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Après six mois d’enquête, à rechercher des artefacts Sith en circulation sur un marché noir de Chandrila, six mois à devoir cacher son aura du mieux qu’il pouvait, voire plus, logeant dans des lieux dont les alentours imprégnés de Force Obscure pour ne pas baisser sa garde, méditant chaque aube et crépuscule chaque nuit et chaque jour. Ce fut éprouvant, quelques mois de plus et il n’aurait pas pu tenir le rythme. Le succès cependant n’était pas celui escompté. Une douzaine de pilleurs et quelques truands pour une relique Sith désormais rendue au Temple Jedi. Mais sa mission était de trouver le commanditaire de ce trafic. Supposément un Sith. Au final ce n’était qu’un chef de gang prétentieux qui se croyait éduqué et intelligent. Bien qu’aux premières loges, l’action fut celle des forces républicaines. Eliakim s’était simplement chargé des gardes du corps de Silas, le leader. Il n’était pas gardien, son travail était dans la collecte d’information, pas de crans sur le manche du sabre.

En méditation dans son vaisseau, la route paramétrée et les commandes calées sur son astrodroïde, Eliakim sentait les mouvements du fuselage, mais aussi son bras et les relents électriques laissés par la matraque d’un garde du corps. Il allait devoir travailler sa Forme I et III. Il y avait encore quelques lacunes dans le combat contre cinq adversaires armés d’armes de corps à corps. Il y remédierait une fois sur Ondéron.

Sur ordre du Conseil, le Zabrak fut changé de supervision. Le Conseil de Tython transférait une de ses sentinelles vers le conseil d’Ondéron. Désormais, il serait sous leur tutelle et autorité. Loin de se laisser berner par ce geste d’un Conseil à un autre, la disparition de Maître Velisha semblait être la réelle raison de ce changement. Pour l’empêcher de partir à sa recherche. Pour ne pas rendre un chevalier inutile à l’Ordre. C’était censé, réfléchit et juste. Eliakim comprenait tout cela, et l’acceptait à moitié. Ce n’était que partie remise. Il n’était pas parti sans garder en mémoire de tendre l’oreille et la main pour toute information concernant son Maître. Quand bien même il n’en n’était plus le padawan, leur lien était un lien spécial. Un lien de sang comme seuls des êtres que la vie à secoués ensembles dans les ouragans les blizzards et le soleil peuvent comprendre. Et ce lien n’allait pas s’éteindre simplement parce que le Conseil décrétait l’humaine comme disparue.

« Les mesures quant à sa recherche ont été prises »

Une belle phrase pour envoyer paître quelqu’un. Tant pis, pour le moment il se devait d’obéir au Conseil. Comme toujours, il le devait. C’était ainsi. Plus tard, lorsque ces preuves auront été faites, il pourrait se mettre à la retrouver, car elle était encore là, chez les vivants. Une vaguelette fit ouvrir les yeux du Chevalier, avant que la voix synthétique ne s’annonce de son ton monocorde et automatisé.

- Sorti d’hyperespace, nous arrivons sur… Ondéron.

Il se leva sans empressement, remettant sa robe sur les épaules et tirant sa capuche sur le crâne, puis alla au cockpit, s’annoncer au service aérospatial de la planète, donnant ainsi ses codes d’autorisation pour la trajectoire choisie : l’astroport du Temple Jedi d’Iziz.

- Prenez-vous les commandes, maître Kaenonuskatew ?
- Non, répondit-il en secouant la tête, observant avec un émerveillement d’enfant la ville fortifiée.

A chaque planète c’était la même chose : il s’émerveillait des villes. De leur vie, leur faune et flore. Quoi que ces deux dernières soient très hostiles sur Ondéron, elles étaient tout de même fascinantes. Voyant le Temple approcher à grande vitesse, il ne put s’empêcher de penser que ce dernier semblait être bien plus ouvert que ce qu’il avait connu. Plus aérien, empli d’air. Eliakim se dirigeait vers la soute quand une idée claire le frappa. Hormis son transfert de Conseil, les coordonnées du Temple, la planète et son affectation comme Jedi Sentinelle, il n’avait aucune idée de comment allait se faire l’arrivée. Qui l’accueillait si quelqu’un venait ? Quel programme ?

