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# Et maintenant où va-t-on? [PV Ambre] - Sam 14 Avr 2012 - 11:03
Nouveau départ, nouvelle planète. En se rendant sur Naboo le Kiffar désirait avant tout réduire à néant les chances d’une mauvaise rencontre. Coruscant, Korriban, Tatooine, Nar Shaddaa, aucune des planètes qu’il avait récemment foulé ne pouvaient lui offrir la sécurité et l’anonymat qu’il recherchait en ce moment. Il avait besoin d’une pause, une planète infestée ni de Jedis, ni de Siths, ni de criminels en tout genre, pas qu’il soit des masses connu et que l’on s’intéresse à son cas non… mais à celui de Sinya oui. Naga renifla, l’Iktotchi lui manquait, ce monde de connaissances, d’alchimie et de pouvoirs mystérieux c’était effondré avec sa disparition. L’adolescent commençait à regretter sa venue sur Naboo, il ne connaissait rien ni personne ici, cette planète ne faisait que lui renvoyer sa solitude en pleine face. Non pas que la solitude le pèse outre mesure mais… peut-être un peu… Aux côtés de son Maître, le jeune Llord avait retrouvé une raison de vivre, la soif d’apprendre et il fallait l’avouer, Sinya excellait dans le goût pour le mystère. Elle était attractive, elle était puissante, elle est morte.
Naga chancelât, ses jambes ne le tenaient presque plus, des jours qu’il ne mangeait presque rien, des jours qu’il ne dormait presque plus. Sa physionomie déjà chétive c’était affinée et sous ses yeux deux gros cernes bleuâtres lui donnaient une allure de camé. Ah il n’était pas beau à voir, mais qui pouvait bien s’en soucier ? Pas lui en tout cas. La fièvre lui brouillait l’esprit, la fatigue lui brouillait la vue et le chagrin lui brouillait le cœur, quel petit con il faisait à s’être ainsi attaché, on ne l’y reprendrait plus ah ça non. Les femmes… le problème de bien des hommes dans la vie, la première grande faiblesse du Kiffar, certainement un complexe d’Œdipe mal résorbé tout ça. Qu’ils aillent tous se faire foutres, il serait le plus fort, son cœur était en béton armé, son esprit insensible, ses yeux insondables, comme une forteresse trop bien gardée.
Levant les yeux au ciel l’apprenti tournoya sur lui-même, enfin concrètement tituba dans ce qui ressemblait approximativement à un cercle. Que faisait-il sur cette planète déjà ? De nouveau un soupire, il avait la tête trop pleine, son estomac pourtant vide pesait une tonne, si seulement il pouvait se vider, vomir tout ça un bon cou et dessaouler. Si seulement c’était possible. Mais les étoiles qu’il observait en cette nuit sans nuage ne lui apportèrent aucune réponse. Ces crétines.
Soudain ses jambes lâchèrent et il s’écrasa comme il put contre le mur le plus proche, les rares passants à ces heures ne le calculèrent pas et grand bien leur fasse. Le Kiffar n’aurait pas supporté leur pitié, il valait mieux que ça !
« Oh qu’il est mignon, à ton âge tu devrais pas boire gamin, regardes un peu dans quel état tu es maintenant. »
Essayant de concentrer sa vue vers le bruit qu’il avait vaguement entendu, Naga tâcha d’y voir dans ce flou ambiant, un… deux… Ils étaient trois hommes marchant dans sa direction, six s’il ne voyait pas double, tous souriants, tous moqueurs, bientôt à côté de lui. S’appuyant contre le mur, l’adolescent esquissa un pauvre sourire.
« Que puis-je pour vous messieurs ? »
Le sourire des hommes s’élargit, ce garçon semblait si faible, si fragile.
« Comme t’as l’air trop lourd pour tenir sur tes jambes on voudrait t’alléger de deux trois trucs tu vois. On est des gentils nous. »
« Oh c’est… adorable. Vraiment… je vous aime. »
Le trio s’esclaffa, ce gosse était mûr à point. Ce qu’ils n’avaient pas prévu c’est le poing qui vint s’abattre sur la joue du premier et le sourire narquois de Naga. Il était un petit con.
