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# Rien n'est jamais tout blanc ou tout noir ... [Ananica] - Mer 21 Mar 2012 - 18:18
La vie a de bons cotés des fois ...
Ambre avait fait une toute nouvelle acquisition. Plaisante et pratique de surcroit ... une combinaison. Et le top, c'est que celle-ci était de sa couleur préférée. Plus besoin de recourir à une écharpe maintenant pour dissimuler son visage, la combinaison s'en chargeait. Au niveau du casque, une vitre teinte caché à la perfection qui elle était réellement. Pour le reste, sa combinaison était un juste au corps traditionnelle des modèles légers. Avec le temps, elle perfectionnerait celle-ci au fur et à mesure de ses idées. La seule vraie amélioration était un petit appareil modifiant sa voix, la rendant in-identifiable.
Parfois, la vie est mal faite ...
Ce crétin de contrebandier s'était fait coincer. Le problème n'était pas qu'il risquait de trahir la Sénatrice ... c'est qu'il y avait laissé la vie l'amateur. Quel abruti. Du coup, toute la cargaison avait été perdue. Et forcément, il fallait se réapprovisionner. Mais vous en connaissez beaucoup vous, des pharmacies qui vendent des bâtons de la mort ? ... Et comme le crétin avait trépassé, et qu'elle n'avait encore personne d'autres sous la main, elle s'y était collé.
C'est ainsi qu'on se retrouve au mauvais endroits au mauvais moments ...
-"Aboules le pognon ...!"
-"Aboules la marchandise !"
Dure en affaires, il fallait l'être quand on touche au deal de contrebande. Et la sénatrice savait l'être. Après tout, le Sénat avait ça de pratique qu'il vous forger un caractère. Un dévaronien s'approcha alors avec la marchandise dans une mallette.
-"A bin vous voyez quand vous voulez... Je savais bien qu'on finirait par s'entendre."
-"Notre pognon ...!"
-"T'es agaçant à la fin avec ton pognon ..."
Ambre sortit alors un bloc de données contenant visiblement tout ce qu'il fallait pour récupérer l'argent auprès de la première unité de change galactique. Mais tout d'un coup, son mouvement s'arreta et sa tête tourna vers le Dévaronien. Celui-ci venait de refermer sa mallette un poil trop sec. Portant sa main plus près de son pistolet, Ambre soupira avant d'ajouter :
-"Et voila ... Ça sait même pas respecter les deals et ça devient trop gourmands ..."
Le problème était qu'ils étaient plus nombreux ... mais Ambre avait fait l'armée, contrairement à eux. Dégainant son pistolet, elle tira et tua les deux dealeurs proches et sauta derrière la table où était déposé les bâtons de la morts alors que les autres membres du gang commençaient à faire feu. Et même si ces abrutis n'étaient pas les plus doués, un tir frôla le bras d'Ambre, lui infligeant une légère brûlure. Il était encore 5 contre elle ... et la seule expression qui lui vint fut :
-"Mais bordel ... pourquoi ça se passe ainsi ? Pourquoi faut-il que ce soit sur moi ?"
Ramassant le pistolet du Dévaronien, Ambre se tint prête à les tenir en respect le temps de trouver une idée.
Invité
# Re: Rien n'est jamais tout blanc ou tout noir ... [Ananica] - Ven 23 Mar 2012 - 20:29
Après le fiasco sur Coruscant, les Jedis ne m’envoyaient plus que faire les missions les plus inintéressantes, sans risques potentiels ni grande importance, loin du Temple afin que je ne sois pas trop souvent en compagnie du reste de l’Ordre. Je n’étais en théorie plus exilée, mais le Côté Obscur était toujours présent en moi et ma bonne volonté seule ne suffisait pas à inciter le Conseil à me faire confiance. J’en étais donc réduit à balayer derrière eux, en quelque sorte.