Avec un petit rire, le Zabrak secoua la tête. Le Conseil de Tython avait toujours cette affreuse habitude de donner des infos incomplètes, des missions vagues. Le Tyber VI se posa avec la précision due aux droïdes et ordinateurs de navigation, dans ce léger soubresaut bien connu avant que les vérins ne se débloquent pour laisser apparaître la lumière naturelle du soleil. L’après-midi avancé se reflétait sur le tarmac et la passerelle, rappelant au Chevalier qu’il n’en n’avait pas vu depuis un sacré bout de temps. Trop surement.

Quoi qu’il en soit, il lui fallait ouvrir les yeux pour voir qui arrivait lui mettre le collier de fleur ou d’épines. Après tout, le Conseil de Tython n’avait peut-être pas précisé les raisons de transferts.

*saleté de formalités administratives… J’espère qu’ici elles sont pas pire*
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Alycius ne connaissait rien du nouveau qui débarquait, à part sa photo pour être sûr de le reconnaître bien entendu. Il n'était pas habilité à accueillir les gens normalement, que ce soit d'autres Jedis, des témoins ou des accusés. Il faut dire que son tempérament froid pour ne pas dire glacial n'enthousiasmait généralement guère et cela abîmait grandement l'image du Temple. Néanmoins personne d'autre n'était disponible aujourd'hui et le maître Jedi avait suffisamment mûri pour mettre un peu-mais vraiment peu- d'eau dans son vin. De toutes façons c'était un ordre et l'équinoïde particulièrement discipliné n'allait pas s'opposer de quelque manière, pas même en pensées. Il ne se demandait pas si c'était logique ou non de l'envoyer lui, offrir un "collier de fleurs" au nouveau chevalier, ni s'il y avait justement une raison particulière, ou que cette pénurie de guides était vraie. C'était à lui de remplir cette tâche point! Il nettoyait bien parfois les allées du Temple quand le personnel manquait, ça n'allait donc pas le déranger outre mesure de saluer un nouveau venu. Restait à voir si c'était réciproque.

Alycius se dirigea d'un pas souple jusqu'au hangar, ses sabots ferrés claquant sur le sol et l'annonçant de loin. Les Padawans dissipés se turent aussitôt pour le laisser passer, avec un regard en dessous pour ne pas croiser ses yeux sombres. Le maître reprit l'un d'eux qui avait sa toge de travers avec sévérité. Cependant dès qu'il fut parti les jeux reprirent. Alycius n'en était pas au point de totalement les traumatiser. Au fond, tout le monde savait que s'il était passé Maître cette année, c'est que le Conseil avait ses raisons. Saï était trop sage pour offrir ce rang à un futur Sith. Maître El'Dor était un faux ronchon, et la plupart des gosses bien qu'ils se gardent de lui faire part de leurs hypothèses le savaient. Encore une fois la question à 10 000 crédits: est-ce que le chevalier allait le deviner ou s'offusquer de l'accueil? Car bien sûr, si l'équidé allait faire de son mieux, il ne fallait pas compter sur lui pour amener un bouquet de fleurs ou même ce fameux collier d'accueil.

-Bonjour et bienvenue chevalier Kaneonuskatew.

Fit-il après que la passerelle se soit ouverte; découvrant le Zabrak qui correspondait à la photo. L'étalon avait sa propre façon de prouver qu'il s'intéressait à celui qui venait d'arriver, en prenant le temps et le soin de bien épeler son nom par exemple; mais encore une fois, la gentillesse de celui-ci était subtile. Son ton lui était neutre, pas méchant mais pas aimable non plus.

