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L'heure de début du cours approchait. Comme il était de pratique courante au temple, la salle avait été ouverte à l'avance, afin de permettre aux élèves angoissés à l'idée d'arriver en retard de s'installer plus tôt.

De forme circulaire, cette pièce se composait de banquettes confortables mêlant les tons ocres et gris, avec de larges fenêtres insonorisées pour assurer un éclairage satisfaisant dans l'intégralité de l'espace d'étude. Par les ouvertures s'étalaient les reliefs urbains d'Iziz, les formes lointaines d'airspeeders fendant les cimes, d'éparses tâches de verdure se détachant des constructions de permabéton, ainsi bien sûr qu'un ciel azuré de fin de matinée.

Dans un coin de la salle se trouvaient rassemblées des cages assez grandes pour abriter un Gizka (en tassant un peu), d'où s'élevait parfois un vrombissement grave. Par chance, un clavier relié à une serrure électronique s'opposait à ce que le contenu de ces cages n'envahisse la salle de cours.

Campé en-dehors de la pièce, non loin de l'entrée, Kyrsk, la capuche de sa bure rabattue dans son dos, savourait à sa manière très personnelle son retour sur Ondéron. Un sourire paisible aux lèvres, le jedi tiré de sa cellule de Mon Calamari inhala les senteurs végétales en provenance du parc de l'académie, chassant de ses narines les derniers relents d'iode et de saumure qui s'y étaient incrustés.

« C'est une bonne chose, que tu aies décidé de reprendre les cours. »

Lyhin't Na Tae, archiviste togruta de son état, imitait son élève spirituel, ne tournant pas la tête pour regarder l'alderaanien lorsqu'elle lui adressa la parole de sa voix douce et grave. Jedie tempérée et plus expérimentée que le chevalier Gradeil, Lyhint se montrait toujours disponible pour répondre aux interrogations du trentenaire. Ce jour-ci, toutefois, elle s'était contentée de partager son attitude contemplative, le rejoignant dans l'observation silencieuse des environs du temple.

« Cela m'aura pris un an, mais j'ai fini par laisser derrière moi Kaze, et ce qu'il représentait à mes yeux. Je me sens... En paix, désormais. Comme si le passé qui me retenait avait fini par me lâcher. J'ai le sentiment d'avancer sans entraves. C'est... Très profitable. » Déclara l'homme qui, après une année de captivité, avait finalement pu retailler sa barbe en un bouc propre et net.

« Comptes-tu aller lui rendre visite ? » S'enquit presque timidement l'Archiviste, qui devinait le sujet du jeune Toldran comme encore très sensible.

Une ombre passa sur le visage détendu du disciple de maître Fûn. Un éclat particulier vint illuminer ses pupilles noires, trahissant l'immersion dans un souvenir émotionnellement fort pour l'ancien prisonnier. Cillant, Kyrsk pivota pour se positionnner face à la togruta.

« Mon cours va démarrer. Que la Force soit avec toi, Lyhint. »

« Et que la Force t'accompagne, Kyrsk. » Rétorqua l'intéressée en inclinant le buste, loin d'être dupe en constatant que son interlocuteur avait tacitement éludé sa question.

À grands pas souples, le chevalier jedi rejoignit la salle de cours, débutant comme à chacune de ses leçons par un sempiternel :

« Bien ! Votre attention à tous : ce cours va commencer. »

Tandis que le calme s'installait progressivement, le professeur investit le centre de la pièce, embrassant du regard son auditoire bariolé. Le jedi d'Alderaan n'en était plus à son premier cours, et tous ses élèves savaient qu'il ne transigeait pas avec le silence).

« Aujourd'hui, nous aborderons un point essentiel puisque représentatif de l'un des trois pilliers de la formation du jedi que sont la Force, la Connaissance et l'Autodiscipline.