Cette mission devait donc me mener sur la lune des contrebandiers, là où une présence officielle Jedi causait suffisamment de problèmes pour qu’ils évitent soigneusement d’y mettre les pieds. Moi en revanche, je n’étais affiliée à l’Ordre que de manière officieuse, je pouvais donc avoir une liberté d’action plus large. Mon objectif était de remonter une filière de trafic de bâtons de la mort. Encore une fois avais-je pensé lorsque l’on m’avait expliqué ma mission. Mais n’ayant pas vraiment d’autre choix, j’avais accepté. La technique était simple : on trouvait le dernier maillon de la chaîne, puis on remontait petit à petit jusqu’à la source.
Mon enquête avait commencé sur Coruscant, où j’avais attrapé des petits revendeurs, qui avait rapidement craché le nom de leur fournisseur sur Nar’Shaddaa. Une cellule qui donnait aussi bien dans la revente à échelle interplanétaire que dans le trafic local. Une fois rendue sur place, je dégotais rapidement l’emplacement du bâtiment qui abritait les criminels. C’est là que l’histoire allait prendre un tournant, disons, intéressant.
L’endroit était comme toute la lune : sale, délabré, puant, étouffant. Une vieille enseigne clignotait non loin, indiquant l’entrée d’un bar désormais fermé. Au vue des traces noires, restes de tirs de blaster, sur la façade du bâtiment, c’était un lieu où les rixes armées étaient fréquentes. Un gamin, un Zabrak, passa au coin de la rue, me dévisageant puis disparaissant aussi sec. Les gens du coin étaient habitués à la crasse et n’avaient pas l’habitude de voir une étrangère bien habillé et propre sur elle.
J’étais toujours sur le "palier", en train de réfléchir à la façon dont j’allais aborder la situation, lorsque retentir des coups de feu à l’intérieur. Aussitôt je pénétrais à l’intérieur, pour me retrouver face à cinq truands et deux cadavres.
« Mais qu’est-ce que … , fit le premier en me regardant l’air hagard
-Mais flingue-la crétin ! » lui dit celui qui était au fond de la pièce
Reprenant ses esprits, le truand pointant son arme sur moi et fit feu. En un instant, la lame de Taral avait jailli pour renvoyer le tir dans la tête de son expéditeur, tandis que celle de Madloom était allée se ficher dans la poitrine du type à ma gauche. Récupérant mes deux sabres, je bondissais en direction du troisième type au milieu de la salle, et l’abattait rapidement alors qu’il essayait tant bien que mal de mon viser. Puis j’attrapais à l’aide de la Force le gars à côté de la table renversée pour le projeter sur son collègue. Les deux hommes furent assommés par le choc. Puis je me tournais vers la table, derrière laquelle j’avais senti une présence, mais moins hostile que les autres. J’utilisais la télékinésie pour envoyer le meuble de l’autre côté de la pièce, et plaçait ma lame orangée sous le menton de la personne qui s’y trouvait.
« Qui êtes-vous, et que faites-vous ici ? Répondez, vite ! » lui lançais-je, tout en l’obligeant à se relever en levant mon sabre.
C’était une femme. Elle portait une combinaison intégrale, comprenant un masque qui lui cachait le visage. Elle avait laissé tomber une arme, mais il s’agissait manifestement du blaster d’un des deux dealers déjà morts avant que je ne me lance dans le combat. De toute évidence elle ne faisait pas partie des trafiquants, plutôt une cliente dont l’affaire avait mal tournée. Elle représentait toutefois une menace potentielle, aussi la gardait-je "accrochée" au bout de mon sabre tout en gardant un œil sur les deux types dans les pommes, vérifiant qu’ils ne se réveillaient pas trop vite. Je la regardais toujours en face, attendant sa réponse…
Cette mission devait donc me mener sur la lune des contrebandiers, là où une présence officielle Jedi causait suffisamment de problèmes pour qu’ils évitent soigneusement d’y mettre les pieds. Moi en revanche, je n’étais affiliée à l’Ordre que de manière officieuse, je pouvais donc avoir une liberté d’action plus large. Mon objectif était de remonter une filière de trafic de bâtons de la mort. Encore une fois avais-je pensé lorsque l’on m’avait expliqué ma mission. Mais n’ayant pas vraiment d’autre choix, j’avais accepté. La technique était simple : on trouvait le dernier maillon de la chaîne, puis on remontait petit à petit jusqu’à la source.