-Les papiers que vous devrez remplir se trouvent au secrétariat, mais vous avez le temps pour cela, et votre dossier nous a été transféré pour vous éviter trop de papiers.

Le Temple d'Ondéron était très moderne, c'était la plus grosse structure pour les Jedis. Physiquement, celui de Coruscant était plus imposant, mais le plus vivant, le mieux organisé était sans doute ce Temple là. Tout était donc fait plus vite et de façon plus sérieuse. A commencer par les papiers de transferts et/ou d'arrivées. Question d'habitude. De plus le Conseil avait à coeur de ne pas stresser les nouveaux venus avec de stupides dossiers à remplir, autant leur laisser le strict minimum seulement.

-Je vais vous montrer votre chambre, vous pourrez vous reposer si vous êtes fatigué, ou choisir de faire directement le tour du propriétaire. Sinon, je vous rejoindrai dans quelques heures quand vous m’appellerez.


Évidemment Maître El'Dor préférait finir le travail maintenant, mais il eut la pleine délicatesse de n'en faire rien paraître, neutre au moment des deux propositions et parfaitement insondable à ce niveau. Il comprenait par ailleurs que le Zabrak ait besoin de se reposer, car tout changement engendrait du stress et de l'épuisement à force de digérer tout un tas d'informations. Même lui le reconnaissait. Le nouveau Padawan qu'il avait été aurait probablement dormi pendant deux jours entiers juste après son arrivée. Bon le changement était plus radical qu'un transfert puisque toute sa vie avait été bouleversée mais disons qu'à sa manière Alycius était sensible à cette possibilité.
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La passerelle descendue, Eliakim aperçu un être tirant aussi bien du cheval que de l’humain l’attendant. La première pensée fut celle d’un minotaure jedi. En soi, l’idée n’était peut-être pas si loin. Et il avait prononcé son nom de façon correcte. En soi, du premier coup, c’était une démonstration de force, pour le chevalier habitué à se reconnaître dans le blanc précédent le déchiffrement de son nom. Pas le plus complexe certes mais la langue à seulement tant d’agilité. UN bon point pour commencer. Le ton était sobre, on aurait pu dire froid, même qu’il le pensait carrément. Un peu comme Maître Rashiv. En plus jeune. Moins tentaculaire. Plus… D’ailleurs qui était-ce se demanda-t-il en descendant de la passerelle, jetant sa capuche sur sa nuque ? S’inclinant en arrivant au niveau d’Alycius, mains joints par les doigts, Eliakim prit garde à se baisser assez bas. Cependant, tout ce temps, il ne parvint pas à mettre un nom sur le peuple de son hôte. Il retenait un trait de caractère pacifique et hautement religieux. Était-ce une religion ?

- Merci de votre accueil, maître, osa-t-il, levant presque la question quant au statut du Jedi.

Quoi qu’il fut de manière général admis qu’un membre supérieur de l’Ordre vienne à la rencontre des arrivants, ce n’était guère une règle inscrite dans la cortosis. Aussi, de maître à Chevalier il n’y a pas beaucoup de signes distinctifs. Aussi par sécurité Eliakim avait décidé que cet équidé humanoïde serait un Maître Jedi jusqu’à preuve du contraire. A l’annonce des papiers à remplir, le Zabrak lâcha un petit soupir bref suivit d’un sourire. Le reste du menu cependant était bien plus agréable à entendre. Après une seconde de réflexion, il inclina la tête sur le côté, la mine reflétant celui qui pèse durement le pour et le contre de chaque dilemme. En réalité la question ne se posait même pas. Ses bagages étant son vaisseau et ce qu’il portait d’habits et matériel, Eliakim n’avait aucun besoin d’aller en chambre, hormis pour faire perdre du temps au maître lui faisant face. L’administration pouvait attendre et c’était une bonne nouvelle car sa curiosité à lui ne faisait que s’agrandir depuis que le Tyber VI survolait Iziz puis le Temple.