Qui peut me citer la première phrase du Code des Jedis ? »


Des mains se levèrent dans l'assistance. Sur une invitation muette du professeur, une terellienne aux longs cheveux turquoise récita, en prenant bien garde à ce que sa langue ne fourche pas  :

« "Il n'y a pas d'Émotions, il y a la Paix." »

« Très bien, padawan Neershka.

Jusqu'à présent, on vous a surtout appris à trouver la Paix ici, dans ce temple, un environnement des plus favorables pour méditer, se ressourcer et apaiser son esprit. La Paix est primordiale, pour un jedi, et il est très important que vous sachiez l'atteindre. Elle vous assure de conserver des pensées claires, vous évite de tomber dans les pièges les plus grossiers, et vous permet de relativiser, de comprendre les choses. Mais la vie de jedi vous mènera fatalement hors de ces murs, et sans doute plus tôt que vous ne le croyez. À partir ce cet instant, en dépit des efforts de votre maître, nombre d'entre vous auront à conserver leur calme face à une situation injuste, douloureuse ou frustrante, et ce dans un environnement sans aucun doute nettement moins apaisant qu'une salle de méditation de l'académie.

Nous allons tâcher d'apprendre, aujourd'hui, comment éviter de se laisser envahir par une émotion négative comme la colère, le chagrin ou la peur, par l'acquisition de techniques de relaxation. Si vous avez des questions durant le cours, n'hésitez pas à lever la main pour les poser. »



Petit post introductif. Vous avez donc jusqu'au 03 Mai pour décrire l'arrivée de votre personnage (qui correspond à votre inscription au cours). Considérez que Kyrsk vous donne la parole si vous voulez que votre perso pose une question au prof droïde Wink
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Un éclat de lumière traversa la fenêtre haute de la chambre du Padawan alors que celui-ci était allongé sur son matelas, les bras croisés derrière la tête. Dehors, il faisait un temps magnifique, le genre de journée ensoleillé que l'on se doit de ne rater pour rien au monde ... le genre de journée que Zélonion avait décidé de rater. Torse nu, il flemmardait dans son lit, attendant patiemment que l'anti-douleur continue son effet. Sa greffe avait été un tantinet réajuster, et comme de coutume avec ce genre de bras mécanique, ça lui avait fait un mal de chien. Il en avait de la chance, ceux qui n'avait qu'un demi membre. Le jeune Kuati lui, c'était un bras entier, depuis l'épaule jusqu'au bout des doigts. Et ce genre de greffe, en plus d'être passablement expérimentale, n'était pas la plus évidente tous les jours. Au plus le garçon grandissait, au plus il devait l'ajuster. Manque de bol : sa période de croissance commençait juste.

Bon, c'est vrai qu'après 10 ans à porter ce genre de prothèse mécanique, vous vous habituez un peu à la douleur de l'ajustement ... Mais c'est pas pour autant que ça fait moins mal. C'est juste plus supportable. A force, vos larmes ne coulent plus vraiment, voir plus du tout. On s'y habitue c'est sur ... mais on s'y fait jamais. Et comme de juste, il avait fallu que ça tombe aujourd'hui : un jour où il faisait plein soleil et magnifique dehors.

-"Tsss ... Je te paries ce que tu veux que demain, il pleut ... C'est toujours ainsi de toute façon."

Il y avait une certaine amertume, une certaine déception dans les propos que le Padawan se tenait à lui-même, ses compagnons de chambrée étant sortis. Lui n'avait pas spécialement envie de sortir, et puis pour faire quoi ... Ce n'est pas comme si il s'était engagé ou ...

Tiiiiiiitttiiiiit

Le regard du Kuati suivit le bruit qui venait de s'activer. Une alarme de son datapad, un rappel. Se redressant en position assise, non sans un léger rictus douloureux pour le coup, il attrapa l'appareil et le consulta. Il était pourtant sur de lui.

-"Meeerde ...."