« Oups j’ai glissé. »
Au vu de sa force actuelle le coup n’avait fait que très peu de mal, mais la fierté du conspuée était elle belle et bien bafouée. Le retour lui se fit avec violence, envoyant valser au sol le jeune Llord qui toussa sèchement sous le choc avant de se relever difficilement.
« Bah alors les filles ? On veut jouer ? Venez je vous attends, mais une par une hein, j’ai que deux mains. »
Il était un chieur fini. Il souriant extérieurement, il savait que ça les ferait enrager, mais en lui-même il s’en foutait. Ulcérés le groupe se rua sur lui, un premier coup lui éclata l’arcade sourcilière, le deuxième perça sa lèvre tandis qu’un coup de pied dans le ventre le fit de nouveau valser.
« Tu vas voir petit con. »
Oh oui il voulait voir… Aucun des trois hommes ne semblait s’être rendu compte que le garçon qui les incitait à la violence n’avait esquissé aucun geste de défense. Passant sa langue sur le filet de sang qui s’écoulait lentement au coin de sa bouche, il les regardait sans ciller, comme il n’avait pas cligné à l’approche des coups. Ces blessures le faisaient se sentir vivant, un sentiment qu’il n’avait plus éprouvé depuis un long moment. Sortir de cet état de mort vivant lui faisait tellement de bien.
« On voulait juste te rendre service mon gars, mais vu que t’insistes, on va bien s’occuper de toi. On va s’amuser un peu. »
« Moi je dis qu’sa mère le reconnaîtra plus après ça. »
« Ça tombe bien j’avais besoin de m’défouler sur quelque chose. »
Nouveau rires gras mais déjà Naga s’était relevé avec difficulté, se balançant d’une jambe sur l’autre, il fit quelques pas en arrière, manqua de tomber, se rattrapa pis de nouveau les observa.
« Je vous attend. »
Le Kiffar sentit qu’on lui tordait les bras dans le dos, ainsi il ne pourrait s’enfuir ou esquiver. Comme s’il en avait l’intention… Fixant la personne la plus proche de lui de ses yeux de glaces qui ne vrillèrent pas lorsqu’un coup de pied vint lui mâcher le côté droit, suivit d’un uppercut qui lui éclata d’avantage l’arcade. Son absence évidente de peur mettaient ces voyous des bacs à sable mal à l’aise, aussi pour se donner du courage ils frappaient encore plus fort.
Mais aussi agréable fut ce sentiment d’être vivant, l’état de son corps lui se délabrait. La tête lui tournait de plus en plus et ses jambes fléchissaient sous les coups, le mettant bientôt à genoux. Encore un coup et il perdrait connaissance. Il se sentit partir en avant, sa vision s’obscurcit définitivement et il sombra.
*J’ai pas de sous pauvres cons*
Naga chancelât, ses jambes ne le tenaient presque plus, des jours qu’il ne mangeait presque rien, des jours qu’il ne dormait presque plus. Sa physionomie déjà chétive c’était affinée et sous ses yeux deux gros cernes bleuâtres lui donnaient une allure de camé. Ah il n’était pas beau à voir, mais qui pouvait bien s’en soucier ? Pas lui en tout cas. La fièvre lui brouillait l’esprit, la fatigue lui brouillait la vue et le chagrin lui brouillait le cœur, quel petit con il faisait à s’être ainsi attaché, on ne l’y reprendrait plus ah ça non. Les femmes… le problème de bien des hommes dans la vie, la première grande faiblesse du Kiffar, certainement un complexe d’Œdipe mal résorbé tout ça. Qu’ils aillent tous se faire foutres, il serait le plus fort, son cœur était en béton armé, son esprit insensible, ses yeux insondables, comme une forteresse trop bien gardée.