- Si les papiers ont de la patience, alors je préfèrerais directement passer à la visite du Temple. Le voyage fut bien assez long pour mes méditations et mon repos, merci Maître…

Laissant suspendre sa phrase pour capter le nom de son interlocuteur, Eliakim repensa au physique de ce dernier, défilant ce qu’il voyait outre la robe. Un être musclé cela va de soi. Peut-être un gardien. Certainement pas un Jedi consulaire, ses manières et son protocole n’étaient pas ceux attendus de cette fonction. Un bref regard vers la profondeur de champs pour apercevoir ce qu’il allait être son chez lui, le Chevalier sut que cette nouvelle assignation allait être constituée de hauts et bas et que ce premier contact avec ce Conseil ci n’était pas le pire qu’il espérait.
Au fond eut-ce été plus drôle avec un initié balbutiant quelques faibles mots, ou un vieux Maître conservateur n’aimant guère un changement dans son univers bien rodé ? Surement. Toujours est-il qu’il interrogeait du regard le Nazzar, incertain de comment prendre le ton de sa voix. Il était simplement discipliné peut-être. Mais un esprit cantonné aux murs de la chambre qu’on lui a fait construire n’a guère sa place chez les Maîtres Jedi.

- Je vous suis Maître, poursuivit-il après une seconde, et je vous avoue avoir une curiosité toute spéciale quant à votre bibliothèque, salle de méditation et d’entraînement !

Légèrement guilleret en parlant de ces centres, Eliakim avait, il est vrai, besoin d’entraînement au sabre pour commencer, mais aussi de connaître le degré de connaissances du Temple. Peut-être y avait-il plus d’information sur le secteur Doldur. Ce n’était pas réellement à côté mais déjà plus proche que Tython ou Coruscant. Ces planètes trop proches du centre galatique n’avaient que peu d’intérêts pour les secteurs au-delà des bordures d’expansion. Pour ce qui est de l’entraînement, demander à son hôte quand se tenaient les entraînements, ou même avoir quelques échanges seraient grandement agréable. Ce serait l'occasion de déceler à quelle branche était le Jedi.
Le Zabrak se redressa lentement, laissant le temps à son interlocuteur de répondre, et ne pas l’encombrer des dizaines de questions qui déjà lui brûlaient les cornes… Et les lèvres !

Inconsciemment, Eliakim tournait lentement cette rencontre en un interview impromptu et un interrogatoire subtile. Reliquat de cette investigation éprouvante, il y aviat le besoin de savoir. De connaître chaque mur, de façon presque maladive et certainement plus poussée qu'à son habitude.
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Du bon sens, de la tenue, de la courtoisie. Ce jeune chevalier plaisait à Maître El'Dor. Loin de se sentir supérieur malgré son rang, celui-ci répondit à Eliakim en s'inclinant respectueusement à son tour. Pour l'instant, l'inconnu avait le droit à toute sa coopération pour avoir si intelligemment répondu. Ordre, discipline, tout ce que le Nazzar appréciait... Esprit également, puisque ce dernier semblait s'intéresser à la bibliothèque.

-Nous allons commencer par la bibliothèque et suivre l'ordre de vos préférences.

Fit-il d'un ton toujours aussi neutre, prouvant cependant son intérêt pour le jeune Zabrak, puisque malgré le détour, il était enclin à satisfaire les désirs de ce dernier. Passer sans s'attarder sur la cantine, la chambre puis la bibliothèque aurait été plus simple, surtout que le Temple était grand; la journée entière aurait été prise et la visite des salles d'entraînement auraient pu être balayées en moins de deux. L'excuse finale aurait été de laisser le chevalier seul se promener dans les rayons, mais Alycius ne semblait pas enclin à agir ainsi.

Au contraire, il mena son convive dans la belle pièce qui contenait tout le savoir des Jedis depuis des millénaires. La bibliothèque d'Ondéron était très bien entretenue, au point que même maître El'Dor pouvait y passer des heures, lui qui avait toujours la bougeotte habituellement.