Trop sur de lui ... Il avait oublié. Un chevalier s'était inscrit pour un cours, un chevalier qu'il aimait assez pour ses enseignements justement. Encore que dernièrement, il n'en avait pas donné à cause d'une absence. Au coin d'un couloir, et peut-être de derrière une porte aussi, il avait même entendu de bien sombres nouvelles le concernant. Alors quand il avait vu le nom, sans même regarder le sujet du cours, Zel s'était inscrit à la fois content de retrouver un "bon" prof, mais aussi pour juger par lui-même de ce que l'absence aurait pu marquer le dit "prof droid". Sauf que forcément, vu l'endroit où il était, et le délai qu'il s'était -comme d'accoutumé- accordé, arriver à l'heure, ça allait être juste.

Oubliant un instant la douleur, Zelonion sortit alors de son lit, posant le datapad et se dirigea vers une commode d'où il sortit un haut passablement froissé et légèrement trop grand. Le genre d'habit qui ne faisait pas Jedi, ni même le plus soigné des Padawans, mais qui permettait d'être plus habillé que l'avant. L'enfilant aussi sec, prenant deux autres comprimés d'anti-douleurs -soit un de plus que la dose maximale normalement autorisée et prescrite-, le gamin attacha sa ceinture et son sabre laser, et sortit comme une fusée de sa chambre, laissant la porte se refermer d'elle-même.

Quelques pas de courses plus tard, accompagné d'un ou deux évitages de personnes sur le passage et de descente d'escaliers le cul sur la rampe, le jeune Kuati apercevait la salle où devait se tenir le cours et poussa une pointe vers elle, aussi vite que possible et s’essoufflant bien trop si l'on prenait en compte les indications du droide médical. Glissant sur ses pieds, une fois à quelques mètres de la porte, le Padawan se stoppa dans un léger crissement en s'agrippant au chambranle de la porte, avant de la franchir alors qu'un Padawan se faisait féliciter par le Jedi enseignant.

Profitant d'une pause de ce dernier, le jeune Kuati s'excusa de son retard, avant de prendre une place pour écouter la suite.
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Mon maître était retenu par une affaire concernant le Conseil, affaire dans laquelle sa padawan n'avait pas à "fourrer ses pattes maigrelettes" d'après ses dires, mais une affaire qui allait l'occuper une bonne partie de la journée. La veille, parcourant les couloirs du temple pour me rendre à ma chambre, j'avais entendu des novices parler du retour du chevalier Gradeil et du cours qu'il allait donner aujourd'hui. Le contrôle de soi. C'était une leçon que je pensais maîtriser assez profondément, mon passé, mon entraînement, ma mission récente sur Mon Calamari m'invitaient à le penser. Ce n'était donc pas vraiment pour moi-même que ce cours m'avait semblé intéressant, mais surtout pour les autres. Mon voile, mon apparence atypique et ma façon de parler parfois lacunaire n'avaient jamais mis personne en confiance ni permis à quelqu'un de se calmer. Si je voulais suivre la voie des consulaires, il me fallait apprendre à jouer subtilement sur l'émotion des gens et ainsi, même dans les pires situations ou dans les moments de tensions les plus extrêmes, être capable d'apporter la paix dans les coeurs et les esprits.

J'avais donc décidé dès ce moment de participer à ce cours et lorsque le réveil sonna tôt ce matin là, je me préparais en conséquence. J'arrivais pile à l'heure, comme à mon habitude, ni en avance, ni en retard, de sorte que je ne fus pas la première ni la dernière. Pris dans le flot des élèves, j'aurais presque pu passer inaperçu si je ne m'étais pas retrouver la seule dont on ne pouvait voir les cheveux, et l'une également des rares à ne pas porter la bure traditionnelle des novices. Je me plaçais sur la droite du demi-cercle, au deuxième rang, et attendait patiemment la venue du professeur. Lorsque celui-ci apparut à l'ensemble de la classe, il avait très clairement changé depuis Mon Calamari. Ses traits, tirés par la faim et la fatigue, étaient désormais moins creusés bien qu'ils portaient encore les marques de la privation. Sa barbe était bien taillée et surtout et avant tout, il était propre, d'apparence et d'odeur.