Levant les yeux au ciel l’apprenti tournoya sur lui-même, enfin concrètement tituba dans ce qui ressemblait approximativement à un cercle. Que faisait-il sur cette planète déjà ? De nouveau un soupire, il avait la tête trop pleine, son estomac pourtant vide pesait une tonne, si seulement il pouvait se vider, vomir tout ça un bon cou et dessaouler. Si seulement c’était possible. Mais les étoiles qu’il observait en cette nuit sans nuage ne lui apportèrent aucune réponse. Ces crétines.
Soudain ses jambes lâchèrent et il s’écrasa comme il put contre le mur le plus proche, les rares passants à ces heures ne le calculèrent pas et grand bien leur fasse. Le Kiffar n’aurait pas supporté leur pitié, il valait mieux que ça !
« Oh qu’il est mignon, à ton âge tu devrais pas boire gamin, regardes un peu dans quel état tu es maintenant. »
Essayant de concentrer sa vue vers le bruit qu’il avait vaguement entendu, Naga tâcha d’y voir dans ce flou ambiant, un… deux… Ils étaient trois hommes marchant dans sa direction, six s’il ne voyait pas double, tous souriants, tous moqueurs, bientôt à côté de lui. S’appuyant contre le mur, l’adolescent esquissa un pauvre sourire.
« Que puis-je pour vous messieurs ? »
Le sourire des hommes s’élargit, ce garçon semblait si faible, si fragile.
« Comme t’as l’air trop lourd pour tenir sur tes jambes on voudrait t’alléger de deux trois trucs tu vois. On est des gentils nous. »
« Oh c’est… adorable. Vraiment… je vous aime. »
Le trio s’esclaffa, ce gosse était mûr à point. Ce qu’ils n’avaient pas prévu c’est le poing qui vint s’abattre sur la joue du premier et le sourire narquois de Naga. Il était un petit con.
« Oups j’ai glissé. »
Au vu de sa force actuelle le coup n’avait fait que très peu de mal, mais la fierté du conspuée était elle belle et bien bafouée. Le retour lui se fit avec violence, envoyant valser au sol le jeune Llord qui toussa sèchement sous le choc avant de se relever difficilement.
« Bah alors les filles ? On veut jouer ? Venez je vous attends, mais une par une hein, j’ai que deux mains. »
Il était un chieur fini. Il souriant extérieurement, il savait que ça les ferait enrager, mais en lui-même il s’en foutait. Ulcérés le groupe se rua sur lui, un premier coup lui éclata l’arcade sourcilière, le deuxième perça sa lèvre tandis qu’un coup de pied dans le ventre le fit de nouveau valser.
« Tu vas voir petit con. »
Oh oui il voulait voir… Aucun des trois hommes ne semblait s’être rendu compte que le garçon qui les incitait à la violence n’avait esquissé aucun geste de défense. Passant sa langue sur le filet de sang qui s’écoulait lentement au coin de sa bouche, il les regardait sans ciller, comme il n’avait pas cligné à l’approche des coups. Ces blessures le faisaient se sentir vivant, un sentiment qu’il n’avait plus éprouvé depuis un long moment. Sortir de cet état de mort vivant lui faisait tellement de bien.
« On voulait juste te rendre service mon gars, mais vu que t’insistes, on va bien s’occuper de toi. On va s’amuser un peu. »
« Moi je dis qu’sa mère le reconnaîtra plus après ça. »
« Ça tombe bien j’avais besoin de m’défouler sur quelque chose. »
Nouveau rires gras mais déjà Naga s’était relevé avec difficulté, se balançant d’une jambe sur l’autre, il fit quelques pas en arrière, manqua de tomber, se rattrapa pis de nouveau les observa.
« Je vous attend. »
Le Kiffar sentit qu’on lui tordait les bras dans le dos, ainsi il ne pourrait s’enfuir ou esquiver. Comme s’il en avait l’intention… Fixant la personne la plus proche de lui de ses yeux de glaces qui ne vrillèrent pas lorsqu’un coup de pied vint lui mâcher le côté droit, suivit d’un uppercut qui lui éclata d’avantage l’arcade. Son absence évidente de peur mettaient ces voyous des bacs à sable mal à l’aise, aussi pour se donner du courage ils frappaient encore plus fort.