Mon enquête avait commencé sur Coruscant, où j’avais attrapé des petits revendeurs, qui avait rapidement craché le nom de leur fournisseur sur Nar’Shaddaa. Une cellule qui donnait aussi bien dans la revente à échelle interplanétaire que dans le trafic local. Une fois rendue sur place, je dégotais rapidement l’emplacement du bâtiment qui abritait les criminels. C’est là que l’histoire allait prendre un tournant, disons, intéressant.
L’endroit était comme toute la lune : sale, délabré, puant, étouffant. Une vieille enseigne clignotait non loin, indiquant l’entrée d’un bar désormais fermé. Au vue des traces noires, restes de tirs de blaster, sur la façade du bâtiment, c’était un lieu où les rixes armées étaient fréquentes. Un gamin, un Zabrak, passa au coin de la rue, me dévisageant puis disparaissant aussi sec. Les gens du coin étaient habitués à la crasse et n’avaient pas l’habitude de voir une étrangère bien habillé et propre sur elle.
J’étais toujours sur le "palier", en train de réfléchir à la façon dont j’allais aborder la situation, lorsque retentir des coups de feu à l’intérieur. Aussitôt je pénétrais à l’intérieur, pour me retrouver face à cinq truands et deux cadavres.
« Mais qu’est-ce que … , fit le premier en me regardant l’air hagard
-Mais flingue-la crétin ! » lui dit celui qui était au fond de la pièce
Reprenant ses esprits, le truand pointant son arme sur moi et fit feu. En un instant, la lame de Taral avait jailli pour renvoyer le tir dans la tête de son expéditeur, tandis que celle de Madloom était allée se ficher dans la poitrine du type à ma gauche. Récupérant mes deux sabres, je bondissais en direction du troisième type au milieu de la salle, et l’abattait rapidement alors qu’il essayait tant bien que mal de mon viser. Puis j’attrapais à l’aide de la Force le gars à côté de la table renversée pour le projeter sur son collègue. Les deux hommes furent assommés par le choc. Puis je me tournais vers la table, derrière laquelle j’avais senti une présence, mais moins hostile que les autres. J’utilisais la télékinésie pour envoyer le meuble de l’autre côté de la pièce, et plaçait ma lame orangée sous le menton de la personne qui s’y trouvait.
« Qui êtes-vous, et que faites-vous ici ? Répondez, vite ! » lui lançais-je, tout en l’obligeant à se relever en levant mon sabre.
C’était une femme. Elle portait une combinaison intégrale, comprenant un masque qui lui cachait le visage. Elle avait laissé tomber une arme, mais il s’agissait manifestement du blaster d’un des deux dealers déjà morts avant que je ne me lance dans le combat. De toute évidence elle ne faisait pas partie des trafiquants, plutôt une cliente dont l’affaire avait mal tournée. Elle représentait toutefois une menace potentielle, aussi la gardait-je "accrochée" au bout de mon sabre tout en gardant un œil sur les deux types dans les pommes, vérifiant qu’ils ne se réveillaient pas trop vite. Je la regardais toujours en face, attendant sa réponse…
Invité
# Re: Rien n'est jamais tout blanc ou tout noir ... [Ananica] - Lun 26 Mar 2012 - 11:13
... La vie est pleine de surprise ...
Forcer de se relever par la lame d'un sabre laser sous son menton, Ambre ne s'attendait pas vraiment à ça. Une Jedi ... La situation se compliquait passablement. Bon, c'était devenu du un contre un mais pour le reste ... Pourquoi un trafic ne pouvait pas se passer tranquillement ?