Le Chevalier débuta alors son cours, posant une première question qui relevait de l'évidence, et nous donna alors l'objectif de ces heures à venir. Je le vais alors prestement la main, avant qu'il ne commença réellement pour lui laisser le temps de réfléchir, et feignant de ne pas entendre les soupirs de certains qui apparemment ne savaient pas assez se contenir pour faire preuve de respect, je demandais d'une voix claire :


" Serait-il également possible, Chevalier, que vous nous enseignez différentes techniques pour apporter cette paix dans l'esprit d'un interlocuteur ou d'un camarade. Son calme pourrait nous sauver autant que le nôtre en certaine occasion. "
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En revenant au Temple, Elora avait décidé de s'axer sur sa formation. Elle pensait que ce n'était que comme ça qu'elle deviendrait une jedi accomplit. La jeune fille avait comprit l'intérêt de suivre le Code Jedi. Il était un guide face au monde extérieur et au Côté Obscur et elle voulait s'appliquer au mieux à le respecter. Les affaires de cœur n'étaient pas pour les jedi car ils avaient des responsabilités envers le commun des mortels. Et elle était sûre que son nouveau maitre l'aiderait dans cette voie. Justement, ce matin-là la padawan s'était levée tôt. Son maitre assurait un cours sur le contrôle de soi. Voilà bien une faille de la jeune fille. S'il y avait bien une chose qu'elle arrivait difficilement c'était à se contrôler, ne pas réagir impulsivement. Cela lui avait déjà causé de nombreux problèmes et avec cette part obscure en elle, elle devait apprendre à contrôler ses émotions. La demoiselle se leva donc très tôt. Puis après avoir pris une douche et enfilé une tenue de padawan propre, elle accrocha son double sabre à sa ceinture.

Elle alla prendre un rapide petit déjeuner et décida d'aller s'entrainer au maniement de son arme avant de suivre un cours un peu plus tranquille. Il faisait beau et la miraluka décida d'aller s'entrainer dans le parc du Temple. Elle se souvenait que c'était l'endroit où elle s'entrainait le plus souvent avec Maitre Vahalor. Elle aurait tellement aimé le retrouver et le ramener sur Ondéron. La demoiselle espérait vraiment que son ancien maitre n'ait pas succombé au côté obscur comme le disait les rumeurs. Si tel était le cas, alors elle ferait tout pour le ramener de nouveau vers la lumière. Après deux heures d'entrainement au sabre, la demoiselle remonta vite dans les dortoir afin de prendre une douche puis elle se dirigea vers les salles d'entrainements. Le cours serait donné dans l'une d'elle. La jeune fille arriva légèrement en avance. Elle s'installa sur une des banquettes et essaya de méditer quelques minutes avant que le cours ne commence.

Au bout de dix minutes, ayant perçu l'aura de plusieurs padawans se diriger vers la salle, elle stoppa sa méditation. Le cours allait surement bientôt commencé. Son nouveau maitre arriva alors à son tour dans la salle et demanda le silence. Puis il posa une question toute simple. Combien de fois, la padawan avait récité le code jedi avec Maitre Vahalor, mais sans en comprendre vraiment le sens. Maintenant qu'elle était plus âgée elle en avait enfin perçu l'utilité et les subtilités. Leur professeur du jour leur expliqua alors le programme du cours. La miraluka pensa qu'elle avait bien fait de venir. C'était exactement le type de cours dont elle avait besoin. Lorsque le chevalier Gradeil eut fini, un padawan entra dans la salle. Visiblement en retard. Après s'être excusé, il alla s'installer parmi les autres.