Mais aussi agréable fut ce sentiment d’être vivant, l’état de son corps lui se délabrait. La tête lui tournait de plus en plus et ses jambes fléchissaient sous les coups, le mettant bientôt à genoux. Encore un coup et il perdrait connaissance. Il se sentit partir en avant, sa vision s’obscurcit définitivement et il sombra.
*J’ai pas de sous pauvres cons*
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# Re: Et maintenant où va-t-on? [PV Ambre] - Sam 14 Avr 2012 - 13:24
"L'essentiel c'est d'avoir des valeurs fortes et de s'y tenir."
Thomas Angelo, Mafia Game
Combien de temps s'était écoulé depuis qu'Ambre n'avait pas ainsi promener dans les rues de la Capitale. Trop, à son sens. Etre sur Naboo quelques jours lui faisait le plus grand bien. La Reine l'avait fait demandé dans l'après-midi et la conversation s'était éternisée. Ambre ne pouvait pas en vouloir à Sa Majesté de s'inquiéter de l'état actuel des choses ... elle-même ne savait plus trop quoi penser des derniers événements. L'attaque du Sénat avait révélé un état de faiblesse de la République, réveillé un sentiment de crainte ...
Que faire ? C'était là le sujet qui avait occupée les deux femmes si longtemps. Des idées avaient été échangées, Ambre jouissait du soutien de son monarque, pourtant elle hésitait. Comme on ne peut empêcher le vent de changer de direction, Ambre savait que tenter de changer les choses serait difficile. Mais les regarder passer n'était pas non plus une solution à adopter.
Soudain, la sénatrice entendit du bruit. Ce bruit lui était faiblement famillier ... Pourquoi cela devait-il aussi arriver ici, sur Naboo ? Et bien sur, quand la sécurité n'était pas à cet endroit précis. Ambre pressa alors le pas ... et quand elle arriva assez proche pour voir ce qui se passait, CT-18 sur ses talons, ses yeux s'horrifièrent. Trois hommes étaient en train de s'en donner à coeur joie sur un ... garçon visiblement ... étendu à terre qui plus est.
Le sang d'Ambre bouillonna alors dans ses veines.
-"Madame ?"
-"Non. Tu restes en couverture ! Et suffisement visible pour qu'on te voit toi et ton arme."
-"Bien Madame."
Pareille vision de violence gratuite la révulsait au plus haut point. Prenant son arme à la main, Ambre avança alors dans le dos des hommes. Des truands de bas étages ... des pourris que personne ne regrettera. Arrivant à leur hauteur, celui du milieu n'eut pas le temps de se retourner qu'il tomba au sol, suite au bruit habituel d'un tir de blaster. La Naboo n'y avait pas été de main morte et lui avait littéralement fait sauter la cervelle. La réaction des deux fut celle attendue : quelques pas en arrière et un moment d'hésitation, accompagné de quelques balbutiements. Ambre, elle, n'hésita pas. Visant chacun des deux, et profitant de ce moment, il ne fallut pas 10 secondes pour qu'ils rejoignent leur ami dans le repos éternel. Puis, rangainant son arme, Ambre s'agenouilla près du garçon. Un humain ou un presque-humain visiblement. Ces voyoux l'avaient salement amoché. Alors que le droïde s'approchait, Ambre remarqua un objet cylindrique sur le sol ... Le prenant en main, elle ne put s'empêcher de reconnaitre l'arme symbolique des utilisateurs de la Force.
-"Madame ?"
Le droïde venait de sortir la Sénatrice d'une nouvelle réflexion dans lequel son esprit était à nouveau en train de sombrer. Prenant le sabre dans sa main puis l'enfant dans ses bras, elle dit :
-"Récupère ce que tu peux et balance leur corps à la flotte. Et ensuite va chercher le vaisseau. On emmène cet enfant avec nous ?"
-"Bien Madame."