-Voici les lieux que vous avez tant espéré voir. Ici c'est le rayon pour les apprentis. Sans vouloir leur imposer notre vision, nous n'avons pas d'autre choix que de protéger leurs yeux encore innocents de certains ouvrages plus obscurs... Contenus dans ces étagères au fond, tout en haut, difficiles d'accès mais vous comprenez certainement pourquoi. Là nous avons les ouvrages des maîtres de ce Temple. -Alycius serait bien incapable de rédiger un bouquin, il admirait ceux qui avaient la patience et le style pour le faire.- et ici quelques essais de Padawans qui ont été retenus, afin de les aider et de les encourager dans leur carrière "d'auteur".

Bien sûr, mettre le travail d'écriture d'apprentis en avant demandait beaucoup de temps derrière pour relire, sélectionner etc, mais si dur soit Alycius, si combattif soit-il, ce n'était pas inutile à ses yeux car rédiger un ouvrage demandait beaucoup de discipline. De plus il était pour encourager les âmes vaillantes, ceux qui voulaient vraiment évoluer et donc contre le respect abusif de la hiérarchie qui étouffait les moins élevés. Lui aussi avait été Padawan et il n'oubliait pas ses débuts plus que modestes, d'ailleurs certains essais dans ces étagères s'étaient révélés excellents.

-Là les textes philosophiques, ici sur les différentes formes de combat... Jedis, arts martiaux sans la Force, adaptation des deux... Etc. Beaucoup de livres nous viennent des 4 coins de la Galaxie. Comme nous voyageons, nous trouvons parfois des livres intéressants, alors nous les achetons et les ramenons ici. Certains documents sont uniques, des dons parfois aussi. D'ailleurs vous trouverez les registres de remerciements aux mécènes à côté du secrétariat, cela peut-être très instructif de les consulter, et c'est aussi une forme, je pense, de les remercier que de ne pas les oublier. De temps en temps je prends la liste et je regarde tous ces noms, un à un et je réfléchis sur ce qui les a poussé à faire ce don, puis je les remercie silencieusement.

Une pratique dérivée de la religion, bien que le Nazzar ne le soit absolument pas. Pour lui, il fallait remercier les êtres vivants ou décédés qui faisaient des dons, qui offraient un peu de leur personne et pas une entité inconnue.

-Je vous conseille personnellement cette rangée de textes mais cela dépend de vos goûts. Quels sont-ils?

Alycius avait poussé jusqu'à montrer de l'intérêt pour les dires du Zabrak, même si cela risquait de lui prendre du temps, de lui en faire perdre. D'ailleurs exposer ses propres actes, comme son désir de remercier les mécènes n'était pas fréquent, un mal être s'empara de lui, mais au moins c'était déjà dit. Ne restait plus qu'à attendre le verdict du chevalier. Il n'aimait pas trop faire les visites en général mais savait être consciencieux dans chacune de ses tâches. Ce serait probablement la même chose pour la rédaction d'un livre bien que le résultat risque d'être moins brillant que certains apprentis. Il n'avait en effet que peu d'éloquence et peinait déjà à tirer toutes ces phrases dites à Eliakim.

-Voilà. Si vous le souhaitez, nous pouvons rester un peu ici... Sinon, nous allons aller voir la salle de méditation juxtaposée à celle d'entraînement.

Alycius esquissa un mince sourire, signe d'effort ultime. Il essayait vraiment d'être agréable aujourd'hui, mais c'était difficile de sortir de sa réserve pour le Nazzar. Bien qu'il ne soit pas raciste, les derniers signes d'une xénophobie enseignée pendant toute son enfance demeuraient; il luttait contre tous les préjugés qui lui arrivaient en tête concernant les Zabraks, mais aussi contre une timidité certaine qui l'avait toujours caractérisé. Ce qui expliquait sans doute sa forte discipline et son air toujours glacial.


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