La voix modifiée par le casque, Ambrer répondit doucement :
-"Et bien, je dirais que je comptais acheter cette marchandise pour des fins thérapeutiques."
L'argument vrai, mais fort malheureusement peu crédible. Comment s'en sortir ? La réponse vint d'elle-même. Celui qui avait tout le temps parler avec Ambre agrippa son blaster et s'apprêta à s'en servir. Ambre n'eut le temps de dire que : "Attention" et profita du moment d'inattention provoqué pour pousser la Jedi de la ligne de mire du trafiquant.
Mais à force de penser aux autres, ce fut elle qui fut touché aux bras gauche alors que son droit saisit son propre pistolet et tira, tuant le trafiquant. Puis, avec hâte, elle ramassa la drogue et commença à s'enfuir. La Jedi ne mettrait pas longtemps à la suivre, ça c'était sur. Il allait lui falloir trouver un plan et vite. Et ce plan devrait comprendre le fait de se faire oublier ... car devenir une criminelle recherchée n'était absolument pas dans son intérêt.
Approchant son comlink, Ambre l'activa et dit :
-"CT-18 j'ai besoin de toi ... Il faut que tu places des diffuseurs de gaz dans la dernière pièce de l'itinéraire prévu au cas où ça se passait mal. Et que tu pirates le système de fermeture des portes. Je veux que la pièce soit hermétiques ... ET VITE !"
-"A vos ordres Madame. Gaz Mortel ou soporifique ?"
-"Soporifique pour l'instant ... On verra ensuite !"
Invité
# Re: Rien n'est jamais tout blanc ou tout noir ... [Ananica] - Mer 28 Mar 2012 - 21:46
Ce jour-là j’ai appris quelque chose : ne jamais supposer, toujours vérifier. Ces truands étaient plus résistants qu’il n’y paraît ! Mon erreur m’avait coûté ma position dominante, et je me retrouvais désormais à devoir courir après ma cible. Elle était blessée, mais malheureusement pas de manière à la ralentir. Elle courait vite, mais j’étais rapide aussi. La course-poursuite s’engagea dans les ruelles de Nar Shaddaa. Les nombreux détours et recoins m’empêchait de la garder suffisamment longtemps en visu pour la faire tomber grâce à la Force.
Mes sabres avaient regagné ma ceinture : mon but était de l’attraper vivante pour la ramener sur Coruscant : elle prétendait utiliser les bâtons à des fins médicaux, mais l’histoire semblait peu crédible. Je devais l’interroger pour en savoir plus. Mais il fallait d’abord la rattraper.
« Arrêtez-vous ! » lui ai-je crié plusieurs fois, évidemment sans résultats.
Je pensais que cette course allait durer un moment, mais la femme s’était arrêtée dans le sas d’un entrepôt, près d’un quai de chargement de marchandises. Elle s’était penchée, comme essoufflée, sa combinaison laissant échapper le son de son souffle haletant. Je m’approchais alors d’elle, dégainant mes deux armes.
« Au nom de la République, vous êtes en état d’arrestation. Veuillez me suivre sans opposer de… »
Je me stoppais nette alors que les deux issues de la pièce venait de se refermer. La femme releva alors la tête pour me regarder. Je me jetais sur une des portes pour tenter de la forcer, mais le blindage était solide. Du gaz commençait à se répandre dans la salle.
Alors que je me sentais emportée, il me sembla entendre la femme parler, mais je ne pus distinguer ce qu’elle avait dit. Je glissais alors complètement dans le sommeil, incapable de lutter…
Mes sabres avaient regagné ma ceinture : mon but était de l’attraper vivante pour la ramener sur Coruscant : elle prétendait utiliser les bâtons à des fins médicaux, mais l’histoire semblait peu crédible. Je devais l’interroger pour en savoir plus. Mais il fallait d’abord la rattraper.
« Arrêtez-vous ! » lui ai-je crié plusieurs fois, évidemment sans résultats.