C'était l'avantage avec les droïdes. Pas de questions inutiles. Car Ambre n'aurait pas su expliquer pourquoi elle emmenait l'enfant chez elle plutôt que de l'emmener à l'hopital. Mais dans sa résidence, le petit recevrait de toute façon les soins dont il avait besoin et ce, au sein de la contrée des lacs, là où tout est plus calme.
Thomas Angelo, Mafia Game
Combien de temps s'était écoulé depuis qu'Ambre n'avait pas ainsi promener dans les rues de la Capitale. Trop, à son sens. Etre sur Naboo quelques jours lui faisait le plus grand bien. La Reine l'avait fait demandé dans l'après-midi et la conversation s'était éternisée. Ambre ne pouvait pas en vouloir à Sa Majesté de s'inquiéter de l'état actuel des choses ... elle-même ne savait plus trop quoi penser des derniers événements. L'attaque du Sénat avait révélé un état de faiblesse de la République, réveillé un sentiment de crainte ...
Que faire ? C'était là le sujet qui avait occupée les deux femmes si longtemps. Des idées avaient été échangées, Ambre jouissait du soutien de son monarque, pourtant elle hésitait. Comme on ne peut empêcher le vent de changer de direction, Ambre savait que tenter de changer les choses serait difficile. Mais les regarder passer n'était pas non plus une solution à adopter.
Soudain, la sénatrice entendit du bruit. Ce bruit lui était faiblement famillier ... Pourquoi cela devait-il aussi arriver ici, sur Naboo ? Et bien sur, quand la sécurité n'était pas à cet endroit précis. Ambre pressa alors le pas ... et quand elle arriva assez proche pour voir ce qui se passait, CT-18 sur ses talons, ses yeux s'horrifièrent. Trois hommes étaient en train de s'en donner à coeur joie sur un ... garçon visiblement ... étendu à terre qui plus est.
Le sang d'Ambre bouillonna alors dans ses veines.
-"Madame ?"
-"Non. Tu restes en couverture ! Et suffisement visible pour qu'on te voit toi et ton arme."
-"Bien Madame."
Pareille vision de violence gratuite la révulsait au plus haut point. Prenant son arme à la main, Ambre avança alors dans le dos des hommes. Des truands de bas étages ... des pourris que personne ne regrettera. Arrivant à leur hauteur, celui du milieu n'eut pas le temps de se retourner qu'il tomba au sol, suite au bruit habituel d'un tir de blaster. La Naboo n'y avait pas été de main morte et lui avait littéralement fait sauter la cervelle. La réaction des deux fut celle attendue : quelques pas en arrière et un moment d'hésitation, accompagné de quelques balbutiements. Ambre, elle, n'hésita pas. Visant chacun des deux, et profitant de ce moment, il ne fallut pas 10 secondes pour qu'ils rejoignent leur ami dans le repos éternel. Puis, rangainant son arme, Ambre s'agenouilla près du garçon. Un humain ou un presque-humain visiblement. Ces voyoux l'avaient salement amoché. Alors que le droïde s'approchait, Ambre remarqua un objet cylindrique sur le sol ... Le prenant en main, elle ne put s'empêcher de reconnaitre l'arme symbolique des utilisateurs de la Force.
-"Madame ?"
Le droïde venait de sortir la Sénatrice d'une nouvelle réflexion dans lequel son esprit était à nouveau en train de sombrer. Prenant le sabre dans sa main puis l'enfant dans ses bras, elle dit :
-"Récupère ce que tu peux et balance leur corps à la flotte. Et ensuite va chercher le vaisseau. On emmène cet enfant avec nous ?"
-"Bien Madame."
C'était l'avantage avec les droïdes. Pas de questions inutiles. Car Ambre n'aurait pas su expliquer pourquoi elle emmenait l'enfant chez elle plutôt que de l'emmener à l'hopital. Mais dans sa résidence, le petit recevrait de toute façon les soins dont il avait besoin et ce, au sein de la contrée des lacs, là où tout est plus calme.
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