en orbite et entrait la trajectoire devant nous mener à Corellia. Je laissais les navicomposants faire le reste et lorsque le vaisseau fut fin prêt, je baissais une manette et laissais la navette plonger en vitesse-lumière. Le navire fut soudainement propulser dans les méandres de l’hyperespace et je contemplais encore quelques instants le flot bleuté avant de laisser plonger mon regard sur la Dathomirienne.

Je laissais un léger sourire en coin s’égayer sur mon visage alors que je contemplais ses courbes, la couleur de sa peau, son corps. Mine de rien, elle avait un certain charme pour une Dathomirienne et son comportement avait de quoi séduire à condition de ne pas prendre peur dès la première rencontre. Mon sourire s’élargit un peu plus alors que je soutenais son regard, encaissant sa remarque sans rien dire. Non. Je n’étais pas le chien à un quelconque maitre. En tant que Sith, je me faisais respecter. Et elle devra apprendre à le faire aussi si elle tient vraiment à être payer !

- Eerhia. C’est comme ça que je m’appelles, ma chère Venas. répondis-je calmement.

Je n’avais pas peur d’elle. Et il était temps pour moi de me faire connaitre un peu plus. Je devais me bâtir une réputation sur un espace plus vaste que l’académie de Korriban, plus vaste que la sphère d’influence qui gravitait autour de Darth Riakath. Il était temps de faire plus encore…
Elle espérait sans doute me déstabiliser avec ses remarques plus ou moins assassines –cela dépend évidemment du point de vue !- mais c’était perdu d’avance. Riakath savait se montrer plus direct, plus violente encore dans ses remarques. Elle ne faisait clairement pas le poids face à elle. Et face à moi, rien n’était joué. Mais concernant la mission, le test, il était effectivement temps de lui offrir plus de détails. Corellia serait un endroit parfait pour tester la nouvelle « arme » de Riakath. Celle qui devrait remplacer ma Maitresse en tant que Nosfera. Je croisais donc les bras, pliant une jambe par-dessus l’autre.

- Ce que je souhaite ? Ce que je souhaite… n’est pas un génocide ma chère. Il n’est pas question d’éradiquer. Ce que je veux… c’est une chasse. Une traque. Le but est d’instiller la peur, le chaos. Les témoins de tes actes devront être prit de torpeur rien qu’à l’énonciation de ton « nom ». Tu dois clairement laisser un sillon de peur sur ton passage. Je veux que tu sélectionnes, que tu tues sans retenue sans pour autant t’abandonner au massacre. Tu dois… doser.

Je laissais un sourire malsain prendre la place sur mes lèvres à l’idée de ressentir cette odeur de mort, de peur et de torpeur sur le visage de ceux qu’elle ne tuera pas. Des témoins de la scène. D’ailleurs, à ce sujet, je me devais de préciser certaines choses…

- Cependant, tu devras évidemment en épargner certains… Ces témoins.. ils devront se souvenir de tes actes, de ton nom, de ton visage. Mais pourtant, ils ne devront pas être capable de te décire... Tu devras agir comme une ombre, comme un fantôme, comme l’obscurité écrasante qui rôde autour d’eux..

Cela dit, je pivotais pour atteindre ce qui semblait être un espace de rangement d’où je sortais deux verres que je laissais glisser sur le pupitre qui nous séparait la Dathomirienne et moi avant de plonger mon regard sur le flot dans lequel nous voyagions actuellement.

- Nous ne devrions pas mettre trop de temps à rejoindre Corellia. Je te sers quelque chose à voir, l’Ombre de la Mort ?


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Le regard que lui lança sa commanditaire déstabilisa un peu Venas, qui se garda bien de le montrer. Ce sourire en coin était dérangeant, insolent, inacceptable. Ainsi elle se permettait le même exercice que la Dathomirienne quelques secondes auparavant. A quoi pouvait-elle bien penser ? Probablement à la même chose. Après tout, lorsque deux femelles s’observaient, elles trouvaient toujours des défauts et des qualités chez l'autre, jalousaient ou méprisaient...

S'ensuivait naturellement, une sorte de bras de fer psychique, qui se traduisait par "qui baisserait le regard". A ce petit jeu, les deux femelles semblaient être sur la même longueur d'onde. Aucune ne semblait vouloir baisser les yeux et affirmer ainsi son infériorité. Chacune d'entre-elles s'estimait bien évidemment supérieure à l'autre...

Afin d'en juger, il n'y avait qu'une seule solution : un duel. Mais, l'heure n'était pas encore venue. Pour le moment, il fallait rentrer les crocs, courber l'échine et attendre la suite des évènements. Car si l'association entre la commanditaire et la mercenaire se concluait, il faudrait probablement attendre très longtemps un possible affrontement. Venas possédait d'ors et déjà ses raisons pour soulager l'Empire Sith d'un de ses membres et probablement bien plus encore, si ce dernier avait effectivement colonisé sa planète natale...