Je pensais que cette course allait durer un moment, mais la femme s’était arrêtée dans le sas d’un entrepôt, près d’un quai de chargement de marchandises. Elle s’était penchée, comme essoufflée, sa combinaison laissant échapper le son de son souffle haletant. Je m’approchais alors d’elle, dégainant mes deux armes.
« Au nom de la République, vous êtes en état d’arrestation. Veuillez me suivre sans opposer de… »
Je me stoppais nette alors que les deux issues de la pièce venait de se refermer. La femme releva alors la tête pour me regarder. Je me jetais sur une des portes pour tenter de la forcer, mais le blindage était solide. Du gaz commençait à se répandre dans la salle.
Alors que je me sentais emportée, il me sembla entendre la femme parler, mais je ne pus distinguer ce qu’elle avait dit. Je glissais alors complètement dans le sommeil, incapable de lutter…
Invité
# Re: Rien n'est jamais tout blanc ou tout noir ... [Ananica] - Jeu 29 Mar 2012 - 13:23
... Mettez une grenouille dans de l'eau bouillante et elle bondira dehors. Mais mettez une grenouille dans de l'eau froide et augmentez petit à petit la température et la grenouille ne bougera pas, se laissant aller à une mort certaine ...
Prendre ruelles après ruelles n'était pas facile, mais c'était obligatoire. Les utilisateurs de la Force ont tout un lot de petits tours dans leur sac. Mais au delà des dogmes et des idées préconçues, tout militaire d'élite apprenait à se prémunir face à un Jedi. Les meilleurs devenaient alors membres des escadrons spéciaux. A l'époque, ce fut le passé d'Ambre. Comment penser ? Comment bouger ? Comment se battre ? Quels sont leurs points forts ? Quelles sont leurs faiblesses ? Tout ça, Ambre l'avait appris ... Et bien appris.
-"Affirmation : c'est prêt madame. Dois-je enclenché mes protocoles de guerres ? "
La voix habituel de son compagnon fidèle avait résonné dans son comlink.
-"Non ... Tiens-toi juste prêt. Une fois le gaz aura commencer à faire effet, alors tu me rejoindras et là tu les activeras au cas où ..."
C'est pour ça qu'elle avait choisit ce modèle. CT-18 était avant tout un droïde fait pour tuer, auquel la sénatrice avait joint un système protocolaire. L'investissement en avait valu la peine. Ambre entra alors dans l'entrepot et se dirigea au centre du sas. Puis s'accroupit. Tout était plausible : de la foulure de la cheville à l'arrêt pour respirer.
Et elle entra. Son ton prouva à Ambre qu'elle pensait avoir gagnée. Et la suite fut rapide. Une fois qu'un piège se referme sur vous, la première réaction n'est jamais la bonne. Si on y cède, à cause de la pression du moment, notre sort est scellé. Alors que le gaz faisait son effet, Ambre rattrapa la femme dans sa chute et dit :
-"C'est bon CT-18. Tu peux venir ... Apporte le datapad du vaisseau."
Quelques minutes plus tard, le droïde entra. Ambre, elle, faisait un léger prélévement sanguin sur la Jedi inconsciente. Le droïde lui tendit le datapad et demanda :
-"Question : Avez-vous pensé à la possibilité que ce soit une Sith ?"
-"Oui ... Mais elle a tenté de m'arrêter au nom de la République et ..."
Mais Ambre s'arrêta. Alors que le datapad venait de finir l'analyse sanguine, Ambre regardait le résultat.
-"Un problème madame ?"
Ananica Ardell. Voila son nom. Et c'était une Naboo. Rendant le datapad à CT-18, elle ramassa les deux armes de la Jedi.
-"Maintiens-là en sommeil. On l'emmène avec nous. "
-" Question de confirmation : vous voulez dire jusque ... "
-"Oui ... c'est une Naboo. Et je ne tue pas les Naboo, tu devrais le savoir maintenant."
Du moins, pas facilement. Ambre quitta alors la pièce par là où était entré le droïde, laissant Ananica au soin de ce dernier.
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