Ce fut à ce moment-là qu'une padawan posa une question. Elora se concentra sur l'aura de cette dernière et y reconnu celle d'Ylm. Il s'agissait d'une miraluka, mais elle était nettement plus sage et posée que la demoiselle.
La question de sa congénère était pertinente, même si elle même savait qu'il fallait d'abord qu'elle travail sur son propre contrôle avant d'essayer d'apaiser les autres. Elle attendit le plus patiemment possible le début réel du cours. Après tout, Elora voulait faire honneur à son nouveau maitre et lui montrer de quoi elle était capable.
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    Myrra était en pleine séance de méditation dans sa luxueuse chambre du temple Jedi sur Ondéron, luxueuse car elle était issu d'une famille noble et elle avait eu toute l'héritage de ses parents, donc elle avait décoré sa chambre. Dommage que ses parents aient été assassiné, elle se sentais bien seul. Mais peut-être allait-elle rencontrer l'âme sœur, quelque part dans la galaxie? Sa méditation fut assez difficile car elle n'arrivait pas à chasser l'image du Sith qui les avaient tué il y a des années. Elle avait vraiment besoin d'entraînement et un des plus dur pour chasser ces images qui lui tourmentaient l'esprit. Car son but n'était pas de basculer du côté Obscur de la Force mais de le neutraliser. Elle rêvait d'ailleurs de devenir l'héroïne qui sauvera la galaxie un jour de la menace des Sith.

    N'arrivant pas à se concentrer, elle ouvrit les yeux et se leva, se dirigeant vers la porte barrée de sa chambre, au deuxième étage. Elle descendit ensuite les escalier au pas de course, très déterminé à suivre un cours et demander également de l'aide au premier Maître Jedi qu'elle verrait, car Myrra n'avait pas encore de Maître. Elle interrogea un Maître Jedi au passage, alors qu'elle courrait vers la salle de cours.

    Maître Tie'Kar, ou se situe le cours d'aujourd'hui, je crois qu'il est donné par Maître Gradeil?

    C'est exact Myrra, tu trouvera la salle de son cours au fond du couloir, troisième porte à ta droite.

    Merci Maître.

    Elle se rua ensuite à la salle d'entraînement où le cours y était donné par le Chevalier Gradeil. Myrra arriva un peu en retard mais heureusement pour elle, il avait à peine commencé. En fait elle arriva tout juste quand il posa la question sur le code Jedi. Neershka dit seulement la première phrase, mais Myrra elle, préféra le continuer même si le Chevalier Jedi ne l'avait pas demandé, car oui, elle aimait se montrer plus forte que certains autres padawan. Du moins cela ne l'empêchait pas de ce faire apprécié par ses camarades. Ce n'était que son côté un peu arrogant qui prenait place.

    Il n'y a pas d'ignorance, il y a la connaissance.
    Il n'y a pas de passion, il y a la sérénité.
    Il n'y a pas de chaos, il y a l'harmonie.
    Il n'y a pas de mort, il y a la Force.


    Tout le monde le connait déjà par coeur Maître Gradeil, haha!

    Elle s'assise en plein milieu de ses camarade, là ou il ne restait qu'un siège. Elle sorti ensuite un gros manuel, un peu poussiéreux, de son sac qui traitait sur la Force.

    Nous allons tâcher d'apprendre, aujourd'hui, comment éviter de se laisser envahir par une émotion négative comme la colère, le chagrin ou la peur, par l'acquisition de techniques de relaxation. Si vous avez des questions durant le cours, n'hésitez pas à lever la main pour les poser.

    Moi, moi, Maître Gradeil, dit-elle avec enthousiasme. Quel est le meilleur moyen de chasser de vieux souvenirs très déplaisants de sa mémoire alors qu'on médite, je n'y arrive pas très bien...

    Évidemment elle cacha que c'était la mort de ses parent et ce Sith mystérieux qui la chagrinait, même si le CHevalier Jedi avait sans doute sentit son chagrin envers ses parents et sa colère envers le Sith.
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