- Eerhia. C’est comme ça que je m’appelle, ma chère Venas.

La Dathomirienne se garda bien de faire le moindre commentaire sur la familiarité de la Sith. Après tout, c'est elle qui avait commencé avec ses remarques assassines. Néanmoins, Venas ne manqua pas de lancer un regard lourd de sens à Eerhia, qui pour sa part se contenta de placer une de ses jambes sur l'autre, avant de poursuivre :

- Ce que je souhaite ? Ce que je souhaite… n’est pas un génocide ma chère. Il n’est pas question d’éradiquer. Ce que je veux… c’est une chasse. Une traque. Le but est d’instiller la peur, le chaos. Les témoins de tes actes devront être pris de torpeur rien qu’à l’énonciation de ton « nom ». Tu dois clairement laisser un sillon de peur sur ton passage. Je veux que tu sélectionnes, que tu tues sans retenue sans pour autant t’abandonner au massacre. Tu dois… doser.

Ainsi, Venas allait une nouvelle fois exercer ses talents d'assassin. Tuer, encore et encore, pour terroriser toute une population. Frapper au hasard, n'épargner aucune classe sociale, ne faire aucune distinction, telle allait être sa mission. Un contrat de ce genre était d'ailleurs déjà tombé entre ses mains il y a quelques mois. Afin de favoriser l'élection d'un chef de l'opposition d'une planète, Venas avait été chargé d'engendrer la panique un peu partout et notamment dans la capitale. Assassinant cruellement des dirigeants en place dans les deux camps aussi bien que de simples mendiants, elle avait ainsi fait naître après plusieurs semaines la peur au sein de la population. Prétextant pouvoir ramener la paix et l'ordre, le chef de l’opposition avait été élu et Venas grassement payée. Un innocent avait été arrêté puis exécuté pour les méfaits de la Dathomirienne, qui était tranquillement repartie dans la Bordure Extérieure dans l'attente d'un nouveau contrat...

Se remémorant de cette période, la mercenaire pencha la tête sur le côté, savourant les cris de terreur qu'elle avait entendue, les suppliques qu'elle avait arraché, les os qu'elle avait brisé, les viscères qu'elle avait éparpillé et le sang qu'elle avait fait couler. Elle s'en était donné à cœur joie, laissant même sa bestialité intérieure ressurgir à quelques moments, transformant le simple assassinat d'un garde en une véritable boucherie. Les membres du malheureux avait été éparpillé tout comme quelques-uns de ses organes internes, car avec un couteau dans les mains, l'assassin était devenu un monstre à l'esprit créatif...

- Cependant, tu devras évidemment en épargner certains… Ces témoins... Ils devront se souvenir de tes actes, de ton nom, de ton visage. Mais pourtant, ils ne devront pas être capables de te décrire... Tu devras agir comme une ombre, comme un fantôme, comme l’obscurité écrasante qui rôde autour d’eux...

En somme, comme un assassin. Néanmoins, pour ce qui était du nom et du visage, il ne fallait pas y compter. Lorsqu'elle commettait ses méfaits, Venas portait un voile dissimulant son visage et ne l'ôtait que pour voir sa victime mourir. En présence de témoins, la belle demeurait masquée et ne donnait qu'un seul et unique nom : "l'Ombre de la Mort". Il était d'ailleurs gênant que sa commanditaire connaisse son nom exact. Bien entendu, lors de sa fuite, elle n'avait pas eu le loisir de supprimer son existence des archives Sith et elle avait déjà utilisé ce surnom en mission pour l'Empire. Si l'information ne fuitait pas, Venas ne demeurerait connue que chez les Sith et resterait à jamais l'Ombre de la Mort pour le reste de la Galaxie...

- Nous ne devrions pas mettre trop de temps à rejoindre Corellia. Je te sers quelque chose à boire, l’Ombre de la Mort ?

Posant son regard sur la Sith, Venas ignora les verres. Boire, la Dathomirienne le faisait tous les jours, de préférence avec de l'alcool de sa planète natale. Néanmoins, avant une mission quelle qu'elle soit, la sobriété était de mise. C'est donc avec un ton froid que Venas répondit à la question :

- De l'eau seulement...

Rajustant lentement une mèche, Venas poursuivit, souhaitant en savoir davantage sur sa mission.

- En somme, tu recherches un assassin pour engendrer la peur au sein de la population de quelques mondes, sans toutefois la décimer entièrement ? Soit. Je ne vois là rien de bien difficile... Un simple mercenaire aurait été parfaitement apte... Ce qui amène ma deuxième question... dit-elle en soulevant son verre et en le reniflant pour détecter un éventuel poison. ... Pourquoi vouloir t'offrir mes services aux tarifs exorbitants ?

Buvant lentement une gorgée, Venas la garda en bouche un instant par précaution, avant d'avaler.

- Mes talents dans ce domaine sont certains... Néanmoins, il y a là beaucoup trop de points obscurs... lâcha-t-elle en reposant un peu violemment son verre sur le pupitre.

- Comme je te l'ai dis Sith, ne cherche pas à me duper ou à me cacher des choses... Selon toi, je suis la dernière de ta liste... mais nous savons toutes les deux que c'est mon passé en tant qu'Assassin Sith qui a retenu ton attention... ponctua-t-elle d'un sourire en coin.

- Sache également que si tu as des exigences concernant ce contrat... j'aurais également les miennes... mais nous aurons tout le temps d'en parler après notre petite halte sur Corellia... tu pourras ainsi me présenter à la personne pour qui tu travailles...

Venas lâcha un bref gloussement avant d'expliquer comment elle en était arrivée à cette conclusion, évidente à ses yeux :

- Ton aura est celui d'une jeune Sith... et tout bon mercenaire sait dans le "milieu" qu'un commanditaire digne de ce nom ne se déplace jamais en personne...

Le ton était donné. Venas était une mercenaire expérimentée. Peu importe la réponse que lui donnait la Sith, elle était d'avance satisfaite. Car si cette dernière était véritablement le commanditaire, elle s'affirmait comme peu sérieuse et dans le cas contraire elle n'était rien de plus qu'un sous-fifre chargée de la tester. Ainsi, comme pour conclure son discours, Venas lâcha dans un souffle :

- Je ne me déplace pas gratuitement... ton test, s'il s'agit bien de cela, te sera facturé... du moins... s'il est concluant à tes yeux... J'aime agir selon les règles...


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Ma main glissa de nouveau sur ma droite pour en sortir une bouteille d’eau avec laquelle je remplissais le verre de celle qui allait peut-être se montrer digne du contrat que je lui proposais. Puis je venais remplir mon propre verre d’un autre liquide, alcoolisé celui-ci. Écoutant attentivement la remarque qu’elle faisait à propos du contenu du contrat, je laissais échapper un léger sourire avant e porter mon verre à mes lèvres. La voir se méfier du liquide que contenait son verre me fie grandement sourire et manqua de me faire rire. Il est vrai qu’il aurait pu contenir du poison. Il aurait dû, même, si ma volonté avait été de mettre fin à la misérable vie de ce stupide insecte qu’elle était. Elle n’était qu’une impie, une traîtresse. Mais elle avait son utilité et c’est pour cela que je ne la tuerais pas. Du moins, pas encore…

Du reste, elle avait raison. J’avais besoin d’un assassin Sith. Une personne performante, efficace et qui ne poserait pas trop de questions. Et des Sith de la sorte il y en avait des tas. Ce n’était donc bien évidemment pas le fait qu’elle soit une assassin Sith qui m’avait conforté dans ma décision. Mais plutôt sa sauvagerie. Finalement, je réalisais que je commençais à penser comme ma Maitresse, Darth Riakath. Je me plaisais à ses côtés et les divertissements auxquels nous prenions part étaient tout bonnement délicieux. Et c’était justement la sauvagerie que j’avais recherché dans le profil de l’assassin. J’inclinais donc la tête en réponse à ses pensées, buvant une gorgée avant de prendre le temps de répondre.

- Faux. C’est un raisonnement totalement absurde. Des assassins, Sith, il y en a foison que ce soit sur Korriban ou Dromund Kaas. Et tu crois vraiment que je me serais embêté à venir te chercher si loin alors qu’il me suffisait d’aller voir le premier Sith venu ? C’est plutôt ta sauvagerie qui m’intéresse, ta façon d’agir avec tes cibles… C’est ça, qui fait de toi mon premier choix. Restes à voir si tu es aussi douée à ce petit jeu que ce qu’en dise les rapports !

Je fus cependant moyennement étonnée de l’entendre me parler de mon statut d’apprentie. Je n’avais pas cherché à le cacher mais je ne m’étais pas pour autant présentée en tant que tel. M’enfin, ce n’était pas très compliqué de le deviner pour quelqu’un qui était passé par la case Apprentie avant de trahir son Ordre.

- Oh, cela me semble évident que tu ais tes exigences. Restes à savoir si tu pourras les maintenir lorsque tu seras en face de la personne pour qui je travaille. Oh, et si j’étais toi, je ne serais pas si pressée de la rencontrer.

Je finissais mon verre que je posais à mon tour sur le pupitre avant de prendre le temps, pour la première fois depuis que j’avais pris la parole.

- Ne vois pas là une menace mais juste un conseil. Ah, et tant que j’y pense, étant donné que nous arrivons dans le système Corellien… Pour ce test je vais te demander d’oublier ton pseudonyme d’ Ombre de la Mort. A partir d’aujourd’hui, et ce jusqu’à ce que nous mettions fin à notre coopération, tu seras Nosfera. Est-ce bien clair ?

Finalement, je repoussais les verres sur le côté et je nous guidais vers Corellia, la planète qui grossissait à vue d’œil au travers des vitres en transparacier de la navette. Bientôt nous nous poserions. Et bientôt nous pourrions commencer ses tests…

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